Où a été prise cette photo ?

Sûr que certains « Collégiens » n’auront pas tardé à reconnaitre cette cour de récréation alors qu’en Espagne, le tandem Lecomte-Van Rossom ne désarme pas. Mais, pour commencer, je vous emmène à Ulm, une ville visitée par une délégation pepine et dont l’équipe de basket s’érige en « révélation munichoise ». Ce sont les infos d’EMCE.

Les insolites du mardi

10e à l’arrêt de la compétition, la formation d’Ulm constitue l’immense surprise du « Turnier » allemand pour le titre. Une équipe qui n’est pas sans me rappeler certains souvenirs et autres anecdotes germaniques… On est le 30 septembre ’92 et, au 1er tour aller de la Coupe Korac (3e participation), Pepinster ne laisse pas la moindre chance (106-82) à… Ulm. La confiance règne au moment d’aborder le (voyage) retour effectué en train : sponsor oblige. Nous partons de Verviers Central jusqu’à Cologne puis correspondance pour notre destination sur une ligne reliant Munich. Pas de chance, notre hôtel se situe à la gare-même – sponsor oblige (bis) – et l’on est sans cesse réveillé par le passage des trains de nuit. Petite visite touristique, le mercredi 7 octobre, pour découvrir une ville possédant la plus grande église protestante du monde ainsi que le plus haut clocher de la planète. Il culmine à 161 mètres et décline 768 marches. Pas de quoi décourager les Olivier Lejeune et Schoonbroodt qui les gravissent au pas de charge. En les attendant, notre guide nous confie (quasi) fièrement qu’il faisait partie de Wehrmacht, l’armée d’Hitler. Autre caractéristique de cette entité de 120.000 habitants,

elle se niche le long du Danube. On est en Bade-Wurtemberg et de l’autre côté du fleuve, c’est la Bavière. Quant à la salle, elle se trouve au sein du campus universitaire alors que le coach n’est autre que l’« Alostois » Brad Dean. Les Hoëgnards s’y inclinent 96-92, mais en découdront avec Vitoria (Esp) au stade suivant. « Il faut bien avouer que l’Américain Jarvis Walker nous a fait un peu peur en début de match », concluait Pierrot Raskin.

Fase finale (Esp) : Lecomte et Van Rossom toujours bien placés

Le suspense demeure entier dans la poule B où l’on assiste à un passionnant regroupement en tête. Suite aux faux-pas de Valence (Van Rossom 8) et de Burgos devant Madrid (95-90) et Gran Canaria (91-87, Lecomte 12), ces quatre formations sont désormais sur un strict pied d’égalité : 2 victoires pour 1 défaite. Un quatuor qui se disputera donc les deux places qualificatives. Quant à Saragosse et Andorre, ils sont d’ores et déjà éliminés.

Final 10 (All) : le match de trop pour Oldenburg et Larson

Une seule rencontre était lundi à l’affiche de l’Audi Dôme de Munich. A savoir, la manche initiale de la seconde demi-finale opposant Berlin à Oldenburg. En réalité, le match de trop pour Larson (4) et les siens qui étaient d’emblée submergés par l’Alba (49-33, à la pause) et la reprise s’avérait du même tonneau pour aboutir à 92-63. Avec un handicap de près de 30 unités, on imagine mal Oldenburg capable d’inverser la situation lors du « retour » de mercredi. D’ici là, Ulm (lire ci-dessus) et Ludwigsburg serons face-à-face (20 h 30) en vue d’une qualification (inespérée) pour la finale.

Terrains extérieurs : un club aux initiales célèbres

Et, une fois de plus, on retourne à l’école. C’est effectivement dans cette cour de récréation que l’on entendit les premiers dribbles d’un club qui finit d’ailleurs par jouer dans la… « cour des grands ». L’indice du jour : le cercle du cru était surtout connu grâce à ses célèbres initiales.

La télé crève l’écran

Tout comme hier, vous aurez votre soirée de libre. En effet, vous pourrez suivre, à 15 h 30, Vitoria – Malaga (VOOsport World 3, Stéphane Druart) et, à 18 h 30, Bilbao – Barcelone (VOOsport World 3, Pierre Vandersmissen).

Michel CHRISTIANE

David Bertans, premier joueur à déclarer forfait

Le Letton n’accompagnera pas les Wizards à Orlando.

Free Agent au terme de la saison, David Bertans a préféré déclaré forfait pour éviter de se blesser ou de tomber malade et n’accompagnera pas les Wizards à Orlando. D’autres joueurs suivront-ils le même exemple?

« Pas grand chose à apprendre à mes joueurs »

Comme la saison précédente, Didier Pissart a conclu la saison sur une montée avec Alleur.

La saison passée, Didier Pissart était parvenu à faire monter l’une de ses P3 d’Alleur en P2. Cette saison, rebelote! Uniquement à la tête de la « Bien Belle Equipe », le sympathique Président d’Hamoir a mené ses talentueuses et expérimentées troupes à un titre autour duquel elles tournaient depuis longtemps. « Pour nous, cette saison, bien que particulière vu son arrêt et dont l’issue finale s’est jouée hors-terrain, fut bonne » commence « Ditch ». « Notre objectif était de faire mieux que la saison passée – troisième place – et fut atteint. Avec seulement trois défaites, notre bilan est plus que positif même si, et il ne faut pas l’oublier, il restait encore des matchs très importants à jouer. »

Le Covid en a décidé autrement et Alleur termine en tête de la P3C, décrochant la montée à l’étage supérieur. « Nous aurions pu terminer sur n’importe quelle marche du podium » concède Didier. « Le « hic », c’est que nous ne le saurons jamais. Notre série était très relevée. Il était impossible, avant chaque rencontre, de prédire le vainqueur. »

La saison prochaine sera un beau défi pour un groupe pas dénué de talent(s) et qui semble défier le temps qui passe. « C’est agréable de pouvoir coacher une bande d’amis dans cette « Bien Belle Equipe ». Je n’ai pas beaucoup de choses à apprendre à mes joueurs vu leurs parcours comme joueurs ou coachs dans des divisions bien plus hautes » souligne humblement Didier. « Le moins bon moment de cette saison restera la blessure d’Axel Schoobroodt, le meilleur fut la victoire contre la P1 d’Ensival en Coupe. Et toutes les troisièmes mi-temps, bien sûr (rires).« 

« J’aurais dû aller pêcher »

Avec son franc-parler légendaire, Chris Francot revient sur la saison vécue par Pepinster en P2A. Interview.

Chris, quel bilan fais-tu de cette dernière saison?

Dans l’ensemble, nous avons fait ce que nous devions en obtenant cette deuxième place avec une équipe composée de très jeunes gars et d’anciens – même de très anciens – joueurs. Ce mix n’est jamais simple à gérer, nous avons beaucoup appris en une saison.

Cette deuxième place te satisfait-elle?

Evidemment, je ne vais pas me plaindre d’une deuxième place mais nous aurions dû finir premiers et gratter une finale de Coupe.

De l’extérieur, cette P2A semblait stimulante.

Chaque année le niveau augmente car il y a de moins en moins d’écart entre les équipes. La série était très compacte, un ou deux faux-pas se payaient cash. Oui, cette série était excitante.

Comme juges-tu ta production?

Je pense ne pas trop mal m’en être sorti jusqu’à ce qu’un arbitre un peu trop zélé décide de pourrir ma saison – okay, j’y suis peut-être aussi pour quelque chose. Deux mois de suspension, c’est vraiment très long. Rien que pour cela, je demeure frustré de cette saison.

Quels sont les moments forts que tu gardes en mémoire?

La demi-finale de Coupe nous a marqués. L’ambiance, la tension, le derby, tous les ingrédients étaient présents. J »aurais tant voulu la disputer.

Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année?

Jérôme Jennes a vraiment réussi à trouver un équilibre solide dans l’équipe en étant rigoureux et exigeant mais aussi en discutant beaucoup avec ses gars. Ce genre de troupe n’est pas facile à gérer et il a su créer un vrai groupe. J’ai adoré découvrir cette génération des moins de vingts ans, mes jeunes coéquipiers sont devenus mes petits frangins.

Nourris-tu certains regrets?

J’essaie vraiment de ne jamais en avoir. Mais le jour où j’ai coaché et été abritré par Monsieur M******, j’aurais dû aller pêcher ou me mettre un énorme murge le jour avant et être tellement mal que je n’aurais pas pu ouvrir ma grande bouche. Cela aurait permis à la team de conserver son effectif complet pour les matchs très importants. Même à bientôt quarante ans, j’apprends encore.


« Je ne suis plus du tout le même »

Pour la première fois cette année, Romain Bruwier s’est exclusivement consacré au basketball, avec Verviers en TDM2 et Visé en R2. Entretien.

Romain quel bilan fais-tu de la saison qui vient de s’achever?

Pour une première saison consacrée complètement au basket, je suis plus que satisfait. La double affiliation a bien fonctionné et je n’ai pas eu de grosse blessure, la seule chose que je redoutais! Je ne suis plus du tout le même qu’en début de saison et mon amélioration est, je pense, conséquente.

Es-tu satisfait des résultats enregistrés avec Visé et SFX?

Avec Visé, je pense que nous remontions tout doucement pour retrouver la place au classement qui nous était destinée. Notre groupe était à nouveau au complet et nous jouions de mieux en mieux ensemble. Avec SFX, cette dernière place était plutôt prévisible mais la manière n’y était pas vraiment. Nous aurions voulu aller chercher une victoire et prouver ainsi que nous nous étions tous améliorés au fil des mois. Nous méritions mieux.

Qu’as-tu pensé de la TDM2A?

Je pense que nous sommes tombés dans la mauvaises série. Nous avions de longs déplacements et trois ou quatre de nos adversaires étaient dignes de jouer à l’échelon supérieur. Nous fûmes rapidement en dehors des discussions pour le classement et nous jouions match après match sans vraiment connaître l’adversaire et avec pour seul but d’apprendre un maximum et de faire mieux chaque semaine.

Comment juges-tu tes prestations?

Avec Visé en R2, Christophe Grégoire me faisait confiance et j’ai pu m’exprimer plus facilement avec ma taille et ma vitesse pour alimenter le score. J’avais aussi l’occasion de remonter sur l’aile. Avec Verviers, c’était plus compliqué. Je jouais en dessous avec pour objectif de stopper les pivots adverses qui comptaient une bonne vingtaine de kilos de plus que moi. Ce n’était pas évident de m’exprimer en début de saison mais, au fil du temps, le coach trouvait des alternatives aussi bien en défense qu’en attaque. Avoir joué en TDM2 – et en plus à une place qui ne m’est pas vraiment destinée – ne peut que m’aider pour la suite de mon parcours.

Quels furent les moments marquants de cette saison?

C’est naturellement l’accident sur la route de Gand mais nous nous en sommes vite remis et cela n’a fait que renforcer les liens de l’équipe. C’est donc déjà oublié!

Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année?

J’ai adoré jouer dans ces deux équipes. D’un côté, j’étais le rookie qui avait tout à apprendre dans une super ambiance et sans trop de prises de tête. De l’autre, il y avait un autre type d’ambiance avec des gars de mon âge avec les mêmes objectifs et un coach plus jeune. Tout le monde s’y retrouvait.

Nourris-tu certains regrets?

Absolument aucun. Je n’aurai quasiment pas pu rêver mieux et la destination que je prend pour la prochaine saison ne fait que confirmer que j’ai passé une super saison.

Un plan à 12 ou à 13 au Luxembourg

Gros focus sur nos très proches voisins du Sud.

Chez nos très proches voisins du Sud, la compétition s’est achevée, là-bas aussi, en eau de boudin sur fond de pandémie. Voilà qui ne vitamine guère l’intérêt d’un championnat en éternelle circonvolution et qui présentera donc un énième visage à la reprise. Pour mieux comprendre la complexité de la situation, il faut savoir que la D1 luxembourgeoise (Total League) compte pour l’heure 10 participants. Dont les budgets s’inscrivent – voire s’inscrivaient – dans une fourchette allant de 200 à 450.000 euros. Mais, le virus est passé par là et l’ensemble des clubs annonce des moyens financiers en (forte) baisse. Dans ce contexte, il faut relever une caractéristique typique à ce pays : si les cercles jouxtant la France ont recours à de gros partenaires limités en nombre, ceux du nord résistent grâce à d’innombrables plus petits sponsors.

Jusqu’à présent, les équipes pouvaient s’appuyer sur trois renforts étrangers avec deux autorisés au même moment sur le terrain. Conséquence des évènements récents : plusieurs formations préviennent qu’elles ne feront plus appel qu’à un seul Américain. Le premier à s’en satisfaire a été le Racing qui donne des idées à pas mal d’autres… Dont l’Etzella Ettelbrück, un des principaux cadors grand-ducaux.

Reste encore à envisager la nouvelle réforme de la compétition. Elle a déjà donné lieu à d’interminables discussions depuis quelques semaines déjà. En réalité, trois propositions étaient sur la table des négociations. A savoir, un championnat à 10 (comme maintenant), à 14 ou même à 20 clubs. Aucune d’elles n’a obtenu une majorité simple. Rebelote, donc, avec cette fois deux autres scénarii possibles : à 13 (maintien du duo Larochette-Contern et montée de N2 du trio Telstar-Walferdange-Soleuvre) ou à 12 (dans ce cas, Soleuvre resterait sur le carreau). Il semblerait que la seconde formule tiendrait la corde. Sans oublier que l’actuel championnat à 10 possède toujours des fidèles partisans. Quoi qu’il arrive, une décision définitive sera prise en AG extraordinaire le samedi 27 juin prochain. Et ce n’est pas tout puisque la compétition féminine – un peu bancale avec 9 phalanges – passera à 10 en 2021/2022.

Bref, une véritable saga qui concerne au premier chef trois coaches belges : Etienne Louvrier avec l’Amicale Steinsel (photo) et Pascal Meurs avec Résidence Walferdange. Alors que la Pepine, Fabienne Fuger (dames de Contern), suit également le dossier de près. Dans ces conditions, pas étonnant que le président fédéral ait remis sa démission…

Michel CHRISTIANE

« L’ambiance « crapuleuse » cointoise donne une saveur particulière à la victoire »

Martin Lesuisse, dont le retour d’Erasmus a coïncidé avec le réveil des Grenouilles, revient sur la saison surprenante de Cointe en première régionale.

La saison des Grenouilles:

« Cette saison fut une réussite. Certes le groupe a connu une première moitié de saison très compliquée mais cela ne nous a pas empêché de finir en beauté. Après l’avoir entendu un million de fois, nous avons bien compris que c’est à la fin du bal qu’on paie les musiciens. »

La position de Cointe au classement:

« Vu notre premier tour catastrophique, nous n’avions que le maintien en tête. Finir à la sixième ou septième place est sans aucun doute mérité. »

La première régionale:

« Etant en Erasmus jusqu’en janvier, je n’ai pas affronté toutes les équipes mais il est indéniable que la régionale un reste une division magnifique alliant derbies, déplacements restreints et adversaires talentueux. »

Sa production:

« Je fus évidemment en manque de rythme à mon retour mais je pense néanmoins avoir réalisé des prestations correctes. »

Les moments forts des Grenouilles:

« Probablement notre série de sept victoires d’affilée au deuxième tour ainsi que les apéros du jeudi. »

Ses coups de cœur:

« J’ai apprécié une fois de plus l’ambiance « crapuleuse » cointoise qui donne une saveur particulière en cas de victoire mais aussi d’avoir été remplacé par mon petit frère. Il a réalisé quelques gros matchs et gagné ainsi sa place dans l’effectif pour la prochaine saison. »

Ses regrets:

« La défaite en demi-finale de la Coupe AWBB, bien que nous n’aurions de toute façon pas pu disputer la finale. Je regrette surtout que le club n’a pas pu dire au revoir et remercier comme il se doit Ludo Humblet pour sa montée et son travail des dernières années. »

Un ex-Liégeois, champion d’Allemagne ?

L’actualité de la fin de semaine s’avère essentiellement internationale avec entre autres le parcours exemplaire de Larson (ex-Liège) à Munich, ou encore, les prestations convaincantes de Van Rossom et de Cook à Valence. Sur le plan des mutations, Washington (ex-Pepin et poulain de Skelin) met le cap sur la Pologne. Ce sont les infos d’EMCE.

Final 10 (All) : Bamberg, Munich et Ruoff out, Larson in !

Vendredi et samedi étaient consacrés à l’ultime journée qualificative. Elle s’avérait fatale au Bayern Munich, tenant du titre, qui était sorti par Ludwigsburg. Le lendemain, Bamberg (Obasohan 9, Lee 0) et Göttingen (Ruoff 4, photo) connaissaient un sort identique des œuvres d’Oldenburg (Larson 14) et de Berlin. « On s’est mis nous-mêmes en difficulté et nos rivaux méritent de l’emporter », dixit Roel Moors. Quant au match 1 des demi-finales entre Ulm et Ludwigsburg, il engendrait un verdict assez inusité. A savoir, un score de parité à 71 partout. Le premier nul en Allemagne depuis… 1975. Pendant ce temps, l’ancien Liégeois (17/18), Tyler Larson, pourrait accéder à la finale. A condition qu’Oldenburg vienne à bout de l’Alba Berlin. Premier élément de réponse, ce soir, à 20 h 30.

Fase Finale (Esp) : Burgos et Cook s’éclatent, le Real moins…

Deux enseignements majeurs sont à tirer du week-end avec la qualification expresse (3/3) de Barcelone et la position délicate (1/2) du Real. Dans le groupe A, le second ticket pour le tour suivant se jouera entre Malaga et Vitoria où Shengelia (21 pts face à Ténériffe) boitait après son duel dominical contre le Barça. Reste Bilbao (Serron 6 pts aux dépens de Badalone) qui monte en puissance après son succès (78-70) sur Ténériffe. Au sein de la poule voisine, Valence (Van Rossom 9) demeure invaincu suite à sa victoire (89-71) sur Saragosse. Les Madrilènes, enfin, se sont ramassés (83-87) face à Burgos et n’ont plus leur sort en main. A pointer encore le joli parcours de Gran Canaria sans partage (104-88, Cook 21, Lecomte 5) avec Andorre. « Je suis convaincu que nous possédons une grande équipe pouvant aller loin », soutient l’ancien meneur montois.

Quid de Washington (ex-Pepin), Qvale (ex-Mons) et Rich (ex-Ostende) ?

Plusieurs Américains ayant foulé nos parquets ont profité du week-end pour changer de crèmerie. Au Paire au printemps ’14, Jason Washington (32 a, 1,82 m) poursuivra sa carrière à Gdansk (D1 pol). Il arrive de Split où son coach n’était autre qu’Ivica Skelin. A Mons en 12/13, Brian Qvale (31 a, 2,11 m) prend la direction des Guina Crane Thunders (D1 jap). A Ostende fin ’11, Jason Rich (34 a, 1,91 m) rebondit à Varèse (D1 ital). A noter encore qu’Etienne Louvrier (Amicale Steinsel, D1 lux) pourra compter sur les services de l’US, Christian Cunningham (25 a, 1,96 m), en provenance d’une D2 islandaise.

La télé crève l’écran

Sur VOOsport World 3, deux révélations ibériques s’affronteront dès 15h30, via le duel entre Burgos et Gran Canaria (Pierre Vandersmissen aux commentaires). Et, à 18h30, match (quasi) couperet pour le Real Madrid qui en découdra avec les Andalous de Sam Van Rossom (Stéphane Druart au micro).

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : Philippe Collin

Francis Torreborre à « Studio Str2el »

Francis Torreborre s’est livré à « Studio Str2el », la chaîne YouTube du joueur d’Ans, Sébastien Streel.

Joueur en P2 à Ans cette saison et co-fondateur de la marque de textile Alpha Minds, Sébastien Streel a aussi lancé depuis peu « Studio Str2el ». « C’est une chaîne d’interviews de sportifs belges qui propose des entretiens pour connaître plus en détails les sportifs » nous précise-t-il. Pour accéder à sa chaîne YouTube, c’est ici.

Le dernier sportif à être passé au micro de Sébastien n’est autre que Francis Torreborre, l’ancienne pépite d’Alleur qui évoluait sous les couleurs de Liège Basket cette saison.

Dans cette interview, Francis revient sur parcours, son expérience professionnelle en Italie, livre ses meilleurs souvenirs, son meilleur cinq et explique sa passion pour le dunk.

« Gagner le titre dans les trois ans »

Pour certains observateurs, les Warriors peuvent faire renaître leur dynastie.

Cette saison fut celle de la chute brutale pour Golden State. Avec le départ de Durant et les nombreuses blessures, les Warriors présentaient un effectif G-League et finissent bons derniers de la NBA. Mais la franchise de la baie ne devrait pas s’inquiéter selon Paul Pierce.

« Sincèrement, je pense vraiment qu’ils peuvent gagner un nouveau titre dans les trois ans. Même si nous n’avons pas vu Klay et quasiment Steph de toute l’année. Il faut le dire, ils restent probablement le meilleur ‘backcourt’ de la NBA » a avancé la légende des Celtics. « Si les Warriors font les bons choix, ils vont avoir un bon pick à la Draft. Il va se transformer en bon joueur, voire même en très bon joueur. Avec toute l’organisation déjà en place, cette franchise est construire pour gagner le titre dans les trois ans »