« Nous sommes des passionnés avant tout »

Avec Thomas Goémé et Dorian Velden, Romain Bruls a lancé ITR, une plateforme permettant de mettre la main sur des sneakers aussi rares qu’appréciées. Coup d’éclairage sur un chouette projet de trois jeunes entrepreneurs liégeois.

Avec Thomas Goémé et Dorian Velden, Romain Bruls a lancé ITR. « Nous sommes des passionnés avant tout » nous confie le meneur de l’Etoile Jupille. « D’une pierre, deux coups nous avons mêlé cette passion pour la sneaker à notre ambition et notre volonté d’entreprendre. C’est de là qu’ITR est né. Dans un premier temps, nous achetions pour notre propre collection personnelle puis, au fur et à mesure, nous avons bien vite compris qu’acheter et revendre ce genre de paires limitées pouvait se transformer en vrai business. »

Un concept rare par chez nous mais terriblement répandu outre-Atlantique. « En effet, ce business et par conséquent la culture de la sneaker est déjà bien ancrée aux Etats-Unis » nous confirme Romain. « Mais désormais, même ici en Europe, les sneakers prennent une place considérable dans nos outfits. » Et pour aider les amateurs à dégotter la paire de leurs rêves, Romain et ses associés savent y faire. « Nous permettons à nos clients de se procurer les dernières sneakers sorties en édition limitée et cela en toute confiance. Si nous n’avons pas de stock le modèle souhaité, pas de souci ! Nous trouvons la paire, la recevons, l’authentifions et l’envoyons directement jusque chez le client. Plus besoin de passer un temps considérable à chercher la paire de ses rêves, notre plateforme 100% belge est là pour ça » nous explique l’ancien joueur d’Esneux.

Actifs sur Facebook et Instagram où @itrsneakerstore compte près de soixante-cinq mille followers, les trois comparses offrent une prestation qui mérite d’être davantage connue dans notre Principauté. « Nous nous démenons au quotidien pour proposer un service de qualité, surtout axé sur la confiance et la communication. Nous mettons un point d’honneur à fidéliser notre clientèle qui peut nous joindre facilement via les réseaux sociaux ou par mail à chaque instant » ajoute Romain. « Et nous aimerions nous faire davantage connaître dans notre belle région liégeoise afin de fidéliser au mieux notre clientèle car la majorité de nos ventes se font actuellement à l’étranger. »

Nul doute que l’avenir s’annonce radieux pour ces trois jeunes entrepreneurs pas manchots balle en main. Et pour découvrir les nombreuses paires que propose ITR, une seule adresse: https://itrsneakerstore.com

« Un grand « appétit » de travail »

Aujourd’hui, Liège & Basketball vous emmène à la découverte de Panos Rigas, le nouveau mentor de la P2 de Tilff. Entretien avec un passionné au parcours surprenant.

Panos, peux-tu nous retracer ton parcours basket ?

J’ai commencé en 1987 et jusqu’à l’année dernière, j’ai joué dans neuf équipes différentes au cours de ma carrière. J’ai remporté quatre championnats en tant que joueur et un en tant qu’entraineur. Je suis resté dans un club provincial pendant six saisons et, avant de quitter la Grèce, j’ai travaillé comme assistant en Division C où j’étais en charge des statistiques et du scouting. J’ai terminé l’école de la Fédération des Entraineurs Grecs en 2019 et je suis venu en Belgique avec ma famille. La première année que j’ai passée sur le territoire belge, j’étais assistant-coach de la P1 d’Andrimont et en charge des U12, la seconde saison j’étais coach principal de l’équipe première et des U14 et cette année, je coache la P2 Dames d’Henri-Chapelle.

Quelle est ta philosophie basket ?

Le jeu commence pour toutes les équipes par de la défense. J’aime le basket rapide, la bonne lecture des situations et profiter des « missmatchs ». Grâce à des amis Américains, j’aime la culture universitaire, le Collège Basketball et la March Madness. Pour réussir, il est indispensable d’avoir de l’honnêteté, des rôles clairs, de la confiance, un esprit d’équipe et un vestiaire solide.

Pourquoi avoir renoncé à coacher la P1 d’Andrimont ?

J’avais repris l’équipe pour les derniers matchs avant le premier arrêt à cause du virus. Cette année, malgré le jeune âge des joueurs, nous avons connu beaucoup de problèmes dans le fonctionnement et la bonne tenue des entrainements. Sept joueurs étaient déjà partis, des transferts furent effectués mais, à la dernière minute, nous avons perdu deux joueurs importants en raison d’obligations familiales et professionnelles. Ma décision fut prise en concertation avec le comité, avec maturité avec la famille Liégeois pour qui j’ai un grand respect, car le plan d’avenir semblait quelque peu incertain.

Qu’est-ce qui t’a convaincu de reprendre la P2 de Tilff pour la prochaine saison ?

J’entends généralement de bons échos sur le basket dans la région. Quentin Pincemail m’a convaincu, il est exceptionnel dans son domaine. Je me considère vraiment chanceux car je crois avoir trouvé un homme avec la même philosophie et le même « appétit » pour le travail. Quand nous nous sommes rencontrés, nous avons parlé pendant des heures et si ma famille n’était pas arrivée, nous en serions encore à discuter (rires) !

Quels seront vos objectifs ?

C’est une question à poser au Directeur Technique (rires) ! Sur le papier, nous possédons une bonne équipe mais il faudra le prouver sur le terrain. Le but est d’avoir un esprit d’équipe, de profiter des matchs et des entrainements et de s’améliorer tout en jouant un basket attractif.

Toi qui connais bien le basket grec, quelles similitudes et différences notes-tu entre celui-là et le basket belge et liégeois ?

Au niveau professionnel, le basket-ball grec est au-dessus en raison des succès et des accomplissements constants des clubs et de l’équipe nationale. Cela ne veut pas pour autant dire que le niveau est faible en Belgique. Les similitudes actuelles dans le basket moderne sont nombreuses en Europe. Je remarque que le basket féminin belge a une croissance et un succès énormes ces dernières années. Au niveau local, les similitudes existent auss entre les deux pays: des équipes renforcées par d’anciens professionnels ou d’excellents joueurs, des jeunes que j’admire sincèrement pour leurs compétences tactiques similaires. Ce que je ne vois pas, par contre, dans les ligues locales, ce sont la lecture des phases et des matchs manqués. Au niveau de la formation en Belgique, un bon travail est fourni en général même s’il y a encore beaucoup de place pour améliorer la production des joueurs, comme cela a fonctionné dans mon pays ces dernières années.


La mixologie, l’autre talent d’Olivier Troisfontaines

Si Olivier Troisfontaines est un l’un des meilleurs basketteurs belges en activité, il possède aussi d’autres talents dont celui de mixologue.

Après avoir remporté la Coupe de Belgique, son premier trophée chez les pros, Olivier Troisfontaines a imaginé un cocktail à base de miel et de jus de pommes pour son jeune coéquipier Keye van der Vuurst. Une vidéo sympathique du club ostendais à découvrir ici.

Crédit photo: BC Ostende

Pau Gasol contre le Bayern vendredi ?

La légende ibérique pourrait disputer son premier match avec Barcelone ce vendredi avant le « Classico » de dimanche contre le Real Madrid.

C’est ce qu’indique TV3. Pau Gasol pourrait disputer son premier match (depuis son retour de NBA) avec Barcelone ce vendredi contre le Bayern Munich afin de se dérouiller avant le choc de dimanche contre le Real Madrid.

« Cette équipe des Celtics est talentueuse mais n’a pas d’identité »

D-Wade a analysé les problèmes des Celtics.

Cette saison, Boston déçoit et doit lutter pour assurer sa qualification en Playoffs. Sur TNT, D-Wade a analysé la situation des Celtics. « Quelle est l’identité des Celtics ? Ce n’est pas la défense. Ils ne sont pas exceptionnels en transition. Ils ne le sont pas non plus sur attaque placée même s’ils ont un grand coach et des supers joueurs. Il faut une identité en temps qu’équipe. Un truc sur lequel se reposer quand il y a des blessés ou des absents, quand ça devient difficile. Cette équipe n’en a pas. Elle est talentueuse mais elle n’a pas d’identité » a déclaré la légende du Heat.

Triche aux Pays-Bas ?

A quelques semaines des débuts de la Beneleague, le basket hollandais est secoué par une affaire de matches truqués. Tony VdB avait senti le coup tordu. Quant à Mobley (ex-Spirou), d’aucuns le voient en Euroligue à la prochaine reprise. Reste le SLUC qui rêve à un retour en Jeep Elite. Ce sont les infos d’EMCE.

L’Aris (18/19) à l’accent « belge » soupçonné de matches truqués

L’affaire fait de plus en plus de bruit en Hollande : plusieurs joueurs de l’Aris Leeuwarden de la saison 18/19 sont soupçonnés d’avoir truqués une série de matches en faveur de parieurs coréens. A savoir, contre Zwolle, Rotterdam et Weert. Sont particulièrement visés quatre étrangers de l’équipe. Dont l’Américain, David Michaels, qui évoluait auparavant en Corée quand éclata déjà une importante affaire de… matches truqués. Faisait aussi partie du roster, Griffin Kinney (photo), passé par Willebroek, Ettelbrück puis Neufchâtel du temps de Daniel Goethals. Sans oublier qu’à l’époque, la phalange batave était drivée par un Tony Van den Bosch ne tardant pas à tirer les conclusions : « Après la rencontre contre Weert, j’ai démissionné car je n’avais plus aucune emprise sur le groupe et je me pose pas mal de questions. » On peut le comprendre.

L’ancien Carolo, Matt Mobley, cible de plusieurs clubs dont deux d’Euroligue

C’est durant l’exercice 2018-2019 que Matt Mobley (26 a, 1,93 m) défendit les intérêt du Spirou Charleroi. Cette saison, il effectuait une pige sans grand éclat à Pau avant de prendre la direction de Francfort (1. Bundesliga). Au pays de la saucisse, l’Etasunien y donne sa pleine mesure. Au point, selon plusieurs médias, de susciter l’intérêt de pas mal de clubs huppés. Parmi lesquels, on retrouverait trois équipes espagnoles du top ibérique et même deux sociétaires d’Euroligue : l’ASVEL et Kaunas. Jolie progression, s’il en est…

Nancy et ses « Belgicains » plus que jamais aux portes de la Jeep Elite

En Pro B, si les Sharks d’Antibes se débattent pour s’extirper de la zone rouge, le Sluc Nancy fait preuve d’une régularité exemplaire qui le propulse aux portes de la Jeep Elite. Ce qui ne serait d’ailleurs pas une première. Au sein de l’effectif lorrain, on recense deux éléments ayant foulé nos parquets. Parmi ceux-ci, le vétéran, Ronald Lewis (36 a, 1,93 m, ex-Louvain et Mons en 10/11). Le gaillard a aussi porté le maillot de l’Hapoel Holon et a été champion de D2 israélienne. Plus récemment, Andell Cumberbatch (27 a, 1,95 m) avait, quant à lui, fait valoir sa puissance athlétique au Brussels (19/20). A épingler encore que le directeur technique du cru n’est autre que Sylvain Lautié qui, en outre, coache le Basket Esch, en D1 luxembourgeoise.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : Aris Leeuwarden

Encore un triple-double pour Westbrook, les Celtics de justesse contre les Knicks

Russell Westbrook a réussi un nouveau gros triple-double dans la victoire des Wizards à Orlando, les Celtics se sont imposés à domicile contre les Knicks, les Rockets ont surpris les Mavs et les Wolves échouent de peu à Indiana.

Pas de victoire cette nuit pour Chris Finch. L’ancien coach de Bree et de Mons a pourtant bien failli créer la surprise, ses troupes ne s’inclinant que 141-137 dans l’Indiana. KAT (32 points, 12 rebonds et 6 passes) a de nouveau carburé au super.

Les Rockets ont eux réussi à surprendre les Mavs. Une victoire 102-93 conquise grâce à John Wall (31 points et 7 passes) et Wood (22 points et 10 rebonds) contre des Texans maladroits à l’image de Doncic (9 sur 26 aux tirs).

Les Knicks aussi furent maladroits au TD Garden et s’inclinent de justesse 101-99. RJ Barrett (29 points) a tout donné mais Tatum (25 points et 10 rebonds), Brown (32 points et 10 rebonds) et un Smart décisif – 14 points dans le money time – ont sur faire la différence pour les locaux.

Russell Westbrook a, à nouveau, signé un gros triple-double: 23 points, 15 passes et 14 rebonds. Comme Bradley Beal (26 points) était de retour, Washington l’a emporté 116-131 à Orlando.

Les Suns terrassent le Jazz au bout du suspens, Mitchell et Booker flambent

Superbe duel entre deux formations qui épatent cette année et magnifique mano-a-mano entre Devin Booker et Donovan Mitchell. Sixième victoire consécutive pour Denver et « four in a row » pour les Grizzlies.

Les Suns se sont imposés en prolongation – décroché par le Jazz sur un tir de Mitchell – contre Utah, 117-113. Devin Booker (35 points) et Donovan Mitchell (41 points) se sont tirés la bourre mais les locaux pouvaient eux compter sur Chris Paul (29 points et le panier de la victoire).

Contre San Antonio, Denver a décroché sa sixième victoire consécutive grâce à un super Jokic (25 points, 10 passes et 9 rebonds) et à l’apport de Michael Porter Jr (18 points et 10 rebonds). Score final: 106-96

Pour Memphis, c’est une quatrième victoire de rang, 113-131 à Atlanta. Les Grizzlies ont pu compter sur un Grayson Allen (30 points) en feu avec 17 pions dans le troisième quart-temps, là où sa team a fait le break.

Bien que déforcés, les Hornets se sont imposés 102-113 chez un Thunder qui tire la langue.

« Waouh, ça marque vraiment de partout »

Après avoir fait connaissance avec son nouveau coach et ses nouveaux coéquipiers, Francis Torreborre s’apprête à disputer son premier match en D1 tchèque. Interview.

Francis, tu t’apprêtes à disputer ton premier match avec ta nouvelle équipe.

Exact, mon premier match aura lieu ce jeudi en déplacement à BK JIP Pardubice.

Comment s’est déroulé ton premier entrainement avec ton nouveau club ?

Mon premier entrainement avec l’équipe s’est super bien passé. J’ai été très bien accueilli par mes nouveaux coéquipiers et aussi par mon coach. C’est vraiment une bonne personne, avec un grand cœur. Il est très sérieux dans le travail mais arbore tout le temps un grand sourire et est très positif.

Qu’est-ce qui t’a le plus impressionné dans cette équipe depuis ta récente arrivée ?

Le taux de réussite au niveaux des tirs extérieurs m’a impressionné. Tout le monde sait shooter dans cette équipe, c’est exagéré. Nous sommes une des meilleures équipes de la ligue au niveau de l’adresse extérieure et cela se voit à l’entrainement. Waouh, ça marque vraiment de partout, c’est très impressionnant.