« Il sera au Hall of Fame »

Anthony Davis est-il le nouveau Kevin Garnett?

C’est ce que semble penser Kedrick Perkins. « J’adore Metta World Peace, c’est mon pote, mais on ne peut pas faire de comparaison avec Anthony Davis. C’est un profil qu’on n’a jamais vu avant. Il est unique et c’est un talent qu’on ne voit qu’une fois par génération. Le gars qui lui ressemble le plus, c’est Kevin Garnett. Ils sont tous les deux très polyvalents, ils peuvent dribbler, passer la balle, contrer des tirs, défendre en switchant des postes 1 à 5, prennent plein de rebonds… Il n’y a pas de limite dans leur jeu. Ils peuvent aussi prendre des trois points et ont des moves au poste. Mais AD est quand même unique. Il sera au Hall of Fame. Il est déjà sur le point de pouvoir y entrer. Le ciel est la limite pour lui. Il n’a que 27 ans, et va encore progresser. Il commence à seulement à entrer dans son prime, et c’est le plus effrayant avec lui. Comment pourrait-il ne pas être au Hall of Fame avec les stats qu’il va poser et tout ce qui lui reste à faire ? » a ainsi déclaré l’ancien pivot des Celtics.

Bradley forfait, JR Smith en renfort?

Les Lakers réfléchissent à la meilleure manière de compenser le forfait d’Avery Bradley.

Avery Bradley renonce à reprendre le basket cette saison. L’arrière préfère rester auprès de sa famille. Son forfait est une tuile pour les Lakers – en attendant celui de Dwight Howard – et la franchise californienne envisage de signer JR Smith pour étoffer son roster.

« De la liberté en double distri avec Nicolas Linden »

Encore ultra-compétitifs cette année, Antoine Van Kerkhoven et Union Liège terminent sur le podium de la P3C. Entretien.

Antoine, que faut-il retenir de cette saison?

Elle s’est très bien déroulée. Nous avons eu quelques blessés mais le groupe suivait grâce à son envie. C’est assez plaisant de jouer dans une équipe qui ne baisse pas les bras et qui se bat sur tous les ballons.

Vous terminez sur le podium, une position que vous visiez au début des hostilités?

Notre but était de faire mieux que la saison précédente et, donc, de finir dans le trio de tête. Nous y sommes et je pense que nous y avons notre place avec Alleur et Grâce-Hollogne même si Montegnée revenait en boulet de canon.

Qu’as-tu pensé du niveau de jeu pratiqué en P3C?

C’est assez difficile de juger le niveau d’une série. Mais vu le classement « final » assez serré, nous pouvons affirmer qu’il y avait de l’enjeu chaque semaine. C’est plutôt plaisant et nous sommes fiers d’avoir déjoué certains pronostics.

Comment juges-tu tes prestations?

Je me suis bien senti, j’ai pris du plaisir. Ma force a toujours été la combativité et tant que je serais content de moi par rapport à cela, je considérerais ma saison comme réussie. La liberté que me donne Sébastien Dethioux avec Nicolas Linden est très sympa.

Quels furent les moments marquants de cette campagne 2019-2020?

Le premier fut, malheureusement, la grosse blessure de mon ami Gabi à Aywaille. Nous n’avions, de base, déjà pas beaucoup de joueurs et cela nous a bien handicapés au premier tour sur le poste 4. Le second, positif cette fois, ce fut la victoire à Grâce-Hollogne qui nous a remis dans la course. C’est dommage de finir ainsi mais je préfère voir Alleur monter que le championnat gelé.

Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année?

L’ambiance dans le club. Avec deux équipes qui s’entrainent ensemble et qui jouent les premiers rôles pendant toute la saison, forcément, cela aide.

As-tu des regrets?

Le seul que j’ai est de ne pas avoir joué Alleur le quinze mars. J’étais assez dégoûté. Avec une victoire ou pas à la fin, peu importe, ce sont des tels matchs que j’affectionne. Idem pour Braives, nous attendions les Giants.

« Ces mois sans basket sont longs »

Avant de rejoindre Haneffe, Loic Franken revient sur son expérience au Haut-Pré et sa découverte de la régionale.

Cette saison fut celle des premières pour Loic Franken: première année au Haut-Pré et première expérience en régionale. « J’ai été agréablement surpris par le niveau de jeu. Le niveau était relevé, pas mal d’équipes alignaient de très bons joueurs. Dans l’ensemble, chaque équipe possédait un très bon noyau de joueurs, cela donnait beaucoup d’intensité aux matchs » souligne le pivot. « Personnellement, ce fut très positif et je suis assez satisfait de mes prestations.« 

Collectivement par contre, le Haut-Pré ne fut guère à la fête. « Ce ne fut pas grandiose au niveau des résultats. Monter d’une division avec une équipe dans laquelle beaucoup de joueurs ne se connaissaient pas n’a pas simplifié notre mission » reconnait le futur Templier. « Nous savions que cela allait être compliqué mais nous espérions nous maintenir. L’esprit d’équipe était toutefois bon et c’est dommage de n’avoir pu finir la saison pour livrer encore quelques bonnes prestations.« 

Ougrée a souvent manqué de régularité. « Dommage de n’avoir pas produit plus souvent le jeu dont nous étions capables et de n’avoir pas décroché le maintien » déplore Loïc. « Mais j’ai apprécié les rencontres dans l’équipe et le niveau de jeu différent. Comme c’était une première expérience, j’ai toujours essayé de donner le maximum pour l’équipe. » Et de conclure: « Ces mois sans basket sont longs.« 

« Le club s’est donné les moyens de ses ambitions »

John Collard revient sur la saison livrée par Oupeye en troisième provinciale et évoque les renforts du groupe qui sera sans nul doute très ambitieux pour le nouveau championnat qui se profile à l’horizon. Entretien.

John, quel bilan fais-tu de votre saison?

Elle fut bonne sans être extraordinaire. Nous avons eu trop de blessures et d’absences pour faire mieux. Nous avons terminé au milieu du classement et, au vu des circonstances, nous sommes à notre place. Au complet toute la saison, nous aurions sans doute terminé dans le Top 3.

Qu’as-tu pensé de cette P3C?

La série était très relevée, sans doute la plus forte des trois de P3. Quand je vois qu’une équipe comme Harimalia a terminé dans le haut du classement (ndlr: dans la P3B) alors que nous avions gagné de presque vingt points en étant incomplets, je me dis que nous aurions pu faire mieux dans une autre série. Des équipes comme Alleur ou Union Liège étaient clairement au-dessus de nous cette année et méritaient de monter. Ce sera le cas pour Alleur, dommage que ce ne soit pas le cas pour la formation de Sébastien Dethioux, une équipe qui ne nous a clairement pas convenu.

Tu as signé quelques cartons. Es-tu satisfait de tes prestations pour ton retour sur les parquets?

Je préfère davantage mettre en avant nos performances collectives, surtout lorsque nous n’étions que six ou sept pour défendre nos chances. Nos victoires à Hamoir et contre Sprimont furent acquises au caractères, elles faisaient plaisir. Mais si je dois retenir un match, c’est celui contre Sprimont lors duquel, à presque 37 ans, je me suis surpris physiquement et au niveau de mon jeu en scorant 37 pions malgré une grosse défense de Lionel Dechêne qui m’avait bien ennuyé (rires).

Quels furent les moments marquants de cette campagne?

Les cinquièmes quart-temps et la formidable ambiance qui règne à Oupeye. Nous gagnions ou nous perdions mais nous le faisions en équipe. Nous étions toujours ensemble, peu importe le résultat. Nous tirions tous dans le même sens et il n’y a jamais eu d’embrouille. J’ai adoré cet esprit d’équipe.

Qu’as-tu particulièrement apprécié?

La manière dont j’ai été accueilli. Je ne connaissais que trois joueurs de l’équipe – Pachen, Denis et Bei – et le coach mais tout le monde m’a de suite mis à l’aise. Je débarquais après un an d’arrêt et mes prestations ne furent pas transcendantes au départ mais tout le groupe a continué à m’encourager et mes sensations sont revenues petit à petit.

Nourris-tu certains regrets?

Oui, j’en ai plusieurs. Tout d’abord tous ces matchs disputés sans jamais être au complet. Cela a clairement nui à nos résultats. Nos défaites contre Alleur – alors que nous menions de vingt points après le premier quart avant de nous écrouler – ainsi qu’à Montegnée – à quatre pour nous échauffer – et à Grâce-Hollogne – un revers sur le fil avec une mauvaise gestion des derniers instants – demeurent difficile à accepter. Cela reste toutefois du basket mais, quand on a des ambitions en début d’exercice, c’est difficile à avaler.

En parlant d’ambitions, vous serez sacrément renforcés pour débuter la saison 2020-2021.

En effet, le club s’est donné les moyens de ses ambitions. Nous serons six rescapés du la saison qui vient de s’achever: Denis Collette, Michael Pachen, Michael Denis, Quentin Soyeur, Régis Demoulin qui nous reviendra après une saison quasi blanche et moi. Greg Bastings revient au club après un an d’arrêt et Mbaye Sarr arrive en provenance de la P1 d’Andrimont. Nous attendons également la réponse d’un meneur d’expérience. Nous viserons le haut du classement. .

Vous aurez également un nouvel entraineur.

Thierry Carton, qui coachait la P1 de Welkenraedt et qui est une personne que j’apprécie énormément sera en effet notre nouvel entraineur. J’avais vraiment envie de rejouer sous ses ordres. Je l’ai eu deux ans à Welkenraedt et ce furent mes deux plus belles saisons au niveau basket.


Où a été prise cette photo ?

Après le Bayern Munich en Allemagne, c’est le Real Madrid qui est en très grand danger dans la course au titre ibérique. En dames, les Namuroises viennent de transférer leur… 8e renfort étranger alors que le cliché-mystère vous emmène dans une entité nettement plus réputée pour le football que pour le basket. Ce sont les infos d’EMCE.

Transferts : Waters (ex-Principauté) en Turquie, 8e étrangère à Namur

D’abord un préambule hennuyer où Arik Smith a signé pour un exercice supplémentaire à Mons alors que Chris Jones (Renard en 18/19) en fait de même à Bursaspor. Quant à Dominic Waters (Pepinster 10/11, Liège 11/12), il est sur le point de signer à Peristeri (D1 grecque). Au rayon féminin, Serena-Lynn Geldhof quitte Namur Capitale pour Sedis Basket évoluant au plus haut niveau espagnol. En revanche, la phalange de St-Servais accueille la jeune Suissesse, Lin Schwarz (17 a, 1,83 m), qui est a été internationale U16 et arrive en provenance de Fribourg. C’est la… 8e étrangère recrutée par le cercle mosan.

Allemagne et Espagne : Berlin plus rassuré que le Real Madrid

Comme prévu, les Berlinois ont composté leur billet pour la finale nationale en se défaisant à nouveau (81-59) d’Oldenburg. C’était déjà 65-46, à la demi-heure. Pour le titre allemand, l’Alba sera donc opposé à Ludwigsburg : vendredi à 20 h 30 et dimanche à 15 heures. De l’autre côté des Pyrénées, Valence (Van Rossom 12) a pris une sérieuse option sur le tour suivant en battant (94-90) Burgos. Non sans mal car c’était encore 39-51, à mi-parcours. La sensation est venue de Real – Andorre puisque les Madrilènes ont essuyé un retentissant revers (75-91) qui ne dit rien qui vaille pour la suite des évènements. Gran Canaria (Cook 3, Lecomte 0) trébuchait (76-85) face à Saragosse. Avant la dernière journée, ils sont toujours cinq à se battre pour les deux places qualificatives.

Terrains extérieurs : à proximité d’un célèbre chaudron…

Il y eut un temps où l’on disputa bel et bien des matches de basket devant cette église typique de la périphérie liégeoise. Et, croyez-moi, ce n’était pas hier. L’indice devrait vous mettre plus que sur la voie : à proximité immédiate, vous trouverez un emblématique chaudron dédié au football. Certains en sont déjà « rouche » de plaisir…

La télé crève l’écran

Au programme de ce jeudi, vous pourrez suivre de plus près, dès 18 h 30, le duel sans doute décisif entre Malaga et Bilbao (Pierre Vandersmissen aux commentaires). Et, à 21 h 30, Barcelone voudra conserver son brevet d’invincibilité face à Ténériffe (Stéphane Druart de service).

Michel CHRISTIANE

« Ces gars vont vouloir prendre le dernier tir »

Quels sont les points communs entre LeBron James et Kawhi Leonard et quel type de leadership utilise ces deux stars NBA?

Qui de mieux placé que Danny Green pour comparer LeBron et Kawhi? L’arrière a remporté deux bagues – une aux Spurs et une aux Raptors – avec « The Klaw » avant de venir épauler LBJ dans la Cité des Anges. « Je pense que les stars se ressemblent quand elles sont concentrées. Ce n’est pas un secret, LeBron est plus vocal comme leader. Kawhi l’est de plus en plus, mais LeBron rentre dans un match en faisant des grosses actions et en se mettant dans le rythme, vous savez un peu comme quand Westbrook rentre lui dans un match, il se frappe le torse de temps en temps. Kawhi ne fait pas ça, même s’il a commencé à montrer des émotions depuis quelques années. Mais on le voit quand il est concentré et dans le match. Il vous dira de lui filer la balle, et si vous faites une connerie, il va vous engueuler : “Va défendre sur ce gars ! Fais tes rotations, on a besoin de toi là-bas !” Donc LeBron et Kawhi se ressemblent beaucoup sur cet aspect. En fait LeBron n’a pas vraiment besoin de faire ça, parce qu’il te parle pendant tout le match. Et il trouve ses solutions. Il porte beaucoup la balle, c’est un meneur. Donc il va avoir la balle. Et dans les regroupements d’équipe, il va être impliqué du début à la fin, il va dire quelle action il faut faire… Ça dépend un peu du scénario, mais en début de match il n’est pas très préoccupé par le fait d’avoir la balle. Il se demande plus comment impliquer tout le monde et faire en sorte que l’équipe soit lancée. En fin de match, s’il se sent bien, il n’a pas besoin de parler. Le coach va l’impliquer de toute façon, mais s’il a le sentiment de devoir parler, il va être en mode : “Donne-moi la balle ici, on va faire cette action et je vais faire en sorte qu’on y arrive.” Il n’y a pas besoin de beaucoup parler avec ces gars en fin de match. Peu importe qui est chaud, qui a le meilleur pourcentage, ces gars vont vouloir prendre le dernier tir ou faire l’action qui va décider du match » a ainsi détaillé Danny Green.

« Une bonne atmosphère »

Revenu des States, Romain Boxus découvre ses nouveaux coéquipiers au Pôle Ballons de Waremme.

« La reprise se passe très bien » nous confie Romain Boxus. Revenu des States, le swingman était impatient d’ouvrir un nouveau chapitre de sa carrière. Covid-19 oblige, les circonstances sont exceptionnelles et nécessitent quelques adaptations. « Nous arrivons à faire de bonnes séances. Pour le moment, nous évitons les contacts physiques » nous précise l’ancien Templier. « L’ambiance est très bonne, nous avons l’air d’avoir un groupe prêt à s’entrainer et dans une bonne atmosphère.« 

« Vivement retourner taper la balle orange »

Avant de rejoindre l’Etoile Jupille, Maxime Pluys revient sur sa première saison à Spa et en première provinciale. Interview.

Maxime, que retiens-tu de cette saison?

Elle fut clairement trop courte à mon goût, je trouve dommage que le championnat n’ait pu se décider sur le terrain. Cependant, nous avons réalisé une belle saison. Je reste convaincu que nous aurions pu finir plus haut dans le classement mais, malheureusement, nous avons mal débuté et perdu quelques matchs de peu. Malgré tout, nous réalisions une très belle fin de saison et c’est dommage de n’avoir pu aller au bout de celle-ci.

Tu as découvert l’élite provinciale.

La P1 est un très bon championnat, avec un bon niveau mais très spécial. Nous avons vu cette saison que tout le monde était capable de battre tout le monde. Je trouve cela vraiment super car cela rend les matchs encore plus excitants.

Comment juges-tu tes prestations?

Je suis assez content de ma saison. Pour une première expérience à ce niveau, j’ai appris énormément. Je pense avoir pu aider le groupe avec lequel j’ai passé des moments géniaux. Je remercie aussi le club – comité, délégués et joueurs TDM2 – d’avoir toujours été derrière nous. Pour le reste, je laisse le coach Massart tirer les conclusions me concernant (rires).

Quels furent les moments forts de cette campagne?

Notre « déclic » contre Saint-Louis en début de saison pour arracher, tous ensemble, notre première victoire qui nous a fait beaucoup de bien.

Qu’as-tu le plus apprécié cette année?

L’ambiance au sein de notre groupe qui était vraiment top ainsi que la confiance que le coach m’accordait.

Nourris-tu certains regrets?

Non, pas vraiment, hormis celui de n’avoir pas gagné plus de matchs et de ne pas finir plus haut dans le classement. Mais l’objectif du maintien est validé, c’est le plus important. Je regrette quand même que cette saison fut trop courte. Vivement qu’on retourne taper la balle orange sur le terrain!

« Nous sauver aurait été difficile, il faut aller de l’avant »

Malgré une belle combativité et de nets progrès, les victoires furent rares pour Thibault Fanton et les jeunes pousses du 4A Aywaille qui tenteront de se relancer en P4 la saison prochaine.

« Nous ne visions pas le top du classement mais, néanmoins, nous aurions aimé nous maintenir. Cependant, tout au long de la saison, nous avons eu des blessés, ce qui a compliqué notre tâche » nous confie Thibault Fanton. « Malgré la fin prématurée de la saison, nous sauver aurait été difficile. »

Versés dans la très compétitive P3C, les Aqualiens jouèrent crânement leur chance mais ne décrochèrent que deux succès malgré des prestations encourageantes. « Hormis nos deux petites victoires, je ne sais pas si nous avons eu l’occasion de vivre des moments marquants » rigole le jeune intérieur. « Le niveau de notre série était bon. Il y avait à la fois des équipes de jeunes pleines d’énergie et d’autres composées de joueurs affichant une très bonne expérience de jeu. »

Pour le jeune pivot qui s’est malheureusement blessé deux matchs avant l’arrêt de la compétition, se frotter à des intérieurs de métier lui fut bénéfique. « Je me suis bien senti sur le terrain. C’était ma première saison en hommes et affronter des gars plus robustes et plus expérimentés m’a permis de progresser » souligne-t-il. « Cela m’a donné envie de continuer à bosser pour les matchs et ne rien lâcher.« 

Et si les résultats ne furent pas à la hauteur, le groupe a su garder une certaine osmose. « Même si nous étions mal partis, l’équipe entière a continué à s’entrainer, ce qui a contribué a ne pas gâcher l’ambiance entre nous. Forcément, nous aurions aimé gagner plus de matchs afin de ne pas descendre mais, désormais, c’est trop tard pour s’appesantir. Il faut aller de l’avant pour continuer à prendre du plaisir en jouant » conclut très justement Thibault.