Rejouera-t-on au Parc ?

Chose promise, chose due : vous saurez tout concernant l’éventuelle réhabilitation du « playground » bobelin tandis que notre dernière photo-mystère en date avait trait au Mosa Angleur cher à la famille Esposito. Je prends les paris : si Ninane a sa licence, les Liègeois de TDM2 seront à nouveau scindés en deux séries. Ce sont les infos d’EMCE.

Vers une seconde jeunesse pour l’écrin spadois

Il a longtemps été un des plus beaux terrains extérieurs de la province. Ne serait-ce que grâce à son cadre majestueux. Dans un véritable écrin de verdure. Au fil du temps, il perdit de sa splendeur et les Francofolies finirent par – quasiment – l’achever (photo). Voici peu, les frères Bloemers ont eu un éclair de génie : « Suite aux nouvelles normes émises par le gouvernement, il serait sans doute opportun de songer à le réhabiliter », expliquent-ils, « Ce qui permettrait, entre autres, à nos équipes de s’y entraîner à nouveau. » Espérons que les échevins Mathy (ex-joueur du cru ayant les travaux dans ses attributions) et Kuo (grand supporter possédant le sport en charge) y prêteront une oreille plus qu’attentive. Pour info : le club de Spa y disputa ses premiers matches dès 1942. Au même emplacement, on y trouvait trois courts de tennis en… gazon. Une rareté.

TDM2 : la réclamation de Neufchâteau rejetée, mais…

Une fois n’est pas coutume, nos sphères dirigeantes n’auront pas trainé pour trancher en ce qui concerne la plainte de Neufchâteau. Pour rappel, les Luxembourgeois la trouvaient saumâtre après avoir été versés dans une série exempte de clubs liégeois. « Ce qui nous amènera à parcourir plus de 4600 km sur la saison, soit 1000 de plus que la précédente », souligne le président Golinvaux. La fédération s’est fendue d’une fin de non-recevoir quant à la réclamation chestrolaise. Ceci dit, les cartes pourraient être rebattues si Ninane obtenait finalement sa licence. L’an passé à même époque, une tête pensante et agissante de l’AWBB me confiait quand nos Liégeois avaient été répartis en deux séries : « Ne perdez pas de vue qu’il s’agit d’une division nationale et pas d’une super provinciale. » Si les Calidifontains rejoignaient les autres Principautaires, ils seraient alors six au total. Très peu probable de les voir réunis. Avec, pour conséquence, une kyrielle de derbies qui risquent de s’envoler…

Dames : les Malinoises s’appuieront sur… huit étrangères !

Alors que certains clubs de D1 dames éprouvent les pire difficultés (financières) à pouvoir aligner un seul renfort étranger, les Malinoises en compteront… huit ! Sans doute un record du genre en Belgique. Gerrit Driessens, le mentor des Kangoeroes, tente un semblant d’explication : « Nous compterons néanmoins quatre Belges au sein de l’effectif. Mais, il faut savoir que la concurrence est énorme dans notre région avec Boom et Wavre Ste-Catherine. En outre, nous désirons rejoindre le top national et devenir européen le plus vite possible. Nous nous en donnons donc les moyens. » Brainoises et Namuroises n’ont qu’à bien se tenir…

Terrains extérieurs : la seconde résidence des Esposito

Les « anciens combattants » (dont je fais partie) n’ont pas tardé à reconnaitre certaines binettes bien connues du… Mosa. Un club intimement lié à la famille Esposito. D’Italo à Vincent en passant par Martine et Pascal. Entre autres. Les vestiaires du cru se nichaient dans les caves voûtées du château Nagelmackers dominant le square de la Paix d’Angleur. Beaucoup l’ignorent, mais Patrick Garcia, l’actuel secrétaire général de la fédération belge de handball, a d’abord été basketteur pour le compte d’un cercle local comptant quand même… 79 saisons d’existence.

Michel CHRISTIANE

« On ne voit pas ça tous les jours ! »

Doncic a de nombreux fans parmi les basketteurs liégeois. Mais même ses pairs et ses anciens coéquipiers sont admiratifs du prodige slovène.

Parmi les basketteurs liégeois, Luka Doncic fait l’unanimité. « J’aime beaucoup Luka Doncic » nous confiait Elsa Lejoncq. « Pour moi, il est déjà dans le top 10 des meilleurs joueurs NBA » avançait Elias Bonni. « Celui que j’adore et qui m’impressionne pour le moment – et même depuis ses débuts au Real Madrid – c’est Doncic. Il est complet et a une aisance de fou » ajoutait Julien Van Roy. « Quelle maturité, audace et lecture de jeu à seulement vingt ans. Il est incroyable » surenchérissait Xavier Hubert. Des éloges à la hauteur du bonhomme.

Même parmi ses pairs, Doncic a des fans. Je pense qu’il est peut-être le meilleur joueur de 20 ans que la NBA ait connu. Le jeu est différent de quand LeBron est arrivé dans la ligue et les stats sont un peu gonflées en raison du pace (nombre de possessions par rencontre) et du hand check (possibilité pour les défenseurs de mettre les mains et l’avant-bras en contact avec l’attaquant pour défendre). Mais je ne pense pas que LeBron était aussi doué et poli que Luka à 20 ans. Maintenant Luka ne sera jamais l’athlète qu’est LeBron, mais il reste un super athlète. C’est un athlète sous-estimé. Il sera un Hall of Famer s’il reste en bonne santé » développe Steve Nash avant de faire le rapprochement avec son ancien coéquipier, Dirk Nowitzki. « Dirk était énorme à 20 ans, mais comparé à Luka ? Parce que physiquement il rattrapait son retard, Luka est déjà au point physiquement. Je crois que Dirk jouait en seconde division en Allemagne. Luka jouait lui pour le Real Madrid en Europe. C’est une époque différente. Dirk était une chose très très rare à l’époque. Maintenant c’est normal pour un gars qui arrive d’Europe d’être bon de suite. Mais Luka n’est en aucune manière normal. Il a une chance d’être meilleur que Dirk et Dirk est un des meilleurs joueurs de l’histoire. Cela en dit long à quel point Luka est un joueur incroyable et talentueux. »

Ancien coéquipier du Slovène au Real Madrid, Nocioni est également admiratif. « Ce qu’a réalisé Luka ces cinq dernières années est quelque chose d’historique, quelque chose qui restera dans les mémoires pour de nombreuses années parce qu’il a été MVP d’Euroleague et du Final Four (de l’Euroleague) et il est maintenant une superstar NBA encore à un jeune âge », souligne-t-il pour Basquet Plus« À 21 ans, il semble déjà très mûr, et il donne l’impression de dominer la NBA, de la même manière qu’il dominait l’Europe quand il a quitté le Real. On ne voit pas ça tous les jours !« 

L’Argentin ne s’arrête pas là. « Ce qu’il a fait de plus impressionnant ces cinq dernières années, c’est de passer d’un potentiel à une réalité. Très rapidement. Ce qu’il a fait en cinq ans, c’est complètement fou. Il a commencé en passant du temps avec les vétérans et maintenant, il domine la NBA avec ses statistiques. Ça ne se traduit pas encore en résultats mais en statistiques. Je pense qu’il est l’un des joueurs les plus explosifs et extraordinaires à sortir du basket FIBA » ajoute-t-il. Décidément, Doncic fait l’unanimité.

« Nous faisons partie de ces équipes dont on ne peut prévoir le niveau »

Maxime Gaudoux fait le point sur le futur de Waremme en première régionale. Interview.

Maxime, les futures poules de R1 sont désormais connues. Que t’inspirent-elles?

Je n’ai aucune idée des favoris et je ne suis pas partisan de pointer l’une ou l’autre équipe à « l’aveugle ». Je pense que la composition de la R1, dans sa globalité, laissera son petit lot de surprises de par le nombre important d’équipes qui la compose et le déroulement novateur de ce futur championnat.

Quelles seront vos ambitions?

Nous faisons partie de ces équipes dont on ne peut prévoir le niveau. Je ne connais pas mes nouveaux coéquipiers, nous aurons un nouveau coach et donc pas mal de choses à mettre en place. Mais, et c’est une certitude, Stefan Germay et moi – ne connaissant pas les autres, je ne peux parler en leur nom – ferons en sorte que notre groupe soit le plus haut possible.

« On the road to D3, coach? »

Germain Claeys analyse la poule de Cointe en première régionale et les ambitions des Grenouilles.

Le futur championnat de R1 sera assez particulier avec un premier tour avec trois poules de six et un second avec deux poules de neuf. Cointe disputera le premier tour en compagnie de Tilff, Verviers, Liège, Andenne et Ciney. « C’est une super poule! Nous aurons droit à de chouettes derbies et de belles fêtes s’annoncent!« , s’exclame Germain Claeys. « Je n’ai aucune idée de qui seront les favoris mais nous jouerons pour gagner. »

Avec dix-huit équipes (si Ninane obtient sa licence TDM2), ce championnat s’annonce particulièrement disputé. « Il y aura plusieurs grosses écuries mais il est difficile de désigner un favori comme l’a été Gembloux cette année » ajoute l’ailier des Grenouilles. « Le maintien sera toujours notre principal objectif et advienne que pourra par la suite. » Et de conclure: « On the road to D3, coach?« 

« Tout n’est pas encore figé »

Avec son flegme devenu légendaire, sa bonhomie habituelle et une sagacité que beaucoup doivent lui envier, Pierrick Van Den Brule se projette vers le prochain championnat de TDM2. Entretien.

Pierrick, tu restes circonspect quant aux séries de TDM2 dévoilées.

Oui, celles qui furent dévoilées sont vraiment géniales mais ce n’est pas garanti pour plusieurs raisons.

Lesquelles?

Tout d’abord, nous ne savons pas quand la saison pourra commencer. Si c’est en septembre ou octobre, il n’y aura pas de problème mais si elle commence en janvier, il n’est pas certain que nous puissions garder les mêmes séries. Ensuite, selon notre Président, Neufchâteau aurait posé réclamation. De plus, Ninane pourrait obtenir sa licence et Jean-Pierre Delchef, dans l’Avenir Luxembourg sous-entend que six équipes liégeoises dans la même série lui semble beaucoup. Enfin, Gembloux pourrait arrêter faute de salle et de cafèt. En conclusion: tout n’est pas encore figé.

Néanmoins, malgré ces incertitudes que tu évoques, la première – et peut-être définitive – mouture du prochain championnat rencontre un franc enthousiasme.

Si les séries ne changent pas, je les trouve vraiment excellentes. La nôtre sera, je crois, plus relevée mais avoir tous les derbies ainsi qu’affronter les Limbourgeois et les Namurois, ce serait top. Ce qui est certain, c’est que nous allons bien nous amuser après les matchs (rires)!

Cette saison, vous avez disputé peu de derbies.

Tout à fait et cela m’a manqué. Lorsque nous avions reçu Pepinster, la salle de Spa était bien remplie. C’est super agréable de jouer dans ces conditions. J’espère que cela donnera envie aux suporters de venir voir les matchs. En tout cas, moi, j’irai en voir quelques uns et je me réjouis que la saison reprenne!

Qui vois-tu émerger comme favoris pour le podium?

La série semble relevée et composée de quelques belles armadas. Un trio de tête se dégage avec Anvers, Geel et Tongres. Comblain, Pepinster et, espérons le, Spa, se disputeront la quatrième place. Nous pourrions ainsi faire mieux que cette saison.

Votre groupe connaîtra peu de changements.

Nous avons effectué un bon recrutement avec deux nouveaux ailiers de qualités: Dorian Muller et Gilles Wilkin (ndlr: Benjamin Mertens revient également chez les Bobelins). Ces deux jeunes vont – j’en suis persuadé – s’intégrer à la perfection à la philosophie de l’équipe et au groupe. J’ai vraiment hâte de jouer avec Gilles Wilkin. J’ai beaucoup joué, à Pepinster, avec son frère qui est un gars exceptionnel. Et je sais que Gilles est pareil, ce qui me réjouit.

Quelle seront vos ambitions?

De faire mieux que cette saison. Dans un premier temps, nous chercherons à nous maintenir le plus vite possible. Ensuite, nous voudrons regarder les cadors droit dans les yeux. Mais, attention, la série a l’air plus relevée que cette année…

Quand le Stru dominait la raquette des Bulls

En 1997, au McDonald’s Championship, Eric Struelens avait marché sur la raquette des Bulls.

Lors de l’Open MacDonald’s de 1997 à Paris, Eric Struelens, alors pivot titulaire du PSG de Bozidar Maljkovic, s’était illustré face aux Chicago Bulls. Le Belge sortait d’un match à 20 points, 14 rebonds et 7 contres contre le Barça et allait profiter de l’absence de Dennis Rodman pour gober 20 rebonds contre les champions NBA en titre. « Sur le terrain, on n’y fait pas vraiment attention car on est là pour gagner. Mais après, on se dit quand même « waouw ». C’était un bon match, ca reste un bon souvenir » nous confiait Eric sur ce duel face à Jordan et aux Bulls.

« Une belle génération arrive à Belleflamme »

Une belle génération arrive à Belleflamme où ça bosse dur, même pendant le confinement.

En nombre d’affiliés, Belleflamme est le plus grand club de la Province de Liège. « Une belle génération arrive du côté de Belleflamme » nous informe Maxime Clavier. « Il s’agit des futurs U16-U17 régionaux. C’est une équipe constituée de joueurs nés en 2005 – qui seront U16 l’année prochaine – et nous jouerons les deux championnats avec cette équipe. Cette saison, nous étions invaincus en U15 – et promis au titre! – et nous terminons cinquièmes de Wallonie dans la catégorie U16 avec ces U15. »

Malheureusement, l’arrivée du virus a stoppé net l’élan des Haricots. « Nous avions vraiment bossé comme des fous pour atteindre le titre. Nous avions un préparateur physique, Gaëtan Swartenbrouckx, qui a suivi nos jeunes pendant le mois d’août et leur a permis d’énormement progresser au niveau de l’explosivité » continue Max. « Cela fait maintenant quatre ans que je suis à la tête de ce groupe rempli de caractères mais, surtout, de compétiteurs. Ces petits gars ont été fabriqués à ma sauce pour en faire un groupe exceptionnel en termes de volonté et de motivation. Ils ont faim!« 

Et pour combler l’appétit de ses ouailles et leur permettre de continuer leur progression malgré la période inédite que nous traversons, « Coach Max » a établi un sacré programme estival. « A cet âge, c’est compliqué de s’entrainer seul et intelligemment, encore plus avec le confinement et les risques liés au virus. Avec le préparateur physique, nous avons décidé de poursuivre les entrainements afin que mes joueurs puissent déjà préparer la prochaine saison » poursuit l’ailier des Haricots.

« Fier d’être leur entraineur »

Concrètement, les disciples de Max ont entre quatre et cinq sessions d’environ une heure par semaine. Certaines sont dédiées à la course, d’autres à travailler les appuis et le dribble ou encore le gainage et la corde à sauter. Ce programme, souhaité par l’ensemble des joueurs, durera de mai à juillet inclus. Les joueurs envoient leurs résultats à Maxime qui, lui-même, appelle en vidéo ses protégés pour effectuer certaines corrections et les motiver. « Si je ne suis pas disponible, ils se filment et m’envoient leurs vidéos que je regarde et je leur donne un feedback » nous précise-t-il. « Je suis impressionné par leur sérieux et leur engagement. Je ne les oblige à rien mais cet outil mis en place permet aussi de les occuper, de préparer la prochaine saison et également d’évacuer les tensions liées au climat anxiogène qui règne actuellement. »

Chez eux, au parc, avec les moyens du bord, les jeunes Haricots redoublent d’efforts et les résultats ne se font pas attendre. « Après deux jours, ils étaient déjà en nette amélioration et cela continue » applaudit Max qui réalise un dossier pour chacun de ses joueurs. « Je suis vraiment fier d’eux et d’être leur entraineur car, à leur âge, je n’aurai jamais trouvé une telle motivation. »

Où a été prise cette photo ?

Et si le célèbre terrain extérieur du « fond du parc », à Spa, revoyait le jour ? Une initiative en ce sens est en marche pendant qu’Axel Dejond quitte la Fraineuse pour l’antre des Trudonnaires. La nouvelle orientation prise par les Brainoises pose question à leurs supporters et ils ne sont pas les seuls : finances obligent ! Ce sont les infos d’EMCE.

Axel Dejond, le « Bobelin » devient « Canari »

Après une année à Turnhout, l’éducateur spécialisé avait émis le vœu de retrouver ses potes de la Fraineuse. Blessé puis n’obtenant guère de temps de jeu, il ne garde pas un souvenir impérissable de son come back spadois. Il a donc décidé de repasser la frontière linguistique et défendra les intérêts des « Canaris » de St-Trond, en 1ère Régionale néerlandophone. Là-bas, son coach sera Bart Bormans qui y entamera sa 4e saison consécutive. Autre arrivée trudonnaire, celle au sein de la phalange féminine (P1) de Tessa-Amy Angillis, la fille de Pascal. Toujours à propos de Spa et en raison des nouvelles normes gouvernementales, une initiative visant à réhabiliter le terrain du « fond du parc » vient de voir le jour. Plus de détails, dès demain…

Les supporters devront s’habituer aux nouvelles Brainoises

La direction du cercle brabançon n’a pas fait dans le détail en vue de son prochain effectif. Exit Céleste Trahan-Davis qui, selon la version officielle, désire découvrir des cieux plus rémunérateurs. Elles ne seront de trop à deux pour la remplacer. Soit, la solide Canadienne Kiayla Alexander et l’Américaine Brittany Starling, excellente à Boom. Quant à Marjorie Carpréaux, elle signe son… 3e retour à l’ombre de la Butte après des passages parfois assez explosifs. En dépit d’une enveloppe budgétaire ayant subi une drastique cure d’amaigrissement, une assistant-coach supplémentaire débarque avec Ljubica Drljaca. Et ce, aux côtés d’un Patrick Muylaert déchargé de certaines de ses fonctions.

Retour imminent de plusieurs Belges sur les parquets ?

On le sait, le championnat d’Allemagne de foot redémarre dès samedi. On a manifestement des fourmis dans les jambes outre-Rhin puisque se sont, cette fois, les basketteurs qui s’apprêtent à reprendre possession des parquets. Explication : à condition d’obtenir le feu vert des autorités, un « Final 10 » se tiendra, à la mi-juin, à Munich. Il aura pour but de désigner le nouveau champion national. Dix formations ont accepté de relever ce défi à huis-clos. Dont Bamberg avec Paris Lee, Ratin Obasohan et Roel Moors aux commandes ainsi que Göttingen avec Elias Lasisi. Il ne sera peut-être pas le seul car ce club a enrôlé Jito Kok, en provenance de Malines. Or, chaque participant pourra aligner deux renforts éventuels. Bref, le Hollandais devrait être aussi présent en Bavière.

Terrains extérieurs : retour près d’une ile dite belle

A l’évidence, la dernière photo-mystère de la semaine ne date pas d’hier. Et a, comme toile de fond, un véritable château se dressant en périphérie liégeoise. Sûr que les plus expérimentés d’entre vous ne manqueront pas de reconnaître certains « châtelains » posant pour la postérité. L’indice devrait récompenser les habitués de cette rubrique : on est déjà passé par cette commune devenue un (gros) quartier de la Cité ardente… près d’une « ile ».

Michel CHRISTIANE

« Olivier Battochio est content, nous viserons le Top 3 »

Avec Tongres, Yoann Hertay sera à nouveau ambitieux dans une série où les derbies seront nombreux.

Tongres évoluera en TDM2A la saison prochaine. « Notre série est chouette pour les déplacements. Nous nous retrouverons encore avec les Liégeois et, cette fois, nous aurons en plus les Namurois. C’est notre assistant Olivier Battochio qui est content » sourit Yoann Hertay. « Nos ambitions restent inchangées: être compétitifs à chaque rencontre et viser le Top 3. »

« Toutes les équipes se sont bien renforcées »

La saison prochaine s’annonce moins gloutonne en kilomètres pour François Lodomez et Spa. Interview.

François, la saison prochaine, les équipes de la Province de Liège et celles du Limbourg seront ensemble en TDM2A.

La future série est mieux que celle de cette année. Nous sommes plusieurs Liégeois et nous aurons donc plus de derbies. Nous perdrons également moins de temps en trajets.

Qui vois-tu se positionner parmi les favoris?

J’imagine que Tongres et Anvers seront encore très forts. Côté wallon, il me semble que Comblain peut finir très bien pacé.

Quelles seront vos ambitions?

C’est difficile à dire. Si nous pouvions à nouveau terminer premier Wallon, ce serait pas mal. Mais cela risque tout de même d’être compliqué car toutes les équipes – Pepinster avec Delsaute et Comblain avec Matisse par exemple – se sont bien renforcées.