Julie Allemand super héroïne pour BLMA

Dans une fin de match à suspens, Julie Allemand, d’un triple suivi d’une pénétration décisive on the buzzer, a offert la victoire à BLMA, 62-60 contre Nantes.

Devant un public bruyant, Montpellier recevait Nantes ce samedi soir. Les deux équipes étaient bien décidées à ne rien lâcher et se rendaient coup pour coup. Après dix minutes, le marquoir affichait 18-19. A la pause, c’était 32-34 en faveurs des visiteuses.

Au retour des vestiaires, les locales effaçaient leur léger retard et prenaient même une courte avance, c’était 45-43 à la demi-heure. A l’entrée du money time, les deux équipes étaient à égalité, 50 partout. Au sortir d’un temps-mort montpellliérain, BLMA scorait puis, sur un rebond autoritaire, Julie Allemand (15 points à 50%, 7 rebonds et 6 passes pour 24 d’évaluation, la meilleure de la rencontre) amorçait la transition et les Gazelles faisaient 54-50.

Sur un lancer et un triple, les Nantaises, recollaient à 54 partout. Julie Allemand trouvait alors parfaitement son intérieure qui obtenait le bonus, c’était 57-54 à moins de trois minutes du terme. Pas épargnées par l’arbitrage, les Gazelles voyaient leur adversaire faire de fréquents passages sur la ligne de réparation.

A 57-56 dans la dernière minute, Julie Allemand endossait sa cape du super héroïne et plantait un triple crucial. Les visiteuses appelaient un temps-mort, il restait quarante secondes au compteur. Sur la rentrée latérale, Montpellier était à nouveau sanctionné, cette fois pour une très légère antisportive. Les Nantaises ne se faisaient pas prier, convertissaient leur deux lancers et, sur l’attaque suivante, réussissaient à prendre deux rebonds offensifs avant, une nouvelle fois, de se rendre sur la ligne de réparation. C’était 60 partout, 19 secondes au marquoir et temps-mort pour Thibaut Petit.

Pour la dernière action de la partie, Julie Allemand avait conservé sa cape magique. La meneuse belge cisaillait la défense nantaise d’un drive létal et décisif pour offrir la victoire pratiquement sur le buzzer à sa formation. Bravo !

Perles de « speakers de service »

Les Carnets du basketteur, saison 4 !

C’est en écoutant cette semaine quelques consultants à la télé que m’est venue l’idée de vous raconter des perles de « speakers de service » dont j’ai été le témoin direct. Amusé, voire médusé.

On est le mercredi 29 décembre 1971 et l’AS Eupen se rend à Charleroi en 1/8e de finale de la Coupe de Belgique. Ardent supporter du club germanophone, je saute dans mon R4 du moment : cap sur le Mambourg. A l’époque, il est de tradition de poser son transistor sur l’épaule afin d’écouter les commentaires haut en couleur de Luc Varenne. Une légende vivante qui a l’art de « vendre sa marchandise ». Subitement, le Tournaisien s’époumone dans le micro annonçant un tir de mule frôlant la transversale hennuyère. En réalité, un envoi somme toute anodin passant une bonne dizaine de mètres au-dessus de la cage des Zèbres…

Quelques années plus tard, il y eut le temps béni – mais aussi assez folklorique – des radios locales. Sur une d’entre elles sévit l’inénarrable André Pittoni. Cette crème d’homme a cependant tendance à se laisser emporter dans son tempérament méditerranéen. Je suis à ses côtés lors d’une rencontre de Montegnée, en Promotion. Il prend l’antenne avant le début des échanges, procède à la présentation des équipes et boucle son intervention par cette phrase mémorable : « Voilà mes chers auditeurs, nous sommes à 10 minutes du coup d’envoi et le score est toujours de 0 à 0. » Encore heureux !

A la Rtbf, il y a Pierre Deprez qui, à ses débuts, fréquenta régulièrement la salle de la JS Grivegnée alors en D2 nationale. Il y eut aussi le regretté Pierre Depré qui, à une Olympiades et alors qu’un athlète venait de battre un record du monde, eut ces mots : « Il doit s’agir d’une des meilleures courses de sa carrière. » C’est fort probable…

Retour au foot et, plus précisément, à Visé où Guy Jolly (photo) intervient en pleine rencontre : « Le propriétaire du véhicule portant la plaque d’immatriculation… ne doit plus se presser à la déplacer car elle a carrément cramé sur le parking. » Dans la seconde, un spectateur dévale les gradins clé d’auto en main. Explication du speaker de service : « J’en avais marre : chaque fois que j’annonce que sa voiture est mal garée, il ne bronche pas. Désormais, il retiendra la leçon. » On peut effectivement le supposer.

Par ces temps tourmentés, j’espère que ces anecdotes vous auront donné le sourire.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : Ville de Visé

Coach NBA, un job juteux

Combien gagnent les coachs NBA ?

Si les joueurs NBA gagnent des sommes folles – de quelques millions pour un rôle player à plusieurs dizaines pour les superstars – les coachs ne sont pas en reste.

Ainsi, Doc Rivers recevait aux alentours de 10 millions la saison lorsqu’il avait la double casquette coach/président aux Clippers. Gregg Popovich, véritable légende, reçoit 11 millions des Spurs. Rick Carlisle, inamovible du banc de Dallas percevrait 7 millions alors que Nick Nurse a vu ses émoluments considérablement augmenter depuis sa période ostendaise: 8 millions l’année !

Steve Kerr empocherait aussi une somme similaire tout comme Doc Rivers avec son nouveau contrat du côté de Philadelphie.

« Assieds-toi, tu n’as rien fait du tout »

Entre Shaq et Dwight Howard, cela ne semble pas encore être l’amour fou.

Entre Shaq et Dwight Howard, cela reste parfois électrique. Cette saison a marqué la renaissance de D12. Acceptant son nouveau statut de rôle player, l’ancien triple meilleur défenseur de l’année a contribué au sacre des Lakers. Très ému, Howard avait, notamment, réalisé un live instagram où il incitait ses followers à ne jamais abandonner leurs rêves.

Est-ce à cette sortie sur les réseaux sociaux que Shaq a fait allusion dans son podcast.  » Vous savez ce que je n’aime pas en tant que joueur ? Voir des joueurs se le raconter sur leur petit Instagram comme si c’était grâce à eux qu’ils étaient champions. Je ne vais pas dire de noms. Rassieds-toi, t’as rien fait du tout, arrête ça. Pose ton cul. Je sais que vous savez de qui je parle. Tu sautes dans le train en marche, arrête ça. Poste une photo et c’est tout. ‘N’abandonnez jamais vos rêves’, blablabla, assieds-toi, t’as rien fait du tout » a ainsi balancé la légende des Lakers.

Bientôt le retour de la D1 !

Privés de public, les clubs de l’élite débuteront pourtant bel et bien leur championnat le 06 novembre.

Malgré l’annonce de nouvelles restrictions pour contenir la pandémie, l’EuroMillions Basketball League débutera bien à la date prévue. « La date de début de l’EuroMillions Basketball League est maintenue au 6 novembre, malgré l’annonce que les matchs devront se dérouler sans public jusqu’au 19 novembre. Toutefois, les clubs visités ont la possibilité de reporter les matchs des deux premières journées à une date ultérieure où le public pourra possiblement à nouveau assister au match et les restrictions imposées à l’horeca ont éventuellement également été levées » peut-on lire dans le communiqué officiel.

Crédit Photo: S. El H.

Privés de ballon ! Quid de la suite ?

Les basketteurs liégeois sont à nouveau privés de ballon. Quid de la suite ? Résumé de la situation et analyse des différents scenarii proposés par l’AWBB.

Privés de l’adrénaline de la compétition, les basketteurs liégeois avaient encore la chance de pouvoir s’entrainer en respectant les règles sanitaires en vigueur. Des entrainements sans contact, axé sur le shoot, le dribble, la condition physique ou des mouvements spécifiques qui permettaient encore aux passionnés de la balle orange de peaufiner leurs « skills » et de partager – avec 1,50 mètres de distance – quelques heures de camaraderie avec leurs coéquipiers. « Tant que nous pourrons nous voir, nous le ferons afin de préserver ce que la situation actuelle met tellement à mal et qui est pourtant l’essence de notre sport, de la société en général et certainement de ma motivation personnelle: les relations humaines » nous confiait ainsi Jérôme Jacquemin en début de semaine. « « J’aime bien travailler le shoot et le physique, cela ne m’a jamais dérangé. Mais cela ne remplace pas le « cinq contre cinq » (rires) », ajoutait, lui, Jérôme Niedziolka.

Vendredi, dans la matinée, le gouvernement fédéral annonçait les nouvelles (?) mesures prises pour lutter contre la propagation endémique du Covid-19. Hormis l’obligation de jouer à huis-clos pour le sport professionnel, rien ne changeait pour nos basketteurs qui se voyaient toutefois informés que les matchs étaient interdits jusqu’au 19 novembre, rendant de facto impossible une reprise au huit novembre comme l’envisageait le premier scénario de l’AWBB. En début de soirée, rejoignant ainsi l’avis des différents experts, le gouvernement wallon décidait d’aller plus loin dans les restrictions afin, principalement, d’éviter une saturation dans les hôpitaux qui sont déjà, de l’avis unanime, plus que sous tension. Parmi les mesures annoncées: la suspension des entrainements pour les plus de douze ans. Un coup dur – même si, bien évidemment, la situation actuelle est plus qu’interpellante et reçoit logiquement la priorité – et pour tous les passionnés qui se voient à nouveau privés du bruit du ballon qui rebondit sur le parquet et de la balle qui transperce le filet.

Sans autorisation de retrouver les terrains avant le 19 novembre et sans même parler de compétition, il devient difficile d’imaginer rejouer des matchs en 2020, d’autant plus que rien ne nous assure que la situation sanitaire aura favorablement évolué dans un mois. Sans vaccin, même 2021 s’annonce être une année pleine d’incertitudes, notamment pour le sport amateur. Dès lors, il convient de s’interroger sur la suite possible. Une saison blanche ou un demi-championnat à partir de janvier ? Les deux options ont leurs arguments et leurs défenseurs.

Deux options sur la table

Une saison blanche permettrait d’éviter de sérieux casse-têtes au niveau du calendrier et aurait l’avantage de permettre à chaque basketteur, peu importe son niveau, de continuer à pratiquer son sport. Compte-tenu que le virus n’aura malheureusement pas disparu après la Saint-Sylvestre, opter pour une saison blanche permettrait aussi de maintenir une certaine équité sportive, le risque que de nombreuses rencontres se déroulent sans que certaines équipes puissent aligner leurs pions majeurs étant réel. Cela pourrait aussi permettre l’éclosion de jeunes talents. « A mes yeux, il faut absolument opter pour une saison blanche en jouant ce qui peut l’être et en laissant peut-être des jeunes sauter des divisions inférieures afin de compléter des groupes décimés par le virus » avance Nicolas Gerads dont le club de Waremme a mis les entrainements sur pause depuis une semaine. « Nous pourrions peut-être ainsi donner leur chance à des jeunes d’évoluer sans pression et peut-être verrions nous ainsi des gars exploser. »

Le principal argument en faveur d’un demi-championnat réside indéniablement dans la motivation. Plusieurs coachs, joueurs et dirigeants arguent ainsi que sans montée ni descente, avec simplement une succession de matchs « pour du beurre », les pratiquants risquent de perdre leur motivation. Cela peut se comprendre, l’aspect compétition donnant bien souvent aux matchs une saveur toute particulière. Néanmoins, logistiquement, il ne sera pas évident de mettre en place ce demi-championnat. Primo, car des rencontres risquent encore d’être annulées et devront, elles, être rejouées alors que le calendrier sera resserré. Secundo, car avant de rejouer des matchs à enjeux, les équipes auront fort logiquement besoin d’une période préparatoire.

L’AWBB sollicite l’avis des clubs

Ces deux options sont sur la table et quatre scenarii sont envisagés par l’AWBB qui a envoyé un questionnaire à tous les clubs ce samedi matin.

« Le premier scénario vise l’arrêt définitif de toutes les compétitions de la saison 2020-2021 (saison blanche). Les clubs sont toutefois libres d’organiser des rencontres amicales ou de participer à des rencontres hors classement organisées par les comités provinciaux. La saison 2021-2022 redémarrera avec la même composition des divisions » peut-on lire dans l’enquête envoyée aux clubs.

Le second scénario vise la reprise de la compétition selon différentes modalités. La première option voit la compétition reprendre à partir du week-end des 9 et 10 janvier 2021 moyennant l’autorisation des autorités accordée au plus tard le 5 décembre 2020. Il y a encore 21 week-ends jusqu’à la fin mai. Cette option est subordonnée à la reprise des entraînements avec contact au plus tard à la mi-décembre. La seconde option voit la compétition reprendre le week-end des 6 et 7 février 2021 moyennant l’autorisation des autorités accordée le 8 janvier au plus tard. Il y a encore 17 week-ends jusqu’à la fin mai. Cette option est subordonnée à la reprise des entraînements avec contact au plus tard à la mi-janvier. Reprise de la compétition le week-end des 27 et 28 février 2021 pour la troisième option, moyennant l’autorisation des autorités accordée le 31 janvier au plus tard. Il y a encore 14 week-ends jusqu’à la fin mai. Cette option est subordonnée à la reprise des entraînements avec contact au plus tard début février 2020. « En tout état de cause, si la compétition n’a pas commencé les 27 et 28 février 2021, elle sera définitivement arrêtée et le scénario 1 sera d’office appliqué » précise le mail de la fédération.

Les options sont sur la table, reste à faire le bon choix désormais en tenant compte des facteurs humains, sanitaires, économiques (de nombreux clubs sont réellement sous pression, privés de rentrées financières et également d’une partie des cotisations) et sociaux. Un vrai casse-tête, sans aucun doute.

Paris-sur-Basket

Par les temps qui courent, les activités au grand air doivent être privilégiées. Voilà pourquoi on vous propose de vous oxygéner, par la photo, via une série de terrains extérieurs sortant de l’ordinaire. Pendant ce temps, le tandem Petit-Allemand s’apprête à se produire à la frontière belge en Coupe de France. Ce sont les infos d’EMCE.

Terrains extérieurs : pas que le Sénat au jardin du Luxembourg !

Dans la foulée de la série liégeoise du début d’année, place en cette fin 2020 à quelques terrains extérieurs étonnants. Pour leur conception ou pour leur emplacement. Ainsi, on sait que le Sénat français se niche au jardin du Luxembourg. On ignore plus volontiers que ce splendide espace vert du 6e arrondissement de Paris constitue, aussi, un paradis pour les sportifs avec notamment six courts de tennis, deux emplacements de pétanque et donc le terrain de basket extérieur que vous avez sous les yeux. Faut-il préciser qu’il ne fait pas vraiment le bonheur des loueurs de chaises en quête de tranquillité pour leurs clients ?

Lattes/Montpellier avec Romana Hedjova à la frontière belge

Par ordre chronologique, les Gazelles ont d’abord pourvu au remplacement d’Ana Dabovic, out pour un certain temps. L’intérim sera assuré par la Tchèque, Romana Hedjova (32 a, 1,84 m), rôdée au championnat hexagonal. Ensuite, les Héraultaises ont pris connaissance de leur adversaire en 1/8e de finale de la Coupe de France : Saint-Amand. Le match aura lieu en déplacement, en principe, le mercredi 9 décembre prochain à 20 heures. Autrement dit, les Allemand, Petit et Cie se produiront ainsi à une dizaine de kilomètres de la frontière belge.

Crise sanitaire : le Centre AWBB de Jambes tourne au ralenti

Pas mal de jeunes basketteurs liégeois fréquentent le Centre AWBB de Jambes. Lui aussi paie un lourd tribut à la crise sanitaire actuelle. D’après ses responsables, sur les 43 pensionnaires habituels, moins d’une vingtaine (17/18) n’est sont pas inquiétée par le virus. Vu les circonstances, le Centre fait donc avec les moyens du bord et tourne au ralenti avec des coaches privilégiant les drills individuels. En attendant des jours meilleurs…

A Natoye, Laurent Constantiello a un nouveau président

On reste en province de Namur où le (sympathique) cercle de Natoye possède un nouveau staff de direction. Enfant du club, Yves Van Wonterghem – et grand copain de Laurent – en devient le président. Il sera épaulé dans sa tâche par Patrick Scheurs et par Pierre Legrand. A noter que Françoise Labar, l’ancienne « boss », s’occupera désormais du secrétariat. Elle n’en aura donc pas moins de boulot et les « scribes » des clubs savent de quoi je parle…

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : Paris Tourisme

« Attendre la moindre erreur »

Miami a souvent utilisé la zone lors des derniers Playoffs. Mais face aux Lakers, cette défense a montré ses limites.

Contrairement aux divers championnat européens, la zone est rarement utilisée en NBA. Longtemps interdite, elle reste peu appréciée des techniciens américains, au grand dam d’Yves Dehousse. Pourtant, dans la « bulle » d’Orlando, Miami, équipe surprise des Playoffs, a régulièrement sorti une zone match-up de ses cartons pour des résultats probants.

Toutefois, en finale face aux Lakers, cette défense n’a guère perturbé les Angelinos. « Une chose que je peux vous dire. Si vous avez Rondo et LeBron sur le terrain dans un match au même moment, et que vous décidez de passer en défense de zone… Ils vont simplement analyser le jeu et attendre la moindre erreur de lecture. Ainsi, quand vous allez réagir à un moment, ils vont parfaitement saisir l’opportunité pour distribuer une passe décisive » a analysé  Kevin Durant.

« Ma fierté en prend un coup »

Il a fallu un virus venu de Chine pour que la torche humaine pepine s’arrête de s’embraser chaque week-end. Entretien.

Nico, t’attendais-tu à ce que la saison soit mise en stand-by ?

Au fond de nous, je pense que nous nous y attendions tous un peu. Nous espérions pouvoir continuer à jouer mais, évidemment, nous nous doutions que les conditions sanitaires actuelles risquaient de conduire à un arrêt de notre sport.

Quels sentiments t’habitent ?

Sans aucune surprise: de la frustration. Cela faisait tellement plaisir de reprendre le sport avec l’esprit de compétition. Devoir tout suspendre d’un coup, même si c’est pour une raison plus que valable, reste difficile à avaler.

Allez-vous continuer les entrainements sans contact ?

Nous aurions voulu continuer des entrainements shooting et physique mais le club n’est pas pour, ce qui est compréhensible et plus responsable, je trouve.

Vas-tu bosser ta condition physique de ton côté pour garder la forme en vue d’une éventuelle reprise du championnat ?

Je pense que je vais me mettre plus sérieusement à la course à pied ! Ma copine court énormément et j’espère pouvoir profiter de cette occasion pour enfin la battre car ma fierté en prend un coup (rires). Blague à part, j’ai aussi accès à la salle de sport depuis que je travaille chez Kinéo – depuis plus d’un an déjà – et je vais donc en profiter pour me maintenir en forme dans les semaines qui viennent.

Selon toi, vers quoi se dirige-t-on ?

Pour l’avenir, je n’ai aucune idée. J’ai bien sûr envie de reprendre le basket, de repasser des troisièmes mi-temps à la buvette et de profiter simplement de la vie dans les salles de basket mais je comprends tout à fait les différentes mesures sanitaires. Cela prendra le temps qu’il faudra, la priorité actuelle est clairement de ralentir la montée des chiffres. Je ne vais donc pas me plaindre d’un arrêt même si c’est frustrant, d’autant plus qu’à titre personnel et collectif, le début de saison s’était fort bien déroulé.

N.B. : cet entretien a été réalisé avant l’annonce vendredi des dernières nouvelles mesures des gouvernements fédéral et wallon.