Au sapin des Panthers

La reprise des troupes de Pierre Cornia ne sera pas sans épines avec, entre autres, les venues du SKW et des Castors. Pendant ce temps, l’Union Neuchâtel de Big Dan est mise en quarantaine alors que le nouveau T2 d’Antibes a déjà joué avec un ancien Liégeois. Pas mal de basket, ce soir, à la télé. Ce sont les infos d’EMCE.

Splendide programme de Fêtes pour les Liégeoises du Bois St-Jean

Le moins que l’on puisse écrire est que les troupes de Pierre Cornia (photo) vont au-devant d’un splendide programme de fêtes. Jugez plutôt : après une mise en bouche face aux Phatoms de Boom (sa. 19/12, 20 h 30), elles se farciront une entrée pour le moins gratinée en se mettant à table en compagnie du SKW (d. 27/12, 15 h). Mais que dire alors du plat de résistance du samedi 2 janvier (18 h 30) constitué par la venue de Castors Braine ? Toutes ces explications auront lieu au Bois Saint-Jean. « Ce sera bien évidemment et malheureusement sans public », observe Christian Grandry, « Mais, qu’on se rassure car ces duels seront retransmis en streaming. » Ouf !

Etranger : l’Union Neuchâtel en stand-by et Joe Rahon en approche

Voici peu, un des membres de l’encadrement de l’Union Neuchâtel a été relevé positif au Covid-19. Du coup, c’est l’ensemble de l’équipe chère à Daniel Goethals qui est placée en quarantaine. Bref, son match du prochain week-end face à Boncourt est reporté. En Allemagne, Francfort a entamé des négociations afin de faire revenir Joe Rahon (27 a, 1,88 m) au bercail. Pour rappel, le meneur US était passé par Limburg (17/18) et avait disputé 7 matches avec Charleroi en 19/20 avant de déjà rejoindre Francfort. Pour l’anecdote, on avait pu le voir à l’œuvre avec les Spirou, en août 19, à Battice.

Le nouvel adjoint d’Antibes, dit « La Mouche », a joué avec un ex-Liégeois

On le sait, Antibes est présidé par le Belge Freddy Tacheny qui avait été éphémèrement aux commandes de Pepinster avec Benoit Cuisinier. Ce club de Pro B était à la recherche d’un assistant-coach. Il a jeté son dévolu sur Olivier Basset (58 ans), dit « La Mouche » en raison de ses grosses lunettes noires. Un personnage haut en couleur qui a notamment été journaliste à la Réunion, commercial sur la Côte d’Azur, ou encore, l’adjoint de Mitrovic à Monaco. Auparavant, il avait été joueur pro. Comme à Toulouse où il avait fait équipe avec Mark MacSwain, passé par Liège en 2000/2001.

La télé crève l’écran

A l’évidence, il y a moyen de se constituer un chouette programme télé avec, dès 17 h, Kazan – Bourg-en-Bresse (RMC 4) ; Monaco – Bologne (19 h, RMC 4) ; et, Ostende – Brindisi (20 h, Eleven Sports 2).

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : Liège Panthers

« Je ne suis pas si fou que ça ! »

Nicolas Batum a préféré privilégier les conseils de Kawhi Leonard à ceux de Greg Kesikidis. Un choix judicieux ?

Quand le suspens était à son comble pour connaitre la future destination de Nicolas Batum, Greg Kesikidis nous avait livré son opinion. « J’aimerais bien qu’il signe aux Warriors. Dans les systèmes de Steve Kerr, avec son QI basket, il sera à l’aise. Enfin je l’espère » nous confiait alors celui qui, rappelons-le même si c’est devenu un secret de polichinelle, a appris à Steph Curry à shooter depuis le parking. « Batum peut mettre un shoot de temps en temps en plus. C’est quand même le gars qui est un expert du triple-simple (rires). »

Les Warriors furent parmi les « finalistes » à la signature du « Batman ». « On a eu une énorme discussion avec Steve Kerr. C’est marrant parce que j’avais dit un jour que je me voyais avoir encore un rôle à la Iguodala. Pas être Iguodala. Vous savez qui m’a dit ça ? Steve Kerr lui-même. Je ne suis pas si fou que ça ! », explique le Français chez First Team.

Mais, finalement, Batum décidait de rejoindre les Clippers. « C’est la seule équipe dont j’ai eu le propriétaire, le General Manager, le coach et les deux stars au téléphone. Ils m’ont TOUS appelé. Steve Ballmer, Lawrence Frank, Ty Lue, Paul George, Kawhi Leonard et le soir-même de l’annonce du trade de Gordon Hayward !« , précise l’ailier tricolore. « Quand je l’ai vu ce matin, je me suis dit : je vais en chier à l’entraînement. En tout cas, c’est un ‘fun guy’ pour de vrai. »

L’associé en affaires de Tony Parker a donc été plus sensible aux conseils de « The Klaw » qu’à ceux de Greg Kesikidis. « Sur l’extra-sportif on est 100% d’accord sur le choix de Nico. Mais bon, évidemment, si le type n’a pas envie de jouer, se dorer a L.A. c’est à coup sûr mieux qu’en Caroline du Nord » relativisait l’emblématique artilleur de la « Bien Belle Equipe » d’Alleur après l’annonce de la signature de Batum dans la Cité des Anges.

Retour réussi pour Salumu, Van Vliet le métronome

La fenêtre internationale terminée, les Belges étaient de retour dans leurs clubs respectifs et n’ont pas tardé à s’illustrer.

Après avoir brillamment fait ses premiers pas avec les Belgian Lions, Andy Van Vliet n’a eu qu’un court trajet à faire pour quitter Vilnius et rejoindre son club de Siaulai avec lequel il a reprise sa cadence de métronome. Le Belge a compilé 11 points et 7 rebonds contre Zvaigzdes mais sa formation s’est inclinée de 23 unités.

Revers aussi pour le spectaculaire Akyazili qui fut très discret à Ormanspor. Van Rossom fut tout aussi discret (3 points et 4 passes) dans la victoire de Valence à Fuelabrada. Victoire également pour Kevin Tumba en Grèce. Le pivot des Lions a compilé 4 points et 4 rebonds pour dominer très nettement Larissa.

Privé du déplacement en Lituanie, Jean Salumu a effectué son retour sur les parquets avec Rasta Vechta. L’ancien joueur belge de l’année était déjà productif avec 15 points mais n’a pu empêcher le court revers de sa formation à Ulm, 74-73. Défaite également pour Lasisi (6 points, 3 passes et 2 steals) à Ludwigsburg.

Bien évidemment, la palme du week-end revient à Max De Zeeuw qui, nous vous le racontions dimanche, a livré une prestation ébouriffante pour créer l’exploit contre le Maccabi Tel-Aviv.

Les Cats, sixième meilleure équipe du monde !

Nouvel accomplissement pour les Belgian Cats qui font indubitablement partie du gratin mondial.

Premier pays officiellement qualifié pour pour la phase finale de l’Euro, la Belgique fait partie du gratin mondial en basket féminin. Enchainants les excellents résultats, les Belgian Cats sont désormais la sixième meilleure équipe du monde. Devant nos héroïnes ? Les USA, l’Australie, l’Espagne, le Canada et la France. Que du beau monde !

Une véritable prouesse pour un pays de la taille d’un confetti et qui confirme la qualité de cette génération qui brille sur la scène internationale.

« On a gagné un titre alors que ça ne collait pas »

Kyrie Irving estime que Kevin Durant est le premier joueur à qui il peut confier la balle pour un tir décisif. LeBron James réagit.

Il y a un mois, Kyrie Irving se fendait – encore ! – d’une déclaration lunaire. Le meneur – qui a décidé de ne pas parler à la presse de la saison – déclarait ainsi que Kevin durant est « le premier à qui il se sentait capable de lâcher la balle dans les fins de match. »

Une saillie qui aura été moyennement appréciée par ses anciens coéquipiers – Tatum, Horford, Love – mais qui, surtout, ne pouvait qu’égratigner LeBron James. « J’ai lu ses propos en entier et je me suis dit ‘putain.’ Je ne me suis pas dit ‘oh, tu délires, j’ai mis des paniers décisifs toute ma vie.’ Ce n’était pas ça. C’était plus sur le fait que j’ai joué avec Kyrie pendant trois saisons. Et pendant tout ce temps là, j’ai voulu qu’il soit l’un des MVP de notre ligue. Je ne me préoccupais que de son succès » a finalement réagi LeBron James. « Et ça ne collait pas. Ça ne collait pas. On a quand même gagné un titre, c’est ça qui est fou. On a gagné un titre alors que ça ne collait pas. Mais je me préoccupais que de son bien-être sur et en dehors du terrain. Donc ça m’a blessé un peu. »

Kohadja, l’ « Africain »

Sûr qu’il ne s’y attendait pas, mais Justin s’en ira disputer, avec Valladolid, une rencontre du championnat espagnol de D2 sur… le continent africain. En dames, c’est reparti dès ce prochain week-end mais ce sera sans Pepinster, ni Charleroi. Sacré renfort pour Keltern et pour Emma Mayombo. Ce sont les infos d’EMCE.

La pépite (africaine) de la semaine

J’ai découvert que le prochain adversaire du CB Valladolid et donc de Justin Kohajda (photo) sera, dimanche midi, le Clubo Melilla Baloncesto. Voilà qui n’aurait rien d’extraordinaire si ce n’est le fait que la cité de Melilla (85.000 habitants) se situe en… Afrique. Explication : historiquement, l’Espagne possède deux enclaves de l’autre côté de la Méditerranée. Soit, celle de Ceuta et celle de Melilla. Autant de vestiges des anciennes colonies. Faut-il préciser que les autorités marocaines n’apprécient guère ? Plus étonnant encore quand vous atterrissez là-bas, le panneau d’accueil à l’aéroport est ainsi rédigé : « Melilla, commune d’Europe ». Pour éviter un flux migratoire exponentiel, un grillage de 6 mètres de haut entoure les limites du territoire communal. Autrement dit, l’ancien Liégeois s’apprête à disputer une rencontre du championnat ibérique sur… un autre continent. Pour son match inaugural avec Valladolid, Justin s’est incliné 83-78 à Oviedo avec 4 pts et 3 rbs à son compteur.

D1 dames : les (seconds) trois coups seront frappés samedi soir

Ca y est : on voit enfin le bout du tunnel. Du moins, espérons-le. A quoi faut-il s’attendre : le championnat ne comprendra plus que dix formations après les retraits de Pepinster et des Ladies Spirou. Ces deux équipes pourront néanmoins réintégrer la compétition de D1 à la reprise de septembre prochain. Dans un premier temps, l’exercice 20/21 se disputera sans public et sans buvette. Il n’y aura pas non plus de descendants alors que les playoffs réuniront le top 4 de la phase classique. Sans mauvaise surprise, on jouera encore cette année les 12, 19 et 26 décembre. C’est ainsi que, dès samedi soir, les Brainoises recevront (19 h) les Waregemoises de Lara Gaspar tandis que les Namuroises se rendront (20 h 30) aux Kangoeroes de Malines. On croise les doigts…

Une Canadienne des Ladies Spirou, équipière de Mayombo à Keltern

Plus que jamais la phalange d’Emma Mayombo visera le titre allemand. On en veut preuve, l’engagement de l’internationale canadienne, Alexandra Kiss-Rusk (27 a, 1,94 m) par les responsables de Keltern. Il n’y a pas si longtemps, la Montréalaise de naissance portait encore le maillot de Ladies Spirou ayant désormais opté pour une saison blanche. Un sacré renfort pour la distributrice liégeoise et les siennes.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : CB Vallodolid

« La pilule a été difficile à avaler »

Les rumeurs sur son retour aux Knicks et son nouveau rôle chez les Blazers: Carmelo Anthony clarifie sa position.

Carmelo Antony a tenu à mettre les choses au point concernant les rumeurs qui l’annonçaient de retour à Big Apple. « Quand j’ai pris ma décision, je n’avais pas vraiment un intérêt pour ça. Les Knicks effectuaient des mouvements et essayaient de déterminer la direction dans laquelle ils voulaient aller » explique « Melo » à SNY TV. « Ils n’ont pas fini de faire des mouvements. Je suis sûr qu’ils ont un plan sur le long terme. Je ne pense pas que de faire mon retour et foutre en l’air le plan actuel était une bonne chose pour l’une ou l’autre des deux parties. »

Le forward a décidé de rester à Portland, la franchise qui lui avait permis de se relancer. Pourtant, les Blazers avaient annoncé que le rôle d’Anthony allait évoluer et qu’il sortira du banc cette saison. « La pilule a été difficile à avaler. Nous avons eu de nombreuses discussions concernant mon retour ici. Les échanges ont été très honnêtes et transparents des deux côtés. Je suis à l’aise avec la situation actuelle. Ils m’ont bien fait comprendre que j’allais toujours avoir un rôle majeur. Je dois le dire, le fait de ne pas débuter, c’est difficile à accepter. J’ai dû prendre une grande respiration. Mais nous allons trouver une solution. Nous allons trouver un moyen de faire fonctionner tout ça. Tant que nous sommes sur la même page concernant mon importance ici, nous allons faire marcher cette association » a ainsi explicité le vétéran en conférence de presse.

« Je constate juste qu’il n’est pas là »

James Harden ne s’est toujours pas pointé à Houston. La crise couve dans le Texas. Le coach des Rockets s’agace de l’absence du « Barbu », la maman de ce dernier monte au créneau pour défendre son rejeton.

James Harden et Russel Westbrook avaient tous les deux réclamé leur bon de sortie après un nouvelle saison conclue en eau-de-boudin. Si « Russ » a eu la chance (?) de quitter le Texas pour rejoindre Washington – John Wall faisant le chemin inverse – et y retrouver Scott Brooks, James Harden est toujours dans le Texas – même si, aux dernière nouvelles, il serait plutôt à Vegas – et le front office des Rockets semble vouloir le convaincre de revenir sur sa décision et de repartir pour un tour avec la franchise qui a cédé à tous ses caprices ces dernières années.

Toutefois, Harden semble pour l’instant très peu concerné par le futur des Rockets. Après avoir nié le début du camp d’entrainement, le barbu a séché une session individuelle. De quoi attiser la crise qui couve à Houston. « On a aucune timeline sur son retour. C’est un contretemps pour nous. On veut évidemment que notre meilleur joueur soit présent. (…) Je ne sais pas quel est son message honnêtement. Je constate juste qu’il n’est pas là. Il n’y a que lui qui sait pourquoi. C’est à lui de dire pourquoi » s’agace Stephen Silas.

La maman d’Harden est montée au créneau pour défendre son rejeton. « J’ai élevé mon fils pour qu’il soit le jeune businessman attentionné et généreux qu’il est devenu. Il prend ses propres décisions et je suis fier de lui. Maintenant, quant à son boulot, vous ne comprenez clairement pas ce qui se passe vraiment. Ce n’est pas un problème. Vous savez, si les gens s’occupaient de leurs affaires et n’essayaient pas de prendre des décisions pour les autres, le monde s’en porterait mieux. Ses décisions dans la vie, parce que ce sont ses décisions, ne vous regardent pas. Il fait ce qui est le mieux pour sa carrière. Comprenez bien la situation. Il a bossé dur depuis qu’il a commencé son boulot en se donnant à 210%. Il demande à avoir une chance de remporter une bague, c’est tout. Il faudrait être fou pour ne pas vouloir ça » balance Monja Willis.

Allo Brooklyn ?

« Pas partisan de recommencer à moitié »

Fort heureusement, le Covid n’est plus qu’un mauvais souvenir pour Denis Lambion qui retrouve progressivement la forme. Interview.

Denis, comment vas-tu ?

Le Covid n’est plus qu’un mauvais souvenir et la forme revient.

Comment vis-tu ce second confinement ?

A bien y réfléchir, le basket en tant que tel ne me manque pas tant que cela. Par contre, les potes, l’ambiance et l’esprit d’équipe me manquent davantage. En temps normal, le basket rythme la semaine et c’est évidemment différent de ne plus avoir cette occupation, surtout le week-end. Mais ce n’est pas négatif, cela permet de s’occuper autrement. Personnellement, j’en ai profité pour faire de belles balades et de petits travaux dans la maison.

Waremme a décidé de ne pas s’inscrire à un éventuel championnat et de fermer boutique pour cette année. Comment as-tu vécu cette décision ?

Sereinement. Je pense que la décision prise par le comité des Wawas est la bonne. Il me semble difficile de faire autrement face aux risques que courent les membres du club.

Du coup, comment va se dérouler votre seconde partie de saison ?

Je n’en ai aucune idée mais je pense que le principal est évidemment que tout le monde reste en bonne santé ! Et je ne suis pas partisan de recommencer à moitié comme ce fut le cas en octobre. A mon sens, soit on recommence à 100%, soit on ne recommence pas.

Maël Widart, de Fléron à la Bretagne

En Bretagne, Maël Widart vit une nouvelle expérience des plus enrichissantes.

En janvier dernier, Maël Widart quittait Liège Basket pour prendre les commandes de la R1 de LAAJ. « L’opportunité d’intégrer un club structuré, ambitieux et qui laisse une place importante aux jeunes m’a convaincu. J’aime l’idée de faire mon maximum pour apporter le meilleur à chaque joueur. En prenant place dans un projet sur le long terme, LAAJ m’en donne l’occasion » nous confiait-il alors. La crise sanitaire n’a guère laissé à ce jeune coach talentueux la possibilité de réellement imprimer sa griffe à la phalage des Brasseurs. Et, en septembre, le Fléronnais décidait de donner de quitter son pays natal pour épouser un nouveau défi.

Trégueux, vous connaissez ? Il s’agit d’une commune de 8500 habitants située en Bretagne juste à côté de St-Brieuc. Elle possède une équipe en Nationale 2 dames (3e niveau) et était en quête d’un adjoint. « J’ai fait connaissance de leur manager à un stage de Thibaut Petit et il m’a contacté la semaine passée », explique Maël Widart, « J’y serai pro comme assistant-coach de la formation majeure et responsable des équipes d’âge. C’était une opportunité que je ne pouvais pas laisser passer. »

L’ancien coach à Liège Basket a laissé sa place à Pascal Angillis mais demeure investi dans le nouveau club du BC Fléron. « « Ce projet est né du constat que pour les filles, le choix pour différents sports est souvent plus limité que pour les garçons. C’est le cas à Fléron, mais aussi ailleurs. Par exemple, en basket, on observe des équipes mixtes jusqu’à douze ans et puis, trop souvent, les jeunes joueuses doivent trouver un nouveau club. Cela provoque de la démotivation et même parfois l’abandon de la pratique sportive » nous expliquait Maël à l’annonce de la création de ce nouveau matricule. « C’est dans cette perspective que l’idée de créer un club résolument mixte a germé. Un club où les filières garçons et filles coexistent sans que l’une prenne le pas sur l’autre. » Et d’ajouter: « « La transmission des valeurs qui nous semblent essentielles et LA priorité: égalité des droits de chacun, ouverture vers l’autre, implication dans la vie de groupe tout en développant l’autonomie et le dépassement de soi »

Pour le club de Trégueux, dans cette belle Bretagne qui est désormais la sienne, Maël Widart se confie dans un entretien vidéo à découvrir ici.