Face aux Rockets qui l’avaient mis au placard sans ménagement, Carmelo Anthony a livré une excellente prestation sublimée par un panier clutch pour offrir la victoire à RIP City. Une gestion des moments chauds que « Melo » apprécie tout particulièrement.
Depuis qu’il a retrouvé un strapontin chez les Blazers, Carmelo Anthony prouve – si besoin était – qu’il a encore du basket plein les mains. Face aux Rockets, il a livré une prestation impeccable (15 points et 11 rebonds) sublimée par un triple décisif dans la dernière minute afin d’offrir la victoire à Portland contre son ancienne équipe de Houston.
Toujours efficace, toujours clutch, « Melo » a encore de belles années devant lui! Sa « clutchitude » est précieuse pour des Blazers en course pour arracher en place en Playoffs. « C’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas. Quand on l’a, on l’a pour toujours » confiant « Melo » à ESPN. « Il faut le vouloir aussi, il faut se mettre dans ces situations, prendre ces tirs et se réjouir de vivre des moments comme ça.«
Malgré son pessimisme, Pierrick Van Den Brule croise les doigts pour que le championnat démarre début octobre en même temps que la Foire de Liège. Entretien.
Pierrick, comment as-tu réagi à l’annonce du report de la reprise du championnat ?
J’étais très déçu. Le basket me manque énormément. Personnellement, j’ai cru que tout redeviendrait normal lorsque, fin juin, la seconde vague tant attendue ne se manifestait pas. Mais vu les nouveaux chiffres, la décision de la fédération est la bonne. De plus, notre premier match de championnat était à Anvers. Ce n’est pas trop le moment de nous rendre là-bas je pense (rires).
Du coup, il va te falloir te débrouiller pour peaufiner ta condition physique de ton côté.
Oui et c’est vraiment dommage car j’étais prêt physiquement et voilà que tous mes efforts sont réduits à néant. Il ne faudra pas râler si, en début de saison, on constate que j’ai pris quelques kilos (rires). Plus sérieusement, je fais un peu de vélo et je vais courir – mais très peu – de temps en temps. C’est évident qu’un travail de remise en forme devra être effectué avant de pouvoir rejouer des matchs. De plus, contrairement aux autres années, je ne peux pas aller jouer tous les jours à la Plaine de Cointe.
Es-tu optimiste pour une reprise début octobre ?
Malheureusement non, je ne pense pas que le championnat reprendra en octobre. Le sport n’est pas du tout la priorité pour le moment et c’est tout à fait normal. Je pense que nous nous dirigeons plus vers une reprise en janvier mais j’espère me tromper et recommencer la compétition avant et surtout pas après ! Nous allons croiser les doigts et respecter les mesures pour le permettre. Et peut-être aurais-je une bonne surprise début octobre avec la reprise du basket et surtout l’ouverture de la Foire à Liège (rires) !
Qu’est-ce qui te manque le plus depuis que la compétition s’est stoppée brutalement mi-mars ?
Ce qui me manque le plus, c’est vraiment de jouer des matchs, avoir de la compétition et être habité par l’envie de gagner. Je ne retrouve cette envie dans aucun autre sport. Sur un terrain, je trouve que c’est beaucoup plus facile de faire des efforts physiques pour me surpasser. Je ne retrouve pas cela ailleurs. Revoir mes coéquipiers et fêter après nos matchs, cela me manque aussi, tout comme aller voir des matchs, revoir d’anciens coéquipiers et des amis.
Investir dans sa structure, le premier conseil de Serge Crevecoeur via Coach to Coach by Swich.
La plate-forme Coach to Coach by Swish diffuse d’intéressantes capsules vidéo pour aider les coachs sur différents aspects de leur job. Ici, l’épisode un avec Serge Crevecoeur.
Le brave Niksa doit se dire que Vevey a pas mal de points communs avec le Pepinster de fin de règne… Pendant ce temps, cette « belle plante » d’Andy Van Vliet s’apprête à débuter sa carrière professionnelle en Lituanie. Sans oublier un consultant de la télé belge privilégiant Alaphilippe par rapport à Van Aert. Ce sont les infos d’EMCE.
Vevey n’a pas obtenu sa licence pour le prochain championnat
Le championnat de D1 suisse part-il en sucette ? On peut se poser la question quand on sait qu’une formation a préféré se retirer (faute de moyens financiers) et que deux autres n’ont pas obtenu leur licence en première instance. Elles sont allées en appel et Monthey a obtenu le fameux sésame. Ce qui n’est pas le cas de Vevey (photo). Bref, Niksa Bavcevic et les siens sont interdits de compétition. Du moins jusqu’à présent car le club de la Riviera s’apprête à réclamer la juridiction du Tribunal Arbitral du Sport (TAS). Voilà qui ne va améliorer les relations entre le bouillant président de Vevey et les huiles de la fédération helvétique…
Le géant anversois, Andy Van Vliet, signe en Lituanie
On vous l’accorde, il n’est pas très connu sur notre « plantète basket ». Pourtant, le géant Andy Van Vliet (25 a, 2,10 m) demeure sur une dernière campagne en NCAA pour le moins convaincante : 13,2 points et 8,9 rebonds au sein de la réputée université de Williams and Mary. Désormais, l’Anversois redécouvrira notre basket continental puisqu’il vient de s’engager, pour les deux prochaines années, avec le BC Siauliai (D1 lituanienne). A quand une sélection chez les Lions ?
La pépite ( ?) du week-end
Ok, elle n’a rien à voir avec le basket, mais elle m’a fait bondir, samedi, dans mon divan. Malgré la canicule. On est en plein suspense, sur la RTBF, pour savoir qui remportera Milan – San Remo : Van Aert ou Alaphilippe ? Au micro, Rodrigo Beenkens et son horripilant comparse, le Nordiste Cyril Saugrain. Et celui-ci, dans l’emballage final, de subitement s’époumoner : « Allez Julian ! » Avant de se rendre compte qu’il est rétribué par un employeur (d’Etat) belge et d’ajouter sur un ton monocorde à peine audible « Allez Wout ». Prenons l’éventualité, dans un cas similaire, d’un consultant belge criant sur France 2 ses préférences pour le Campinois par rapport au coureur français. Je vous laisse imaginer les réactions…
La télé crève l’écran
Même si Eleven Sports a tenu la vedette, ce week-end, grâce à la reprise du championnat de foot, la chaîne n’en poursuit pas moins sa couverture de la NBA. Pour preuve, vous pourrez suivre, à 0 h 30, la confrontation opposant Toronto à Milwaukee.
« Je ne pense pas que quiconque ait perdu le moindre respect pour Dame parce qu’il a raté des lancers-francs. Ce soir, il a montré la détermination et la volonté dont il a fait preuve toute sa carrière. Personne n’était inquiet pour lui » précisait Terry Stotts. « Je voulais jouer d’une certaine façon aujourd’hui. On a laissé filer un match qu’on aurait dû prendre hier, et c’est en grande partie à cause de moi donc ce soir, j’étais genre ‘Ça n’arrivera pas’. Après le match, je m’en voulais, j’étais frustré. Mais c’est comme ça. J’ai parlé à l’un de mes meilleurs amis et il m’a dit ‘Ce n’est pas arrivé pour rien. Tu as connu beaucoup de gros moments, et généralement tu en sors gagnant, il faut bien que cela s’équilibre un peu parfois et que tu doives faire face à une certaine adversité’. J’ai eu la chance de revenir sur le terrain dès aujourd’hui, donc je suis passé à autre chose » ajoutait le héros du jour.
Fin de série pour JJ Reddick mais pas encore pour les Spurs, ça commence à sentir le roussi pour les Grizzlies, Lillard passe la barre des 50 points et Austin Rivers celle des 40, exploits des Nets qui se qualifient pour les Playoffs et le réveil de Gordon Hayward pour les Celtics: c’est le résumé de la nuit en NBA.
Cela faisait treize saisons consécutives que JJ Reddick disputaient les Playoffs mais l’arrière des Pelicans devra cette fois les regarder à la télé. A l’inverse, San Antonio, présent en post-season depuis 23 années d’affilée, a encore une chance de prolonger cette incroyable série. La franchise texane a dominé New Orleans 122-11 malgré la rage de vaincre de Reddick (31 points en sortie de banc) et l’apport de Williamson (25 points en 27 minutes). DeRozan termine meilleur marqueur des Spurs avec 27 points.
Autre franchise éliminée: Washington. Les Wizards n’ont pas réussi à vaincre OKC et se sont inclinés 121-103. Cela commence aussi à sentir le roussi pour les Grizzlies qui ont perdu pour la cinquième fois en six matchs dans la bulle. Ce sont les Raptors (Siakam 26 points) qui ont cette fois dominé Memphis, 108-99.
Par contre, grâce à sa victoire contre les Clippers 129-120, les Nets s’emparent de la septième place à l’Est. Un exploit compte-tenu du nombre de blessés que compte la franchise new yorkaise. Les 39 points de Leonard n’ont pas suffi face à ces Nets en mission. LaVert (27 pions et 13 passes), Harris (25 unités), Allen (16 points et autant de rebonds), Temple (19 points et 6 rebonds) et Johnson (21 points). Qui a dit que Brooklyn avait besoin de Kyrie Irving ?
Les Blazers ont eux besoin de Damian Lillard. Vingt-quatre heure après avoir raté des lancers cruciaux contre les Clippers, « Dame » s’est rattrapé en collant 51 pions (et 7 passes) aux Sixers. Comme en plus « Melo » était chaud (21 points et 7 rebonds), Portland l’a emporté 124-121. « Je me souviens juste d’avoir regardé là-haut parce que je voulais qu’on prenne l’avantage et qu’on ne le lâche plus au lieu de courir après le score, parce que ce n’est pas une position confortable de se dire ‘On a 2 points de retard, s’ils marquent, ils peuvent prendre 5 points d’avance en mettant un tir ici’. Donc j’ai simplement regardé le tableau en me disant ‘Ok, maintenant on s’éloigne d’eux, on finit le match. On arrête de foutre en l’air notre saison’. C’est vraiment ce à quoi je pensais quand j’ai regardé là-haut » expliquait Lillard après la victoire des Blazers, toujours en course pour les Playoffs.
Record points pour Austin Rivers ! En sortie de banc, le fils de Doc Rivers a planté 41 points à 6 sur 11 derrière l’arc pour aider Houston a vaincre Sacramento 129-112. Harden a ajouté 32 points, 8 rebonds et 7 passes pour faire bonne figure. « Tu continues de te dire : ‘Tu peux le faire, tu peux le faire, tu peux le faire, tu peux le faire’ lors de soirées comme ça. Je crois dans le fait que je suis un scoreur d’élite. C’est le sentiment que j’ai, mais je suis dans une équipe où on n’a pas besoin de ça de ma part chaque soir. Je joue avec le meilleur scoreur en NBA et je joue avec un autre des meilleurs scoreurs NBA en l’occurrence Westbrook et Harden Donc tu dois jouer un autre rôle et adhérer. C’est comme ça pour gagner et c’est la situation dans laquelle je suis donc c’est ce que je fais. Mais ne vous méprenez pas, je peux scorer. Quand tu es dans la zone, il n’y a rien de mieux que ça. C’est simplement différent. C’était une soirée fun, vraiment fun » confiait Austin Rivers après la rencontre. « “Je sais que cela parait drôle, mais c’est tout simplement comme ça que tu dois te sentir. Que tu sois à 0/6 ou 6/6 ou 8/8, ça n’a pas d’importance. Je ne pense pas que tu arrives à ce niveau en pensant que quelqu’un peut défendre sur toi. Je suis évidemment un joueur de 1-contre-1. J’ai toujours le sentiment d’avoir une chance de scorer face à n’importe qui. Que les gens le voient ou non, ça, c’est leur problème, mais je sais comment je me sens. »
Une perf saluée par James Harden himself. « Il était tout simplement en mode attaque. Il est à la salle le matin, il shoote et bosse sur son jump shot, donc cela lui donne confiance. Évidemment en l’absence de Russ et Eric, nous avons besoin qu’il soit un peu plus agressif et c’est ce qu’il a fait » soulignait le barbu.
29 points, 9 rebonds et 6 passes pour Jayson Tatum et 31/9/5 pour Gordon Hayward dans la victoire des Celtics contre Orlando 122-119.
A Boston, Kevin Garnett ne rigolait pas avec la bouffe.
Visiblement, Kevin Garnett ne fait pas partie de ceux qui acceptent qu’on vienne chiper de la nourriture dans son assiette.
« C’était après un match. On était dans le vestiaire et, comme à chaque fois, il y avait un buffet pour les joueurs. On brûle beaucoup de calories pendant les matches donc on attend souvent ça avec impatience » raconte Paul Pierce. « Je me souviens qu’en sortant de la douche, on a vu quelques personnes qui ne faisaient pas partie de l’équipe en train de se servir dans notre nourriture. C’était des médecins qu’on avait quasiment jamais vu.Là, Kevin Garnett s’est approché d’un des gars et a éjecté l’assiette de ses mains. Il lui a dit : ‘c’est la nourriture des joueurs’. Je crois que je n’ai plus jamais revu ce médecin ensuite…«
En nets progrès lors de la deuxième partie de championnat suite à l’arrivée de Jean-Luc Selicki à la tête de l’équipe, François Marichal et Prayon pourraient bien devenir la bonne surprise de la saison 2020-2021.
La saison:
« Cette saison fut très particulière. Globalement, nous avons vécu une saison en dents-de-scie avec pas mal de rebondissements : quelques blessures, le changement de coach à la mi-saison et puis le coronavirus. Concrètement, nous avons manqué de régularité, nous sommes passés à côté de certains matchs et d’autres furent perdus sur le fil. Ça laisse un goût amer. Mais la saison prochaine, nous revenons avec le couteau entre les dents. »
Le classement de Prayon:
« En tant que montant, notre premier objectif était clairement le maintien, donc ça, c’est accompli. Mais le second était d’aller le plus loin possible dans ce championnat, jouer un peu le rôle d’outsider et chambouler la tête de classement. De ce côté-là, nous restons clairement sur notre faim.«
La P2A:
« Notre série était assez indécise avec un milieu de classement très serré où se tenaient sept ou huit équipes à une ou deux victoires d’écart. De weekend en weekend, la position dans le classement pouvait très vite changer. C’est ce que j’aime dans cette catégorie, il n’y a pas d’équipe intouchable. Tout le monde peut battre tout le monde, ce qui donne envie de jouer chaque match à fond. »
Ses prestations:
« Malgré cette année difficile, je me sentais très bien sur le terrain. Au fil de la saison, nous manquions d’adresse à distance, ce qui était une de nos forces la saison précédente. J’ai donc commencé à développer un peu plus cette partie de mon jeu et au fur et à mesure de la saison, cela a payé. J’en suis plutôt content car c’était une lacune dans mon jeu. Je ressentais la confiance du coach en moi et cela m’a permis de faire quelques matchs à vingt ou vingt-cinq points. C’est agréable d’un peu scorer de temps en temps.«
Les moments forts:
« Évidemment, nous ne pouvons pas passer à côté du changement de coach à la mi-saison qui a eu un gros impact positif sur l’équipe. Jean-Luc Selicki a repris l’équipe en main et l’a remise sur de bons rails. Il a fallu réapprendre des systèmes en cours de saison – ce qui prend du temps – mais notre jeu s’améliorait clairement et nous montions en puissance. Malheureusement, la saison s’est terminée trop tôt pour que le travail effectué depuis janvier paye mais ça augure de très bonnes choses pour la saison prochaine. »
Ses coups de cœur:
« Nous avons réussi quelques gros matchs – contre Visé et Comblain notamment – où on a pu sentir le potentiel qu’avait l’équipe. Ce sont des victoires qui furent importantes dans la deuxième partie de saison afin de reprendre confiance. En début de saison, nous avons accueilli deux nouvelles recrues, Xavier Selicki et Thomas Broset, qui ont vraiment été de bons renforts pour l’équipe et se sont très bien intégrés au club. Donc quand il y a de bons transferts ça fait toujours du bien. »
Ses regrets:
« Il y en a beaucoup, notamment tous ces matchs contre les grosses équipes du championnat, comme à Pepinster ou les deux contre Tilff, pour lesquels nous faisons de très bons matchs. Mais, plusieurs fois, nous nous sommes écroulés dans les cinq dernières minutes parce qu’il y avait trop de relâchement ou que nous n’étions pas assez décisifs. Notre mauvaise gestion des fins de matchs fait partie des points faibles qui nous ont clairement empêché de glaner de grosses victoires qui auraient pu changer le regard que nous portons sur notre saison. »
Déception: c’est le terme qui colle le mieux aux sentiments que ressent Quentin Fassotte depuis l’annonce de l’annulation de la reprise pour le mois d’août alors qu’il avait déjà débuté sa préparation avec son équipe de Verviers. Interview.
Quentin, c’est la déception qui prime à l’annonce du report de la reprise du basket ?
Oui, je suis forcément déçu car c’est ce que j’attendais: pouvoir rejouer des matchs avec un peu d’intensité et, surtout, un peu de compétition ! D’autant plus que nous venions de reprendre les entrainements depuis une semaine et que le groupe commençait à prendre forme.
Du coup, comment vas-tu bosser ta condition physique durant cette période ?
Je vais essayer d’aller courir même si je ne suis pas fan du « running » (rires), je vais continuer à shooter sur le côté et essayer de former une bulle avec des potes pour nous voir et jouer un peu pour conserver la forme.
C’est la compétition qui te manque le plus ?
Oui, le manque de compétition commence à se faire ressentir. Nous n’avons plus joué de matchs depuis le mois de mars et cela devient long. Et puis, boire un verre après le match avec les adversaire dans une bonne ambiance me manque aussi.
As-tu bon espoir de voir le championnat débuter début octobre ?
Oui, je suis positif pour le démarrage de la saison en octobre mais je suis surtout impatient. Cependant, nous en sommes encore loin et il faudra voir comment la situation évolue d’ici-là. Je crois que cela ferait beaucoup de déçus si nous ne reprenions pas la saison en octobre et que celle-ci était reportée en 2021.
Le duel belgo-belge entre Julie Allemand et Emma Meesseman a tourné en faveur de la Liégeoise même si les deux Belgian Cats se sont particulièrement illustrées.
Comme les pronostics l’envisageaient, Washington prenait le meilleur départ pour se détacher de trois unités après le premier quart. Le second acte allait se révéler fatal pour les filles de la Capitale qui rentraient aux vestiaires avec un débours de treize points qu’elle ne parvenaient jamais à réellement combler en deuxième période. Indiana prenait ainsi sa revanche, 84-91, plongeant un peu plus les Mystics dans le doute.
Cette rencontre valait le coup d’œil pour le second affrontement de la saison entre les Belgian Cats Emma Meesseman et Julie Allemand. L’intérieur de D.C a compilé 19 points, 2 rebonds et 3 passes tandis que la jeune meneuse d’Indiana s’est distinguée avec 13 points (à 4 sur 5 aux tirs dont 3 sur 4 de loin), 6 rebonds, 5 passes et 2 contres. La Belgique a ainsi rayonné sur les parquets d’outre-Atlantique.