Gros double-double d’Hazard mais le Brussels craque dans le money time

Au Spirou, Louis Hazard a signé une nouvelle performance de choix mais le Brussels a craqué dans la dernière ligne droite et s’incline 92-86.

Ce lundi au Dôme, Louis Hazard (15 points, 11 rebonds et 5 passes) s’est à nouveau distingué en réalisant un double-double du plus bel effet. Dans le sillage de leur ailier, les Bruxellois sont passés tout près de l’emporter face à des Carolos dominés au rebond (29 à 39). La première période était âprement disputée. Llorente (23 points) et les locaux faisaient 26-25 après dix minutes mais Raymond (23 points) et Washington (17 points, 4 rebonds, 3 passes et autant de steals) permettaient aux Bruxellois de rentrer aux vestiaires avec une petite avance, 43-45.

La seconde période redémarrait sur les mêmes bases et les troupes de Ian Hanavan en profitaient pour augmenter très légèrement leur viatique. C’était 63-67 à la demi-heure. Libert (14 points, 6 rebonds et 5 passes) sonnait alors la charge et le Spirou faisait rapidement 72-69. Le momentum avait changé de camps et même si les visiteurs ne baissaient pas les bras, ils devaient s’avouer vaincus face à Botuli (12 points et 2 interceptions) et aux Carolos. Score final: 92-86.

Le Spirou continue sa série victorieuse et s’érige comme le candidat tout désigné pour la cinquième place derrière les grosses cylindrées que sont Ostende, Mons, Anvers et Alost. Le Brussels, par contre, malgré une nette amélioration depuis deux matchs, poursuit sa série noire. Ce mardi, Mons et Alost croiseront le fer tandis que Limburg recevra Ostende.

Crédit photo: avec l’aimable autorisation de Cédric Warlop dont le travail vaut assurément le coup d’œil ! Voir ici.

Lara Gaspar s’illustre pour son dernier match en TDW1

La Bobeline de Courtrai a signé une belle prestation pour son dernier match en TDW1. A noter que les Playoffs débuteront finalement dès ce jeudi avec une première rencontre entre les Panthers et Braine.

Malheureusement, la victoire ne fut pas au rendez-vous pour la Spadois et Courtrai, battues 82-74 à Malines. Mais Lara a tout de même compilé 13 points, 7 rebonds et 4 passes lors de cette dernière rencontre. Ce sera désormais les couleurs de Ganshoren que défendra la Bobeline. « Ma première envie, c’est de pouvoir m’amuser et profiter de mon sport sans devoir faire une heure ou une heure et demie de route. Le club a vraiment l’ambition d’être compétitif dans le championnat et ce serait mentir de dire que ce n’est pas cela qui m’a le plus attirée » nous confiait-elle voici quelques jours au cours d’un long entretien.

A noter que, petite surprise, les Playoffs débuteront ce jeudi. Ce seront les Panthers qui auront l’honneur d’ouvrir le bal en recevant les Brainoises, multiples championnes en titre. Toutes les rencontres de Playoffs de TDW1 seront diffusés gratuitement (lien ici).

Crédit photo: Kortrijk Spurs / Philippe Dekoker

Hapoël Holon plus fort qu’Hapoël Eliat

Sans Max de Zeeuw, Holon a dominé Eliat 80-73.

Sans Max De Zeeux, les locaux s’en sont remis Tyrus McGee (24 points, 4 rebonds et autant de passes) pour faire basculer la rencontre dans le dernier quart et s’imposer 80-73.

Crédit photo: Hapoël Holon

« L’aventure en deuxième division demeure un formidable souvenir »

C’est aujourd’hui l’anniversaire de l’un des meilleurs coachs de la Province de Liège et d’un vrai clubman: Pascal Horrion.

C’est aujourd’hui l’anniversaire de Pascal Horrion, coach emblématique des Carriers qu’il a menés jusqu’au top de la TDM1 et qui est désormais en charge de la TDM2 de Pepinster. Lorsque Pascal avait pris la décision de raccrocher à Sprimont, il avait rembobiné quelques minutes la cassette des exploits sprimontois et nous avait livré ses meilleurs souvenirs. « Ils sont, bien évidemment, nombreux et multiples. La montée de R1 en D3 pour ma première année de coaching reste un grand moment. Nous avions battu un super Avenir Jupille qui comptait des joueurs comme Jacques Stas dans ses rangs alors même que mon meneur n’était pas là. Et l’aventure en deuxième division, avec en point d’orgue la dernière saison où nous finissons cinquièmes, demeure un formidable souvenir » nous avait-il confié alors.

Désormais à la tête de Pepinster, Pascal Horrion fait l’unanimité. « On trouve difficilement mieux que Pascal Horrion à ce niveau-là » nous assurait ainsi Antoine Massart, assistant de celui qui a toujours un pied à Sprimont. « La possibilité de revenir en TDM2 avec plusieurs bons potes et l’opportunité de rejouer pour Pascal sont les principales raisons de mon choix » nous expliquait Fred Delsaute au moment de motiver sa décision de rejoindre Pepinster. « C’est un coach qui nous convient parfaitement » enchainait Romain Pirson.

Nul doute que la prochaine saison, Pepinster – où tout le monde a prolongé – créera quelques beaux exploits sous la férule de son nouvel entraineur.

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« Pour une première expérience, c’était vraiment top »

Après avoir observé ses coéquipiers s’incliner de justesse contre Pardubice, Francis Torreborre a largement contribué a aider Kolin a vaincre Prague. Interview de l’explosif Liégeois qui sera à nouveau à pied d’œuvre ce mercredi contre BRNO.

Francis, pour le premier match depuis que tu es arrivé en République Tchèque, ton équipe s’est inclinée Pardubice, 70-66.

Oui, c’est exact mais pour ce premier match, je n’ai pas joué. Le coach me l’avait expliqué avant la rencontre. Il voulait que j’observe comment cela jouait en République Tchèque. Une position que je comprenais et que j’ai respectée. Malheureusement, nous avons perdu ce match, une rencontre très physique. Toutefois, même menée de quatorze unités, l’équipe a su revenir au score mais a échoué de peu. Comme souvent, cela s’est joué sur quelques détails à la fin.

A contrario, dimanche, vous vous êtes imposés à Prague et tu as largement contribué à ce succès !

Oui, dimanche, par contre, j’ai été aligné contre Prague. Ce fut une partie très serrée et j’ai pu disputer mes premières minutes. J’ai totalisé sept points, un rebond, quatre passes décisives et quatre interceptions en treize minutes. Cela m’a fait beaucoup de bien d’être sur le terrain et d’aider l’équipe à gagner ce match. Je suis entré au jeu car le premier meneur avait des fautes et j’ai été directement agressif, d’abord en défense et puis en attaque, et nous avons su creuser un petit écart.

De quoi être satisfait avant d’affronter Brno mercredi ?

Oui, pour une première expérience, c’était vraiment top. Cela m’a fait du bien de jouer et d’aider l’équipe à gagner. J’ai déjà hâte de disputer le prochain match mercredi contre Brno.

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« Le basket m’a ouvert énormément de portes, je veux encore en ouvrir plein »

Après quatre années passées au CFWB, Bethy Mununga a décidé de poursuivre son cursus basket et académique aux States. Entretien en pleine « March Madness » avec une joueuse talentueuse qui a la tête sur les épaules.

Bethy, combien de temps as-tu passé au CFWB ?

J’ai complété mes quatre années au CFWB, de l’année 2012 à l’année 2016.

Comment s’articulait ton quotidien à l’époque ?

Il était très répétitif mais cela dépendait de mon horaire académique et puis de mon horaire basketball.

Peux-tu nous raconter une journée type ?

Le matin, chacun gère son alarme pour se réveiller puis a lieu le petit-dej’ avant huit heures, heure à laquelle nous partions en cours. Nous restions à l’école jusque seize heures trente max mais quand j’avais des heures de fourche durant la journée, j’avais des entrainements individuels avec des coachs au Centre. Sinon, lorsque ma journée scolaire était finie, j’avais un goûter avec les autres à la cafétaria puis entrainement à dix-sept heures. Après l’entrainement, nous allions souper puis faire nos devoirs, soit dans nos chambres, soit dans la salle d’étude. Quand j’avais parfois entrainement plus tard, vers dix-neuf heures, je faisais d’abord mes devoirs en attendant le souper.

Que t’a apporté cette période au CFWB ?

Le CFWB m’a permis de développer énormément de « skills » qui m’aident et que je continue encore à développer aujourd’hui. Mais ce n’est pas tout. La première valeur que j’ai dû acquérir à Jambes, c’était d’être capable de vivre en groupe. A l’époque, j’étais une personne très réservée, renfermée sur moi-même et je n’aimais pas trop tout ce qui était ambiance, grand groupe, etc. Arrivée au Centre, je n’avais pas d’autre choix que d’être « confortable » avec les gens qui m’entouraient. J’ai appris à m’ouvrir et à créer des liens avec des inconnus qui sont devenus des amis. Et j’en considère même certains comme des membres de ma famille. Une autre qualité que j’ai vraiment développée là-bas, c’est la capacité à suivre un horaire bien précis. Avoir un programme fixe pour une semaine m’a obligée à être organisée et à planifier mes temps de repos, mes heures d’étude, les moments où je pouvais profiter avec mes amis… J’ai dû me responsabiliser pour éviter de ressentir les conséquences inéluctables si je me laissais déborder.

Quelles sont les forces du CFWB ?

Il y en a beaucoup, notamment la responsabilisation en devant assumer les conséquences de nos actes, l’organisation, l’indépendance que cela procure car nous n’y avions pas papa et maman à nos côtés pour nous aider et la collaboration et la communication avec l’école, les éducateurs et les autres pensionnaires.

Si tu devais résumer tes quatre années au CFWB en trois mots, lesquels choisirais-tu ?

Apprentissage, découverte et relations. Tout d’abord apprentissage car nous y apprenions tous les jours, que cela soit à l’école ou au niveau basket. Ensuite découverte car nous nous y découvrions nous-mêmes avant tout. Nous découvrions notre vraie personnalité, un nouvel environnement – en apprenant ensuite à s’y adapter – mais aussi de nouvelles personnes, de nouvelles cultures, un autre mode de vie et j’en passe. Enfin, relations car nous nous en sommes créées beaucoup, aussi bien avec les membres du staff et les autres pensionnaires qu’avec des gens à l’extérieur à l’école, sur la route ou pendant les matchs.

Quels sont tes meilleurs souvenirs de ta période au CFWB ?

Des souvenirs, j’en ai beaucoup, des bons comme des mauvais d’ailleurs. Ce que je retiens avant tout, ce sont les amis que je me suis fait là-bas. Ce sont des personnes que je peux appeler frères et sœurs aujourd’hui et avec qui je reste en contact. Nous nous appelons parfois ou nous parlons sur les réseaux sociaux. Et quand je rentre à Bruxelles, j’en croise certains par chance. J’ai vraiment gardé de très bon contacts avec beaucoup d’entre eux et même si nous ne nous parlons pas tous les jours, nous nous sentons très nostalgiques quand nous nous revoyons.

« Je vis comme une princesse à l’université »

Tu es aux Etats-Unis depuis maintenant plusieurs années. Tu as d’abord fréquenté un « JuCo » avant de rejoindre South Florida University.

L’expérience que j’ai eue de mes deux années en Junior Collège, à Northeastern Oklahoma A&M, est complètement différente de celle que je suis en train de vivre actuellement à l’université de Floride du Sud. En Juco, je vivais dans les dortoirs situés sur le campus même. Vivant dans les dortoirs, les contacts entre les sportifs et les étudiants réguliers étaient très étroits. La distance du dortoir jusqu’à la salle, la cafétaria, les classes, était très courte. Désormais, à l’université, j’habite dans un appartement en dehors du campus – j’habite juste en face de l’école, je traverse la rue et j’y suis (rires). Par contre, ici tout est très grand et très dispersé. Je me rappelle d’un semestre où j’avais cours à l’opposé de là où j’habite. Cela m’a pris une heure pour y arriver. J’ai même dû utiliser mon GPS (rires). J’en rigole aujourd’hui mais, à l’époque, je voulais pleurer.

Quelles sont les autres grandes différences entre ces deux systèmes ?

En JuCo, je devais me gérer moi-même. Si j’avais un problème, je devais trouver moi-même une solution. Le coach pouvait m’orienter mais c’est moi qui devais faire les démarches nécessaires. Je me devais d’être autonome et responsable. Mon papa m’envoyait de l’argent de poche que je devais utiliser à bon escient. Les horaires variaient beaucoup, je devais être prête à n’importe quel imprévu et demeurer très flexible.

C’est l’inverse à l’université ?

A l’université, je vis comme une princesse. Tout est pris en charge par la fac et je ne me soucie de rien. Si je ne me sens pas bien et que j’ai besoin de voir un docteur, par exemple, il viendra à moi ou on m’obtiendra un rendez-vous dans les jours qui suivent. Si j’ai des soucis scolaires, j’ai un « academic advisor » que je peux contacter à n’importe quel moment. Si j’ai besoin d’un tuteur, je passe un appel et c’est réglé. J’ai un horaire programmé pour le mois, je peux donc planifier ce que je souhaite faire pendant mes jours de congé, par exemple. Par contre, vivant en appartement, je dois payer mon loyer et être responsable de mes consommations. Je fais très attention à mon alimentation, donc je me prépare moi-même à manger.

Ton aventure outre-Atlantique te rappelle-t-elle tes années au CFWB ?

Mes expériences ici ressemblent en effet un peu à celles du CFWB mais sous une autre forme et un autre aspect. Les valeurs acquises au Centre m’aident beaucoup à vivre ici et certaines – organisation, respect des horaires, autonomie, indépendance – se renforcent encore davantage.

Quelles sont tes aspirations pour la suite ?

Elles sont nombreuses. Je suis sur le point d’obtenir mon diplôme en Sciences de la Santé Générale avec une spécialisation en infirmerie. Je compte poursuivre mes études car c’est la seule chose qui puisse me donner une certaine « sécurité » pour le futur. Cependant, je ne compte pas abandonner le basket maintenant. J’ai fait tellement de sacrifices que ce serait du gâchis pour moi de tout arrêter. Le basket m’a fait vivre énormément de choses et m’a ouvert énormément de portes. Je veux encore en ouvrir plein d’autres.

N.B. : cet entretien fait partie d’une série d’articles en partenariat avec l’AWBB dont les précédents peuvent être lus ici, ici, ici ou encore ici.

Panthers vs Castors !

Illustration de la belle santé du basket féminin wallon, trois formations du sud du pays (sur quatre) prendront part aux playoffs. Dont Liège. Quant à la future distribution pepine, elle sera assurée par une Bulgare. Premier trophée pour Gillet dans une semaine menant à son 30e anniversaire. Ce sont les infos d’EMCE.

D1 dames : une Bulgare à Pepinster, Braine à Liège Panthers

Les verdicts du dernier week-end en date déterminaient l’agencement des playoffs débutant dès la fin de semaine. Le match-couperet opposait Namur (Kunaiyi 29 p, 25 r) aux Angleuroises (Henket 19 p, 10 r) pour une victoire (75-57) des St-Servaitoises (résumé complet ici). Pendant ce temps, le SKW l’emportait (51-88) à Waregem. Voici, en principe, le calendrier des demi-finales : Liège – Braine (jeudi 15, seconde manche et belle à Braine les 17 et 19) ; Namur – SKW (vendredi 16, seconde manche et belle à Wavre Ste-Catherine les 18 et 20). On y reviendra bien évidemment… Quant à la Bulgare, Maria-Magdalena Kolyandrova (23 a, 1,65 m, photo), elle s’apprête à découvrir les bords de Hoëgne et la « salle du bas ». Elle a déjà évolué au Danemark (Lemvig Basket, D1) et en Espagne (Ourense, D3) où elle jouait avec sa… sœur.

Les Principautaires hors frontières font l’affaire

Belle entrée en matière pour Torreborre (7 p, 14’) avec Kolin, vainqueur (63-76) à l’USK Prague (résumé complet ici). En revanche, Kohadja (1 p) et Valladolid ont mordu la poussière (98-81) à Palma (résumé ici) tandis que Bordeaux (sans Van Ounsem) prenait l’eau (73-66) à Angers. Reste De Zeeuw qui se frottera, en soirée (18 h), à l’Hapoel Eilat. En dames, Keltern (Mayombo 9 p) a un pied et trois orteils en finale des playoffs allemands après son succès (82-65) sur Marbourg. C’est loin d’être le cas pour Herne surpris (59-60) par Osnabrück. Et ce, malgré une Bully au four (8 p) et au moulin (39’) qui amenait encore 48-44. Seconde manche vendredi soir. Chômage technique pour le duo Allemand- Petit car la municipalité de Lattes fermait, samedi matin, la salle à quelques heures de la venue de Landerneau. 51-77, tel est le score qui sanctionnait l’explication entre Contern (Fuger) et les championnes luxembourgeoises en titre.

Valence (avec Trahan-Davis) s’approprie l’EuroCup face à Venise

Mission accomplie pour Trahan-Davis sur la scène continentale. Avec Valence, l’ancienne Brainoise sortait d’abord Carolo Basket (80-68) au terme d’un affrontement très musclé. Au point de créer la polémique dans les rangs français. Les Espagnoles partaient favorites en finale contre Venise. Les Italiennes ne l’entendaient cependant pas de cette manière (41-46, repos) et les Ibériques (Trahan-Davis 15 p, 6 r) devaient mettre la gomme pour arriver in extremis à leurs fins européennes à 82-81.

Dernières nouvelles côtières : Gillet « MVP », Wooten sera-t-il le bon ?

Est-ce l’épilogue de la « Saga Welsh » ? Flash-back : le géant US devait précipitamment regagner ses pénates pour se faire opérer. Arrivait alors le versatile Jon Teske qui ne s’éternisait pas sur notre littoral. Pour le remplacer, on avait droit à Kaleb Wesson qui débarquait blessé (genou) et ne prenait même pas part à un seul entraînement. Cette fois, place à Kenny Wooten (22 a, 2,03 m) ayant flirté avec la NBA (Knicks, Rockets) pour aboutir en G-League. Gageons que le troisième sera le bon. Quant à Pierre-Antoine Gillet, il a été élu « MVP » du mois de mars par les supporters du cru. Comme un premier cadeau en vue de son 30e anniversaire qu’il fêtera vendredi.

La télé crève l’écran

A la place de la traditionnelle « Tribune », vous pourrez suivre de près le derby francophone mettant aux prises Charleroi et le Brussels sur VOOsport World 4. Prise d’antenne à 20 h 15.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : RBC Pepinster

Revers pour Kohajda et Valladolid aux Baléares

La rencontre dominicale du valeureux pivot liégeois s’est soldée par une défaite, 98-81 à Palma.

« Cela va se jouer au caractère, surtout, et au collectif » prévenait Justin Kohajda avant de prendre la direction des Baléares dimanche. Malheureusement, le pivot liégeois et ses partenaires ne parvinrent pas à accrocher l’équipe locale et s’inclinèrent 98-81. « Cela va finir par payer » nous disait aussi le valeureux intérieur. Il serait temps pour Valladolid de passe à la caisse sous peine de voir les Playoffs s’éloigner.

Crédit photo: Ana Puente

Débuts canons pour Torreborre dans la ville des mille tours et mille clochers

Dans la splendide ville Tchèque de Prague, Francis Torreborre a fait parler la poudre pour décrocher sa première victoire sur le territoire slave.

Prague est sans nul doute l’une des plus jolies villes d’Europe de l’Est, là où la modernité épouse parfaitement une histoire riche et foisonnante. Francis Torreborre est, lui, sans doute l’un de nos plus explosifs représentants à l’étranger. Après avoir observé ses nouveaux coéquipiers s’incliner en milieu de semaine à Pardubice 70-66, le Liégeois faisait ses grands débuts dimanche lors du déplacement de Kolin à Prague.

Comme inspiré par la beauté bohème de « ville aux mille tours et mille clochers », Francis avait sorti son meilleur basket. En seulement treize minutes, l’ancien d’Alleur a inscrit sept points, délivré quatre passes décisives et volé quatre ballons. La montée au jeu de Torreborre coïncida d’ailleurs avec la bonne séquence durant laquelle Kolin creusa l’écart pour s’imposer 63-76.

Dès mercredi, Francis et ses coéquipiers affronteront Brno, un club historique de République Tchèque.

N.B.: Retrouvez demain sur www.liege-and-basketball.be l’interview de Francis Torreborre.

Crédit photo: DR