« Nous serons bien mieux en R1 »

Maxence Casamento revient sur la saison vécue par Verviers en TDM2.

« Comme tout le monde a pu le remarquer, notre saison fut dure. Je pense néanmoins que nous aurions pu au moins accrocher une victoire » affirme Maxence Casamento. « Nous ne visions rien en début d’année. Nous savions que nous serions trop courts pour cette division et n’avons aucun regret. Nous serons bien mieux en R1 pour enfin empocher des victoires (rires). »

Avec les Collégiens, le jeune issu du CFWB a découvert la TDM2A. « Une série assez relevée mais l’autre était pareille et je crois que toutes les équipes – à part nous – pouvaient se battre entre elles » continue-t-il. « Je n’ai pas livré une grosse saison dans cette division et je sais que je peux faire mieux. Je vais me préparer toutes les vacances pour être au top la saison prochaine. »

Les Collégiens auront vécu une grosse frayeur. « Notre accident m’a marqué et je suis satisfait que nous soyons parvenus à accrocher quelques équipes. Malgré les nombreuses défaites, personne n’a baissé les bras, l’ambiance est restée bonne. J’ai apprécie passer du temps avec Mayron Wilkin, notre capitaine qui nous a soutenu jusqu’au bout, et avec Raphaël Domken avec qui je rigolais tout le temps. Je regrette évidemment l’absence de victoire mais ce sera à nous de prouver la saison prochaine » conclut le jeune talent.


« On ne peut qu’apprendre au contact de Gaudoux et Massot »

Stefan Germay revient sur la dernière campagne réussie de Waremme en R2 et la montée décrochée pour la division supérieure.

Stefan, cette saison fut-elle satisfaisante?

Evidemment, nos résultats étaient ceux que nous attendions. Je crois que nos défaites étaient logiques au vu de certaines prestations. Je regrette toutefois notre revers à domicile contre Tilff, nous aurions voulu rester invaincus chez nous.

Cette montée était l’objectif affiché.

Nous n’avons jamais caché que nous ambitionnions cette première place et nous avons dominé toutes les équipes – hormis Kain que nous devions encore recevoir. Notre montée est donc méritée.

Que représente cette montée en première régionale?

Pour moi, c’est la dernière possibilité d’évoluer à ce niveau et avec d’excellents joueurs. Pour le club, la ligne de conduite instaurée par le Président il y a deux ans est respectée. Waremme grandit.

Le seul bémol demeure de ne pas avoir pu célébrer cette belle réussite?

Tout à fait, nous aurions voulu atteindre nos objectifs sur le terrain et pouvoir fêter le titre.

Qu’as-tu pensé de ce championnat de R2?

Le niveau de notre série était très bon. Globalement, le niveau de la R2 est supérieur à ce qu’il était voici quelques années. Peu importe l’adversaire, le moindre relâchement se paie cash.

Tu as vécu une saison particulière mais ton apport fut, à nouveau important.

J’étais bien en jambes dès le début de la préparation mais, malheureusement, je me suis blessé dès le deuxième match et ma petite fille est arrivée dans la foulée. Je savais que cela allait être une période un peu plus compliquée avec une accumulation de fatigue. Je pense que j’aurais pu apporter plus, surtout offensivement.

Quel fut le moment marquant de cette campagne?

Malheureusement, ce fut la perte de Yannick Moray qui n’a pu disputer ce championnat.

Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année?

J’ai apprécié apprendre avec des joueurs du calibre de Max Gaudoux et Sacha Massot. On ne peut qu’apprendre à leur contact.


« Continuer à être performant à trois points »

Auteur de quelques gros cartons avec Verlaine avec qui il a décroché la montée, Bastian Franken revient sur le brillant championnat de P3B livré par le matricule 2700. Entretien.

Bastian, comment as-tu vécu cette dernière saison?

J’ai vraiment passé une super saison à Verlaine. Je suis super content du groupe et aussi des nouvelles recrues. David Bronne est un super pote avec qui je jouais à Haneffe et j’ai découvert Oli Renotte avec qui je m’entends super bien. Nous avons vraiment réalisé une bonne saison, nous avons su garder un groupe uni où on joue tous pour l’équipe sans se critiquer les uns les autres. C’est un réel plaisir d’évoluer dans cette team.

Vous avez enchainé les victoires et décrocher la montée avec une avance confortable. Ces résultats furent-ils conforment à vos attentes?

Notre objectif était de terminer à la première place et nous y sommes parvenus. Je suis donc super satisfait du groupe! Nous avons démontré toute la saison que nous étions les plus forts de la séries, remportant parfois avec des écarts conséquents nos confrontations avec nos rivaux principaux.

Justement, qu’as-tu pensé de votre série?

Le niveau de la P3B n’était pas fou non plus, mis à part deux ou trois équipes qui nous tenaient un peu. Cependant, nous avons disputé des matchs de Coupe ou amicaux contre de grosses équipes des autres séries – Union Liège par exemple – et nous avions aussi gagné. De manière générale, en P3, selon moi, il y a toujours trois ou quatre équipes par poules qui jouent un bon basket et après, en dessous de la cinquième place, on constate souvent de grosses différences de niveau.

« Un club au top »

Comment juges-tu tes prestations?

Je suis assez satisfait de ma saison. J’ai fait quelques gros matchs et je crois que je termine dixième ou quinzième meilleur marqueur de la Province. Je suis content de mon shoot et de ma mentalité sur le terrain. Je veux continuer à être performant à trois points l’an prochain et m’améliorer encore en pénétration et en défense.

Quels furent les moments marquants de cette campagne 2019-2020?

Le match à domicile contre Bellaire. Nous avons largement gagné contre une équipe qui était juste en-dessous de nous au classement. Mais je suis aussi déçu car je m’étais blessé le jour avant et je n’avais pas pu disputer ce match. Les confrontations face à La Villersoise sont aussi chaque fois particulières car il s’agit d’un derby et que cela marque. Surtout notre victoire en fin de saison contre nos voisins.

Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année?

Le groupe et son état d’esprit, une fois de plus! Et ce club de Verlaine qui est vraiment top. Nous avons un Président et des bénévoles qui sont à fond tout le temps et c’est un plaisir de jouer dans un tel club, dans une équipe aussi cool et toujours positive. Même quand nous avons connu la défaite, nous ne nous sommes jamais engueulés ou critiqués. C’est vraiment une force de notre équipe.

Quels regrets nourris-tu?

Je nourris un regret commun à tous les basketteurs: ne pas avoir pu disputer la fin du championnat! Mais c’était une décision logique vu le contexte. Toutefois, c’est une réelle déception de ne pas avoir pu disputer le match du titre, celui où nous aurions coupé le filet et fait la fête. C’est la consécration de toute une saison!

« Ne manque qu’un périple à Ostende pour que le bonheur soit total »

Pour Nicolas Franck et Spa, le championnat de TDM2 devait rester national.

Après la saga des montants et descendants des séries provinciales, une autre saga avec les séries nationales occupait le devant de la scène. Heureusement, celle traitant de la TDM2 fut plus courte que celle que nous avait offert le CP Liège et tout est finalement rentré dans l’ordre: les séries de TDM2 mélangeront bien Flamands et Wallons et tous les Liégeois seront dans la même série. « J’en suis ravi » sourit Nicolas Franck. « Nous avons la chance d’évoluer dans une division nationale avec toutes les richesses que cela implique. Je n’étais pas d’accord avec mon ami Pierrick Van Den Brule sur ce point et je voulais absolument continuer de rencontrer nos amis néerlandophones. C’est le charme même de cette D3, sinon quel intérêt?« 

La régionalisation évoquée ne remportait guère les suffrages du « game changer » des Bobelins. « Les kilomètres ne me font pas peur et la différence de style entre les deux régions est formatrice tant pour les francophones que pour les néerlandophones » continue Nico. « Cette situation agrée tout le monde et est bénéfique pour le basket belge et, a fortiori, pour le basket wallon. Dans ces conditions, je me réjouis de retrouver les parquets.« 

Spa sera ainsi membre d’une série avec des formations venant de notre Province, de Namur ainsi que du Limbourg et d’Anvers. « Je ne cache pas que j’ai ressenti beaucoup moins d’envie à la parution des séries « régionales ». La « R1 plus » ne m’excitait pas vraiment » ajoute le versatile intérieur spadois. « Seul bémol, il nous manque un petit périple à Ostende pour que le bonheur soit total. Et là, pas certain que Pierrick ne soit pas d’accord avec moi (rires). »

« C’est le secret de la longévité »

Toujours bon pied, bon œil, Ryan Moss continue à 46 ans de martyriser les défenses à Hong-Kong tout en entamant doucement une reconversion.

C’est depuis les Pays-Bas que notre « old chap' » Ryan Moss prend le temps de tailler une bavette avec nous. « Je suis ici avec ma famille. Nous vivons différemment depuis quelques temps mais je ne m’inquiète pas inutilement des choses sur lesquelles je n’ai absolument aucun contrôle » nous précise l’ancien pivot de Liège à propos de la pandémie. « Mais j’accueille chaque jour comme un cadeau et je suis reconnaissant. »

Vu la situation sanitaire, difficile de se projeter dans l’avenir mais celui-ci sera toujours à Hong-Kong pour Ryan. « J’y jouerai encore la saison prochaine et je combine cela avec le job de coach physique et personnel de mon équipe » sourit celui dont le corps parfaitement sculpté est la meilleure pub. « Mon club m’avait laissé rentré à la maison quand le Covid-19 est apparu et je m’envolerai pour Hong-Kong quand nous serons autorisés à démarrer la nouvelle saison. Pour l’instant, je suis très positif, j’ai la chance de passer du temps avec ma famille, ce qui est le plus important. Trop souvent, je crois que les gens gaspillent leur temps dans des activités inutiles et oublient ce qui est vraiment important. Cette crise permet de remettre cela en perspective.« 

Une muraille défensive.

Avec les années qui passent, le souriant intérieur a peu changé. « Je joue de la même manière mais je suis encore plus relax qu’avant. Et puis, je reste jeune » rigole-t-il. « A Hong-Kong, le jeu évolue comme partout avec la nouvelle génération qui arrive. Avec mon équipe, nous poursuivrons les mêmes objectifs que chaque année: jouer dur et intensément tout en profitant de chaque seconde passée sur le terrain et ensemble. Et mes partenaires peuvent compter sur moi pour faire de mon mieux pour les aider.« 

Défense, rebonds, contres, dunks, semi-hooks, Ryan est un pivot à l’ancienne dont chaque équipe rêve. Après avoir joué en Europe et sillonné l’Amérique Centrale et du Sud, le Bahaméen semble s’être bien acclimaté à l’Asie. « Ma vie à Hong-Kong est comme partout: je joue, je bosse et je reste vrai envers moi-même » nous explique-t-il avant d’évoquer sa lente reconversion. « J’adore vraiment être « Physical Trainer » car le sport est une passion et j’affectionne aider les autres. Et cela me donne l’opportunité d’aider mes coéquipiers à atteindre leur plein potentiel physique. Je peux également leur apprendre à devenir de vrais professionnels, à prendre soin de leur corps et partager mon expérience. »

« Mens sana in corpore sano » pourrait être la devise de Ryan. « C’est vraiment essentiel de garder son esprit clair et son corps en forme et de faire ce qui doit être fait, sans le remettre à plus tard » nous confirme-t-il. « J’enseigne aussi cela à mes coéquipiers. C’est aussi ça le secret de la longévité. »

En 2018, Ryan Moss nous confiait son attachement à Liège dans un entretien à (re)découvrir ici.

Costantiello : basket et… vélo

Avec un ami, il vient d’ouvrir un magasin dédié aux deux roues du côté de Namur alors qu’une autre récompense internationale met en exergue une de nos « Cats ». On jouera « à la liégeoise », aussi, à Bilzen tandis que vous apprendrez que le club de Visé était souvent sous eau : ce sont les infos d’EMCE.

Laurent Costantiello se lance désormais dans le vélo

Surfant sur la vague actuelle, l’ancien « homme à tout faire » de Liège Basket se lance désormais dans le milieu cycliste. En compagnie de son ami, Benoit Thomas (trailer), il vient ainsi d’inaugurer « MojoVelo », à Namur. Cette entreprise de proximité a pour fonction première de vendre ou de louer des bicyclettes de tous genres. Et vu le succès des vélos électriques… On rappellera encore qu’à la reprise, Laurent sera aux commandes des Condruziens de Natoye (R2). On lui souhaite évidemment plein succès dans sa nouvelle aventure… pédalante.

Antonia Delaere (Nantes), élue « forward » de l’année en France

Enième démonstration que notre basket féminin constitue un excellent produit d’exportation : Antonia Delaere (26 a, 1,81 m) a été élue « forward » de l’année en France. Cette saison, elle évoluait pour le compte de Nantes (rival des Panthers en coupe d’Europe). Auparavant, elle était passée par Namur (15/16) et Braine (de 16 à 19). Antonia, c’est le « couteau suisse » de notre équipe nationale car toujours capable de débloquer des situations paraissant souvent désespérées. Discrète, intelligente, efficace et jolie (ce qui ne gâte rien), c’est ma « Cat » préférée. Et depuis un certain temps déjà…

Nico Gerads et le « fighting spirit liégeois » à Bilzen

Après y avoir loué ses services comme joueur, Nico Gerads coachera désormais le Bilzerse BC. Au sein de cette phalange de P1 limbourgeoise, il aura entre autres sous ses ordres Benjamin Thelen (ex-Pepin), Antoine Bremer (ex-Visé), Nathan Servais (ex-Jupille) ou encore, Sebo Lussadissu (ex-Haut Pré). A « Basket 360 », il envisage la suite des évènements : « Je devrai d’abord apprendre à jongler avec mon autre équipe de Waremme. Avec Bilzen, nous tenterons d’accéder au top 5 mais la série s’annonce redoutable. Pour y parvenir, je compte ramener le « fighting spirit » liégeois. » Y’a plus qu’à !

Terrains extérieurs : Lixhe après… l’Ile Robinson

Hier, le cliché de la photo-mystère avait été pris dans la cour de récréation de l’école communale de Lixhe. C’est, en effet, là-bas que le club de Visé trouva refuge. Un déménagement qui ne fut pas vraiment une réussite car il y perdit pas mal de membres. Au préalable, les « Oies » avaient évolué à l’Ile Robinson. D’où cette anecdote de Michel Lejeune : « Nous y bénéficions d’un immense hangar. Point positif : nous jouions donc sous un toit. Mais, point négatif : comme il se situait en bord de Meuse, il était souvent inondé. » Bref, il fallait se mouiller le maillot.

Michel CHRISTIANE

Un international kosovar à Liège Basket

Liège Basket s’adjoint les services d’un international kosovar pour compléter son effectif.

« VOO Liège Basket est heureux de vous annoncer l’arrivée d’une dernière recrue! », annonce le club principautaire sur sa page facebook. « Leonit Veliu, né le 2 octobre 2001, possédant la double nationalité belge et kosovar. C’est une poste 2-3, international kosovar.« 

« Le sport est un pont qui aide à construire confiance et empathie dans la société »

Par la voix d’Adam Silver, la NBA a pris position concernant le drame qui secoue l’Amérique.

Les States sont déchirés, à nouveau, par une enième bavure policière mettant en lumière les exactions que subissent les Afro-Américains. La NBA a toujours eu une longueur d’avance sur les autres ligues sportives aux Etats-Unis et Adam Silver le démontre à nouveau dans une lettre ouverte.

« Chers collègues, Comme vous, j’ai passé le weekend à regarder les manifestations dans tout le pays suite à la mort de George Floyd, Ahmaud Arbery et Breonna Taylor. En tant que ligue, nous partageons cette indignation et présentons nos sincères condoléances aux familles et amis. Alors que nous combattons une pandémie, qui impacte les communautés et les personnes de couleur plus que n’importe qui, il nous est rappelé qu’il y a des plaies qui n’ont jamais guéries dans notre pays. Le racisme, les violences policières et l’injustice raciale font encore aujourd’hui partie de la vie quotidienne en Amérique, et ne peuvent être ignorées. Dans le même temps, ceux qui servent et protègent nos communautés honorablement et héroïquement doivent répondre encore une fois des actes de ceux qui ne le font pas. Je suis rassuré de voir de nombreux membres de la famille et WNBA, joueurs, coachs, légendes, propriétaires, dirigeants de tous niveaux, prendre la parole et exiger justice, manifestations non-violentes et travailler pour un changement. Ensemble avec nos équipes et joueurs, nous allons poursuivre nos efforts pour promouvoir l’intégration et la réduction des divisions par l’action collective, l’engagement civique, le dialogue et le soutien aux organisations qui travaillent pour la justice et l’égalité. Nous travaillerons main dans la main pour créer des programmes et mettre en place des partenariats dans chaque communauté NBA afin de diminuer les inégalités sociales et rassembler les gens » écrit ainsi le big boss de la NBA. « Ce moment demande aussi une plus grande introspection chez ceux d’entre nous qui, moi inclus, ne connaîtront peut-être jamais la même douleur et la même peur que beaucoup de nos collègues et joueurs vivent tous les jours. Nous devons leur tendre la main, s’écouter les uns les autres et travailler ensemble pour faire partie de la solution. En tant qu’organisation, nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour faire une vraie différence. Même dans ce moment triste et difficile, je sais que nous pouvons le faire. Pour nos collègues, nos amis et les membres de notre famille touchés encore et encore par ces actes de violence, nous devons le faire. Nous disons toujours que le sport a souvent été le pont qui aide à construire confiance et empathie dans la société, pour nous aider à faire face aux vérités difficiles et aux vrais challenges ensemble. C’est de notre responsabilité, tout particulièrement aujourd’hui. Je vous encourage à participer à la ‘Dream In Color virtual community conversation’ ce mercredi à 16h30, et j’attends avec impatience d’entendre vos idées et suggestions.Prenez soin de vous, restez engagé et continuez à être là les uns pour les autres. »

« Nul de ne pas pouvoir jouer le titre »

Nouvel arrivé aux Clippers, Paul George veut que la saison reprenne pour pouvoir jouer le titre.

Un scenario de reprise au 31 juillet semble de plus en plus concret pour les franchises. Si certains joueurs ne semblent pas emballés, ce n’est pas le cas de Paul George. « “Je suis à fond pour une reprise. Je pense qu’on a beaucoup investi dans cette saison, ça nous briserait vraiment le cœur de ne pas pouvoir couronner un champion. Vu tout ce qu’il s’est passé cette saison, surtout pour moi qui a subi de grosses blessures à l’épaule, avec une opération. J’ai beaucoup travaillé l’été dernier pour arriver à cette saison et ça serait nul de ne pas pouvoir jouer le titre » a déclaré l’ailier à Wojnarowski.

« Pascal Horrion, le premier à m’avoir lancé en D3 »

La saison prochaine avec Spa, Benjamin Mertens retrouvera ses anciens clubs et ses anciens entraineurs pour une saison qui sera riche en derbies. Interview.

Benja, es-tu satisfait de l’abandon du projet de « régionaliser » la TDM2?

Oui, très satisfait même car cela n’avait pas de sens de scinder les séries.

Le basket te manque-t-il?

Oui, je suis très impatient de pouvoir recommencer ne serait-ce que les entrainements car cela commence à devenir long.

Te réjouis-tu de pouvoir affronter Ninane et Sprimont – tes deux anciens clubs – la saison prochaine?

Bien sûr, je me réjouis de rejouer contre Ninane et mes coéquipiers qui ont été au top avec moi cette année. Je me réjouis également retourner à Sprimont. C’est toujours spécial de revenir dans ce club où j’ai effectué toutes mes années jeunes et les troisièmes mi-temps y sont souvent très bonnes (rires). Mais je me réjouis aussi de jouer le derby à Pepinster où l’ambiance est généralement excellente et où je retrouverai Gams (ndlr: Pascal Horrion), le premier entraineur à m’avoir lancé très vite au jeu en D3.