Starter pour Panthers !

En vue d’une compétition particulièrement relevée, les Mosanes mettront les bouchées doubles en avant-saison. Sans oublier bientôt un stage exclusivement féminin, à Jupille, dédié à Elia Fontaine. La meilleure marqueuse de notre dernier championnat prend la direction de la Suède et une néo-Namuroise à Bormio. Ce sont les infos d’EMCE.

Une préparation aux petits oignons pour les Liégeoises

A l’évidence, on n’a pas chômé dans les bureaux du Bois St-Jean. Du coup, les Panthers (photo) auront droit à une préparation de saison aux petits oignons. En voici le menu détaillé : contre Boom (d. 16/08, 15 h, Bois), à Boom (j. 22/08, 20 h), aux Kangoeroes Malines (d. 30/08, 17 h), contre Kangoeroes Malines (s. 05/09, 18 h 30, Bois), contre Steinsel (me. 09/09, 19 h 30, Bois), tournoi international au Country Hall avec Namur – Den Helder (s. 12/09, 16 h) et Panthers – Dudelange (s. 12/09, 18 h 15) ; consolation (10 h 30) et finale (14 h 15) le dimanche 13. Au boulot !

Un « stage 100 % filles », à Jupille, en faveur d’Elia Fontaine

Afin de conférer un coup de pouce supplémentaire à Elia Fontaine, les bénéfices engendrés par l’évènement suivant seront versés à son crowfunding. En réalité, il s’agira d’un « stage 100 % filles » (U14 aux U19) qui aura lieu, le vendredi 21 août prochain, dans les installations de l’Athénée Jupille. Et ce, de 9 à 16 heures. On doit cette splendide initiative à Nina Crelot, Pascal Vanderoost, Mike De Keyser, Maël Wuidart et Geoffroy Melot qui « paieront » de leur personne sur le parquet mosan. Infos et inscriptions : vanderoostpascal@gamil.com.

Départ de la top marqueuse et une ex-Namuroise en Italie

Il fallait le prévoir en regard à ses impressionnantes « stats », la meilleure marqueuse de notre dernier championnat de D1 ne s’éternisera pas en Belgique. Autrement dit, Jessica Kellher (23 a, 1,83 m) troque sa vareuse anversoise pour celle de Visal, en Suède. Quant à Julie Wojta (31 a, 1,83 m), elle séjourna deux saisons au hall Octave Henry, de Saint-Servais. La puissante Américaine quitte Guernica pour Campobasso, en Série A italienne. Reste la néo-Namuroise, Lin Schwarz, qui a été reprise dans la sélection suisse U18 partant en stage du 26 au 31 juillet, à Bormio. Un endroit qu’il ne faut plus présenter au duo Bozzi-Waseige…

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : Liège Panthers

Un ailier de 2,18 mètres et le come-back de D-Wade

Ce sont les rumeurs folles du jour en NBA.

Drafté par les Nuggets, Bol Bol n’a pu encore disputer la moindre minute en NBA à cause de diverses blessures. Le fils de Manute Bol – 2,30 mètres sous la toise – est plus « petit » que son paternel mais culmine tout de même à 2,18 mètres. Disposant d’une palette technique intéressante et d’une bonne mécanique de tir, le géant serait pressenti pour être aligné sur le poste 3 par Mike Malone. Après tout, le pivot des Nuggets – l’incroyable Nikola Jokic – étant le meilleur passeur de l’équipe, la franchise de « High Mile City » n’en est plus à une anomalie près…

Autre rumeur qui enfle ces derniers jours: l’éventuel come-back de Dwyane Wade. La légende du Heat s’entraine quotidiennement et serait dans la forme de sa vie. Un retour en NBA ou un passage par la BIG3 League ? « Je ne sais pas si de plus en plus de gars se mettront à jouer dans ces ligues, mais avoir des plateformes comme la BIG3 League et le TBT est clairement intrigant et ça a l’air sympa d’en faire partie. La camaraderie et l’esprit d’équipe dans le vestiaire sont clairement ce qui me manquent le plus dans le sport. Donc tout est possible » a ainsi déclaré D-Wade.

Le prix du poissard du jour revient à Easy-B. Déjà suspendu pour les cinq premiers matchs qu’il devait disputer avec les Nets, Michael Beasley n’en jouera finalement aucun. Testé positif au Covid-19, l’ancien scoreur fou a déjà fait ses valises. Un come-back qui fait « pschiiit »…

« Il n’a pas dû faire ça depuis l’âge de neuf ans »

Grâce à la « bulle » d’Orlando, LeBron James peut (presque) mener une existence normale.

A Disney, les joueurs NBA sont dans une « bulle », privés de contact avec l’extérieur. Là, sans les fans qui les assaillent au quotidien, les stars NBA peuvent vivre simplement. De quoi étonner Kemba Walker qui, avec les Celtics, partage son hôtel avec plusieurs autres franchises dont les Lakers de LeBron James. « C’est très rare de voir ‘Bron’ marcher seul et être à l’aiseJe me disais qu’il n’a probablement pas dû faire ça depuis l’âge de neuf ans : être capable d’être aussi à l’aise en marchant, ne pas s’inquiéter des gens qui viennent vers lui et le déranger pour lui demander quelque chose. Maintenant, c’est juste normal, vous voyez ? Ce n’est pas ordinaire, mais il peut être à l’aise et se promener confortablement, donc je pense que c’est plutôt cool » a rigolé le meneur de Boston.

« Les Rockets et la défense, ça fait deux »

Qui pour gagner le titre cette année ?

Les joueurs des Rockets ont repris l’entrainement. « Cela s’est mieux passé que je ne l’avais anticipé. Je pensais que des ballons allaient voler partout et que nous allions manquer de souffle. Mais en fait nous avions l’air vraiment bien. Ce qui m’a surpris plus que tout c’est notre défense. Je sais que les Rockets et la défense ça fait deux, mais nous avons été solides défensivement aujourd’hui. Et offensivement nous avons fait circuler le ballon » a commencé Austin Rivers.

« C’était bien. Nous avons augmenté la charge de travail progressivement et nous y sommes allés vraiment à fond. Nous n’avons pas joué très longtemps en 5-contre-5, mais j’ai trouvé que c’était vraiment bien, l’intensité défensive était super élevée » a ajouté Mike D’Antoni. « Beaucoup de joueurs ont été bons. La défense c’est avant tout un travail collectif et l’intensité était bonne de la part de tout le monde, des deux équipes. Lors du scrimmage Eric Gordon est sorti du lot. Il a balancé des bombes. Il avait l’air vraiment bien. Comme toujours Covington a été bon. Beaucoup de gars ont été bons, il y avait beaucoup d’intensité, c’était un bon jour.« 

Les Rockets avaient quelques absents mais sont très ambitieux. « Ca change un peu. Défensivement cela ne devrait rien changer. Offensivement bien sûr nous allons nous appuyer en grande majorité sur ces deux gars. Mettre Eric dans le rythme et dans le groove est très important. Puis c’est bien aussi de permettre aux autres gars d’avoir plus d’opportunités que d’habitude. Nous allons nous ajuster et les réintégrer quand ils reviendront. Mais le basket reste du basket. Nous allons jouer différemment avec eux. Cela ne devrait pas être un problème. Quand ils arriveront, nous augmenterons progressivement leur change de travail en fonction de leurs besoins et j’espère que pour les 8 premiers matchs nous serons prêts. Si ce n’est pas le cas, ça le sera sans aucun doute pour les playoffs » a rajouté le coach du Houston.

« C’est un ajustement de jouer sans James et Russ à l’heure actuelle puisqu’ils sont une part importante de notre attaque. Cela sera un ajustement encore plus important quand ils seront là. Mais c’est bien à certains égards parce que l’énergie est vraiment géniale en ce moment. J’imagine que pour la plupart des équipes d’ici jeudi, vendredi, le niveau d’énergie va un peu baisser en raison du nombre d’entraînements consécutifs. Mais quand nous aurons James et Russ, ce sera un coup de boost. Ce sont de deux cinq meilleurs joueurs NBA. Ils te rendent le jeu très très facile » a embrayé Rivers avant de conclure: « Nous savons tous qu’il y a trois ou quatre équipes qui ont une vraie chance de gagner. Nous avons le sentiment de faire partie de ces quatre équipes.« 

« Je vais laisser Pop coacher les Spurs »

Brooklyn ne devrait pas faire une « offre qui ne se refuse pas » à « Pop ».

« Il y a une histoire qui raconte que le propriétaire des Nets a prévu de faire une offre qui ne se refuse pas à Gregg Popovich, et ce serait vraiment une offre qui ne se refuse pas. Ça va sans doute circuler encore davantage dans les jours qui viennent mais je ne suis pas sûr que ce soit vrai » déclarait Gérald Brown voici quelques jours.

Une rumeur que Sean Marks, un ancien des Spurs, a tenu à déballonner illico presto. « Pop a un boulot et voilà ce que je vais répondre. Évidemment, on sait que c’est un incroyable entraîneur, et pour être franc, il est encore meilleur comme leader. Mais je vais laisser Pop coacher les Spurs. Il leur doit bien ça, et ils lui doivent bien ça. Je suis certain qu’il est très heureux là-bas » a précisé le GM des Nets.

« Il me rappelle Dirk, LeBron et Larry Bird »

Quand Mark Cuban aime, ile ne compte pas et multiplie les marques d’affection.

Mark Cuban était fan de Dirk Nowitzki et voue la même admiration à Luka Doncic. « Est-ce qu’il me rappelle plutôt Dirk Nowitzki, LeBron James ou Larry Bird ? En réalité, il a un petit peu de tous ces gars. Son QI basket est fantastique, il a cette capacité à prendre le contrôle d’un match. Il y a bien évidemment ses qualités à la passe. Il peut aussi prendre de tirs à longue distance.Puis le plus important, il a surtout ce désir de travailler le plus dur possible. Il est prêt à tout pour être le meilleur possible » a déclaré le boss des Mavs.

« Regarder mon palmarès, mes perfs et mon art »

Kyrie Irving goûte peu à la critique et continue sa melonite aigüe.

Peu de joueurs s’avèrent aussi clivant que Kyrie Irving, tant pour les fans NBA que pour ses propres coéquipiers. Agacé par les critiques, le meneur a tenu à mettre les choses au point.

« Si cela concerne ma carrière, il faut simplement regarder mon palmarès, mes performances, mon art. J’ai tellement créé depuis plus de 10 ans désormais. Donc il faut arrêter de jouer avec moi. Il ne faut pas jouer avec moi par rapport à ce que je fais quotidiennement. Je vais toujours sur le parquet pour créer » a affirmé Irving. « Pour le reste, je suis loin de ma famille 7 mois sur 12. Et je prends le temps pour défendre mes valeurs, pour faire de l’activisme. Je suis présent pour mettre la lumière sur Breonna Taylor (une femme tuée par la police, ndlr), il faut dire son nom, et tous les autres. Ma vie est plus grande que seulement prendre un ballon et tirer.« 

Thibodeau, le coach idéal pour relancer les Knicks ?

Tom Thibodeau se rapproche inexorablement des New York Knicks. Mais est-il le coach idéal pour la franchise de Big Apple ?

La « short list » des Kniks se réduit à peau de chagrin et « Thibs » y trône tout en haut. Pour Nate Robinson qui l’a connu à Chicago, Thibodeau est le coach idéal pour relancer la franchise de Big Apple. « Il est vraiment courageux, il représente tout ceux que les fans des New York aime dans le basket. Il a cet ADN en lui. Il apporte cette dureté, cette ténacité dans son coaching. Et ce chaque soir, à chaque fois qu’il coache. Il donne tout et c’est ce que les Knicks veulent. Il va aussi s’arranger pour récupérer les joueurs qui lui vont. Je pense que les fans des Knicks ont besoin de changements. Il faut que la franchise prenne des gars comme Thibs pour qu’ils donnent un autre souffle à cette organisation. Il faut commencer par ça, et s’ils le font, je pense que tout ira bien pour eux. Thibs, c’est un des meilleurs coachs que j’ai eus honnêtement. Il étudie le jeu, mais c’est aussi un professeur. Il est comme Maitre Yoda. Il sait de quoi il parle, est impliqué dans ce qu’il fait. Il regarde beaucoup de films. Il prône la défense en premier, et si vous défendez, vous avez la balle en attaque. C’est la récompense. J’ai beaucoup appris de lui au fil des ans quand j’étais à Boston avec lui (il était alors assistant chargé de la défense ndlr) pendant un an, et ensuite à Chicago, pour un an aussi. S’il y a une personne qui peut changer les Knicks, c’est probablement lui » explique le meneur de poche.

Si « Thibs » est exigeant, il fait aussi le maximum pour mettre ses joueurs dans les conditions optimales pour réussir. « Il prépare les matchs avec assiduité. Il s’assure que tout le monde dans l’équipe connait les systèmes, aussi bien en attaque qu’en défense, mais aussi les tendances de l’autre équipe. Il aide ses joueurs à devenir de vrais étudiants du jeu eux aussi. Si vous ne regardez pas autant de vidéos que lui et que vous n’êtes pas prêt, il va vous le faire savoir. Je respecte ça, et j’aime ce qu’il apporte. Il demande à ce que vous pesiez sur les rencontres. Peu importe ce que vous savez faire, il vous demandera de le faire. Et il faut que vous connaissiez chaque position aussi, les systèmes de l’autre équipe, si les gars vont à droite ou à gauche… Il s’attend à ce que vous connaissiez tout ça » continue Robinson. « Si vous galérez avec Thibs, c’est que vous ne voulez pas écouter ce qu’il vous dit et suivre ses instructions. Je suis une sorte de feu-follet, et pourtant je me suis intégré. Si je peux le faire, tout le monde peut le faire. Si ce n’est pas le cas, vous n’aimez pas le basket et vous ne savez pas comment vous ajuster. Et il faut alors vous regarder dans le miroir et faire le point. Parce que lui, il va être prêt. Et il va s’assurer que son équipe et ses joueurs rencontrent du succès. Si vous ne le suivez pas et que vous ne faites pas ce que vous devez faire, c’est de votre faute. Il faut se demander : “Qu’est-ce que je fais de mal ?” Parce que Thibs va tout faire pour que ses gars puissent aller sur le terrain et être performant. »

Le réveil des Knicks aurait-il sonné ?

Les White Tigers continuent de grandir

Le très jeune club continue de grandir.

Alors que la P2 Dames – qui a survolé son championnat de troisième provinciale pour sa première année d’existence – fait figure de favorite pour la nouvelle saison qui se rapproche furieusement, le jeune club continue de grandir et alignera une seconde équipe en seniors : une P4, masculine cette fois. Les Whites Tigers – dont les nouveaux équipements ressemblent à s’y méprendre avec ceux des Nets – aligneront également une équipe U17 filles qui jouera aussi dans le championnat U19.

« Barry Mitchell était impossible à bouger »

Aussi bien comme joueur que comme coach désormais, Jérôme Louwette a marqué le basket liégeois.

Jérôme, quel fut l’adversaire le plus coriace avec lequel tu as bataillé ?

Barry Mitchell à l’époque où il jouant en D3. Il était impossible à bouger.

De tous tes coéquipiers, lequel était le plus fort ?

Sacha Massot. Malgré ses 2,06 mètres, il sait tout faire.

Et le plus drôle ?

Sans hésitation, Rodrigue Monbaliu avec qui j’ai passé trois années magnifiques à la Vaillante Jupille en D3 et D2.

Quel fut ton coach préféré ?

Serge Polet et Thibaut Petit qui est venu me chercher à Waremme à seize ans pour me donner ma chance en D2 et D1 à Huy.

Quelle est ta salle favorite ?

Celles de la Vaillante et de Comblain.

Quel déplacement redoutais-tu le plus ?

Je n’en redoutais aucun mais je détestais faire 150 bornes pour aller disputer une rencontre.