Et une victoire qui fait du bien pour Dallas contre les Wolves.
Un succès liés aux performances de quatre joueurs: Porzingis (27 points et 13 rebonds), Richardson (18 points, 5 rebonds et 8 passes), Doncic (26 points, 8 rebonds et 5 assists) et Hardaway (24 points). Score final: 127-122.
Il a fallu un Lebron James en triple-double pour que les Lakers parviennent à mater le Thunder en prolongation.
Le noyau du Thunder n’est pas le plus talentueux mais les Kids de l’Oklahoma jouent crânement leurs chances à chaque rencontre. Face aux champions en titre, SGA (29 points, 7 rebonds et 10 passes) ne tremblait pas sur la ligne de réparation pour arracher la prolongation. Dans celle-ci, LeBron (28 points, 14 rebonds et 12 passes) et ses acolytes assuraient tranquillement leur victoire, 119-112.
Jokic a assuré contre les Bucks mais ceux-ci n’ont pas réellement été inquiétés par les Nuggets.
Nikola Jokic continue d’enchainer les grosses performances. Cette nuit, le « Joker » a compilé 35 points, 12 rebonds et 6 passes mais a trouvé du répondant chez Giannis (30 points et 9 rebonds) et Middleton (29 points, 8 rebonds et 10 passes) et les Bucks se sont imposés 112-125 sans jamais avoir réellement douté.
La défense du BCM a pris l’eau dans la ville de Jeanne d’Arc. D’entrée de jeu, Boukichou (8 points et 4 rebonds) et les Nordistes explosaient pour se retrouver menés 31-16 après dix minutes. La suite, moins dramatique, ressemblait toutefois à un long chemin de croix pour Gravelines qui, dans son malheur, a eu de la chance avec le nouveau revers de Pau.
Profitant de son retour dans son pays natal pour ce deuxième confinement, Mirza Skrelja joue désormais pour le club de sa ville d’origine, le KB Istogu.Et le pivot des Carriers est déjà très performant, réalisant une véritable moisson de rebonds.
En novembre dernier, Mirza Skrelja, nous avait parlé de ce deuxième confinement. « Je l’ai un peu anticipé. je suis parti dans mon pays d’origine: le Kosovo. De cette façon, je peux me concentrer sur mes études et le sport. J’y suis toujours actuellement et ne compte pas revenir avant que la situation ne s’apaise en Belgique »nous avait-il expliqué.
Revenu en Belgique pour passer ses examens avec en poche la proposition d’Istog, le pivot de Sprimont a décidé de repartir pour le Kosovo et s’est engagé avec le club local qui milite en deuxième division. « C’est officiel, Mirza Skrelja rejoint KB Istog »annoncait mi-janvier le club sur sa page facebook et qui souligne que l’intérieur des Carriers devrait être d’une grande aide pour aider le club à atteindre son objectif d’intégrer la Super Ligue. « Je me suis vite intégré au club étant donné que je suis originaire de cette ville et que je connaissais déjà certains joueurs ainsi que le coach. L’ambiance est top et nous nous entendons tous bien » sourit Mirza, dont l’interview complète sera à découvrir sur notre média ce jeudi.
Le 03 février, Istogu s’est incliné d’un rien, 64-69, contre KB RC Cola Drita. Dans cette rencontre, Mirza s’est sacrément mis en évidence (meilleure évaluation de son équipe) en compilant 7 points, 19 (!) rebonds et 3 passes décisives !
Le géant à la mentalité exemplaire sera quoi qu’il arrive fidèle au poste pour les Carriers la saison prochaine. « Tout le monde reste (ndlr: hormis Steve Lenglois pour raisons professionnelles et une incertitude concernant Charles Perrier, en attente d’une décision pour un Erasmus) et nous enregistrons l’arrivée de Romain Fassotte » nous précisait Jérôme Jacquemin dimanche.
De quoi ravir l’ancien pivot de Liège que le Covid-19 a empêché de profiter de son nouveau défi à Sprimont et dont les coéquipiers lui manquent. « J’ai eu la chance d’arriver dans un nouveau club. Pour moi qui n’ai connu que Liège, c’était une première. Sprimont m’a bien accueilli et je ne regrette pas mon choix, je m’y suis directement intégré. Le comité est super et nous avons eu l’occasion de faire connaissance grâce, notamment, à quelques activités inoubliables »nous avait-il confié en novembre dernier. « Grâce à cette expérience, qui est un vrai « plus », je serai prêt à donner mon maximum pour les Carriers la saison prochaine » conclut Mirza qui a, en outre, réussi sa session d’examens (Commerce extérieur) de janvier .
Pour Liège & Basketball, Arthur Stassen se confie sur ce deuxième confinement, ses « one on one » contre Suzy Tremblez, sa décision de retourner à La Villersoise et les défis qui l’attendent ainsi que sur son passage à Comblain. Interview.
Arthur, pourquoi avoir décidé de retourner à La Villersoise ?
Tout simplement car j’ai l’opportunité de retrouver un groupe que je connais bien et d’évoluer à un bon niveau. De plus, je vais retrouver un cadre, m’entrainer plus d’une fois par semaine, continuer ma formation et pouvoir progresser.
Quels seront vos objectifs en R2 avec votre jeune équipe ?
Je sais que nous allons « avoir dur ». Certains nous voient déjà rejoindre la P1 mais avant que cela n’arrive, il y aura vingt-cinq ou trente matchs qui nous attendront, vingt-cinq ou trente batailles. Nous allons devoir batailler mais c’est aussi pour cela que ce challenge me plaît.
Quelles sont tes envies pour ce nouveau défi ?
Je vais devoir changer mon comportement car je suis super mauvais perdant et j’ai toujours évolué dans des équipes habituées à gagner. J’ai clairement envie de prouver que j’ai le niveau pour jouer en régionale et aller chercher un maximum de victoires avec un groupe de guerriers qui seront prêts à se battre, même quand nous serons à moins vingt au score.
Quels souvenirs garderas-tu de ton retour à Comblain ?
De bons souvenirs même si je demeure déçu de mon passage à Comblain. Mais je regarde désormais vers l’avenir et le défi qui attend mes coéquipiers et moi-même.
Comment vis-tu ce second confinement et l’arrêt forcé du basket ?
Grâce à Suzy Tremblez, la soeur de ma copine, je le vis très bien. Elle joue en D1 avec les Panthers. Du coup, je reste intéressé par le basket car je la regarde à la TV et puis je débriefe avec elle dès qu’elle rentre. Je la conduis aussi à l’entrainement et je suis de près ses séances. Et de temps en temps, je vais taper la balle avec elle sur un terrain ou dans son jardin même si, ave ses quatre entrainements par semaine, elle ne fait que gagner (rires).
A domicile, Liège n’a guère fait illusion face à d’excellents Robeyns et Moris. Le Brussels a d’emblée pris les commandes d’une partie dont le suspens s’était vite envolé.
Difficile de s’enthousiasmer pour une rencontre dans laquelle, très vite, les locaux furent dans les cordes et où le suspens fut aussi absent que les chances de victoire des Principautaires.
« Je suis très content de notre nouveau pivot. Il est très athlétique, il gêne beaucoup en défense il prend des rebonds, ce qui est très important car cela nous manquait. Nous avons fait un scrimmage contre Charleroi et nous avons pu voir qu’il est important en dessous. J’espère que ce sera la même chose contre Liège, mais, en fait, j’en suis sûr »nous confiait William Robeyns avant de prendre la direction de la Cité Ardente. Comme un symbole, c’était justement Angelo Chol (15 points à 7 sur 8 aux tirs, 5 rebonds et 2 assists) qui ouvrait la marque pour le Brussels après une tentative infructueuse de Louis Hazard (7 points et 5 rebonds). Les visiteurs allaient prendre les commandes de la partie dès la première minute pour ne plus les lâcher.
Bien limités offensivement, les Liégeois parvenaient à passer de 8-19 à 12-19 via Lhoest (4 points, 4 rebonds, 3 passes et 3 steals) et Lemaire (4 points, 5 rebonds, 4 assists et 2 interceptions), sur un dunk. Dans le second quart, William Robeyns éclaboussait le Country Hall de son talent (12 points et 2 passes) alors que les locaux peinaient des deux côtés du terrain. Il fallait attendre la quatorzième minute, sur un dunk de Gorgemans (9 points et 3 rebonds), pour que Liège marque mais le suspens s’était déjà envolé, 14-31. A la fin de la première période, les Bruxellois étaient largement devant, 25-46, avec une défense bien plus performante qu’à l’accoutumée.
Au retour des vestiaires, grâce à Iarochevitch (18 points et 7 rebonds) – incontestablement le plus régulier des Liégeois depuis le début de saison – et Bojovic (11 unités), les pensionnaires du Country Hall – terriblement dominé au rebond sur l’ensemble du match: 27 à 46 ! – faisait jeu égal avec Moris (11 points, 6 rebonds et 3 assists en sortie de banc) et ses partenaires. En l’absence de réel enjeu – le spectre de la descente n’existant pas en EuroMillions Basketball League – et de public, cette seconde période, qui permettait à Ian Hanavan – très largement – et à Lionel Bosco – de façon moins franche – d’ouvrir leur banc, ne revêtait plus qu’un intérêt très relatif, même si Romain Bruwier (5 points) signait une bonne rentrée. Le Brussels s’imposait dans les grandes largeurs, 68-93, empochant ainsi son deuxième succès de la saison pour se replacer dans la course aux Playoffs. Pour Liège, c’est une nouvelle désillusion après le non-match contre Limburg et le double duel contre Leuven – qui affiche le même triste bilan que Liège avec six revers en autant de rencontres mais aura à cœur de se reprendre après son élimination en Coupe – vendredi et dimanche prochains sera sans doute capital pour déterminer la suite de la saison.
Ce lundi, Liège reçoit le Brussels. Un preque derby entre les deux pires défense du championnat où la victoire se jouera paradoxalement… en défense.
« Nous devrons être concentrés tout le match et tout donner en défense. Ce sont là les clés pour gagner contre le Brussels. Si nous jouons bien en défense, l’attaque suivra » assure Kevin Stilmant qui sait que l’attaque du Brussels se révèle bien souvent performante, à l’inverse de la défense du club de la capitale, bon dernier du championnat dans ce secteur.
« Pour tous les matchs, la clé c’est la défense mais sans doute encore davantage ce lundi. Si on veut aller gagner ce match, il va falloir être durs en défense et mettre de l’intensité afin de surpasser Liège qui est une très bonne équipe »affirme William Robeyns, ciblant également le job défensif nécessaire à fournir pour repartir de la Cité Ardente avec les trois points.
Cette rencontre sera aussi l’occasion de voir Louis Hazard, William Robeyns, Stéphane Moris et Amaury Gorgemans face à leur ancien club.
Joachim Thiry est Buffalo ! Le meneur qui évoluait encore en TDM2 ces dernières saisons rejoint le P3 de Grâce-Hollogne pour gonfler le contingent des anciens de l’Athénée Jupille.
Le premier février, Joachim Thiry nous informait de sa décision de quitter la TDM2 de Comblain. « J’ai des projets qui vont nécessiter du temps et de l’énergie et je ne me sens pas à 100%. Je préférais être honnête avec le club et mes coéquipiers pour ne pas les freiner dans leurs ambitions »nous expliquait le meneur comblinois qui envisageait de poursuivre à un niveau inférieur. « Avec moins de temps à consacrer au basket, j’ai besoin de moins de pression et de moins d’obligations. »
L’explosif meneur a trouvé chaussure à son pied et décidé de s’engager avec la P3 de Grâce-Hollogne. « Joachim Thiry est Buffalo » nous confirme Julien Wéry, déjà assuré ou presque de recevoir l’officieux trophée de General Manager de l’année ! En effet, en signant Benoit Blanchy et Laurent Bollaers (voir interview ici) en provenance d’Hannut (P1), Jérôme Sauveur de la P2 de LAAJ tout en convainquant Johan Riga de rechausser ses sneakers (voir ici l’article publié dimanche sur le sujet) , le jeune club liégeois a totalement réussi sa campagne de recrutement. « C’est l’effet de regroupement » sourit Julien. « Cela fait désormais sept anciens de l’Athénée Jupille. »
De quoi envisager la prochaine saison avec de sérieuses ambitions après avoir flirté plusieurs années avec la montée. « Tout ce que j’espère désormais, c’est que nous pourrons jouer » conclut l’architecte (avec Gaël Verzele) et artificier des Buffalos.
Eté torride en perspective pour nos capées qui l’entameront en prenant part à l’Euro avec un podium (secrètement) escompté. Pour ce faire, faudra régler certains détails. Quant à la coupe de Belgique masculine, elle se cherche un point de chute et incite le boss malinois à quelques confidences. Ce sont les infos d’EMCE.
Cats : une belle qualification qui engendre d’évidentes conclusions
Mission accomplie, donc, pour nos internationales qui ont bouclé leur campagne qualificative à l’Euro sur un sans-faute. Mais, pas sans peine tant les Portugaises (Silva 16 p, 10 r, deux ans à Namur) leur en ont fait voir lors de l’ultime rencontre (photo). Pour preuve, c’était toujours 63-61 (37e) avant qu’Emma Meesseman (23 p, r) et Kim Mestdagh (19 p) ne nous extirpent définitivement de l’ornière à 69-66. Ouf ! Comme un avertissement en vue du rendez-vous franco-espagnol. Dans ce contexte, il est à espérer que Linskens (en gros progrès) soit totalement rétablie pour cette échéance. Tant nous manquons de répondant physique dans la peinture. Autre conclusion, le retour d’Allemand ne sera pas un luxe. En cause, une distribution par trop approximative où seule Vanloo a « tenu la baraque ». Toutes les autres options n’ayant pas, ou plus, le niveau. Au terme de cette nouvelle « fenêtre », sont qualifiés pour le championnat d’Europe (17 au 27 juin) : France et Espagne (pays organisateurs), Serbie, Russie, Turquie, Belarusse, Belgique, Slovaquie, Slovénie, Croatie, Tchéquie, Suède, Bosnie, Grèce, Italie et Monténégro. Les principaux éliminés ont pour noms : Lituanie, Hongrie et Ukraine. Les nations présentes seront réparties en quatre groupes de quatre dont le tirage au sort aura lieu le lundi 8 mars.
Coupe : finale Ostende – Malines cherche toit pour finale du 21 mars !
Le 21 mars prochain coïncidera, bien évidemment, avec l’arrivée du printemps, la tenue de Milan – San Remo (en principe) et avec la finale de la Coupe de Belgique opposant Ostende à Malines. Match au sommet qui devait se disputer dans l’immense vaisseau de Forest National. Comme la rencontre sera orpheline du moindre supporter, la Ligue a sagement décidé de ne pas louer la salle de spectacles bruxelloise. Du coup, Arthur Goethals et les siens sont la recherche d’une infrastructure plus modeste, mais répondant néanmoins aux normes d’une telle explication. Avis aux (courageux) amateurs…
Principautaires hors frontière font l’affaire
A ce niveau, c’est en quelque sorte le programme minimum. On l’a lu, Maxime De Zeeuw n’était pas en équipement, ce week-end, pour le déplacement victorieux (77-83) de l’Hapoel Holon à Eilat. Son come back serait cependant imminent. Thomas Van Ounsem et Bordeaux auraient dû se rendre à Vitré, mais un « Covid positif » dans les rangs bordelais en a décidé autrement. Quant au duo Kohajda (Espagne) – Torreborre (Autriche), il profitait d’un repos bien mérité. Il semblerait, donc, que Mirza Skrelja bénéficie d’un contrat pro au Kosovo. Le néo-Spirmontois évolue à Istogut (D2, près des frontières serbe et monténégrine) qui, en milieu de semaine passée, s’est incliné 64-69 devant Cola Kosova, le leader.
Crédit photo: KB Istogu
Président malinois en mal de confidence après la qualification en coupe
Le dynamique boss des Kangoeroes s’est laissé aller à quelques confidences au micro de la VRT : « Notre parcours dans cette compétition démontre notre volonté d’aller sans cesse de l’avant avec notre équipe hommes. Sans oublier que nous somme aussi très ambitieux avec nos dames qui sont européennes depuis cette saison. » Luc Katra ne s’arrêtait pas en si bon chemin : « Nous travaillons actuellement à un rapprochement avec le KV Malines (D1 foot) qui devrait aboutir à la construction d’une vaste arena où nous disposerions d’une salle de plusieurs milliers de places. A l’instar de ce qui se passe actuellement en Allemagne. » On ne peut que s’en réjouir, mais ce n’est pas sans un pincement au cœur que l’on abandonnerait le mythique « Winketkaai ».