« J’ai pris la lourde décision de redescendre en P4 »

Bruno Masciulli fait le bilan de la campagne des Buffalos de Grâce-Hollogne en P3C.

En P3C, Grâce-Hollogne a, à nouveau, joué les premières rôles. « Cette saison demeurera particulière par son arrêt prématuré. Un petit regret restera car rien n’était encore vraiment joué pour le titre. Nous devions aller à Alleur et, qui sait… Nous les avions d’ailleurs – enfin! – battus chez nous au premier tour » déplore Bruno Masciulli. « Nous terminons troisièmes d’une série assez serrée, juste derrière Alleur et à égalité avec l’Union, seule équipe, avec Sprimont, que nous n’avons pas battue. Nous sommes à notre place. »

Une belle bagarre s’est jouée tout au long de la saison entre Buffalos, Unionistes et All Blacks. « Notre série était encore une fois assez équilibrée, pas mal de formations se sont avérées difficiles à battre, à l’instar des Carriers qui nous ont vaincus à deux reprises » analyse l’ailier de Grâce-Hollogne. « Je n’ai guère pu disputer beaucoup de rencontres à cause de soucis physiques et, malheureusement, la saison s’est achevée alors que j’aurais pu rejouer. »

Des pépins physiques qui ont convaincu Bruno de faire un choix. « J’ai pris la lourde décision de redescendre en P4 pour reprendre du plaisir et du temps de jeu après quelques saisons jalonnées de blessures » nous confie Bruno qui ne sera pas le seul à quitter le navire. « La décision de nous séparer du coach en place depuis trois ans – et avec qui nous avons passé de super moments – fut difficile à prendre et a marqué notre fin de saison.« 

« Mon corps et ma tête n’étaient plus trop d’accord »

Toujours aussi bondissant – ou presque – malgré les années qui passent, Greg Dossin a aidé Pepinster à décrocher une belle seconde place en P2A et à atteindre les demi-finales de la Coupe de la Province. Interview.

Greg, comment juges-tu votre saison?

Nous avons fait une très bonne saison malgré pas mal de blessures et autres soucis. Il faut savoir que nous n’avons que rarement été au complet.

Vous terminez à la seconde place mais c’est Tilff qui a décroché la montée.

Ce n’était pas forcément la place que nous visions (rires). Mais c’est celle que nous méritions vu notre manque de régularité lors de certains matchs. Nous avons rarement été vaincus par plus forts que nous, nous nous sommes surtout battus nous-mêmes.

Qu’as-tu pensé de cette P2A?

J’ai été agréablement surpris. Je ne pensais pas rencontrer des équipes aussi fortes. C’était très agréable d’avoir un championnat aussi ouvert avec autant d’équipes pouvant briguer la première place.

Comment qualifies-tu tes prestations?

Je suis obligé de répondre (rires)? Je me suis rendu compte que mon corps et ma tête n’étaient plus trop d’accord en fait… Je pensais franchement être davantage capable de tirer l’équipe vers le haut quand nous étions en difficulté mais ce ne fut pas forcément le cas.

Quels furent les moments marquants de cette campagne?

Le demi-finale de Coupe est le plus marquant. C’est toujours agréable de pouvoir jouer des matchs comme ceux-là, devant une salle pleine dans une grosse ambiance.

Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année?

J’ai apprécié toute la saison. J’ai fait de belles rencontres sur et en dehors du terrain: de jeunes joueurs à l’écoute et bourrés de talent, un coach au top qui a toujours eu confiance en moi et a très bien accepté mon manque de régularité aux entrainement – encore désolé Jérôme. J’ai aussi apprécié les gueulantes et les après-matchs avec Julien Lemaire (rires), et, par dessus tout, le plaisir de pouvoir partager une saison avec mon ami Christophe Francot. Cela nous a ramené quelques années en arrière et je le remercie de m’avoir motivé pour faire cette saison avec lui.

As-tu certains regrets?

Oui; déjà celui de ne pas avoir pu offrir au club une finale de Coupe à domicile mais aussi celui de ne pas avoir ramené le titre. Nous savons toutefois que nous avons réussi une belle saison. C’est dommage qu’elle se soit terminée de la sorte mais cela reste dérisoire par rapport à la situation que nous vivons tous aujourd’hui avec cette épidémie.

Tu voulais glisser un petit mot?

Oui, je voulais profiter de cette interview pour remercier le club et tout le staff qui a pris soin de nous pendant cette saison et adresser un clin d’œil spécial à Marie qui nous a gâtés toute l’année avec ses pâtisseries.

« Les neuf triples de Geurten contre Visé! »

Avant de rejoindre la P1 de Sainte Walburge, Théo Barbir fait le bilan de la saison vécue par Ans en deuxième régionale.

« Nos résultats furent bons avec des hauts – victoires contre Flénu et Aubel – et des bas – défaite contre Natoye. Nous étions parfaitement placés pour l’objectif qui était d’atteindre les Playoffs. Et même si certains donnaient Aubel grand favori, je reste persuadé que si la saison était allée à son terme, nous aurions eu de grandes chances de monter » nous confie Théo Barbir.

Finalement, l’arrivée du Covid-19 et les décisions de la fédération envoyèrent Ans en R1 au « détriment » des Aubelois. « Le niveau de cette R2 est assez variable. Les six premières possèdent une niveau assez homogène mais, pour les autres, honnêtement, c’est juste mauvais » assène le longiligne intérieur. « Pour ma part, je considère ma saison comme accomplie malgré des fois où je n’étais pas – littéralement (rires) – dans mes baskets. »

Ans a réalisé quelques coups d’éclat durant cette campagne. « Notre victoire à Flénu alors que nous étions dans le creux de la vague fut mémorable, tout comme les neuf triples de Christophe Geurten contre Visé et notre succès de de vingt points contre Aubel. C’est mon top 3 de la saison, dans n’importe quel ordre » rigole le futur Sang et Marine. « L’ambiance dans l’équipe était vraiment très bonne et j’ai adoré jouer contre Fred Delsaute aux entrainements! C’est dommage de ne pas avoir pu affronter Aubel en Playoffs, nous ne saurons jamais comment cela aurait fini. Mais je suis content de cette montée pour Ans même si je ne prolonge pas au club. »

« Le Covid-19 nous a peut-être sauvés »

Cette saison, Nicolas Sumkay a pris une nouvelle dimension au sein de l’expérimenté effectif neuvillois. Le jeune scoreur débriefe la première saison en R1 des futurs Hutois.

« Cette saison fut bonne dans le sens où nous avons pu conserver un groupe soudé et où nous nous sommes quelques fois très bien amusés, parfois même sur le terrain » rigole Nicolas Sumkay. « Kevin Reyserhove a encore fait du très bon boulot même si nous visions davantage le milieu de classement que le maintien. Je suis persuadé que notre groupe en avait largement les capacités mais nous avons manqué d’un peu de rigueur et de discipline. De plus, les blessés que nous avons eu tout au long de la saison contribue à cette position finale en deçà de nos attentes. »

Auréolé d’une nouvelle montée, la future pépite hutoise a apprécié la première régionale. « La R1 est magique. Je m’y suis épanoui car le jeu y est propre avec beaucoup d’intensité, sans trop de déplacements et chaque équipe a ses chances » sourit Nico. « Je pense avoir bien intégré ce niveau mais il me reste des progrès à faire. »

Cette première année en R1 fut aussi la dernière à Neuville pour ce groupe atypique et attachant. « Notre victoire après prolongation contre Andenne dans une fin de match tendue m’a marqué ainsi que la branlée que nous avons prise au Royal IV et qui nous a rappelé que nous ne jouions plus en P1″ assume l’explosif combo-guard. « La victoire à Ciney, alors deuxième du général, était censée nous rebooster mais il y eut ensuite la défaite – qui n’aurait jamais dû arriver si nous avions été un peu plus concentrés et sereins, ceci sans rien enlever aux mérites des jeunes du centre – au buzzer contre le CFWB. Cette fin de saison gâchée par le Covid-19 restera marquante mais, au final, nous a peut-être sauvés. » Et de conclure: « J’ai aimé continuer de jouer au basket avec un groupe d’amis et, pour moi, c’est le plus important. »


« J’ai commencé à 4 ans à Cointe avec Colas Doppée »

Avec US Awans, Cointe a terminé antépénultième de P2B, évitant ainsi la bascule en troisième provinciale. Benjamin Lesuisse dresse le bilan des Grenouilles pour Liège & Basketball. Entretien.

Benjamin, comment juges-tu votre saison?

Je la qualifie de réussie étant donné que l’objectif du début de saison était de nous maintenir et que nous y sommes parvenus. J’avais toutefois espéré davantage de victoires car ce n’est jamais amusant de perdre beaucoup de matchs.

Vous terminez à l’avant-dernière place de votre série, ex-aequo avec US Awans. Est-ce une juste place pour vous?

Je crois que, cette saison, nous n’aurions pas pu viser le haut du classement mais je suis persuadé que nous aurions pu finir un peu plus haut tout de même. Mais tant que nous n’étions pas dans la zone rouge, c’était l’essentiel.

Qu’as-tu pensé de cette P2B?

J’ai trouvé cette série assez homogène, hormis peut-être Union Liège qui sortait un peu du lot. C’est surtout vers le bas du classement que cela devenait intéressant car plusieurs équipes étaient susceptibles de descendre et cela a donné lieu à pas mal de matchs accrochés lors des dernières rencontres.

Es-tu satisfait de tes prestations?

J’ai essayé de faire de mon mieux à chaque match et d’aider un maximum l’équipe. Je pense avoir satisfait mon coach, Jimmy Defawes, à plusieurs matchs même si j’ai connu aussi des jours avec moins de réussite.

Quel fut le moment le plus marquant de la saison?

Celui qui m’a le plus marqué, c’est le dernier match que nous avons pu disputer à l’US Awans et où nous avons validé notre maintien. Nous avions tous montré un bon visage et été solidaires les uns envers les autres.

Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année?

J’ai passé beaucoup de bons moments avec l’équipe mais ce que j’ai tout particulièrement apprécié, c’est d’avoir pu rejouer avec mon ami d’enfance Colas Doppée. C’est avec lui que j’ai commencé le basket à Cointe à l’âge de quatre ans.

Nourris-tu certains regrets?

Bien que notre objectif soit atteint, je regrette tout de même de ne pas avoir gagné davantage de rencontres. Nous en avions les capacités mais nous n’avons malheureusement pas toujours bien géré certains matchs.

Qui est cette Américaine?

A l’exception d’une poignée de fanatiques hesbignons, vous ne serez sans doute pas nombreux à reconnaitre une joueuse qui débarqua chez nous dotée d’une grosse réputation. Sûr qu’il y a aura du monde, début septembre, dans les salles sprimontoise et esneutoise alors la photo-mystère faisait étape à Soumagne. Ce sont les infos d’EMCE.

Reprise explosive en perspective en TDM2 A…

Ceux qui n’ont pas encore pris connaissance du futur calendrier de TDM2 A vont se rendre compte que le premier week-end de septembre risque d’être explosif. Surtout à Sprimont et à Esneux… dont les trésoriers se frottent déjà les mains. Par ordre : Sprimont – Ninane et Anvers B – Spa (v. 04/09) ; Geel – Pepinster (s. 05/09) ; et Esneux – Comblain (d. 06/09). La 2e journée ne sera pas mal non plus avec Tongres – Esneux, Ninane – Belgrade, Comblain – Geel, Spa – Hasselt (s. 12/09) ; et Pepinster – Kangoeroes B (d. 13/09). A vos agendas !

Ce pivot US a été comparée à un ancien mastodonte pepin

Comme promis, je vous présenterai la seconde partie de la saga du basket féminin principautaire dans les jours à venir. Et ce, au travers d’une série d’équipes liégeoises ayant évolué au plus niveau. A l’époque, bon nombre d’entre elles eurent recours à de la « main d’œuvre » étrangère. A l’image de cette solide Américaine (photo) qui découvrit donc les charmes de notre belle province. Afin de respecter une certaine tradition, place à l’éternel indice : en quelque sorte, une « Templière » spécialement venue d’outre-Atlantique…

Final 10 (all) : Bamberg proche de la « perf » face à Berlin

A l’image d’Ulm, Ludwigsburg est une des très bonnes surprises du « Final 10 » de Munich. Qui, rappelons-le désignera le nouveau champion d’Allemagne. Grâce à son succès (80-77) sur Francfort (Rahon), cette formation signe ainsi un 2 sur 2 initial. Dans la soirée, Bamberg (Obasohan 13, Lee 7) a longtemps tenu la dragée haute (55-56, 20e) face à un Alba Berlin n’émergeant (99-91) qu’en toute fin de partie. Au programme d’aujourd’hui : Göttingen – Oldenburg (16 h 30) et Ulm – Crailsheim (20 h 30).

Terrains extérieurs : quand Soumagne jouait « à la porte »

Hier, on survolait en quelque sorte la cour de récré de l’athénée de Soumagne, antre du club local pendant de nombreuses années. L’équipe du président Latour accédait à la 2e Provinciale au terme de l’exercice 82/83 sous la houlette du duo Delsa-Flagothier. Parmi les enseignantes de l’établissement, on peut pointer Anne Scholtis (Bellaire), ou encore, Claudine Mailleux (Esneux). Aujourd’hui, le BC Soumagne a trouvé un second souffle grâce notamment à Hubert « Moustache » Gillotay.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : Clemson University

« Si je pouvais acheter un titre, je ferais un chèque tout de suite »

A Houston, on rêve du titre.

« Il n’y a rien de plus important que de gagner le titre. Si je pouvais acheter un titre, je ferais un chèque tout de suite. Je ne laisserai jamais un joueur ou une taxe m’empêcher de gagner un titre. […] Je ne pense pas pouvoir avoir deux meilleurs gars pour essayer de nous mener au titre, et ils le méritent pour leur ‘legay’ (ce qu’ils vont laisser derrière eux). Je veux qu’ils gagnent un titre pour leur héritage parce qu’ils sont deux des meilleurs joueurs de l’histoire dans leur domaine. Personne ne mérite plus que Harden, Westbrook, Tucker, Rivers, Gordon et Covington. Ils méritent une bague. Nous allons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour que cela arrive » annonce le propriétaire des Rockets.  » On se prépare à jouer 8 matchs puis à commencer les playoffs. Quand on démarrera ces playoffs, ce sera comme n’importe quelle autre saison. On se concentrera sur ce qui se passe sur le terrain. Qu’il y ait des fans dans les gradins ou pas, ça n’a pas d’importance. Il y aura un champion NBA. Dans 20 ans, personne ne saura que c’était une saison raccourcie. Je ne vois aucun astérisque pour les équipes qui ont été championnes lors de saison écourtées. Je sais que San Antonio a 5 titres et LeBron (James) a quelques bagues aussi. Je serais plus qu’heureux de gagner le titre cette année. »

« L’échec est collectif »

Pour Liège & Basketball, Jean-Paul Husser fait le bilan de la Vaillante Jupille qui se renforce avec les arrivées de François Lhote et Sébastien Moray.

« Cette saison fut une suite de hauts et de bas. Un début raté puis une montée en puissance du groupe suite au changement de coach. Les résultats restent toutefois décevants car nous ne pensions pas terminer à cette place au classement mais dans le top de la série » concède Jean-Paul Husser. « Plusieurs d’entre nous n’étaient pas encore prêts pour cela. Gagner et conserver un bon niveau chaque semaine, cela s’apprend. »

Ce sont finalement les Unionistes, les Collégiens et les Sucriers qui se sont taillés la part du lion en P2B. « Cette série était très disputée. Chaque match était un véritable combat, c’était assez plaisant » poursuit Jipé qui ne souhaite pas s’apensantir sur ses prestations personnelles. « L’échec est collectif et nul n’est à sortir du lot.« 

Malgré ces résultats en berne, le groupe jupillois a bien vécu. « L’ambiance était excellente et j’ai passé de bons moments avec de super gars. J’ai particulièrement apprécié apprendre à mieux connaître quelqu’un comme « Le Messie » aka Chris Henry qui est vraiment un chic type avec qui on ne s’ennuie jamais » rigole l’ailier jupillois. « Bien sûr, j’ai des regrets mais surtout plein de projets et beaucoup d’envie grâce aux arrivées de mon ami et ancien coéquipier François Lhote ainsi que celle de Séba Moray. »

Bruxelles, ma belle

Stéphane Moris est la nouvelle recrue du Brussels.

Un Bruxellois au Brussels, quoi de plus logique? Pourtant, Stéphane Moris n’avait encore jamais porté les couleurs du club représentant la Capitale. Cet intérieur adroit de loin et combatif constitue un renfort de choix pour le Brussels dont l’effectif devrait plus que tenir la route et être capable de jouer les trouble-fêtes. A la DH, celui qui jouait à Mons cette année et qui a consenti à une effort financier afin de rejoindre le matricule bruxellois affirme que le Brussels peut se montrer ambitieux et qu’il est impatient de jouer pour un coach qu’il respecte beaucoup.

« De belles anecdotes que je dois garder secrètes »

Thom Rondoz fait le bilan de la saison de Theux en P2A. Interview.

Thom, quel bilan fais-tu de cette première saison à Theux?

Je pense que nous avons réalisé une bonne saison. Nous avons très bien commencé le championnat grâce à une très bonne préparation. Les blessures de Said El Hajaji et Xavier Emonts nous ont vraiment fait mal pour le deuxième tour. J’espère d’ailleurs qu’ils reviendront à 100% pour le début du prochain championnat.

Es-tu satisfait de votre position finale?

Je pense que nous avons la place que nous méritons même si nous aurions pu en grappiller quelques unes sur la fin du championnat.

Qu’as-tu pensé de tes prestations?

Je susi très content de ma saison. J’ai réussi à sortir de belles prestations… mais aussi de très mauvaises (rires)! J’ai réussi à m’intégrer assez rapidement dans ce super groupe. J’espère être plus régulier la saison prochaine pour pouvoir mieux aider l’équipe à atteindre nos objectifs.

Et qu’as-tu pensé de la P2A?

Nous sommes tombés dans une super série avec de nombreux derbies. Jouer contre des potes, c’est toujours sympa… surtout pour la troisième mi-temps (rires). La série était vraiment homogène avec deux ou trois équipes plus régulières. Mais sur un match, chaque équipe pouvait créer la surprise.

Quels furent les moments marquants de cette année?

La décision du coach de quitter l’équipe. Je suis un peu déçu mais je peux comprendre sa décision de ne pas faire la saison de trop.

Qu’as-tu particulièrement apprécié?

Les entrainements du jeudi pour boire des bières! J’ai d’ailleurs quelques belles anecdotes que je dois garder secrètes.

Nourris-tu quelques regrets?

Non, aucun. Nous avons créé un bon groupe et je suis persuadé que nous continuerons sur cette dynamique avec notre nouveau coach.