Les Carolos ont engagé l’intérieur d’Alost.
« Après l’arrivée de Jito Kok, le Spirou Basket était encore à la recherche d’un intérieur pour compléter son effectif. Le staff Carolo a jeté son dévolu sur le jeune Nathan Kuta (21 ans, 2m05) » peut-on lire sur le site du Spirou. « Le joueur Hollandais apportera de la puissance dans la raquette. Actif à Alost la saison dernière, il s’est engagé pour 3 saisons. »
Crédit photo: Give Me Five
Le 3×3 Crelan Masters Tour fonctionne bien.
Comme le montre ce reportage de TéléSambre.
Crédit photo: PP Photography Amateur
Explosés dans le premier quart-temps par la folle adresse des Suns, les Bucks sont revenus petit à petit pour finalement arracher le game 5 et n’être plus qu’à une victoire du titre.
En début de rencontre, tout rentrait pour les Suns (13 sur 19 de loin au final) et ceux-ci se forgeaient une avance colossale. Mais ensuite, malgré les efforts de Booker (40 points), Paul (21 points et 11 passes) et Ayton (20 points et 10 rebonds), Phoenix voyait Middleton (29 points, 7 rebonds et 5 passes), Holiday (27 points et 13 assists) et Giannis (32 points, 9 rebonds et 6 passes) recoller au score petit à petit et émerger sur la fin, 119-123. Une victoire peut-être décisive pour Milwaukee dans l’Arizona. Le « Greek Freak » et ses partenaires ont désormais deux opportunités d’être sacrés champions pour la seconde fois de l’histoire de la franchise du Wisconsin.
Quel est le point commun entre LeBron James et Kobe Bryant ?
Kyle Kuzma a son opinion sur le sujet. « Ce sont évidemment deux personnes différentes, et c’est vraiment difficile de les comparer tous les deux. Ils sont juste tellement différents, mais ils ont une chose en commun : ils sont juste deux gagnants dans la vie. On peut dire qu’ils abordent tout avec un certain type d’enthousiasme, qu’il s’agisse du basket, des affaires, de la vie, de l’entraînement, leur approche de la salle de sport, de leur corps ou de la gym. Ils ont l’enthousiasme des gagnants. Ils sont juste déterminés et optimistes à propos de tout. Leur niveau de confiance est très, très élevé et très, très rare » a ainsi développé le Laker pour le Bleacher Report.
Particulièrement en vue cette saison avec Dijon avec qui il a réalisé une saison historique, Hans Vanwijn prend la direction de l’Espagne et de Saragosse.
Les prestations d’Hans Vanwijn à Dijon ne sont pas passées inaperçues. Du coup, le Flandrien eut l’embarras du choix en moment de se trouver un nouvel employeur. Il s’agira de Saragosse où le polyvalent forward belge devrait à nouveau confirmer une réelle progression.
Crédit photo: Dijon
Au Japon, les Belgian Lions ont brillé.
C’est avec un bilan de trois victoires et un revers que les Belgian Lions quitteront le Japon. Dans ce pays à l’histoire millénaire, nos Belges ont successivement dominé la Finlande 74-64, le Japon 73-70, la Hongrie 101-80 avant de s’incliner lourdement contre les locaux. Un bilan positif pour un groupe qui a pu profiter du retour de Jean Salumu, particulièrement percutant contre les Magyars (25 points).
Un top staff pour Daniel Goethals aux Sharks d’Antibes.
Les Sharks d’Antibes ont pris l’excellente décision de prolonger Daniel Goethals. Pour entourer le mentor belge, les Antibois ont réorganisé leur coaching staff pour les deux prochaines saisons. Antoine Mantey et Stéphane Neff seront les deux nouveaux assistants de « Big Dan ». Neff est, comme il le déclare sur le site du club, « très honoré de rentrer dans ce projet très intéressant et extrêmement motivant. Je suis honoré que Daniel Goethals ait pensé à moi pour remplir cette mission à ses côtés et aux cotés des personnes déjà en poste. Connaissant l’historique du club d’Antibes, c’est extrêmement gratifiant de pouvoir intégrer ce nouveau projet ».
Deux arrivées qui réjouissent l’ancien coach de Mons-Hainaut. « Antoine est quelqu’un que j’ai choisi avant tout car c’est une personne extrêmement motivée, qui depuis plusieurs années est impliquée à 100% dans le basket en tant que professionnel. Il a été formé en France notamment. Pour l’envie et les connaissances qu’il a démontré, notamment par rapport au championnat de Pro B qu’il suit depuis un bon moment, j’a rapidement décidé de l’appeler en renfort à mes côtés. C’est un technicien qui est extrêmement compétent auprès des joueurs dans le travail de développement individuel, en plus de ses qualités d’assistant coach. Concernant Stéphane, je l’ai connu à Neuchâtel. C’est quelqu’un dont le travail est axé sur tout ce qui est statistiques, analytiques. J’ai eu l’occasion d’échanger très régulièrement lorsqu’il officiait au service des sports de la ville de Neuchâtel. Avec Antoine et Stéphane, je suis certains d’avoir deux personnes sur qui je peux pleinement compter et dont les profils sont un peu différents quant à leur approche et analyse du basket. La complémentarité de ce duo va être un réel atout pour les Sharks » a expliqué Goethals sur le site du club.
Le club va aussi collaborer avec la psychologue du sport Ellen Schouppe, qui bosse actuellement notamment avec les Belgian Cats. « Le CV d’Ellen parle pour elle. Quand tu vas aux Jeux Olympiques de Tokyo avec une équipe collective mais également pour accompagner 5 athlètes en individuel, c’est que forcément tu as de grosses compétences. Elle a évolué dans le football, le basketball, a été elle même joueuse de basket. C’est quelqu’un avec qui j’ai déjà travaillé en club mais également en individuel. Elle a cette capacité à amener le coaching mental et la préparation mentale auprès des joueurs d’une manière extrêmement positive, d’une manière extrêmement simple. Pour moi la grande clé du mental c’est avant tout de réussir à simplifier les choses. Beaucoup de joueurs ont tendance à justement les compliquer. Elle sera vraiment bénéfique dans les relations entre staff et joueurs afin que tout le monde puisse bien comprendre la personnalité de chacun et que nous, staff, sachions également comment gérer chaque joueur pour en tirer la quintessence. Je pense qu’aujourd’hui le management est primordial et Ellen, par rapport à l’ensemble des aspects de son travail nous permettra de bonifier le management » assure ainsi Daniel Goethals démontrant par là toute son ouverture d’esprit.
Crédit photo: Sharks Antibes
Damian Lillard quittera-t-il les Blazers après neuf ans de bons et loyaux services ? C’est la question qui est sur toutes les lèvres…
Et qui agite le microcosme NBA et la planète basket toute entière. Alors qu’il avait toujours assuré vouloir finir sa carrière à Portland au possible détriment d’une bague, Lillard semble avoir quelque peu revu son jugement, déçu par les performances de son équipes en Playoffs et par certaines réactions des fans dont il est pourtant le chouchou. Tous les médias se lancent dans d’improbables scenarii, l’envoyant à droite et à gauche. Pourtant, à l’heure actuelle, le meneur est toujours dans l’Oregon. « Je me suis réveillé avec ces rumeurs, et beaucoup de gens qui me contactaient, mais ce n’est pas vrai. Je vais commencer par dire que ce n’est pas vrai. Beaucoup de choses sont dites. Ça ne vient pas de moi. Je n’ai pris aucune décision ferme sur mon avenir » a déclaré Lillard. « La meilleure façon de le dire, c’est qu’il y a un besoin d’urgence. Sur notre prochaine étape et comment nous allons avancer. Nous avons fait les playoffs toutes ces années. Nous ne sommes pas une mauvaise équipe, nous sommes une bonne équipe. Il y a beaucoup de positif. Mais nous avons atteint le point où ce n’est pas suffisant. » Et d’ajouter: « Je suis d’accord que Chauncey peut peut-être améliorer l’équipe. Mais si vous regardez notre groupe tel qu’il est, je ne vois pas comment on peut dire que c’est un effectif qui peut remporter le titre, avec juste un nouveau coach. »
Il n’est pas toujours facile d’assumer un gros contrat, d’autant plus quand le style de jeu va à l’encontre de tes qualités.
Comme Nicolas Batum à Charlotte, Ryan Anderson n’a pas assuré sur le terrain ce que ses émoluments laissaient promettre. « C’était nouveau pour moi, parce que j’avais toujours été un joueur sous-coté, qui dépassait les attentes, et tout à coup, j’étais le gars qui était surpayé qui n’arrivait pas à assumer alors que je faisais tout ce pour quoi ils me payaient et on avait l’équipe qui réussissait le mieux en NBA », explique Ryan Anderson dans le podcast de Duncan Robinson, The Long Shot. « C’était difficile pour moi d’être le gars dont on dit qu’il doit faire plus parce qu’on le paye beaucoup pour ça, plutôt qu’avant où c’était : ‘Wow, ce gars est une aubaine !’ Ça m’a vraiment affecté. Quand j’étais à Houston, j’avais la sensation de décevoir les fans. »
Une situation pas forcément facile à vivre au quotidien, surtout dans une ville rythmée par le sport. « Houston est une de ces villes où la pression est toujours sur tout. C’était le seul sujet de discussion auquel j’avais droit là-bas » ajoute Anderson. « C’est difficile quand tu ne reçois aucun crédit, surtout quand tu gagnes beaucoup d’argent et que tu obtiens deux tirs avec deux secondes sur l’horloge et que tu les rates. Tu finis à 0/2 à 3-points et tout le monde dit que tu es nul ! C’est ce que je préfère maintenant en n’étant plus en NBA parce que je peux me lâcher sur ce truc qui m’énerve vraiment. Les gens ne veulent pas l’entendre. J’ai gagné beaucoup d’argent, j’ai vécu une belle vie. J’ai eu de la chance, j’adore ma vie mais le basket n’est plus amusant quand tu dois simplement rester derrière la ligne et que tu n’es pas impliqué du tout. Tu veux être impliqué, faire partie de l’attaque. »
Après avoir brillé en Turquie, en Italie et en Allemagne, Jean Salumu découvrira la France la saison prochaine.
Après la Turquie et l’Italie, Jean Salumu avait brillé cette année en Allemagne ((14,5 points, 2,2 passes pour 12 d’évaluation en 23 minutes). Des prestations qui ont attiré l’attention de Châlons-Reims avec qui s’est engagé le Belgian Lion pour la prochaine saison.
« Originaire d’Ostende, le poste 2 de 30 ans (1m93) rejoint les rangs du club champenois pour une saison. En provenance du Rasta Vechta (Allemagne – 23mins / 14,5pts / 2,2pd / 12eval ), l’international belge a également évolué en Belgique (Ostende, Louvain) jusqu’en 2018 – année où il décroche le titre de MVP de la Ligue -, puis en Turquie (Sakarya Büyükehir), et en Italie (Varèse, Pistoia). Rapide, athlétique et adroit, Jean Salumu rejoint donc la ligne arrière du Champagne Basket. Bienvenue Jean ! », annonce le club français sur son site internet.
Crédit photo: Philippe Collin