Où a été prise cette photo ?

Deux de nos clubs francophones semblent avoir tapé dans le mille. D’un côté, Tony Parker a « la bouche pleine » de Darius Washington, la recrue bruxelloise. De l’autre, Katharina Müller, la néo-pepine, multiplie les talents au pointer d’entrer dans les hit-parades. On aura même évoqué Victor Hugo dans cette rubrique. Ce sont les infos d’EMCE.

Les insolites du mardi

Place cette semaine à quelques déclarations formulées les jours derniers et qui laissent (souvent) songeurs… A commencer par cette remarque faite à L’Avenir Namur par l’Anversoise de poche, Jienke De Leyn (20 a, 1,64 m), suite à son transfert à Pepinster : « J’aurais voulu rester à Namur ». Une spontanéité que l’on mettra sur le compte de la jeunesse. Dimitris Giannakopoulos, le bouillant président du Panathinaikos, est réputé pour ses frasques et ses petites phrases assassines. Comme par exemple : « Les joueurs réclament 80% de leur salaire alors qu’ils n’ont presté que 65% de la saison. On verra qui rigolera à la fin… » On est curieux de voir ! On finira avec Luigi Vaccaro, le footballeur de Visé, ayant signé à Wiltz (D1 luxembourgeoise) : « J’étais curieux de tenter l’aventure à l’étranger. » Aventure, aventure : la cité grand-ducale n’est jamais qu’à 10 bornes de notre frontière et l’on n’utilise pas de gri-gris dans les vestiaires. Je peux le rassurer pour les avoir récemment fréquentés…

Quand Katharina Müller (Pepin) était en tête des hit-parades

Nous vous l’annoncions dès hier, Katharina Müller (26 a, 1,81 m) débarque (enfin) à Pepinster. Sur le plan sportif, elle a notamment disputé la finale de la coupe d’Allemagne avec le Herner TC, a été internationale U 16, 18 et 20 et est toujours reprise au sein de la sélection d’outre-Rhin de 3×3. Au niveau scolaire, elle est retournée habiter Aix-la-Chapelle, sa ville natale, afin d’y terminer des études de médecine. Mais, « Kitty » a encore un autre talent. C’est ainsi qu’elle est entrée, en 2015, dans le top 10 du hit-parade allemand avec sa chanson « Wir Herzensdiebe ». Bref, elle connait la musique !

Tony Parker à propos de Darius Washington, le néo-Bruxellois

Lundi, aussi, vous avez pris connaissance de l’engagement par le Brussels de l’expérimenté, Darius Washington (34 a, 1,88 m). Son principal fait d’arme est d’avoir pallié à l’absence Tony Parker (blessé) à la distribution des Spurs de San Antonio. A l’évidence, il a tapé dans l’œil du… Brugeois de naissance : « Au départ, il n’était pas du tout prévu qu’il intègre l’équipe quand je me suis blessé. Mais, à force de travail, il a répondu à l’attente. Au point de pousser mon remplaçant présumé, le Slovène Beno Udrih, vers la sortie. Darius est un gars qui a beaucoup de cœur et qui sait jouer dur. En outre, c’est un très bon défenseur. » Qu’ajouter de plus ?

Terrains extérieurs : même Victor Hugo est passé par là…

Autant l’« énigme » posée par la plaine de Péville ne vous a posé aucune difficulté, autant le cliché-mystère d’aujourd’hui risque de s’avérer plus problématique. A moins d’habiter le village d’une vallée admirée par Victor Hugo, en personne. Quoi qu’il en soit, l’indice du jour sera le bienvenu : si ce cercle n’existe plus, la commune compte encore deux autres clubs sur son territoire.

Michel CHRISTIANE

« Ces mecs étaient là pour blesser les autres »

Michael Jordan est le GOAT pour Charles Barkley, LeBron James se classe septième, juste derrière Kobe Bryant. Explications.

Charles Barkley a livré son top 9 – duquel sont absents Larry Bird et Magic Johnson – dans le débat sur le GOAT. En première position, il place Michael Jordan. En seconde position, ex-aequo, suivent Oscar Robertson, Bill Russell, Wilt Chamberlain et Kareem Abdul-Jabbar, viennent ensuite Kobe Bryant, LeBron James, Elgin Baylor et Jerry West.

« Je pense que la manière dont se joue le basket aujourd’hui fait que LeBron James n’aurait pas du tout eu envie de jouer contre les Bad Boys de Detroit. Ces mecs étaient là pour blesser les autres. Je disais toujours que quand tu dois jouer contre les Pistons, tu dois d’abord appeler ta famille et leur dire que tu les aimes au as où tu ne les revois plus après ça » a expliqué le MVP 93.

« Nous avons déjoué toutes les pronostics »

Cette saison, Aurélien Dykmans fut sur tous les fronts: R1, P1 et P2. Avec d’excellents résultats à la clés.

« Que cela soit avec la R1, la P1 ou la P2, nous avons réussi de superbes saisons et nous avons déjoué tous les pronostics qui nous plaçaient plus vers la fin que vers le haut du classement » sourit Aurélien Dykmans. « La P1 demeure un championnat très relevé avec de nombreuses équipes compétitives.« 

Cette saison fut véritablement celle de l’éclosion pour le Collégiens. « Je suis très content de ma saison. Je me suis senti progresser au fil des matchs grâce à la confiance de mes coachs. J’espère la leur avoir rendue sur le terrain » continue-t-il. « La victoire contre la P1 de l’Etoile en Coupe et mon premier match en R1 resteront les moments forts de cette campagne. »

Une saison à marquer d’une pierre blanche. « L’ambiance dans le groupe était super. C’est un groupe d’amis dans lequel j’ai pris du plaisir à tous les matchs et après-matchs. Mon seul regret demeure notre passage à vide en P1 qui a un peu terni notre magnifique début de saison » conclut Aurélien.

« La Spéciale pratique un jeu dur et collectif »

Après seize années à Prayon, Gwenaël Degré a décidé d’ouvrir un nouveau chapitre de sa carrière à La Spéciale Aywaille. Interview.

Gwenaël, pourquoi avoir pris la décision de rejoindre La Spéciale Aywaille pour la prochaine saison?

J’ai eu l’occasion de voir jouer La Spéciale Aywaille à de nombreuses reprises ces deux dernières saisons. C’est une équipe qui pratique un jeu dur et collectif. Malgré de très bonnes individualités, personne n’est mis de côté et tous concourent à un même objectif: la victoire. Cela devrait donner envie à n’importe qui. Aywaille enregistre de très bons résultats depuis un bon moment. Pourquoi ne pas venir y participer?

Quelles sont tes envies pour le prochain championnat?

L’envie première reste de m’amuser autant que lors des précédentes années à Prayon. Le basket reste un sport qui nous passionne tous et l’amusement en fait partie. Côté compétition, j’espère facilement m’intégrer à un groupe qui va peu changer et apporter ma pierre à l’édifice sans faire de bruit pour continuer le bon travail du coach depuis quelques saisons.

Quels souvenirs garderas-tu de toutes ces années à Prayon?

Prayon restera ma maison à jamais. Seize ans, c’est long comme fidélité dans un club de nos jours. J’ai joué avec des amis d’enfance qui sont devenus de vrais frères au fil du temps. Je n’oublie pas nos deux titres en quatre saisons qui ont permis à notre équipe d’accéder de la P4 à la P2. Ce fut une belle aventure qu’il n’a pas été facile pour moi d’arrêter. Merci Prayon pour ces belles années, je serai le premier supporter du club la saison prochaine.

« Pour le spectacle, ce n’est plus ce que c’était… »

Adrien Bastin revient sur la saison de l’Etoile et la fin de cycle d’un groupe qui aura brillé pendant quelques saisons.

Avant de prendre la direction de Tilff où il composera une nouvelle doublette – avec Nico Berger – à la distribution, Adrien Bastin est revenu sur la saison particulière vécue par l’Etoile Jupille.

Sur la saison de Jupille:

« Il faut l’avouer, ce fut une saison assez particulière à différents points de vue. Un coup nous jouions la montée, un coup nous ne la jouions plus. Mais ce que je retiendrai de cette saison, c’est que le groupe est resté soudé jusqu’au bout malgré tout. L’équipe était la même depuis quatre ans et je pense que Michel Nihon peut être fier du travail accompli. Malgré les blessure, le manque d’entrainement(s) et autres soucis internes, nous avons conservé l’envie de nous donner et de jouer ensemble. Nous ne pouvons qu’être satisfaits de nos résultats et de nos performances, notamment de notre moyenne de près de cents points marqués à domicile. »

Sur la première place ex-aequo avec Ensival:

« L’objectif en début de saison était clair: rejoindre la R2 la saison prochaine. Nous visions donc clairement le haut du tableau. Nous sommes déclarés champions mathématiquement (ndlr: en fait, aucun titre n’est décerné, il y a juste des montants et des descendants), ce qui ravit les joueurs. Le club peut rester en P1 comme il l’avait finalement souhaité et Ensival pour accéder à l’échelon supérieur. Un résultat qui satisfait tout le monde.« 

Sur l’élite provinciale:

« La série était assez équilibrée et cela s’est remarqué dans la lutte au maintien acharnée qu’ont mené cinq ou six clubs. C’est par contre triste de constater qu’il n’y a plus aucun intérêt pour les Playoffs, personne ne veut y aller de peur de devoir monter. Pour le spectacle, ce n’est plus ce que c’était, malheureusement…« 

Sur ses propres performances:

« Je suis assez satisfait de ma saison. J’ai pris énormément de plaisir sur le terrain, surtout offensivement où tout le monde y trouvait son compte. C’était le principal.« 

Sur les moments marquants de cette campagne 2019-2020:

« La saga autour de notre élimination en Coupe a, je pense, beaucoup touché le groupe. Le gain de ce trophée faisait partie de nos objectifs principaux et nous nous serions bien passés de tous ces rebondissements. »

Sur les aspects vraiment positifs de cette année:

« L’ambiance au sein du groupe fut incroyable cette année encore. Nous avons vécu des fêtes dont nous nous souviendrons longtemps. J’ai particulièrement apprécié la solidarité dont toute l’équipe a fait preuve une fois que la situation est devenue un peu délicate en milieu de saison. »

Sur ses regrets:

« J’en ai beaucoup, le premier étant bien sûr de ne pas avoir pu sportivement terminer la saison. Ce qui me chagrine toutefois le plus, c’est de ne pas pouvoir faire une dernière fête à l’Etoile avec toute l’équipe, le comité et les supporters afin de retracer ces quatre merveilleuses années passées là-bas. Nous avons malheureusement été évincé du groupe Facebook du club, je vais donc profiter de cet article pour remercier tout le monde pour les quatre superbes années passées à Jupille, pour l’accueil, l’encadrement et j’en passe. »

« Cela forge le caractère »

Pour Liège & Basketball, Justin Kohajda évoque son confinement, son nouveau contrat, analyse la saison vécue par Liège et se projette vers la suivante. Entretien.

Justin, le basket te manque-t-il déjà?

Oui, il me manque énormément. Ne pas avoir une date précise de reprise est très difficile mentalement, j’ai l’impression que ma vie n’a plus de sens en ce moment (rires). Mais je garde espoir et motivation en touchant tout de même la balle chaque jour.

Comment occupes-tu ton temps libre en cette période de confinement?

Je m’entraine dans mon jardin chaque jour, je vais courir dans un parc naturel derrière chez moi: je fais du sport tous les jours. J’ai aussi d’autres occupations, je joue pas mal à des jeux de société, notamment avec mon frère qui organise des tournois de poker et de Monopoly. Et je me découvre une autre passion: le cuisine (rires). J’adore expérimenter pas mal de choses que je découvre sur internet ou dans des livres. Et j’aime aussi mettre la main à la pâte dans l’organisation de la maison et du jardin. Mais, malgré tout, ce n’est parfois pas facile de combler l’ennui.

La Ligue de basket fut la première à stopper le championnat.

Je pense que c’était la seule solution afin de protéger la santé des joueurs et des membres des staffs. Il n’y avait guère d’autres solutions même si je suis très déçu de ne pouvoir pratiquer ma passion.

Comment juges-tu la saison qui vient de s’écouler?

En essayant d’être objectif, collectivement, je crois que Liège a fait de son mieux avec ce qu’il avait et avec les conditions qui étaient les nôtres. Nous avons fait de notre mieux. Tant les joueurs que le staffs sommes passés par des moments vraiment difficiles. Et si je dois retenir quelque chose de cela, c’est que cela forge le caractère et de la détermination pour la saison à venir qui m’excite déjà.

« Accrocher les Playoffs serait la cerise sur le gâteau »

Tu as accumulé les double-doubles cette saison.

Je suis plutôt satisfait des choses que j’ai pu montrer sur le terrain. Je reste déçu des défaites et des résultats. Bien évidemment, je ne monte jamais sur le terrain pour perdre mais j’ai fait de mon mieux et j’ai tout donné pour mon équipe, comme toujours. Liège a su me faire confiance – et me fait de nouveau confiance pour deux saisons supplémentaires – et j’ai su lui rendre cette confiance. Finir quatrième meilleur rebondeur de la ligue aux côtés de joueurs comme Thompson et Maric, c’est très gratifiant et encourageant pour la suite.

Tu le disais, tu as prolongé de deux ans avec le club principautaire. Est-ce là une vraie satisfaction?

Oui, une satisfaction et c’est très gratifiant car ce nouveau contrat est vraiment une preuve que Liège croit en moi et veut me pousser.

Qu’est-ce qui t’a marqué cette saison et qu’as-tu appris?

Le fait marquant de cette saison est d’avoir retrouvé ma confiance en moi sur le terrain. Je l’avais perdue depuis deux ans et, grâce à Liège, j’ai pu la retrouver. Pouvoir de nouveau jouer sans pression fut une grande source de progression et c’est vraiment cela que je retiens.

Le club liégeois a bien avancé dans la construction de son équipe pour la prochaine saison. Quelles sont tes envies pour la prochaine campagne d’EuroMillons Basketball League?

J’aspire à continuer ma progression et à faire encore évoluer mon jeu. J’espère avoir un impact encore plus important sur le jeu de Liège et devenir une vraie pièce maîtresse dans la raquette pour aider mes coéquipiers. Collectivement, lorsque je vois les efforts et le travail fournis par le club pour nous mettre dans d’encore meilleures conditions, je crois vraiment qu’en travaillant dur et en prenant les matchs les uns après les autres, nous pourrons créer de belles surprises. La cerise sur le gâteau serait d’accrocher les Playoffs.

Crédit photo: Philippe Collin

Delsaute et Muller, les deux super recrues de Pepinster

Pepinster réalise un excellent recrutement pour ses équipes de TDW1 et TDM2.

L’arrivée de Katharina Müller à Pepinster marque la volonté de Pepinster de « représenter l’Est du pays » et de tirer avantage de sa position dans l’Euregio. Un renfort de choix pour l’équipe féminine pepine.

Autre renfort de choix, chez les garçons cette fois: Fred Delsaute. Aussi surprenant que cela puisse être, Fred-le-Magnifique n’avait encore jamais porté les couleurs du club phare de la région verviétoise. A Pepinster, il retrouvera son ancien entraineur à Sprimont, Pascal Horrion.

Le club pepin propose un petit portrait de Muller et Delsaute sur son site internet, à lire ici.

Ron Artest coach des Knicks?

Metta World Peace rêve d’entrainer les Knicks.

La NBA a compté quelques têtes brûlées. Parmi celles-ci, Ron Artest aka Metta World Peace figure en bonne position. Pur produit new-yorkais, celui qui avait cassé quelques côtes à Jordan a un rêve: entrainer à Big Apple, les Knicks plus particulièrement. « C’est le seul job qui m’intéresse. Être un assistant coach ne m’intéresse pas. On me demande souvent pourquoi ? Juste parce que je veux pas. Je veux être directement le coach principal » a confié World Peace.

Un joueur NBA au Brussels

Le Brussels enregistre l’arrivée d’un joueur présentant de solides références.

La nouvelle recrue du Brussels est d’un sacré calibre! Passé par les Spurs en NBA mais aussi par des clubs d’Euroleague comme le PAOK, l’Aris Salonique, la Virtus Roma et Galatasaray, Darius Washington présente une sacrée carte de visite. Un renfort de choix dont se félicite Ian Hanavan. « C’est une chance de pouvoir compter sur les services Darius la saison prochaine. En plus d’être polyvalent, Darius apportera son leadership et son expérience à notre équipe » déclare-t-il sur la page Facebook du cercle bruxellois.

Clap dernière à Taiwan !

Plus près de nous, on salue le retour sur les parquets (namurois) de cet ancien Hoëgnard qu’est Amaury Jadin tandis que l’on connait le champion de l’« exception » taiwanaise. En ce qui concerne la photo-mystère, elle a rappelé pas mal de bons souvenirs à quelques-uns d’entre vous… Ce sont les infos d’EMCE.

Disparu des radars, Amaury Jadin (ex-Pepin) rebondit à Fraire

Amaury Jadin (34 a, 1,89 m) figurait parmi les plus sûres promesses du basket belge. Il n’y a pas si longtemps que cela… Il défendait, entre autres, les couleurs de Charleroi (14/15) puis de Pepinster (15/16) avant de disparaître subitement et complètement des radars. Pendant ce temps, il obtenait son diplôme de kiné et évoluait ensuite à Lambusart (D3). Après s’être occupé des jeunes de Cerfontaine (photo), il vient de se mettre d’accord avec les dirigeants de Fraire-Philippeville. Une formation de P1 namuroise qui décline de réelles ambitions en vue de la prochaine saison.

L’exception qui confirme la règle : Taiwan a son champion !

Comme je vous l’indiquais la semaine dernière : le rideau est tombé sur un championnat de Taiwan qui ne s’est donc jamais arrêté. Faut-il en rire ou en pleurer ? Pour l’anecdote, sachez encore que ce sont les Taiwan Beers (avec l’Américain, Kentrell Barkley) qui se sont approprié les lauriers nationaux. Pour parvenir à leurs fins, ceux-ci ont dû batailler ferme (4 manches à 3) face à Yulon Luxgen. Même si l’ultime rencontre ne posa aucun virus aux champions 2020, vainqueurs 78-113 dans l’antre adverse.

Terrain extérieur : Péville, rampe de lancement de la JSG

Vous étiez très nombreux à avoir reconnu la plaine de Péville, en quelque sorte le creuset du club de Grivegnée. Déjà là-bas, la grande foule ceinturait régulièrement une aire de jeu où il ne faisait pas bon s’aventurer. La JSG, cher au président Lanni, investit ensuite la salle de la rue Nicolas Spiroux. Les « Rouge et Jaune » accédaient à la D2 en mars ’83 sous la conduite de Jean-Pierre Fransquet… qui, deux ans plus tard, montait en D1 avec Pepinster. Mais, c’est via le coaching du Spadois, Jacques Paquay et sa célébrissime zone, que Grivegnée connut son heure de gloire. On s’agglutinait sur les gradins locaux le dimanche en fin d’après-midi… Les dames (de la famille Genot) se mirent, elles aussi, en évidence. « Ce club a une histoire », comme l’indique très justement Nathan Stevens.

La télé crève l’écran

Si vous avez suivi les deux premières « livraisons » dédiées à Michael Jordan, sûr que vous vous brancherez aujourd’hui encore sur Netflix. Et quelque chose me dit que les coulisses de la NBA vous sidérerons à nouveau…

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : BC Cerfontaine