Un champion NBA débarque en Espagne

JJ Barea, champion NBA avec Dallas en 2011, débarque dans la péninsule ibérique.

Le meneur de poche, formidable scoreur et très apprécié dans le Texas, a décidé de prolonger un peu sa carrière et s’est engagé avec l’Estudiantes Madrid, révèle L’Equipe. Un beau défi pour le vétéran (36 ans) portoricain qui devrait aider la formation madrilène à remonter au classement.

Monstrueux Jokic et Embiid, les pivots au pouvoir !

Décidément, les Nuggets et les Suns aiment passer du temps ensemble. Après la victoire après prolongation de Denver dans l’Arizona il y a 36 heures, Phoenix et la franchise de High Mile City ont cette fois eu besoin de deux prolongations pour se départager. Et, forcément, la victoire est revenue à Jokic auteur d’un double-double-double monstrueux. Joel Embiid est l’autre pivot dominant du début de saison et l’a encore prouvé cette nuit à Motor City.

Jokic MVP n’est vraiment pas une illusion et le génial l’a encore prouvé cette nuit en compilant 29 points, 22 rebonds et 6 passes pour offrir la victoire à Denver 112-120 après 58 minutes d’intense combat.

Joel Embiid (33 points et 14 rebonds) est un autre pivot très en vue depuis le début de saison. Le Sixer a pu compter sur Ben Simmons (20 points, 9 rebonds et 7 passes) pour aider Philly à s’imposer à Detroit 110-114.

« Se pointer à la salle ne suffit pas »

Depuis le retour de Kyrie Irving, les Brooklyn Nets en étaient à zéro sur deux, battus deux fois d’affilée par les Cavs. Steve Nash a tiré la sonnette d’alarme et le « Big Three » new-yorkais a parfaitement réagi pour dominer le Heat d’un Adebayo (41) en mode record.

Steve Nash l’avait mauvaise après le second revers de ses ouailles contre Cleveland. « « Nous sommes derniers en NBA sur les 50-50 balls, les shoots contestés, les actions où il faut se battre. Nous devons trouver un moyen de jouer plus dur. Nous n’avons pas un roster défensif, nous devons faire preuve de plus de fierté, gagner ces possessions 50-50, contester plus d tirs, se battre, se bagarrer, s’arracher. Se pointer à la salle, ça ne suffit pas, c’est ça le message. On joue contre des gars qui je pense sont excités à l’idée de nous affronter, et qui vont être à fond tous les soirs, on doit matcher ça » déplorait le coach des Nets dans le NY Post.

Cette nuit, Kevin Durant (31 pions à 11 sur 19), était de retour et la victoire fut au rendez-vous pour Irving (28 points, 6 rebonds et 7 passes), James Harden (12 points, 7 rebonds et 11 passes) et Joe Harris (23 points à 8 sur 12 from downtown) contre le Heat d’un Adebayo (41 pions) en mode attaque. Score final: 128-124.

https://www.youtube.com/watch?v=tpQuEnt4rMA

Tongres et son « Varkensmarkt »

Les Carnets du basketteurs, saison 4 ! Une chronique dédiée à Tongres, la plus liégeoise des villes flamandes et vraie cité de basket-ball dans laquelle de nombreux Principautaires ont brillé et brillent encore.

Comme vous allez-vous en rendre compte, la présence des Matray, Walravens et autres Hertay à Tongres ne fait que perpétuer une longue et sympathique tradition. Il est vrai que la cité limbourgeoise se situe à moins de 20 bornes de la place St-Lambert et que les habitants du cru ne sont pas peu fiers d’affirmer qu’ils sont d’authentiques Principautaires. Place à une chronique plus « impressionniste » qu’historique…

L’air de rien le BK local va allègrement sur ses 80 ans d’existence puisque ce sera pour 2023. Au départ, deux clubs se vouaient une homérique rivalité : l’Ambiorix et les Eburons. Si le premier d’entre eux évoluait sur le terrain extérieur à l’arrière du Casino, l’autre trouvait refuge derrière la Maison du Peuple. Willy, un inconditionnel du cru, explique la suite des évènements : « En 1965, la commune a accepté que les deux cercles jouent à l’intérieur du « Varkensmarkt », le marché aux bestiaux (photo). Dès le vendredi soir, il fallait tout nettoyer avant de mettre en place terrain et gradins. Outre une odeur nauséabonde et des conditions de jeu assez rustiques, il y faisait un froid canard. Il n’était d’ailleurs pas rare que l’on doive jeter du sel pour faire
dégeler les flaques d’eau. »
Un de ses copains en remet une couche (de crasse) : « Dès le match terminé, on se ruait à la buvette avec les mains noires comme du charbon… mais on n’avait pas encore inventé les allergies à cette époque-là. »

En 78, les Tongrois décrochent la montée en D2 après un test-match contre des Hannutois, eux aussi, réputés pour leur… inimitable marché couvert. Au printemps 80, ces mêmes Limbourgeois, emmenés par Paul Vervaeck (coach de Malines), s’ouvrent les portes de l’élite. Ils ne lésinent pas sur les moyens au moment de choisir leur duo US. A savoir, deux anciens sociétaires de NBA : Mike « Rambo » Odems (passé ensuite au Royal Anderlecht, D1) et Gill McGregor devenu le speaker officiel des Hornets. Un personnage hors norme qui, en fin de carrière, compilait une « Sélection McGregor » écumant les tournois régionaux (grande habituée de la Pentecôte à Esneux) afin de placer l’un ou l’autre de « ses » Américains dans des équipes du coin.

Moins amusant, Runxter rachète le matricule tongrois – descendu d’un échelon – suite à une faillite. Il s’ensuit une série de fusions. On a ainsi droit au DOSS avant d’aboutir au BasKet Tongeren actuel. Autre fait marquant : en août 2008, l’équipe séniore (R2) est confrontée au décès inopiné du Liégeois, Guy-Alain Kamga (33 ans). Dans la foulée, le club lance une vaste collecte – on dirait un crowdfunding aujourd’hui – en vue de rapatrier sa dépouille au Cameroun. Il avait pour équipiers Jeroen Eskens (ex-Liège Basket), Olivier Battocchio (désormais T2) et un certain Geert Jacobs, l’étoile montante de notre arbitrage. Tout ce petit monde était drivé par Frans De Boeck, figure emblématique d’Ostende résidant à Juprelle.

Preuve irréfutable qu’il existe une « culture basket » à l’ombre d’Ambiorix, ces passionnés ne peuvent nier leurs origines tongroises : Tony Souveryns (ex-coach national), la dynastie Notelaers, Robert Box (ancien secrétaire général d’une fédé encore unitaire), mon copain Massot (père du tandem Sacha-Dimitri) et, bien entendu, Gilbert Vroonen, le moteur du Standard Boule d’Or. Quand j’étais joueur, on savait qu’on allait souffrir à l’infâme « Varkensmarkt », mais on savait, aussi, qu’après la rencontre, nous attendait un succulent « moules-frites », grande spécialité du cru. Après l’effort, le…

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : BK Tongeren

Jean Salumu en mode attaque

Jean Salumu a explosé les compteurs dans la victoire de Rasta Vechta contre Giessen, 97-84.

Un succès forgé grâce à un excellent troisième quart (26-14) des locaux qui purent compter sur un Jean Salumu de gala. Le Belgian Lion a planté 26 points en seulement 24 minutes !

https://www.youtube.com/watch?v=WqDF13Argcg&ab_channel=MAGENTASPORT&fbclid=IwAR1RHjNxpimqyROKPjVoTNwyY1vPm-uO2YSWOegujkRS7L5hCwDEC7KgWBU

« Un projet ambitieux pour retrouver l’amour du basket »

Débarrassé de ses problèmes au genou, Quentin Thielen veut sortir de sa (très) courte retraite et retrouver les terrains de basket quand la situation sanitaire le permettra. Entretien.

Quentin, comment vis-tu ce second confinement ?

Je le vis beaucoup mieux que le premier, je suis bien davantage occupé entre mon travail d’étudiant et mes cours. Et, en plus, je me sens vraiment bien physiquement.

Ton genou te laisse-t-il enfin tranquille ?

Oui, je n’ai plus aucun douleur au genou, en grande partie grâce à l’aide de de mon kiné et de Zlatan Hadzismaljovic. Il a voulu me voir quand j’ai annoncé que j’allais arrêter le basket et il a réussi à débloquer le problème qui me donnait continuellement mal quand je jouais.

Du coup, l’envie de reprendre te titille ?

Oui, j’ai vraiment envie de reprendre. Etant beaucoup mieux physiquement et mentalement, je me dis que ce serait idiot de ne pas reprendre le sport que j’aime.

Quel défi cherches-tu ?

Je recherche un projet ambitieux qui pourra me redonner cet amour de la balle orange que je n’avais plus vraiment depuis deux ans. Mais j’ai toujours dans l’optique de jouer à un bon niveau malgré tout.

Pau-Orthez sous pavillon NBA ?

Pau-Orthez va-t-il passer sous pavillon américain et renouer ainsi avec son glorieux passé grâce à trois sommités de la NBA et de la NCAA ? Y aura-t-il des burgers et de la budweiser dans les Landes ? L’Elan aura en tout cas à nouveau un accent belge puisque Manu Lecomte va y poser ses valises.

L’armoire à trophées est bien garnie. C’est en effet près de trente titres, dont une Coupe Korac, qui ornent la vitrine du club. C’est que Pau-Orthez, neuf fois champion de France, est un nom qui compte dans l’histoire du basket français. Fondé en 1931 au sein d’un club omnisports existant depuis 1908, celui qui était alors l’Elan Bearnais Orthez -avant la fusion avec Pau en 1989- a considérablement contribué à l’essor du basketball dans l’hexagone et en Europe.

Une histoire, un passé et un standing qui se ressent au quotidien. « Ici, tu ressens une forme de pression. Pau, ce n’est pas un club lambda en France » nous confirmait Serge Crevecœur en novembre 2017, alors qu’il devenait l’entraineur de l’Elan Béarnais. « Lorsque tu rentres dans le Palais des Sports, tu ne peux qu’être impressionné tant la salle est splendide, et tu sens une atmosphère particulière. Sincèrement, pour mon premier jour, bien évidemment, j’avais la trouille. Ca ne donne qu’envie de se donner à fond pour réussir. »

Une glorieuse histoire affichée ostensiblement sur les murs de la salle de Pau. « J’appelle ça le couloir des artistes » nous confiait alors l’entraineur bruxellois. « Tu peux y admirer tous les trophées glanés par le club ainsi que des photos des joueurs qui ont marqué l’histoire de l’Elan. »

Et de sacrés joueurs, il y en a eu une palanquée. Que cela soit les Freddy Hufnagel, Antoine Rigaudeau, Laurent Foirest, Frederic Fauthoux, Gheorghe Murhesan et puis, plus tard, Arthur Drozdoz, Boris Diaw et les frères Pietrus, tous ont grandement contribué à la réussite du club béarnais et à renforcer sa réputation à l’étranger. Peu de clubs français peuvent, par exemple, se targuer d’avoir envoyé autant de bons joueurs en NBA.

Pau-Orthez à la poursuite de son glorieux passé

« Pau est une ville sportive. Elle vient d’ailleurs d’être reconnue ville européenne du sport » expliquait Serge. « Ici, les gens vivent pour le sport, le rugby et le basket notamment. Ce n’est pas pour rien que nous avons la plus grande affluence de France. Et très sincèrement, quand le Palais des Sports est plein comme un oeuf, avec tous les supporters qui donnent de la voix, ça donne vraiment des frissons. » 

L’aventure du technicien bruxellois dans le Béarn ne fut pas totalement couronnée de succès mais il a su en profiter pour encore progresser et devenir ensuite l’entraineur de Gravelines-Dunkerke, toujours en Jeep Elite, après un bref retour au Brussels. Pour Pau-Orthez, les choses furent davantage compliquées, le club tirant un peu trop le diable par la queue en courant après son illustre passé.

Fortement soutenu par les collectivités locales, l’Elan Béarnais est sur le point de voir son « business model » changer drastiquement et proche de passer sous pavillon américain, comme le révèle La République des Pyrénées. Ainsi, des investisseurs US sont sur le point de « prendre les rênes de l’Elan Béarnais ». Et parmi ces (probables) futurs nouveaux boss, il y a trois grands noms: Jamal Mashburn, ancien ailier scoreur à Dallas, Miami et Charlotte, la légende du coaching Rick Pitino et Stu Jackson, ancien GM des Grizzlies lorsqu’ils étaient à Vancouver et ex vice-Président exécutif de la NBA.

Avec ce trio de choc, Pau-Orthez renouera-t-il avec son glorieux passé et parviendra-t-il à (re)devenir un sérieux concurrent pour l’ASVEL et Monaco ?

En tout cas, en attendant de prendre un accent « yankee », l’Elan Béarnais retrouvera un peu de belgitude puisque Manu Lecomte va y poser ses valises. « Dès que nous avons su que Justin (Bibbins) allait être arrêté pour plusieurs semaines, nous nous sommes mis en quête d’un pigiste. Nous avons dû prendre en compte lors de nos recherches à la fois notre calendrier ainsi que les conditions sanitaires actuelles afin de pouvoir bénéficier d’un renfort dans les meilleurs délais. Nous avons eu la possibilité de faire venir Manu Lecomte qui est un vrai meneur avec beaucoup de punch, un joueur capable de scorer et de faire jouer ses coéquipiers. Il sait créer et peut aussi défendre fort. Je le connais bien, pour l’avoir suivi pendant deux saisons sur la scène internationale avec l’équipe belge des U20. Joueur de rotation en Allemagne où il évoluait aux cotés de notre ancien arrière américain Matt Mobley, il a souhaité de son coté saisir cette opportunité afin de montrer qu’il peut faire de belles choses » assure le coach palois, Laurent Vila, sur le site du club.

Qui rejoindra le dernier carré de la Coupe ?

Si Alost est assuré de sa participation au Final Four et que Malines semble bien parti pour y accéder, qui seront les autres qualifiés ?

C’est ce dimanche après-midi (15h30) que se joueront les trois manches retour de Coupe de Belgique et que nous saurons qui rejoindra Alost dans le dernier carré de la compétition.

Malines, grâce à son succès de vingt-deux points à Limburg semble tenir la corde pour rejoindre les Okapis. Toutefois, un feu d’artifice d’Ajay Mitchell est possible et les Limbourgeois pourraient profiter de la magie de la Coupe pour créer l’exploit et renverser une situation compromise.

Pour le Spirou et Anvers, tout reste possible. Les Carolos doivent remonter un débours de onze unités tandis que les Anversois doivent battre les Côtiers de dix points. Si les troupes de Sam Rotsaert sont dans un bon jour offensivement, que les paniers s’enchaînent rapidement, le doute pourrait s’installer chez les Bears. Encore faudra-t-il tenir sur la durée…

Pour Anvers, paradoxalement, la tâche semble plus ardue. Intrinsèquement, les Giants possèdent des qualités leur permettant de rivaliser avec les Ostendais. Mais les troupes de Dario Gjergja ont tellement semblé maitres de leur sujet lors des trois précédentes confrontations que la qualification semble pratiquement acquise. Et si Pierre-Antoine Gillet continue de dominer le « game » comme depuis le début d’année, les chances d’Anvers seront inexorablement réduites à peau de chagrin.

A noter que toutes les rencontres seront diffusées en direct et gratuitement sur EMBLTV !

Crédit photo: Philippe Collin

« Probablement aussi un grand joueur de handball »

Luka Doncic, l’un des chouchous des basketteurs liégeois, est « le joueur de basket par excellence » selon Gregg Popovich mais aurait aussi pu briller dans d’autres sports. Cette nuit, le Slovène fut époustouflant à San Antonio.

Le derby texan entre Spurs et Mavs fut passionnant mais Dallas a un atout dans sa manche: Luka Doncic. Le Slovène a compilé 36 points, 9 rebonds et 11 passes à l’Alamo Dôme et fut déterminant dans le money time pour offrir la victoire aux Mavs, 117-122.

Basketteur surdoué, Doncic pourrait, à l’instar d’autres joueurs – Jordan et le triple-saut, LeBron James et le foot US, Stephen Curry et le golf – célèbres, briller dans d’autres sports.

« Il est le joueur de basket par excellence. Il a un sens intrinsèque du jeu. Il est fait pour jouer au basket. Et il serait aussi probablement un grand joueur de handball. Avec sa taille, cette capacité à passer, cette vision du terrain, la confiance avec laquelle il joue, il shoote bien, il se bat. Il aime tout simplement le basket. Ses compétences sont de premier ordre et c’est tout simplement un plaisir de le voir jouer » assurait Gregg Popovich au Dallas Morning News.

« Je pense que le plus important est de prendre les bonnes décisions. Je pense qu’il faut laissé de côté un bon shoot pour un meilleur. Je pense que c’est la clé de notre fin de match » soulignait quant à lui le héros du jour.

Le leader des Mavs est aussi un chouchou des basketteurs liégeois. « J’aime beaucoup Luka Doncic » nous confiait Elsa Lejoncq. « Pour moi, il est déjà dans le top 10 des meilleurs joueurs NBA » avançait Elias Bonni. « Celui que j’adore et qui m’impressionne pour le moment – et même depuis ses débuts au Real Madrid – c’est Doncic. Il est complet et a une aisance de fou » ajoutait Julien Van Roy. « Quelle maturité, audace et lecture de jeu à seulement vingt ans. Il est incroyable » surenchérissait Xavier Hubert.

« Je ne suis pas surpris de son niveau. Il était déjà tellement fort avec le Real Madrid. C’est un talent inné, un vrai magicien. Si Dallas arrive à bien l’entourer, cela pourrait faire très mal » assurait Marc Braconnier, qui a eu l’opportunité de le voir jouer lors d’un séjour outre-Atlantique.

Des éloges à la hauteur du bonhomme qui semble retrouver la forme après un début de saison mitigé.

https://www.youtube.com/watch?v=vI5XKXLqaO4

Un match clé pour De Zeeuw et Holon

Ce dimanche, Maxime De Zeeuw et Hapoël Holon se rendent à l’Hapoël Haïfa pour un match clé.

Maxime De Zeeuw et Holon enchainent les matchs comme d’autres les épisodes de leur série préférée sur Netflix. Champions League, Ligue des Balkans, championnat et Coupe d’Israël, le Belge et sa formation sont sur tous les fronts et peuvent être ambitieux.

Ce dimanche, c’est pour le compte de la Winner League (le championnat domestique) que le taulier des Lions et Holon se rendront à l’Hapoël Haïfa. Une rencontre clé car même si le classement manque de lisibilité vu la différence de matchs disputés par toutes les équipes, les deux adversaires du jour possèdent le même nombre de revers: trois. En cas du succès en territoire ennemi, Holon et son brillant intérieur belge s’empareraient (virtuellement) de la quatrième place au général et resteraient parfaitement positionnés pour continuer leur ascension.

En pleine bourre, prolongé et responsabilisé par son club, Max De Zeeuw sera encore d’une importance capitale si Holon veut revenir d’Haïfa avec – selon la formule consacrée chère aux footeux – les trois points !