« Passe mais seulement si c’est un assist »

Tom Ventat de Saint-Louis et Esneux se prête à l’exercice du Thé ou Café. 

Tom, tu es plutôt passe ou panier ?

Passe si c’est un assist, sinon panier (rires). Dois-je reprendre la phrase de l’illustre Victor Letihon pour justifier mon choix (rires) ?

Et attaque ou défense ?

Attaque, évidemment.

Plutôt Netflix ou cinéma ?

Netflix.

Pizza ou burger ?

Pizza.

City-trip ou vacances à la plage ?

Vacances au soleil.

Plutôt LeBron ou Curry ?

Doncic.

Anderlecht ou Standard ?

Plutôt Barcelone, sinon Standard, bien évidement.

Et enfin, plutôt tu es plutôt thé ou café ?

Plutôt Irish Coffee.

Les Cats à l’assaut de la Serbie !

Ce jeudi dans l’autre capitale européenne, les Belgian Cats commencent officiellement leur fol été.

Et les Belges seront directement plongées dans le grand bain avec une confrontation face à la solide équipe serbe. Après une préparation raccourcie et perturbée, les Cats sont habitées par quelques interrogations mais possèdent aussi un vécu collectif capable de leur permettre de rapidement retrouver automatismes et qualité de jeu. La rencontre débutera à quinze heures.

Crédit photo: FIBA

« Kevin Durant est le meilleur joueur du monde »

Après sa perf’ d’anthologie, Kevin Durant a reçu les louanges du double MVP.

Kevin Durant est le meilleur joueur du monde aujourd’hui. Si on veut le battre, il faut qu’on le fasse en équipe. On doit défendre sur lui en équipe. On doit le pousser à prendre des tirs difficiles comme ce soir. On peut simplement faire notre job et espérer qu’il rate… » a avoué Giannis Antetokounmpo devant les médias après le match.

La TDW1 pepine tient sa (grande) pivot

Renfort de taille pour la TDW1 de Pepinster.

Comme les Panthers, les Pepines pourront compter sur une pivot de grande taille pour la prochaine saison. « Le RBC Pepinster East Belgium est heureux d’annoncer l’arrivée de Bineta N’Doye pour la saison prochaine. Cette joueuse intérieure de 27 ans et de 196 cm possède un profil que nous n’avons jamais eu dans nos rangs jusqu’à présent. D’origine sénégalaise et internationale dans son pays, elle est francophone et Belge par alliance. Bineta a effectué l’entièreté de sa carrière professionnelle en Espagne, majoritairement en seconde division. Sa venue a été validée par un essai réalisé en bords de Hoëgne il y a une dizaine de jours. Elle ne termine pas notre recrutement, puisque nous sommes toujours à la recherche d’un poste 3. Des contacts sont évidemment en cours à ce niveau. Nous lui souhaitons la bienvenue au sein de la famille pepine, une parfaite intégration dans le club et une pleine réussite sportive » annonce le club pepin sur les réseaux sociaux.

« Les joueurs ne bloquent pas au rebond. Il y a 25 ans, notre coach nous aurait sortis »

Combien de fois n’avez-vous pas vu un coach amateur hurler depuis son banc ou s’arracher les cheveux parce qu’après une bonne défense, ses joueurs avait tout simplement oublié de bloquer leur opposant direct au rebond, laissant ainsi l’équipe adverse récupérer aisément une nouvelle occasion de marquer ?

C’est sans doute l’un des gestes les plus simples du basket et l’un des concepts les plus aisés à assimiler: le « box out », soit le fait de bloquer son opposant direct après un tir pour sécuriser le rebond défensif. Un rebond défensif qui est capital pour assurer la victoire tant les deuxièmes chances laissées à l’adversaire se révèlent prépondérantes dans le résultat final.

Pourtant, à chaque match, dans toutes les divisions, des joueurs oublient d’appliquer cette consigne, poussant certains coachs à frôler la crise cardiaque. Une problématique qui se retrouve aussi en NBA où la tendance, selon Steve Kerr, va vers un oubli du « box out ». « Pour moi, c’est le signe d’une équipe moderne. C’est la NBA moderne : les joueurs ne bloquent pas au rebond. C’est comme ça. Tous les soirs, avec le League Pass, je vois la même chose. Les joueurs laissent des joueurs venir du côté faible et pensent qu’ils auront le rebond. C’est une maladie qui sévit dans la NBA. Le problème quand on est, comme nous, une équipe de petite taille, c’est que ça fait mal et davantage que chez d’autres équipes » explique le coach des Warriors à ESPN.

L’ancien shooteur des Bulls tente ensuite d’analyser l’évolution du jeu et les raisons de ces « oublis ». « La plupart des joueurs n’ont pas eu un coach au lycée ou à l’université pour leur crier dessus pendant huit ans. Le monde est différent aujourd’hui, les joueurs grandissent d’une autre manière. Le détail, c’est souvent l’élément qui manque. Bloquer au rebond dans cette ligue, ce n’est pas comme le faire au lycée ou à l’université. En NBA, il s’agit davantage de repousser un joueur avec son bras, sur la poitrine de l’adversaire, pour laisser un autre joueur prendre le rebond » propose Kerr. « Selon moi, les joueurs n’ont jamais eu autant de qualités qu’aujourd’hui. Je suis impressionné par le talent de ces joueurs. Mais chaque soir, je vois des équipes laisser des joueurs marquer un lay-up sur transition. Nous les premiers. Il y a 25 ans, dans ce cas-là, notre coach nous aurait sorti. Sauf que là, tout le monde le fait, donc l’entraîneur ne peut pas sortir tout le monde. Il y a des éléments qui ont changé, les joueurs ne sont plus aussi concentrés sur certaines choses. »

Vanwijn et Dijon terminent en force !

Nouvelle victoire pour un bon Hans Vanwijn et Dijon contre Le Portel, 73-57.

Avec 12 points et 5 rebonds, Hans Vanwijn fut à nouveau bon dans la victoire de Dijon contre Le Portel. Alors que les Dijonnais menaient de trois unités à la pause, ils allaient profiter de la reprise pour faire le break et s’imposer 73-57, conservant ainsi le leadership de la Jeep Elite au terme de la phase classique.

Euro 2019: le match complètement fou entre la France et les Belgian Cats

Revivez un match complètement fou.

Lors du quart de finale de l’Euro 2019, la France et la Belgique s’étaient livrée un duel homérique qui s’était terminé en prolongation par une victoire tricolore. Les Françaises avaient ainsi pris leur revanche sur des Cats héroïques. Nul doute que si les deux équipes venaient encore à se croiser lors de cet Euro 2021, le duel sera à nouveau passionnant.

« Je n’ai encore rien décidé »

Romain Machiroux ne portera plus les couleurs d’Ans et n’a toujours pas décidé quel nouveau défi relever.

L’association entre Ans et Romain Machiroux fut de courte durée, le Covid-19 étant passé par là. L’ancien scoreur de Huy quitte Ans mais reste déterminé à trouver un défi intéressant. « Je ne savais pas encore ce que je comptais faire l’année prochaine et Ans voulait se positionner rapidement pour la gestion du groupe » nous précisait en février Romain. « Je ne sais encore ni trop quand ni comment le basket reprendra la saison prochaine mais je suis motivé pour recommencer avec un nouveau projet. »

Les mois ont passé et cet excellent scoreur n’a toujours pas trouvé chaussure à son pied. « Je n’ai encore rien décidé quant à la prochaine saison » nous dit-il. Affaire à suivre…

« Nous perdons un facteur X »

Le forfait de Jana Raman pour l’Euro est une vraie tuile pour les Cats. Mais notre équipe nationale a suffisamment de ressources pour débuter en beauté leur Euro, ce jeudi à Strasbourg contre la Bosnie.

« Nous perdons un facteur X, mais cela ne doit pas nous détourner de nos objectifs, qui restent les mêmes: terminer premier du groupe, faire le top 6 et ensuite nous verrons. Cela devrait encourager les autres joueurs à assumer encore plus de responsabilités et d’autres à tenter leur chance » a ainsi résumé Philip Mestdagh à Basket 360. La compagne de Sam Van Rossom est remplacée par Beckie Massey tandis que les Belges débuteront leur Euro ce jeudi.

Boukichou et le BCM se rapprochent dangereusement de la zone rouge

En s’inclinant 80-100 contre Pau-Orthez, les Nordistes se rapprochent dangereusement de la zone rouge.

L’Elan Béarnais va mieux et l’a confirmé en s’imposant au Sportica, 80 à 100. Par contre, Boukichou (2 points) et les Nordistes se rapprochent dangereusement de la zone rouge et ne comptent qu’une victoire d’avance sur Châlon-sur-Saône, dernier descendant. Comme à leurs (mauvaises) habitudes, les locaux eurent dix minutes catastrophiques, cette fois à la reprise en encaissant un terrible 11-33.