Meesseman encore distinguée

Comme d’hab’, Emma Meesseman est élue dans le meilleur cinq de l’Euroligue.

Cela a beau être habituel, cela n’en reste pas moins exceptionnel. Emma Meesseman continue sa moisson de trophées honoriques en étant à nouveau élue dans le meilleur cinq de l’Euroligue, une compétition qu’elle a déjà remportée à plusieurs reprises.

« Delhaye méritait de finir sa carrière autrement »

A peine autorisé à refouler les parquets, Simon Doneux voyait la saison s’arrêter brusquement à cause des risques sanitaires. Une saison à oublier pour la future Grenouille. Interview.

Simon, comment juges-tu la saison qui vient de s’écouler et que penses-tu de vos résultats?

C’était vraiment une saison faite de hauts et de bas. Nous avons alterné le bon et le « vraiment pas bon ». Notre bilan est donc mitigé.

Avez-vous terminé à la place que vous visiez ou que vous pensiez mériter?

En début d’exercice, les ambitions du groupe – au vu de sa composition – étaient grandes, nous visions clairement le haut du classement. Au final, nous terminons à la place que nous méritons vu le niveau de jeu affiché pendant la majorité de l’exercice.

Qu’as-tu pensé de votre série de TDM2, du niveau de celle-ci et de la compétitivité du championnat?

C’était une série assez homogène où de nombreuses équipes se valaient. Il y a d’ailleurs eu beaucoup de surprises au fur et à mesure des semaines. Kontich a survolé la saison et l’absence de Playoffs a vite enlevé beaucoup d’intérêt au deuxième tour, certes écourté…

A titre personnel, que penses-tu de tes prestations ?

Difficile de parler de mes prestations étant donné qu’au final, je n’ai pas su remonter sur le terrain. J’ai recommencé la semaine avant le début du confinement.

Quels auront été les moments marquants ce cette saison?

Retenons le positif avec deux très belles victoires à domicile: contre Esneux et Tongres. De solides prestations qui ont montré toutes les qualités que le groupe possédait. Le stage de reprise au mois d’août où nous avons passé le week-end ensemble en gîte était un super moment et une très belle manière de recommencer la saison.

Nourris-tu quelques regrets?

Plusieurs regrets oui. Forcément, c’est la première fois que je traine une blessure aussi longtemps et la frustration de ne pas pouvoir monter sur le terrain était grande. C’était très dur « d’observer » pendant toute une saison. Le fait que la saison s’arrête brutalement et nous empêche de fêter Romain Delhaye comme il se doit est probablement le plus gros regret. Après autant d’années de (très) bons et loyaux services dans le même club, il méritait assurément de terminer sa carrière autrement… ce sera pour après le confinement !

« Mes meilleures prestations lorque j’occupais le poste 1 »

Avant de rejoindre l’Etoile Jupille, Romain Bruls fait le bilan de la première saison des Dragons en première provinciale.

« Nous avons réalisé une bonne saison dans l’ensemble. Même si les résultats étaient très variables d’une semaine à l’autre, nous avons au total comptabilisé bien plus de victoires que de défaites » souligne Romain Bruls. « Vu les nombreuses absences dont nous fûmes victimes, nous récoltons la place que nous méritons, ni plus ni moins. Néanmoins, au regard de nos prestations, nous n’avons pas démérité. Cette série était très compétitive, nous pouvions perdre contre le dernier et gagner le week-end suivant contre le premier. »

Pour Romain, c’est à la place de distributeur que ses sensations furent les meilleures. « Je crois avoir livré une bonne saison mais je dois avouer que mes prestations les plus abouties e furent lorsque le coach me plaçait sur le poste 1, ce qui est arrivé moins souvent que je l’aurais voulu » continue-t-il. « Cette campagne fut indéniablement marquée par l’arrêt brutal lié à la pandémie.« 

La saison prochaine, le Dragon défendra les couleurs de l’Etoile Jupille, toujours en P1. « Je regrette un peu la situation actuelle de l’équipe. Nous avions un bon petit groupe tant sur le terrain qu’en dehors. Mais je suis impatient de jouer pour mes nouvelles couleurs et de partager le ballon avec mes nouveaux coéquipiers » conclut Romain.

« Nico Gerads m’avait promis une soirée all-in au Pôle Ballons »

Figure de proue des Wawas en P1, Denis Lambion revient avec bonne humeur sur la dernière campagne de Waremme. Entretien.

Denis, comment juges-tu cette première saison du groupe en P1?

Ce fut une saison positive puisqu’avec un groupe quasiment inchangé par rapport à l’année passée en P2 – où nous étions d’ailleurs descendants à la trêve -, nous ne fûmes pas en position dangereuse une seule journée et nous nous sommes maintenus. Nous aurions préféré décrocher notre maintien sur le terrain mais le Covid-19 en a décidé autrement.

La position à laquelle vous terminez est-elle celle que vous méritiez?

Oui, je pense que nous finissons à la place que nous méritons. Même si le bas de classement était extrêmement serré, nous laissons finalement cinq équipes derrière nous. Nous avons connu des hauts – faire douter Saint-Louis dans sa salle, battre Alleur et Welkenraedt – et des bas – nous incliner contre Dison et Sainte Walburge – mais, l’un dans l’autre, nous pouvons être satisfaits de notre place au classement.

Qu’as-tu pensé de ce championnat?

Le niveau de la P1 était globalement relevé avec véritablement trois groupes d’équipes: celui du top avec l’Etoile et Ensival qui étaient pratiquement intouchables, celui de ventre mou avec par exemple Welkenraedt et celui – dont nous faisions partie – composé des formations qui luttaient pour leur maintien. La lutte aura été intense mais nous sommes contents de poursuivre à cet échelon.

Tu as su alimenter la marque avec brio et régularité pour les Wawas. De quoi être satisfait de tes prestations?

Je pense avoir apporté ce que je sais faire sur un terrain de basket: du scoring – l’Avenir m’a appris que j’étais le deuxième scoreur de la série derrière Roosen – ainsi que de la rapidité et de la fiabilité. Ma plus grosse satisfaction reste cependant collective: nous sommes parvenus à nous maintenir malgré les blessures et indisponibilités de certains joueurs clé, notamment l’arrêt en cours de saison de Greg Dierckx qui nous a beaucoup touché sportivement et personnellement.

Quels furent les moments forts de ce championnat?

Le premier fut notre victoire à Alleur lors du second match de championnat, cela a lancé notre saison. Le second est la lourde blessure de Greg. Les deux derniers sont plus récents et concernent nos victoires à domicile – et avec la manière! – contre Belleflamme et Dison qui ont entériné notre maintien en P1.

Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année?

L’esprit « bande de potes » que nous avons su conserver malgré certains moments compliqués ainsi que quelques troisièmes mi-temps mémorables (rires).

As-tu quelques regrets?

Oui, dont celui de ne pas avoir assuré le maintien sur le terrain. Nico Gerads m’avait aussi promis une soirée all-in un samedi au Pôle Ballons si l’équipe était sauvée et que je finissais meilleur marqueur de P1. Mais il m’a scotché sur le banc toute la deuxième mi-temps à Hannut car il avait peur pour son compte en banque (rires).

Où a été prise cette photo ?

Ce terrain mystérieux se trouvait tout au bout d’un cul-de-sac où les 3e mi-temps ne dérangeaient donc personne. Spa, Comblain et Yves Lejeune ont obtenu quasi simultanément gain de cause. Aujourd’hui, aussi, on fête un anniversaire : il y a 15 ans, un Hoëgnard raflait le titre grand-ducal aux dépens d’un futur… Pepin. Ce sont les infos d’EMCE.

Il y a juste 15 ans, un Pepin devenait champion du Luxembourg

Le samedi 7 mai 2005, le match décisif pour le titre grand-ducal met aux prises l’Etzella Ettelbrück et le Sparta Bertrange. On joue à bureau fermé devant 6000 spectateurs encaqués comme des sardines dans une boîte. Jusque-là, chacun des antagonistes a gagné sur ses terres. Autrement dit, les Ardennais partent favoris. On a droit à un suspense de tous les instants avant que le duel ne soit interrompu un gros quart d’heure suite à un… trou dans le parquet. Les Nordistes mènent encore 55-54 (25e) avant que leurs rivaux ne creusent insensiblement l’écart pour conclure à 72-81. Ils le doivent en grande partie à Larrie Smith (29 pts) qui allait rester plus de dix saisons au Grand-Duché. Autre particularité, le coach des néo-champions n’était autre que le Pepin, Michel Baiverlin. Quant au meilleur marqueur dans les rangs d’en face, il s’agissait de Derrick Obasohan (24 pts). Américain qui, trois mois plus tard, évoluait au… Paire. Il y a donc 15 ans, jour pour jour.

Cette fois, Esneux, Spa et Comblain ont le précieux sésame en poche

Comme nous le laissions entrevoir dès la semaine dernière, les choses semblent s’arranger au niveau des licences (wallonnes) en TDM2. Cette fois, ce sont les clubs de Spa et de Comblain qui ont fait savoir qu’ils venaient d’obtenir, eux aussi, leur précieux sésame en vue de la saison prochaine. Désormais, riverains du Wayai et de l’Ourthe sont curieux de connaitre leurs séries respectives. Pour rappel, tant Pepinster que le Royal IV étaient assurés de pouvoir à nouveau évoluer en D3 depuis un certain temps déjà.

LBM (Y. Lejeune) gagne son procès à l’encontre d’O. Epoupa

Depuis un certain temps déjà, LBM Management était en litige avec Olivia Epoupa. Comme aucune solution n’a été trouvée, Yves Lejeune et sa société ont été obligés de porter plainte à l’encontre de l’internationale française. Le litige a été jugé devant le Tribunal Arbitral du Basketball, l’instance juridique de la FIBA. A l’issue des plaidoiries, la meneuse des « Bleues » a été condamnée à dédommager l’agence liégeoise. Le montant de la sanction se chiffre à plusieurs milliers d’euros. A cette occasion, les intérêts du Grivegnéen étaient défendus par Sébastien Ledure. Un expert en la matière qui n’est autre que le fils de l’ancien manager des Belgian Lions.

Terrains extérieurs : les « Corpos » également…

Comme c’est devenu une habitude, retour à Liège – comme dirait José Happart – ou en proche banlieue pour la dernière photo-mystère de la semaine. Dans ce cas précis, on est plutôt dans un des nombreux quartiers populaires de la Cité ardente. Reste à vous dévoiler l’inévitable et bien nécessaire indice : sur ce terrain, jouèrent des équipes de la fédération officielle ainsi que des formations du championnat corporatif.

Michel CHRISTIANE

La NBA de demain

Comment se profile la NBA de l’après Covid-19?

Comment se profile la NBA de l’après Covid-19? Patty Mills s’est penché sur la question. « Je pense aux road-trip, aux interactions qu’on peut avoir avec le public qui nous renvoie au nombre de fois où on peut s’exposer en public. Je pense à tout notre quotidien, en tant qu’athlète professionnel. Que ce soit les avions, les bus, les hôtels, tout ça va être différent, il n’y a aucun doute là-dessus » a avancé le Boomer.

« Tout le monde va être prudent et des stratégies différentes seront mises en place, chacun développera sa meilleure façon d’attaquer et de traiter cette chose, en supposant qu’elle revienne en force l’année prochaine, » a-t-il ajouté. « Ça aura probablement un effet majeur sur la façon dont la NBA sera gérée pendant longtemps. »

« Nous envisagions des Playoffs palpitants »

Avec Waremme, Mehdi Aouini a validé une seconde montée en deux ans.

« Cette saison laisse vraiment un goût d’inachevé pour beaucoup d’équipes du championnat et particulièrement la nôtre. Nous nous félicitons évidemment de la montée qui était bien sûr l’objectif numéro 1 du club mais gardons un goût de trop peu car nous n’avons pas pu aller au bout de notre démarche sportive » avance Mehdi Aouini. « Vu le contexte ainsi que les blessures qui ont décimé l’équipe, je pense que nous nous sommes bien battus et que nous méritons cette montée. Notre série de R2 était plutôt cohérente. Les équipes mal classées ne baissaient jamais les bras et certaines formations étaient complètes et impressionnantes. Cela laissait envisager des Playoffs palpitants.« 

Comme la saison précédente, le meneur fut utile à son coach de – presque – toujours Mike De Keyser. « Je suis content d’avoir pu apporter ma pierre à l’édifice en offrant une rotation à une équipe décimée. Je ne regrette pas du tout d’avoir accepté la demande du club et de mon entraineur de rempiler une saison supplémentaire car évoluer auprès de joueurs et d’un entraineur expérimentés m’a permis d’apprendre encore davantage » ajoute-t-il.

Un bilan plus que positif pour l’ancienne vedette de Wanze. « Mon seul regret est de n’avoir pu être présent lors de la victoire à Tilff car j’étais en voyage à l’étranger. Cette victoire était en effet l’aboutissement de quelques semaines de sérieux travail à l’entrainement et ne pas y avoir participé reste un regret » nous confie Mehdi. « Mais cette monté représente vraiment un aboutissement personnel ainsi que pour le club. C’était l’objectif avoué il y a deux ans et nous y sommes parvenus! » Bravo!

« Claquer un gros dunk en contre-attaque »

Michael Hendrick fait le bilan des Bobelins au sein de l’élite provinciale. Interview.

Michael, comment juges-tu la saison qui vient de s’achever?

Elle est déjà terminée et avec des regrets. Nous avons vécu une saison compliquée avec une toute nouvelle équipe suite aux nombreux départs. Nos résultats ne reflètent malheureusement pas le potentiel de notre équipe et je ne pensais pas que nous serions en danger pour effectuer la bascule.

Le maintien n’était pas votre objectif inital?

Non, pas du tout. Nous avons longtemps été en danger et menacés par la descente. C’est une pression énorme de jouer en sachant que si nous ne gagnons pas, ce sera compliqué pour la suite. Heureusement, nous avons remporté de gros matchs afin de nous placer dans le ventre mou de la division.

La deuxième partie de tableau a semblé particulièrement disputée cette année.

La P1 avait un gros niveau cette saison. Toutes les équipes pouvaient perdre contre tout le monde mais, pour moi, Ensival et l’Etoile Jupille étaient tout de même largement au-dessus du lot.

Qu’as-tu pensé de tes prestations?

J’en suis un peu déçu. Je ne suis pas un grand scoreur mais j’aime faire marquer mes coéquipiers et bien jouer en défense pour partir en contre-attaque et claquer un gros dunk (rires).

Quels furent les moments forts de ce championnat?

Tout d’abord, l’arrêt brutal du championnat suite au coronavirus. Ensuite, le niveau incroyable de la division qui s’élève chaque saison. Cela devient vraiment un challenge pour un jeune joueur comme moi.

Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année?

De jouer avec mon ami Maxime Pluys – avec qui, depuis des années, j’avais très envie de jouer – et d’avoir fait de super rencontres, notamment François Huby et Lucas Grandry.

« Avec OL Groupe nous avons des rêves très ambitieux »

Aussi brillant en coulisses qu’il ne l’était sur les parquets, Tony Parker – qui devrait succéder à Jean-Michel Aulas à la tête de l’OL Groupe – se fixe des objectifs extrêmement élevé. Un consortium français sera-t-il bientôt propriétaire d’une franchise NBA?

Tony Parker est un redoutable homme d’affaires. Si sa carrière de rappeur ne laissera pas un grand souvenir, celle de businessman se révèle brillante. L’ancien MVP des Finals a de la suite dans les idées, de grandes ambitions et se donne les moyens de réussir. Déjà à la tête du club de basket de Lyon dont les résultats – tant chez les Dames que chez les Messieurs – sont remarquables, TP est désormais membre de l’OL Groupe – qui a déjà racheté le club de football féminin de Seattle – et devrait succéder à Jean-Michel Aulas en 2023.

Avant de tenter de devenir propriétaire d’une franchise NBA? C’est un tout cas un challenge qui l’attire. « Pour moi, le but ultime c’est de posséder ma propre franchise NBA. Je sais qu’avec OL Groupe nous avons des rêves très ambitieux. (Si une franchise venait à être en vente ?) C’est une forte possibilité. A l’heure actuelle, nous avons des objectifs différents. Mais dans 5 à 10 ans… J’ai déjà parlé de ça avec le président Aulas » a déclaré la légende des Spurs dans un entretien avec The Undefeated

« Pepinster un club qui a une âme »

Romain Pirson revient sur sa première saison avec le maillot bleu et blanc de Pepinster.

Arrivé en provenance de Cointe, Romain Pirson a participé à ce qui marquera le retour de Pepinster au niveau national. Une saison mouvementée mais qui s’est bien finie pour des Pepins qui partiront sur un nouveau cycle la saison prochaine auquel participera l’ailier scoreur. L’ancienne Grenouille revient sur les différents aspects de cette saison.

Sur le bilan de Pepinster:

« L’objectif principal fixé par le club était le maintien et nous l’avons atteint. Au final, nous avons fini dans la deuxième partie de tableau mais avec le type d’équipe que nous sommes et la mentalité des joueurs, c’est certain que nous espérions davantage de victoires. Nous avons perdu quelques matchs de très peu de points à cause de petits détails qui faisaient la différence en fin de rencontre. »

Sur la TDM2A:

« Une série assez relevée. Beaucoup d’équipes affichaient des ambitions élevées et disposaient des noyaux pour y parvenir. Kortrijk sortait immanquablement du lot et mérite sa montée. Le classement s’était resserré en fin de championnat, dommage que la saison fut stoppée car nous étions dans une spirale positive, le groupe prenait du plaisir et se battait sur tous les ballons. »

Sur ses propres performances:

« J’ai manqué de constance cette saison. Mes côtes cassées m’ont fortement handicapé pour le premier tour et il m’a fallu du temps pour retrouver mes sensations. Je comptais sur le deuxième tour pour me rattraper, dommage que celui-ci fut écourté. »

Sur les moments forts vécus par les Pepins:

« Nous avions réalisé une bonne pré-saison en Coupe de Belgique en nous inclinant de peu contre Gembo, Sijsele et Kortrijk. Au fur et à mesure des semaines, nous étions sur une pente descendante. Vers la fin du premier tour, les joueurs n’avaient malheureusement plus la même vision des choses que le coach. Bernard Schoonbrodt et Fred Carton ont réalisé un super boulot pour le reste du championnat.« 

Sur ce qu’il a particulièrement apprécié cette année:

« C’était ma première année à Pepinster et j’ai découvert une club avec une âme. Un club qui peut compter sur ses supporters, cela fait toujours plaisir. Malgré un championnat avec des hauts et des bas, les joueurs sont restés soudés, l’ambiance était au top. J’ai vécu de nombreux bons moments avec eux.« 

Sur ses regrets:

« Je regrette de ne pas avoir été suffisamment patient quant à ma blessure aux côtes, elle s’est aggravée lors des contacts et mon invalidité a été prolongée. Je regrette aussi de ne pas avoir suffisamment montrer mes qualités durant la saison à Moss, à Bernard et à Fred. »

Crédit photo: Philippe Hanus