« Loyers semble au-dessus du lot »

Tom Ventat se penche sur le prochain championnat de première régionale.

Avec Saint-Louis, Tom Ventat figure dans la poule A de première régionale en compagnie Sainte Walburge, Ans, Loyers, Vieux Campinaire, le CFWB et, potentiellement, Ninane. « Sans revenir sur les critères géographiques, sportivement parlant, cette série semble assez ouverte pour que nous débutions bien la saison » avance le meneur du Collège. « Loyers semble au-dessus du lot si Ninane obtient sa licence TDM2. Ensuite, ce sera l’équipe la mieux préparée qui pourra briguer la seconde place. »

Après un premier tour en trois poules de six, toutes les équipes seront dispatchées dans deux poules de neuf. « Difficile de donner un favori global tant il y a des équipes d’un bon niveau. Loyers construit depuis quelques saisons un groupe pour monter mais nous risquons d’assister à une belle bataille – qui dépendra de nombreux paramètres indépendants des qualités intrinsèques de chaque effectif – entre plusieurs formations mais L’9 Flénu pourrait créer la surprise » conclut le leader de Saint-Louis.

Crédit photo: PP Photography Amateur

« J’adore la standing ovation de fin de saison »

Fred Perin revient sur la dernière campagne d’Aubel en P2A et précise les futurs contours de l’équipe B des Herbagers. Entretien.

Fred, quel bilan fais-tu de cette drôle de saison?

Cette saison fut étrange, je pensais aller jusqu’à la fin, comme chaque année, et puis tout s’est arrêté subitement. Nous étions d’ailleurs dans une bonne spirale, avec un bon état d’esprit et de la motivation pour finir cette campagne en beauté. Je reste persuadé que nous aurions pu aller chercher une ou deux places de mieux au classement. Nos résultats ne représentent pas vraiment notre équipe, nous avons perdu énormément de matchs de moins de six points. Avec un peu plus d’entrainements – un seul par semaine et pas toujours à dix – et un peu de chance, la pièce serait tombée de notre côté plus souvent et nous aurions pu jouer les premiers rôles. C’est le basket!

Qu’as-tu pensé de cette P2A?

Cela fait plusieurs années que je navigue entre la P1 et la P2 et, honnêtement, cette série était la meilleure dans laquelle j’ai joué. C’était vraiment agréable car nous avons eu beaucoup de derbies contre des amis et cela nous offrait de belles fêtes après les matchs. Le plus surprenant dans cette P2A était que tout le monde était en mesure de battre tout le monde. Il était impossible, au début d’une confrontation, de savoir qui allait l’emporter. Il fallait se battre jusqu’à la quarantième minute.

Comment juges-tu tes prestations?

Ma saison fut normale. J’ai joué mon rôle du mieux que j’ai pu, j’ai toujours veillé à me donner à 100% à chaque match. Je sais que j’aurais sans doute pu faire davantage, comme lors de la saison précédente et ne pas avoir pu aller au bout du championnat reste frustrant.

Quels furent les moments marquants de cette année?

Il y en a trois qui me viennent en tête. Tout d’abord le match tout simplement exceptionnel de la R2 d’Aubel contre Flénu au Green Temple. La salle était bondée et Aubel a joué un match parfait pendant quarante minutes. Que c’était beau à voir! Je me réjouis que cela se reproduise la saison prochaine avec les nouveaux transferts de l’équipe fanion. Les « Super Sundays » étaient déjà bien réputés, mais là, ça va voler (rires).

Et quels sont les deux autres moments marquants?

Il y a le pari de notre mythique Hubert Remacle, le papa de Thibaut et Simon. A mi-saison, il nous a promis de louer un gîte pour le week-end si nous ne nous inclinions pas plus de trois fois jusqu’à la fin de saison. Nous sommes arrivés à trois défaites et puis le confinement est arrivé. Cela signifie que le pari est réussi! Nous nous réjouissons de boire à sa santé, dans une piscine chauffée ou devant un bon barbecue. Merci Hubert!

Et le troisième?

Cette annonce de confinement qui a mis un terme à notre saison. C’est tout à fait logique mais quel dommage de ne pas pouvoir fêter les personnes qui ont décidé d’emprunter un autre chemin. J’adore ce moment à la fin de la saison où tout le monde se lève pour une standing ovation pour les joueurs et coachs qui ont mouillé le maillot pendant des années à Aubel. C’est une belle marque de respect et de beaux remerciements. Merci à eux pour ce qu’ils ont fait et à bientôt pour quelques JMC à Aubel (rires).

La saison prochaine marquera le début d’un nouveau cycle pour votre P2 avec les arrivées d’un nouvel entraineur et de plusieurs joueurs. Toi, tu seras toujours Aubelois.

C’est exact, il était prévu que l’équipe change, certains joueurs désirant prendre une autre direction. Le comité a fait du bon boulot concernant le recrutement et je n’ai pu que dire oui pour poursuivre l’aventure à Aubel. Je me réjouis de recommencer la saison avec ces nouveaux joueurs mais aussi avec ceux qui restent. C’est un réel plaisir de jouer avec des gars comme ça. Tout le monde semble super motivé et l’ambiance est déjà au rendez-vous alors que nous ne nous connaissons que depuis peu.

Quels seront tes objectifs?

J’ai envie de reprendre « full confiance » en mon basket pour pouvoir tirer des conclusions positive après chaque match. Nous aurons une équipe fort différente mais je sens déjà une grande motivation dans le groupe et cela n’est que positif. De plus, mon meilleur pote Marvin Lizein nous rejoint, ce qui amplifie encore plus l’envie de créer des exploits.

« Reggie Miller est un aussi grand shooteur que Curry »

Ron Artest change de nom et chante les louanges de Reggie Miller.

Ron Artest aka Metta World Peace aimerait coacher les Knicks. Il a également décidé de changer encore une fois de patronyme. « J’ai changé de nom parce que j’en avais marre de Ron Artest. C’est un con. Et si les fans sont énervés après moi, ils ne pourront pas dire : ‘Je déteste World Peace’  » explique-t-il en précisant qu’il fallait désormais l’appeler Metta Ford-Artest.

L’ancien joueur des Lakers en a aussi profité pour chanter les louanges de Reggie Miller. « Reggie Miller est un aussi grand shooteur que Stephen Curry. Tu ne peux pas laisser l’un ou l’autre ouvert. Stephen est incroyable, mais si à l’époque il avait été impossible de toucher Reggie Miller… Comment est-ce que quelqu’un aurait pu défendre sur lui ? C’était impossible de lui laisser de l’espace » a-t-il argumenté.

« Nous aimons les défis »

En P4D, Sainte Walburge a livré une remarquable saison pour décrocher le droit de rejoindre l’échelon supérieur.

« Notre saison fut dans la continuité de la précédente. Nous avions raté la deuxième place d’un match par manque d’expérience du niveau senior » rappelle Tariq Bouchaouir. « Mais cette année, nous voulions prendre notre revanche et être champion avec la manière: meilleure attaque et meilleure défense provinciale.« 

Un pari réussi par l’entraineur et ses ouailles. « Malgré leur jeune âge, mes joueurs ont soif d’apprendre. Ce sont tous de bons gars avec un grand coeur » souligne l’ailier des Sang et Marine. « Le travail fournit au quotidien – ne jamais se satisfaire de la situation – ainsi que le mélange d’expérience et de jeunesse, l’intensité physique en défense et en attaque nous ont permis d’atteindre notre objectif. D’autant plus que ce groupe est une bande d’amis qui jouent ensemble depuis longtemps.« 

Fort heureusement, la décision initiale du CP Liège a été invalidée par le vote des clubs et Sainte Walburge est récompensé de ses efforts. « Le club veut le maintien pour la prochaine saison en P3 mais nous aimons les défis et voulons aller chercher les trois premières places » prévient Tariq avant de conclure: « J’adresse une mention spéciale aux parents des joueurs et aux bénévoles du club pour cette belle saison. »

« Nous ne pourrons pas nous cacher »

Avec Comblain, Charly Bernard sera ambitieux et recroisera la route de Gembloux.

Charly, que penses-tu de la future TDM2A?

Notre prochaine série a l’air sacrément relevée. Je crois qu’aucun match ne sera gagné d’avance. Il y aura pas mal de derbies et, d’après ce que l’on m’a dit, ceux en terre liégeoise sont très chauds. J’ai déjà hâte de vivre cela.

Tu auras aussi l’opportunité de retrouver Gembloux.

Oui, j’en suis heureux. Ce sera l’occasion de revoir les gens du club qui furent tout simplement parfaits avec moi et je serai ravi de boire une bonne Bertinchamps avec eux après le match (rires). Mais je ne leur ferai pas de cadeau sur le terrain et, les connaissant, eux encore moins (rires).

Quelles seront vos ambitions avec le Mailleux?

Avec l’équipe que le club a construit, nous ne pourrons pas nous cacher: il faudra viser le Top 5 au minimum. Tout dépendra, par contre, de comment la sauce va prendre entre-nous tous car malgré nos « noms » sur le papier, nous restons une équipe assez jeune. Mais je ne m’inquiète pas trop pour cela car nous serons très bien entourés. Terminer invaincus à la maison serait déjà pas mal…

« Amis de la R1, vous voilà prévenus »

Stéphane Mossay et Ans ne comptent pas faire de la figuration pour leur retour en première régionale.

Auteurs d’une belle campagne en R2, les Ansois ont obtenu le droit de gravir un échelon pour retrouver une première régionale qu’ils avaient quittée voici quelques saisons. Une division qu’ils redécouvreront via une nouvelle formule et un système de poule. Les Ansois ont hérité de Saint-Louis, Sainte Walburge, Vieux Campinaire, Loyers et le CFWB comme premiers adversaires. « Je suis un peu déçu de la composition de notre groupe. Je voulais rencontrer Huy car je connais tous les ex-Neuvillois et cela aurait été super de les affronter » nous avoue Stéphane Mossay. « Mais bon, hormis cela, notre poule me plaît bien et la première partie de saison ne servira qu’à être dans la poule A ou B pour la suite. »

Dès le début des hostilités, les joutes seront passionnées. « Il m’est difficile de pointer un favori mais Waremme conserve logiquement de grandes ambitions, Belleflamme aura un rôle à jouer et Flénu possède aussi une belle équipe » poursuit « Moss ». « En ce qui nous concerne, nous n’allons pas nous mentir, notre premier objectif sera de nous mettre à l’abri aussi rapidement que possible. Mais, contrairement à ce que pense apparemment pas mal de monde, j’estime que nous aurons les armes pour atteindre cet objectif même s’il y aura, je le crains, beaucoup de descendants. Toutefois, j’ai confiance en notre équipe (ndlr: où il semblerait qu’un intérieur doit encore être ajouté suite au volte-face du jeune pivot initialement pressenti). Nous allons tout donner sur le terrain mais également à la fin de chaque match (rires). » Et de conclure: « Amis de la R1, vous voilà prévenus!« 

« Cela ne me semble pas très équitable »

Sébastien Peremans et Belleflamme s’érigent comme l’un des principaux favoris d’un championnat de première régionale new look qui est loin de faire l’unanimité.

Avec dix-huit équipes, une première phase avec trois poules de six équipes suivie d’une seconde avec deux poules de neuf, le prochain championnat de R1 sera totalement inédit. « Je ne comprends pas vraiment cette nouvelle formule. Le premier tour est presqu’amical vu qu’une équipe qui termine sixième de sa première poule peut devenir championne par la suite » soupire Sébastien Peremans. « De plus, nous jouerons quatre fois contre certaines équipes et zéro fois contre d’autres. Cela ne me semble pas très équitable. »

Les Haricots ont hérité de la poule B dans laquelle figurent aussi Waremme, Huy, Flénu, Quaregnon et Waterloo. « Nous sommes tombés dans le pire groupe pour les déplacements. Quand je vois la série de TDM2 à l’accent liégeois, je la regrette un peu » déplore à nouveau l’ailier. « Nos deux derbies seront contre des formations assez éloignées géographiquement. »

Néanmoins, de beaux duels s’annoncent. « Waterloo est un habitué de la division, est capable de battre tout le monde et s’y rendre le vendredi n’est jamais évident. Flénu a dominé sa série de R2 cette saison et Huy demeure une équipe solide avec des joueurs qui jouent ensemble depuis pas mal d’années en récoltant de très bons résultats » analyse Sébastien. « Waremme a perdu plusieurs joueurs importants et jouera avec les jeunes de la D1 de Liège, il faudra voir comment cela tournera. Mais, de tout manière, toutes les équipes seront à prendre au sérieux.« 

Avec un recrutement quatre étoiles – Maio, Darmont, Mayele et Fraipont – et l’expérience de la D3, Belleflamme se devra d’être ambitieux. « Nous aurons l’équipe pour jouer le top mais avec un nouveau coach et de nouveaux joueurs, il nous faudra peut-être un temps d’adaptation » prévient le Haricot pur jus. « Vu le peu d’importance du premier tour, cela peut être un avantage par rapport à une saison classique. Si la mayonnaise arrive à prendre et que nos transferts assurent, nous pourrons disputer le haut classement. L’important sera d’abord de reprendre confiance et le goût de la victoire avant de penser à d’autres choses. »

Et il ne suffira pas de paraître tant certaines formations semblent taillées pour accrocher les accessits. « Tilff sera costaud, Saint-Louis est toujours redoutable, surtout à domicile. La série devrait être être assez homogène et il faudra se battre chaque semaine pour repartir avec les trois points » assure Séba. « Il ne nous reste plus qu’à espérer que la saison puisse reprendre au mois d’août et que ce virus soit au plus vite derrière nous. »

« Ne pas attraper la grosse tête malgré ce que font miroiter les clubs »

Liège & Basketball vous emmène à la découverte de Samuel De Angelis, jeune talent de Visé qui a décidé de rester dans la Cité de l’Oie pour aider son club à conquérir le titre en deuxième provinciale. Entretien.

Samuel, peux-tu nous retracer ton parcours basket?

Je baigne dans le basket depuis que je suis tout petit puisque j’ai débuté à Jupille alors que j’avais à peine plus de trois ans. En poussins, je suis arrivé à Visé où j’ai réellement évolué et appris les bases de ce sport grâce à un super coach: Eric Schnitzler. A douze ans, j’ai été sollicité par Pepinster. Après une année dans le mythique club verviétois, je suis revenu à Visé avant de passer par les clubs d’Alleur, de Liège et de Saint-Louis. Avec le Collège, j’ai débuté en seniors en P3 – où nous fûmes champions – avant de livrer une bonne saison en P1. Pour la saison 2019-2020, Michel Lejeune m’a proposé de revenir à Visé, en R2, et j’ai directement accepté car Visé est un club familial où l’ambiance est assurée.

Tu es aussi passé par les différentes sélections.

Oui, j’ai évolué dans les sélections provinciales et régionales mais une blessure m’a empêché de terminer les sélections et ainsi, peut-être, de me faire ma place en sélection nationale.

Qu’apprécies-tu dans le basket?

Ce que j’apprécie le plus dans ce sport, ce sont son esprit et son aspect collectif. Le basket fait rêver pas mal de jeunes, dont moi.

Quel genre de joueur es-tu?

Je suis assez volontaire, je n’abandonne jamais. J’aime jouer en équipe et je pense avoir une bonne mentalité sur le terrain et envers mes coéquipiers. Je n’ai pas la grosse tête et je prends beaucoup de plaisir à jouer.

Quels sont tes points forts et ceux sur lesquels tu dois encore progresser?

Mes points forts sont le post-up ainsi qu’une bonne vision du jeu. Je dois par contre améliorer mon shoot et mes lancers-francs. Et aussi devenir un peu plus hargneux, un peu moins gentil.

Quels sont tes meilleurs souvenirs depuis que tu taquines la balle orange?

Le premier demeure la demi-finale de Coupe remportée en benjamins avec Visé. Le second est d’avoir gagné la Coupe avec la sélection régionale en France. Ce furent des matchs fantastiques avec des supporters incroyables et une ambiance du tonnerre.

« Promesse sur promesse »

Comment juges-tu la saison que toi et tes coéquipiers de Visé avez livrée cette année en R2?

Ce fut une saison d’apprentissage, c’était une première pour moi à cet échelon. Ce fut une bonne saison même si j’ai reçu trop peu de temps de jeu à mon goût. Mais je suis conscient que j’ai encore du boulot à abattre. Il faut toujours se remettre en question, je suis encore jeune et j’ai beaucoup à apprendre. Avec l’équipe que nous avions, nous aurions dû terminer bien plus haut dans le classement. Notre team était composée de jeunes et moins jeunes très talentueux et avec une très bonne mentalité.

Quels furent les moments marquants de votre saison?

Le match à Flenu où nous avons bien tenu tête au deuxième du général et où, malgré la défaite, l’ambiance d’après-match fût mémorable. Je retiens aussi la victoire contre Aubel, qui était en tête du championnat à l’époque. Et malgré l’annonce de scratcher notre équipe la saison suivante, nous avions tout donné.

Tu le dis, Visé a décidé de scratcher sa R2 et de se concentrer sur sa P2. Et tu as décidé de continuer dans ce club. Pourquoi?

Malgré une proposition alléchante pour jouer en P1 et faire des entrainements avec la D3, j’ai en effet décidé de rester à Visé. Le challenge proposé par les résidents de la Cité de l’Oie m’a directement intéressé. Nous viserons la montée avec une équipe de jeunes et deux de mes coéquipiers de valeur de R2 – les frères Brajkovic – qui ont accepté de relever ce défi.

Décrocher la montée en P1 sera donc votre objectif collectif. A titre individuel, quelles sont tes envies pour la prochaine saison?

Me donner à fond avec toujours cette même envie et ce plaisir de jouer au basket. Et ainsi faire tout mon possible pour réussir ce challenge pas facile du tout de monter.

Que penses-tu du basket liégeois?

Au niveau des jeunes, il est, selon moi, décevant et n’est plus ce qu’il était. C’est promesse sur promesse aux jeunes. De par mon expérience personnelle, il ne faut vraiment sauter aucune étape et ne pas attraper la grosse tête malgré ce que peuvent faire miroiter les clubs. On privilégie la gagne au lieu d’une bonne qualité de basket. Or, c’est ce plaisir de jouer – que je n’ai jamais perdu – qu’il faut absolument conserver. J’ai appris dans chacun des clubs par lesquels je suis passé, je me suis toujours adapté et je ne regrette absolument rien.

« A mon époque, les Warriors auraient été 6èmes ou 7èmes à l’Ouest »

Après s’être fait remettre à sa place par Charles Barkley, Draymond Green s’est fait taclé par Shaquille O’neal.

Draymond Green n’a pas sa langue dans sa poche. Après s’être fait remettre en place par Charles Barkley, le Warrior a subi un nouveau tacle de la part de Shaquille O’Neal. Il faut dire que Green avait osé affirmé qu’il détruirait le Big Cactus sur pick-and-roll.

« J’aime Draymond, j’aime les gars qui ont des opinions. Donc je ne veux pas entrer sur un terrain personnel avec ces gars-là. Je l’aime bien, j’aime la façon dont il joue. Il faut écouter ses arguments. Il a souligné certains bons points. Car il a dit ‘à notre époque’. Il n’a pas dit à mon époque… A mon époque, les Warriors auraient été 6èmes ou 7èmes à l’Ouest. Il y avait nous, San Antonio, Utah, Portland, le White Chocolate et C-Webb à Sacramento. Mais encore une fois, il s’agit de son avis. Je ne veux pas rendre cela personnel. Mais peu importe, Monsieur Draymond, comme tu l’as dit, je t’aurais détruit le … sur ce parquet », a lancé Shaquille O’Neal sur son podcast.

Le point sur les transferts en Belgique

Alors que les dirigeants des clubs se réunissent pour évoquer le futur championnat, des mouvements au sein des effectifs ont déjà eu lieu.

Ce weekend, les dirigeants des clubs et la ligue se réunissent pour envisager la prochaine saison. Une future campagne entourée d’incertitudes – à cause du Covid – mais pour laquelle chaque club a obtenu sa licence.

Malgré l’arrêt du championnat, les cercles de D1 ne sont pas restés les bras croisés et ont déjà attiré de nouveaux éléments et prolongé certains membres de leur effectif.

Ainsi, Liège a prolongé Lemaire, Kohajda, Iarochevitch, Lambermont, Pottier et Lhoest et attiré les jeunes Malempré, Bruwier, Stilmant, Dupperroy, Moons ainsi que Romain Boxus en droite ligne des States. Les Liégeois seront coachés par Lionel Bosco, Sacha Massot prenant la direction de Limburg. Les Limbourgeois ont prolongé Lesuisse, Mitchell, Dammen et Vanderhoydonck tout en attirant Knapke ainsi que Desiron et Hurman en provenance d’Ostende.

Les Ostendais ont prolongé leurs deux meneurs et ont rapatrié le grand espoir belge Bratanovic. Les Montois ont, eux, prolongé Mortant tandis qu’Anvers a prolongé Braunch et engagé Kenneth Smith.

Davantage de mouvements aux Brussels qui a prolongé Robeyns et Niels Foerts et engagé Darius Washington, Louis Hazard, BJ Raymond et le jeune Djurisic. Les Bruxellois – qui seront coachés par Ian Hanavan – ont par contre perdu Loubry et Jonas Foerts qui prennent la direction de Malines. Les Kangourous ont, en outre, prolongé Deroover, Clarck, Kok, Lasisi et Bogaerts.

A Louvain, bonne surprise de la saison, ce sont Heat, Stith, Robertson, d’Espallier, Fauconnier et Kotrulja qui ont prolongé et qui seront toujours dirigés par Eddy Casteels.

Source: www.euromillionsbasketball.be