« C’est un grand joueur »

C’est une légende du basket liégeois qui va rechausser les sneakers. Steve Tihon sera le nouveau meneur de la P1 de Bellaire.

Après avoir consolidé son secteur intérieur en signant Ben Bouché et André Cybers, Gael Colson était à la recherche d’un meneur pour compenser l’arrêt de Michel. Et les Blue Rabbits viennent de frapper un grand coup en annonçant l’arrivée de Steve Tihon.

Pour les plus jeunes de nos lecteurs, Steve Tihon était l’assistant-coach de Tony Fernez à LAAJ. Mais le meneur de poche est une véritable légende du basket liégeois dont il a écrit de superbes pages, ayant gagné partout où il est passé. Sa vista, sa mentalité, ses tirs décisifs, ses passes de génie ont subjugué de nombreux amateurs de basket lors des deux dernières décennies.

« C’est un grand joueur par tout ce qu’il a fait dans sa carrière et je pense que le basket lui manquait » sourit Gael Colson. « Il est venu à mon anniversaire à Bellaire et nous l’avons chauffé. Il va nous apporter de l’expérience et du calme – par rapport à Florian Lamarche qui est plus « foufou » – et remplacer Thomas Michel. » Et d’ajouter: « C’est bien pour le club, Steve a une super mentalité. » Avec un effectif pareil, les Blue Rabbits ne pourront qu’être ambitieux!

« Le dernier bastion »

Pour le deuxième épisode du « Confinessional », c’est Christophe Muytjens de Liège Basket qui répond aux questions de l’inimitable Erik Lenoir.

Erik Lenoir a plus d’un tour dans son sac et a profité de cette période inédite pour lancer un podcast vidéo centré sur le basket. Après Nikkel Kebsi, c’était au tour de Christophe Muytjens de se plier à l’exercice.

Le DG de Liège y aborde différentes thématiques. Il se dit totalement surpris par le soutien du public cette année et confirme qu’au niveau de l’assistance, Liège était sur une excellente dynamique. « Nous étions un peu le dernier bastion qui ne jouait qu’avec des Belges » souligne-t-il, confirmant la volonté de Liège de s’inscrire dans cette voie et de réduire le nombre d’étrangers au profit de joueurs belges et liégeois.

La saison prochaine, les Principautaires aligneront deux joueurs étrangers pour un noyau composé de sept pros et de sept jeunes. Quid de Milos Bojovic? « Nous sommes en discussion avec Limbourg, c’est plutôt positif même si n’est rien encore signé » précise Christophe.

Quelles seront les ambitions de Liège lors du prochain exercice? « Jouer match par match et être performants sur quarante minutes, être constants, essayer de gagner davantage et voir où cela nous mène » répond le boss de Liège à Erik.

Un dernier souhait? « Vivre une saison enfin un peu tranquille où on ne parle que de basket – en bien ou en mal – et sans devoir se justifier sur l’extra-sportif » conclut Christophe.

L’épisode un est à revoir ici, l’épisode deux ci-dessous.

Le relooking de nos D1 !

Toujours aussi créatif, Givemefive s’est amusé à dessiner les maillots de toutes les équipes de l’EuroMillions Basketball League.

Derrière Givemefive se cache Gérald Henkin, shooteur d’exception qui fait les beaux jours de la « Bien Belle Equipe » d’Alleur. Avec sa marque de textile, Gérald habille avec goût plusieurs clubs de la région comme Ninane ou La Spéciale Aywaille. C’est aussi à lui que Liège & Basketball doit son logo.

En pleine période de confinement, l’artiste liégeois qui baigne dans le basket depuis tout petit s’est amusé à « designer » les équipements de toutes les formations de D1. Avec un résultat assez impressionnant.

Pour voir la galerie complète; c’est ici. Pour la boutique des clubs, c’est ici. Et pour la marque, c’est ici.

« Je me ré-entrainerai avec la D1 »

Gael Colson quitte LAAJ pour rejoindre la R1 de Liège coachée par Joseph De Sutter et dans laquelle évoluera aussi Benjamin Liégeois. Interview.

Gael, pourquoi avoir pris la décision de rejoindre Liège pour la saison prochaine?

Tout d’abord, mon souhait premier était de rejouer avec Benjamin Liégeois, ce qui sera la cas la saison prochaine. Nous avions des propositions et je lui ai laissé le choix. Nous en avons discuté et puis nous nous sommes lancés vers ce nouveau défi. Le projet est tout nouveau car ce sera une nouvelle équipe composée de six anciens et quelques jeunes.

C’est presque un retour aux sources pour toi.

Je garde des souvenirs exceptionnels de mes années à Liège, notamment de notre montée de R1 en D3 avec Yvan Fassotte. Nous étions une vraie bande de potes. Les gradins étaient remplis à chaque match et nous prenions un max de plaisir, ce qui manque souvent maintenant. Ce qui était également super, c’était de disputer la Coupe d’Europe. Nous partions une semaine sur deux à l’étranger. Moi qui aime voyager, j’étais aux anges de découvrir d’autres pays et d’autres championnats. Je me ré-entrainerai d’ailleurs avec l’équipe première de Liège car je veux vraiment faire quelque chose de bien, je sors de trois saisons avec peu de victoires et j’espère que la prochaine sera meilleure.

Quels souvenirs garderas-tu de tes années à LAAJ?

C’est une déception pour moi suite à l’arrêt de la saison alors qu’il restait encore six matchs à jouer et que nous luttions pour le maintien. Je suis triste de quitter le club de cette manière, surtout que j’y ai joué huit ans au total et qu’Atlas occupe une place importante dans mon coeur.

C’est la descente en R2 qui a influencé ton choix de quitter Atlas?

Si nous étions restés en R1, je ne sais pas si j’aurais quitté LAAJ tant j’aurais été revanchard et désireux de quitter ce club sur une bonne note. Il y a des gens comme Marc Marnette et Maël Widart que j’apprécie vraiment à LAAJ. Maël est vraiment excellent! J’apprécie son franc-parler. Quand je lui ai dit que je ne voulais pas descendre en R2, il m’a répondu qu’il comprenait mon choix de partir mais peut-être pas la destination (rires). Mais ils savent que nous devrons aller manger au QG quand tout sera fini.

« J’étudie un peu pour ne pas perdre le fil »

Elsa Lejoncq se confie sur la manière dont elle vit le confinement.

« Je me suis remise au running individuel » rigole la jeune joueuse de Tilff. « Je promène aussi régulièrement mon chien et heureusement qu’il existe Netflix. Je ne suis pas très portée sur les films – même s’il faut regarder Amateur – mais plutôt sur les séries. J’ai fini Elite d’ailleurs, il va falloir que je m’en trouve une autre. »

Pour accompagner ses séries, rien de tel que « des cookies, du pop-corn ou une salade de fruits« . « Et j’étudie aussi un peu afin de ne pas perdre le fil » conclut Elsa.

« J’ai eu la chance de jouer avec mon père »

Aujourd’hui, Liège & Basketball vous emmène à la découverte de Gaëtan Quirin, la « gazelle » de Stavelot. Entretien.

Gaetan, peux-tu nous retracer ton parcours basket?

J’ai commencé le basket tout petit à Stavelot grâce à mon père – Philippe Quirin – qui évoluait déjà dans ce club à cette époque là. J’ai ensuite arrêté quelques années pour recommencer en pupilles. Mon envie à cet âge était d’avoir seize ans le plus rapidement possible pour pouvoir aller jouer avec mon père en P4, ce qui a été le cas (ndlr: de jouer avec son papa, pas d’avoir seize ans plus rapidement que les autres). Et maintenant je suis toujours à Stavelot avec un équipe formidable!

Qu’apprécies-tu particulièrement dans ce sport?

Je ne vais pas mentir en disant que j’adore énormément la troisième mi-temps (rires). Surtout avec le groupe de copains que nous formons! Mais, bien évidemment, il n’y a pas que ça. J’adore entendre le public dès que le coup d’envoi est donné, entendre la balle rebondir sur le sol.. J’aime tout dans le basket, en fait.

Quel joueur es-tu?

Comme dirait mon coach, je suis une gazelle « à la fois élégante et rapide! » (rires).

Quels sont tes meilleurs souvenirs liés à ce sport?

J’en compte vraiment deux. Le premier est bien entendu d’avoir eu la chance de jouer avec mon père et le second est indéniablement le parcours que nous avons réalisé cette saison avec, notamment, le gain de la Coupe de la Province.

« Des supporters extraordinaires »

Qu’apprécies-tu dans ton club de Stavelot?

C’est très simple: tout. C’est un club familial avec des supporters en or. Je pense que sans eux, ne n’en serions pas là.

Comment juges-tu votre saison?

Elle est historique car, pour la première fois, le club remporte la Coupe provinciale seniors. Nous espérons accéder à la P2 mais, même sans cela, ce fut énorme.

Qu’est ce qui t’a marqué cette année?

Pour moi, et je pense que c’est pareil pour tout le monde, avoir remporté la Coupe au Hall du Paire restera gravé dans nos mémoires. C’était juste magique!

Quelle était la plus grande force de votre équipe?

L’esprit d’équipe et la qualité des joueurs présents dans l’équipe. Sans oublier nos supporter sans qui, je le répète, nous n’en serions pas là.

Quelle est ton opinion sur le basket liégeois?

Honnêtement, je n’ai pas assez d’expérience et vu assez de matchs que pour en juger. Mais ce que je sais, c’est que le Liégeois est festif et, rien que pour cela, ça vaut le coup.

« Excité de commencer ma carrière « pro » à la maison »

Actuellement dans le Connecticut, Romain Boxus nous explique sa décision de rejoindre Liège au terme de ses études.

C’est à l’université d’Hatford, dans le Connecticut, que réside actuellement Romain Boxus. « Le port du masque vient seulement d’être annoncé comme obligatoire. J’ai l’impression que nous sommes en retard par rapport à l’Europe » nous explique-t-il. « Toutes les écoles ont fermé, nous finissons les classes « online ». C’est un gros changement. »

En juin prochain, celui à qui Barry Mitchell a vraiment donné le goût du basket et initié à la compétition à Haneffe, sera diplômé en Business et retraversera l’Atlantique pour réellement débuter sa carrière professionnelle à Liège Basket. « Liège est un club qui me porte de l’intérêt depuis un certain temps déjà » nous apprend-il. « J’aime ce sentiment de jouer pour une équipe qui veut m’avoir dans son effectif, cela me donne envie de donner mon meilleur pour l’équipe. »

« Fierté de pouvoir porter les couleurs du club de ma région »

Le défi sera grand pour Romain. « Le club a aussi été en difficulté ces dernières années – il faut le reconnaitre – et c’est vraiment un challenge pour moi de contribuer aux prochains succès de Liège » avance celui qui s’est engagé pour deux saisons. « C’est aussi une fierté de pouvoir porter les couleurs du club de ma région et de représenter l’équipe que je regardais étant petit. Je suis excité de commencer ma carrière professionnelle à la maison après avoir passé dix ans éloigné. »

Un retour aux origines après plusieurs années d’exil, en France d’abord, aux States ensuite. « Il y a dix ans, en 2010, j’ai décidé de quitter ma région. Aujourd’hui, à la même période mais dix ans après, je reviens commencer ma carrière » souligne-t-il. « Je vais pouvoir passer plus de temps avec mes proches, cela me motive encore davantage. »

Et le Hesbignon ne compte pas faire de la figuration avec les Principautaires! « J’aspire à disputer les Playoffs, évidemment à la plus haute place possible. A partir de là, nous irons step by step. Je suis aussi très motivé à l’idée de performer en match. C’est important pour moi de produire du jeu » conclut la nouvelle recrue de Liège.

Crédit photo: Sébastien Cosentino

« Les aventuriers du rail »

Julien Vanlaar, le polyvalent forward de La Spéciale Aywaille, livre ses « conseils confinement ».

Julien, qu’est-ce qui te manque en cette période de confinement?

Ce sont certainement les entrainements et après-entrainements du jeudi avec mes coéquipiers et amis de La Spéciale Aywaille. Mais vu la fin prématurée de cette saison de basket, cela va devoir attendre… La première chose que je ferai quand les choses seront revenues à la normale, ce sera très certainement un bon barbecue en famille et entre amis!

En attendant, comment occupes-tu ton temps libre?

Je passe du temps en famille. Le confinement a un moins cet avantage de me permettre de passer beaucoup de temps avec mon fils de neuf mois. Et j’adore ça! Même si j’avoue sans honte qu’il m’arrive de pousser un petit « ouf » de soulagement quand vient l’heure de le mettre au lit. Je bricole aussi à la maison, c’est l’occasion de s’atteler à tout ce que nous avions tendance à remettre à plus tard. Mais encore faut-il avoir anticipé un minimum vu la difficulté pour se fournir en matériaux. Il faut bien souvent opter pour le « système D ». J’ai également découvert les « apéros whatsapp », une nouvelle manière assez peu banale de passer un moment entre amis. J’ai testé et c’était vraiment sympa! Même si cela ne vaudra jamais une belle terrasse ensoleillée…

Quels films conseillerais-tu aux basketteurs amateurs de septième art?

Les Retour ver le futur, ils sont indémodables. Je les ai regardé il y a peu, cela n’a pas bougé d’un poil, j’adore. Heat est un film génial avec deux monuments du cinéma – Robert De Niro et Al Pacino – face à face, comment résister? Et enfin OSS 117. Soirée réussie assurée, je ris déjà rien qu’à prononcer le titre du film, Jean Dujardin est tout simplement grandiose dans ce rôle.

Tu es par contre moins branché séries.

C’est exact, je n’en regarde pas beaucoup. Néanmoins, j’avais regardé plusieurs saisons de Game of Thrones et cela m’avait beaucoup plu. Peaky Blinders m’avait permis d’occuper agréablement mon temps l’année passée lorsque j’étais coincé au lit à cause de ma blessure au tendon d’Achille. Je la conseille aux amateurs du genre. Et enfin, Band of Brothers est vraiment bien réalisée même si les images sont parfois très dures.

Quels bouquins conseilles-tu à nos lecteurs?

Sapiens, un brève histoire de l’humanité de Yuval Noah Harari. Ce livre occupe actuellement mes soirées. C’est un ami – Pascal Maquinay pour ne pas le citer – qui m’en a conseillé la lecture, et je dois reconnaître qu’il avait vu juste, ce livre est vraiment passionnant. Je conseille également La guerre des métaux rares de Guillaume Pitron. Cet ouvrage traite de la face cachée de la transition énergétique et numérique. Je suis tombé dessus par hasard sur internet, le titre m’a interpellé car ce sujet m’intéresse. J’ai appris énormément de chose grâce à cette lecture. Plus ludique: La vérité sur l’affaire Harry Quebert de Joel Dicker. J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce bouquin lors de mes dernières vacances.

Quels jeux de société ont ta préférence?

Détective, un jeu d’enquête qui se joue en collaboration. C’est très sympa mais je me suis malheureusement rendu compte – grâce ou à cause de ce jeu – que je ferais un bien piètre enquêteur (rires). Les aventuriers du rail est un jeu très divertissant qui a parfaitement animé une fin de soirée après un souper avec des amis. C’était avant le confinement bien sûr, c’était le bon temps (rires). Et Stratego, j’y ai souvent joué et je ne m’en lasse pas.

Quels bon petits plats excitent tes papilles?

En bon Liégeois que je suis, j’adore les boulets sauces lapin. J’ai d’ailleurs profité du temps passé à la maison pour m’en faire une volée. Le confinement peut durer, j’ai de quoi tenir (rires)! En vrai amateur de cuisine asiatique, j’adore les Goi Cuon, des rouleaux de printemps vietnamiens. C’est délicieux! Avec le retour du beau temps, une salade de chèvre chaud à déguster au soleil avec un bon verre de vin est aussi tout à fait recommandé.

L’« Echornifleur » d’Ourthe-Amblève

Les Carnets du basketteur saison 3! Tout au long de cette troisième année, notre sémillant chroniqueur vous proposera d’aller à la rencontre de personnages ayant marqué notre basket principautaire.

Qui, de Werbomont à Remouchamps en passant par Neupré, ne connait pas Jean-Claude Hoferlin n’est pas de la région ! Voici maintenant des décennies que l’ancien instit d’origine xhorisienne débite hebdomadairement ses chroniques dans différentes publications du coin sous l’appellation – pas toujours contrôlée – de l’Echornifleur (photo avec P. Dodrimont). Vous pouvez d’ailleurs retrouver ses « productions » actuelles dans Vlan Les Annonces Ourthe/Amblève. On y reviendra, mais d’ici là voici quelques morceaux choisis cueillis au détour du « Best Hof… erlin » édité chez Dricot. A consommer sans modération. Surtout par les temps qui courent…

« Navré pour Philippe Jacobs, alias Harry Covert, bien connu dans les milieux sportifs verviétois et qui me lit depuis qu’il a élu domicile à Winamplanche. Il me confie qu’il prend connaissance de mes écrits sur le pot. Tant qu’à faire Philippe, manges-y aussi tes tartines, cela te fera du pain sur la planche !» (08/10/95)

« Après avoir joué à Vaux et même à Ferrières en promotion, Luc Boirs s’est reconverti en public-relation du RFC Liégeois. Il donne aussi des spectacles de prestidigitation sous le pseudonyme de Luc Epsom. Si je vous en parle, c’est parce qu’il vient de réaliser son plus grand numéro de magie : il a fait disparaître Vincent Burnet, le président des « Sang et Marine »… dont on est sans nouvelle. » (06/03/97)

« A l’occasion de l’inauguration de la piscine d’Aywaille, il est toujours savoureux de déceler les quiproquos que peuvent parfois engendrer certaines phrases. Ainsi, le fait d’entendre dire : « La première piscine a été inaugurée en 1973 par Jean-Pierre Grafé ici présent. Comme toute dame âgée, elle a pris quelques rides » fit évidemment sourire les esprits mal tournés. » (15/05/98)

« Ce 1er mai, la course cycliste pour espoirs internationaux Liège-Bastogne-Liège partait logiquement de… Bastogne et arrivait tout aussi logiquement à… Aywaille. » (29/04/99)

« Ambiance NBA, samedi soir, à Comblain pour la venue d’Aywaille. Un derby qui n’aura pas fait le bonheur des croque-morts tant les temps morts furent rares. Difficile d’encourager plutôt l’un que l’autre des antagonistes car on retrouve cinq Aqualiens dans les rangs locaux. Dont deux de mes anciens élèves (coach compris). Mais quel beau match ! » (23/10/99)

Ceci dit, je ne résiste pas à l’envie de vous proposer deux de ses dernières perles du Vlan Ourthe/Amblève : « A présent, c’est le cyber journalisme qui prend le pas ! Mais, avant d’utiliser les nouvelles technologies, si apprenait à lire et à écrire ? », ou encore, « Bourgmestre et présidente de Publifin, Muriel Targnon devient conseillère chez Luminus et y est rémunérée 30.000 € par an. Encore un cumul laid. »

J’ai eu la chance de côtoyer à diverses reprises le papa du regretté Julien. Toujours avec autant de plaisir. Voire de respect. Faut qu’on se revoie sur ses hauteurs condruziennes !

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : commune d’Aywaille

« La cuisine et moi ne sommes pas vraiment amis »

Gaël Colson évoque sa période de confinement.

Gaël Colson profite de ce confinement pour tondre la pelouse ou jouer à la PS4. Par contre, il ne passe pas un temps infini derrière les fourneaux. « La cuisinie et moi ne sommes pas vraiment amis » rigole-t-il. Alors pour se sustenter, l’ailier de LAAJ propose deux solutions. « La friterie Colson, la meilleure option, et commander une pizza. »

Si la lecture ne remporte pas les suffrages de Gaël, certains films et séries trouvent grâce à ses yeux. « Gladiator car c’est une histoire splendide, Space Jam pour les basketteurs et Maman, j’ai raté l’avion car c’est super drôle » livre-t-il. « Prison Break et la Casa de Papel sont les deux séries que je connais car on ne sait jamais ce qu’il va se passer et c’est cela qui est vraiment bien. »

Et pour les jeux de société, deux classiques. « Uno car c’est super marrant et que l’on n’est jamais sûr de gagner et le Monopoly pour acheter tous les bâtiments possibles. Il faut un peu rêver » conclut Gaël.