« Matisse était de loin le meilleur joueur de la TDM2 »

Jordan Kaluanga revient sur sa deuxième saison vécue à Esneux. Interview.

La saison passée, Esneux se battait pour éviter le maintien. Cette année, les Dragons ont brillé, terminant quatrième de la TDM2B. « Ce n’était que ma deuxième saison au club mais cela a été, et de loin, la meilleure. Je pense que personne ne nous attendait aussi haut au classement » sourit Jordan. « En début de saison, nous ne nous étions pas vraiment donnés d’objectif précis mais, plus les victoires s’enchainaient et plus, forcément, nous regardions vers le haut du tableau.« 

Un tour de force d’autant plus remarquable que la TDM2B s’est révelée être incroyablement dense. « Nous étions dans une série très disputée derrière les intouchables « Wolves » de Kontich » confirme l’explosif poste 4. « Je suis assez satisfait de ma saison même si je ne l’ai pas commencée comme je le souhaitais. L’ambiance dans l’équipe était top, nous étions une bande de potes qui prenaient du plaisir à jouer ensemble et cela se ressentait sur le terrain. »

Un groupe de copains qui restera presque inchangé la saison prochaine, seuls trois gaillards quitteront le club – Clément Matisse, Gauthier Liégeois et Romain Peremans – alors que trois autres arrivent. « Ce qui m’a marqué cette année, ce n’est pas un moment particulier mais bien un joueur: Clément Matisse » nous confie Jordan. « C’est un des joueurs les plus talentueux avec qui j’ai joué mais aussi, et de loin, le meilleur joueur de la division cette saison. » Pour compenser son départ, nul doute que Jordan et ses coéquipiers devront mettre les bouchées doubles.

« J’aime défendre et je veux devenir un leader »

Liège & Basketball vous emmène à la découverte de Cyril Towe, jeune talent de Ninane en R2 et P3. Entretien.

Cyril, peux-tu nous retracer ton parcours basket?

J’ai commencé le basket au RBC Prayon où j’ai joué pendant cinq ou six ans avant de partir pour trois saisons à Liège Basket. L’année prochaine, j’entamerai ma troisième campagne avec le BC Ninane.

Qu’est-ce qui te plaît dans ce sport?

J’aime un peu tous les aspects de ce sport: l’esprit d’équipe, la compétition, l’ambiance entre les joueurs, se faire plaisir sur le terrain.

Quel genre de joueur es-tu?

Je suis un joueur assez polyvalent et assez discret. Je sais shooter, passer, défendre, prendre des rebonds mais le secteur dans lequel je me démarque un peu, c’est la défense. J’aime défendre et avoir l’envie de reprendre le ballon à l’adversaire.

Quels sont tes points forts et ceux sur lesquels tu dois encore bosser?

Ma force principale est la défense et je dois encore oser davantage offensivement et améliorer mon shoot longue distance.

Quels sont tes meilleurs souvenirs depuis que tu taquines la balle orange?

Il y en a tellement! Les meilleurs sont sans doutes les finales contre Ostende en 2016-2017 et 2018-2019 car c’est le genre d’évènement que nous aimons vivre et que cela récompense le travail fourni par l’équipe durant toute la saison.

« Devenir un leader »

En parlant de saison, comment juges-tu celle qui vient de s’écouler?

Elle fut assez bonne dans l’ensemble, hormis les quelques défaites et le mois de « creux » en janvier à cause des examens. Je pense que nous étions les outsiders pour potentiellement jouer le tour final et viser une potentielle montée.

Quels moments t’ont marqué?

La série de matchs de P3 que nous avons gagnés sur le fil ou la suite d’une prolongation. Nous avons constamment tout donné pour gagner, nous nous donnions à 100% pour l’équipe même si c’était parfois dur physiquement. Nous aimions cette petite pression en fin de match et la balance a plus d’une fois basculé en notre faveur.

Tu as décidé de poursuivre une année supplémentaire à Ninane. Qu’apprécies-tu dans ce club?

J’aime bien l’entente qui y règne, tout le monde connait tout le monde, il y a une bonne ambiance et aussi de bonnes troisièmes mi-temps (rires).

Quels seront tes objectifs?

Je ferai P3 et R2, je souhaite progresser et gagner de plus en plus de minutes en R2 et devenir un « leader » en P2. Collectivement, pourquoi ne pas imaginer une montée? Mais ce n’est que mon avis.

Que penses-tu du basket liégeois?

Je trouve que nous avons de bonnes équipes dans la Province. Même si cette fin de saison est compliquée pour tout monde, je pense que le basket liégeois aura encore du beau basket à nous offrir la saison prochaine.


« Nous aurons un coach plus impartial »

Le retour d’Antoine Horrion a Theux n’a pas empêché la P2 du matricule 2061 de livrer une campagne anecdotique.

La campagne 2019-2020 de Theux ne restera pas dans les annales: une place dans le ventre mou de la P2A malgré un effectif complet et doublé à tous les postes. « Nous avons réalisé un premier tour des les normes mais nous avons commencé le second en jouant comme des connards (ndlr: sic) en perdant match sur match » déplore Antoine Horrion. « Nous avons eu des blessés – Laurent Caubergh et Saïd El Ajaji – et cela nous a pénalisé dans les points. Robin, mon frère, n’a plus eu la confiance du coach et il nous a manqué cruellement. »

Pour la prochaine saison, Mickaël Buscicchio prend la relève de Jonathan Poulin et Corentin Ronkart arrive pour remplacer Arnaud Delhaes qui rejoint Henri-Chapelle. « Nous aurons un coach plus impartial que celui de cette année et nous devrons tous faire nos preuves pour gagner notre place » prévient l’ailier theutois. « Ce qui est vraiment chouette, c’est que personne ne souhaitait partir, nous conservons donc un groupe solide et soudé. Je suis juste déçu et triste qu’Arnaud Delhaes nous quitte car c’est un super distri et un super gars. »

Et les Theutois voudront vivre une saison plus enthousiasmante que celle qui s’est achevée prématurément en avril. « Nous sommes une belle équipe et je pense que nous pourrons viser le Top 5 la saison prochaine. J’espère que Saïd et Laurent reviendront vite en forme. Robin aura davantage de responsabilités, c’est sûr. Il est super fort mais il faut qu’il ait la confiance du coach » ajoute Antoine. « Pour ma part, avec les jumeaux, la fatigue s’est vraiment installée mais l’envie de faire le max est toujours présente car les coéquipiers veulent toujours jouer pour gagner et pas juste pour faire du sport. »

Une Belge de plus en Ligue 1

Quasiment inconnue chez nous, Morgane Armant (née à Gosselies) évoluera à St-Amand Hainaut au sein de l’élite française. En bords d’Ourthe, les Hamoiriens de Bomal en quête d’un nouveau coach tandis qu’une autre « Luxo » intègre la NBA. Reste la plaine cointoise qui a été vite démasquée. Ce sont les infos d’EMCE.

Bomal : garde ses Hamoiriens, mais perd « sa » coache

Poursuite de la mini-série consacrée aux clubs hors province les plus proches de notre Principauté. Après Ohey, dans le Namurois, place au BBC Bomal (photo) dans celle de Luxembourg. Cercle qui vient de vivre un championnat à haut taux d’adrénaline. Il finit dernier ex-aequo en P1, mais se sauve in extremis car Léglise, son concurrent direct, a disputé un match de plus. Pour info, la coquette cité des bords de l’Ourthe est voisine de Ferrières et n’est distance que d’une quinzaine de bornes d’Aywaille. Proximité qui explique la présence, dans la salle de l’Athénée local, du trio hamoirien Michel-Verdin-Constant. « Et ils seront toujours là la saison prochaine », assure, confiant, Olivier Debras. En revanche, le président du cru est à la recherche d’un coach car Alyson Leclerc ne désire plus poursuivre une aventure qui sortait des sentiers battus. Avis aux amateurs !

Une ex-protégée belge de Mike De Keyser en Ligue 1

Pas évident de s’y retrouver dans le cheminement tortueux de Morgane Armant (20 a, 1,90 m). Ce qui est de sûr c’est qu’elle est née à Gosselies et possèderait la double nationalité belgo-française. Elle filait rapidement affiner sa formation dans l’Hexagnone. Ce qui ne l’empêchait pas de rejoindre les Spirou Ladies, en 17/18. Epoque où Mike De Keyser était aux commandes. Elle transitait encore par Nice et Montbrison (N2) avant de signer, pour la saison prochaine, à St-Amand Hainaut (Nord), en Ligue 1. Moralité : comme les humoristes, les basketteuses belges font recette outre-Quiévrain.

Encore et toujours du « luxo » en NBA !

Il est certain que ce tout petit pays qu’est le Luxembourg est en train de se faire une immense réputation aux Etats-Unis. On ne reviendra pas sur le véritable conte de fée vécu par Alfonzo McKinnie aux Warriors puis aux Cavaliers. Et il n’était pas le premier « produit d’importation » grand-ducal en NBA. Cette fois, c’est Evan Unran (38 a, 1,85 m) qui prend en charge le programme de développement sportif des Clippers de Los Angeles. Ce nom ne vous dit sans doute rien, sachez néanmoins qu’elle avait défendu les intérêts de Contern (le club de Fabienne Fuger) en 2006/2007. Pendant ce temps, la cagnotte de Larochette continue de monter…

Terrains extérieurs : qui ne connait pas la plaine de Cointe ?

Il s’agissait comme de bien entendu de l’incontournable plaine des sports de Cointe. Pourtant, le club des hauteurs liégeoises ne vit pas le jour là-bas, mais juste en face. Soit, dans la cour de récréation de l’imposante école communale. On était en 1966. Les joueurs du cru traversèrent ensuite le boulevard Kleyer avant d’investir celle qui est devenue la salle Gaston Deckers. A très juste titre, d’ailleurs. Et celle-ci est devenue l’immuable repère du trio Dewever-Levoz-Tilman. Mardi, vous aurez droit à un cliché qui devrait vous plonger en profonde réflexion interrogative…

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : TV Lux

« Nous étions dans une bonne spirale »

James Deblond revient sur la saison vécue par Pepinster en TDM2.

« C’est bizarre de ne pas terminer la saison mais je pense que c’était la meilleure solution » glisse d’emblée James Deblond. « Nous étions dans une bonne spirale mais, sur l’ensemble de la saison, nous espérions mieux. Le niveau de la TDM2 est relevé, toutes les équipes pouvaient rivaliser, sauf un quatre janvier à Courtrai (rires). »

Comme l’ensemble de ses coéquipiers, le meneur pepin est monté en régime. « Je suis déçu de mon premier tour mais satisfait du second » nous confie-t-il. « J’ai bien évidemment des regrets mais je préfère ne pas revenir dessus. J’ai par contre apprécié l’esprit dans le groupe, nous sommes toujours restés positifs et soudés. »

« La raclette Val-Dieu fut épique »

Scoreur régulier et prolifique de l’Etoile, François Lhote revient sur la saison des Jupillois. Interview.

François, comment juges-tu les résultats réalisés cette saison par l’Etoile?

Ils sont indéniablement épatants au vu des circonstances, notamment les blessures et le manque d’entrainements.

Vous terminez à la première place. Celle que vous visiez et celle que vous méritiez?

Oui, j’estime que nous méritons cette place car nous possédons une équipe compétitive, complète, expérimentée et animée d’un bon esprit de groupe.

Qu’as-tu pensé du niveau de la P1 cette année?

Il fut certainement plus faible, il n’y avait aucune équipe imbattable.

Après une campagne 2018-2019 marquée par les blessures, tu as, cette saison, retrouvé tes standards d’antan pour figurer en bonne position parmi les meilleurs scoreurs de la division. De quoi être satisfait de tes prestations cette année?

Oui, j’en suis très satisfait.

Quels furent les moments forts de cette saison?

Le barbecue de début de saison chez Marc Jacot restera un moment gravé dans ma mémoire. La raclette Val-Dieu en équipe fut également épique.

Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année?

La cohésion et l’entente de l’équipe. Ce groupe est extraordinaire et va me manquer.

Nourris-tu quelques regrets?

Je regrette de ne pas terminer ce championnat. L’idéal aurait été de fêter ce titre de champion sans devoir monter en R2. Ainsi, les joueurs auraient été satisfaits tout en respectant les choix du club.

« Dommage de ne pas avoir reçu ma chance en D3 »

Avant de partir planter des banderilles pour le compte de Spa, Dorian Muller revient sur la saison vécue par Saint-Louis en première régionale.

La saison prochaine, Dorian Muller enchainera les triples pour le compte de Spa, en TDM2. « Je suis heureux de la constante progression que j’ai eue sous la férule de Joseph De Sutter et qui me permet d’obtenir ma chance chez les Bobelins en D3 » sourit El Pistolero. « Je regrette par contre de ne pas avoir reçu ma chance en TDM2 avec Esneux, contrairement à d’autres. »

La saison de Saint-Louis fut plus agitée qu’à l’accoutumée mais encore riche en victoires. « Nous avons livré un bon premier tour en terminant première équipe liégeoise tout en ayant disputé tous nos matchs à l’extérieur. Le deuxième tour s’est bien passé aussi, le retour de Clément Matisse nous ayant considérablement aidé » analyse Dorian. « Nous ne visions pas un accessit au classement, juste le maintien et nous méritons de terminer dans le trio de tête. J’ai vraiment apprécié cette série avec davantage de Liégeois.« 

Néanmoins, c’était la fin d’un cycle, ou presque, pour les Collégiens. « Je pense avoir livré une bonne saison même si certains joueurs jouaient davantage pour eux que pour l’équipe » affirme le shooteur d’élite. « Le licenciement de Joseph – auquel nous ne nous attendions pas car nos résultats étaient très bons – est à sortir du lot tout comme l’arrêt de Boris en signe de protestation.« 

Crédit photo: PP Photography Amateur

« Une situation qui restera gravée »

Julien Walravens tire le bilan de sa première saison à Tongres. Interview.

Julien, que penses-tu de la saison qui vient de s’écouler?

Je pense que nous avons réalisé une bonne saison malgré certaines défaites qui étaient largement évitables. Dans l’ensemble, notre bilan est positif et meilleur que l’année dernière donc nous pouvons être fiers de nous.

Vous terminez troisièmes. C’était votre objectif?

Nous voulions terminer dans le Top 3, oui. La première place était imprenable, Kontich a dominé la série haut la main. Et Geel est une très belle équipe que nous n’avons pas pu battre, et cela à trois reprises – avec un match en Coupe. Esneux termine troisième (ndlr: en fait quatrième car un match de moins) avec nous et le mérite. Les Dragons ont livré une très belle saison.

La TDM2B semblait particulièrement compétitive.

Oui, le niveau de cette série était assez élevé. Toutes les équipes pouvaient briguer la victoire chaque week-end. Même Belleflamme – qui termine à deux victoires – était un adversaire redoutable qu’il ne fallait pas sous-estimer.

Comment juges-tu tes performances pour ce premier défi de l’autre côté de la frontière linguistique?

J’ai dû m’adapter à mon nouveau club et à ma nouvelle équipe. Ce ne fut pas le top durant la préparation mais dès que la saison a commencé, j’ai été satisfait de mes prestations. Le coach, mes coéquipiers et le staff m’ont mis en confiance.

Quels furent les moments forts de cette campagne 2019-2020?

Le moment qui a marqué cette saison fut l’arrêt de celle-ci. Nous vivons actuellement une situation qui restera gravée de part l’impact qu’elle cause et causera par la suite.

Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année?

Mon intégration dans un club néerlandophone. J’avoue avoir eu de grosses inquiétudes à l’idée de rejoindre un club dont la langue principale et le néerlandais. Mais dès le premier entrainement, je me suis senti à l’aise avec l’ensemble de l’équipe et du club. Un tout grand merci à Tongres.

As-tu quelques regrets?

Peut-être de ne pas avoir eu l’occasion de prendre ma revanche sur Sprimont, mon ancien club ainsi que contre Esneux pour essayer de me rattraper du non-match vécu à domicile.

Mons-Hainaut, la bonne surprise de la saison

Pour le septième épisode du « Confinessional » d’Erik Lenoir, focus sur Mons-Hainaut avec Thierry Wilkin.

Cette saison, Mons-Hainaut fut la bonne surprise de notre élite nationale. Thierry Wilkin répond aux questions de l’excellent Erik Lenoir.

Où a été prise cette photo ?

Après une escapade namuroise en début de semaine, ces news typiquement liégeoises déclineront aujourd’hui un accent brabançon (Braine), voire carrément bruxellois, via Terry Deroover. D’autre part, le cliché-mystère ne vous causera aucune migraine tout comme l’initiative de Larochette. Ce sont les infos d’EMCE.

L’ancien Liégeois, Terry Deroover, dans le staff du… Brussels

« Moi, le pur Bruxellois, je désespère d’encore pouvoir jouer un jour pour le plus grand club de la capitale. » C’est ce que me confiais l’ancien Liégeois (17 à 19), Terry Deroover (29 a, 1,80 m). Comme pro, il avait ainsi déjà transité par Louvain, Willebroek, le Sart Tilman et, maintenant, Malines. Mais, jamais par Never-over-Hembeek. Ceci dit, une première étape vient peut-être d’être franchie puisque l’ex-meneur du Country Hall intègre le staff technique du club cher au président DeKandelaer. Dès la reprise, il s’y occupera de la formation individuelle des jeunes du cru.

Braine : la Française Touré pour remplacer M. Grzesinski ?

On le sait, Manon Grzesinski sera le renfort de luxe de la R2 d’Alleur. Encore fallait-il pallier à son départ au pied de la célèbre Butte brabançonne. D’après nos confrères hexagonaux, ce serait chose faite. Ils n’hésitent pas à annoncer la très probable venue de Migna Touré (25 a, 1,83 m) à Braine. La jeune femme est internationale française de 3×3 et évoluait, ces deux dernières saisons, à Basket Landes. Là-bas, elle tournait à 9,4 points et 2,4 rebonds par rencontre. Sûr que le « Nordiste » Fred Dusart ne doit pas être étranger à cette mutation.

La chouette cagnotte de Larochette

C’est sans doute ce qui fait tout le charme du basket luxembourgeois : quand un minuscule village de 2000 habitants, comme Larochette, possède une équipe de D1 depuis des lustres. A titre comparatif, Stoumont est plus peuplé. Il y a quelques jours, le capitaine de ce club situé à 40 bornes de la Belgique prenait l’initiative. Question de venir en aide à ses couleurs. Il a donc lancé une cagnotte en ligne où il est possible d’acquérir maillots ou ballons dédicacés, séances individuelles avec les futurs pros et abonnements pour la saison à venir. « Au mieux, j’espérais récolter aux environs de 2000 euros », indique-t-il, amusé. Ce jeudi, à 10 heures, la somme s’élevait à… 7700 €. Et ce n’est pas fini !

Terrains extérieurs : C…, joyeuse plaine !

Mardi, la photo-mystère portait bien son qualificatif tant il était malaisé de dénicher l’endroit où elle avait immortalisée. A l’exception des Comblinois et Comblinoises à qui on ne la fait évidemment pas. Aujourd’hui, le cliché proposé est sans conteste un des plus faciles à trouver depuis l’entame de la série. Tant sont nombreux joueuses et joueurs qui y ont usé leurs baskets des heures durant. Bref, l’indice a quelque chose de vexatoire : après un coup d’œil sur le bâtiment du fond, vous serez fixé…

Michel CHRISTIANE