« J’ai toujours eu envie de retourner en TDM2 »

Parmi les figures expérimentées de LAAJ, Jérémy Horrion relèvera un nouveau défi la saison prochain. Théo Beaujean quittera lui Ninane pour Ans.

Auteur de quelques belles prestations à Ninane, notamment quand il a été repositionné à la distribution, Théo Beaujean portera les couleurs d’Ans la saison prochaine. Chez les promus, ce remarquable artificier jouera avec son frère. Un one-two-punch qui devrait faire des dégâts dans une division aux accents liégeois.

A LAAJ, Jérémy Horrion apportait son expérience pour encadrer de jeunes talents. Arrivés à la fin d’un cycle, les Brasseurs reconstruiront en R2 sans l’Aqualien. « J’ai longtemps hésité à continuer mais une belle opportunité avec un beau challenge s’offrait à moi » nous confie-t-il. « Je partirai donc vers d’autres horizons. »

Et c’est en TDM2 que l’on retrouvera Jérémy la saison prochaine. « J’ai toujours eu envie de retourner dans cette division » avoue-t-il. « Je rejoindrai Ninane, je pense que le groupe et le coach me conviennent bien. Je n’ai pas pu résister. » Et de conclure: « A LAAJ, j’ai vécu deux années difficiles mais deux très belles années. » La classe, tout simplement.

« Le professionnalisme de Milos Bojovic »

Orly Nzisabira revient sur la saison vécue avec Liège en R1 et en D1. Interview.

Orly, qu’as-tu pensé de la saison qui vient de s’achever?

Elle fut encore une fois mouvementée, notamment par les contraintes d’une équipe R1-D1, le manque d’entrainements et donc de cohésion. Les résultats reflètent cela mais je pense que nous avons aussi eu de bons matchs où tout le monde a pu montrer de quoi il était capable.

A titre personnel, comment juges-tu tes prestations?

Je pense ne pas avoir fait une mauvaise saison malgré un petit manque de régularité. Mais j’ai hâte de prouver quelque chose à Sprimont l’année prochaine.

Quels furent les moments marquants de cette saison?

Un des moments marquants fut le licenciement de Jérôme Jacquemin. Nous avons vu que pour une équipe dont le plus gros défaut était, de temps en temps, le manque de cohésion, tout le monde s’est serré les coudes à ce moment là. J’ai trouvé cela vraiment cool.

Nourris-tu quelques regrets?

Je regrette un peu comment ma saison avec la D1 s’est terminée, j’ai trouvé cela irrespectueux mais j’en garde malgré tout de bons souvenirs.

Justement, quels enseignements as-tu pu retirer de cette expérience dans le basket pro?

En trois saisons, j’ai pu jouer dans toutes les salles, rencontrer des joueurs provenant de partout de par le monde et comprendre ce microcosme qu’est le basket professionnel. La plus grande chose que j’ai pu apprendre, notamment de Milos Bojovic, c’est le professionnalisme qu’il faut avoir pour réussir. Tu dois t’entrainer tous les jours, même quand tu n’en as pas envie, et cela pendant des années.

A moyen terme, aimerais-tu retenter l’aventure en D1?

Je vais me concentrer sur mes études pendant les prochaines années mais après, qui sait ?

Crédit photo: Philippe Collin

« Le changement de coach fut impactant »

La saison est désormais terminée, place aux bilans et nous commençons par celui de Thomas Nyssen et de la TDM2 de Pepinster. Entretien.

Thomas, qu’as-tu pensé de votre saison?

Nous avons vécu une saison en deux parties. La première où les résultats et la manière n’étaient pas au rendez-vous. La seconde où le groupe s’est retrouvé et où basket s’est mis à re-rimer avec plaisir.

Terminez-vous à la place que vous visiez en début de championnat?

Non mais vu les circonstances, les objectifs ont dû être un peu revus à la baisse.

Qu’as-tu pensé de la TDM2A et de sa compétitivité?

Nous sommes tombés dans une série hyper compétitive avec peu de derbies. Autrement dit, énormément de longs déplacements, ce qui a pu avoir un impact sur les résultats.

A titre personnel, comment juges-tu tes prestations?

J’ai essayé d’amener ma pierre à l’édifice à chaque match avec, bien entendu, des hauts et des bas. Mais je suis relativement satisfait de cette saison.

Quels furent les éléments marquants de cette saison?

La perte d’un joueur décisif en première partie de championnat n’a pas aidé le groupe. Le changement de coach fut un élément impactant sur la deuxième partie de saison.

Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année?

J’ai beaucoup apprécié la réaction du groupe et du staff face à une situation plus d’une fois compliquée et l’ambiance positive qui en a découlé.

Nourris-tu des regrets?

Non, aucun. Toutes les saisons sont différentes et c’est là la beauté du sport.

Crédit photo: Yvonne Beckers

« Une expérience enrichissante »

Cette saison, la P3 d’Aubel est sortie des sentiers battus pour collaborer avec une coach mental. Analyse.

Cette période de confinement est évidemment particulière. « Chacun la vit à sa manière. Je ne suis pas un expert de la santé, je m’abstiens de tout commentaire ou conseil qui se voudrait bienveillant » nous précise Jean-François Loop. « Pour ma part, je suis les recommandations des autorités. J’ai la chance d’habiter à la campagne, dans une région magnifique. Je m’autorise deux balades par jour pour garder un semblant de forme. »

Durant la saison, le coach d’Aubel a promu une initiative surprenante avec son équipe de P3: la collaboration avec un coach mental. « Il y a deux ans, en Allemagne, l’équipe que j’entrainais avait un coach mental qui faisait partie intégrante du staff et l’expérience avait été très enrichissante pour moi. Je m’étais dit que si j’en avais l’occasion, je réitèrerais l’expérience » nous confie Jean-François. « Je sais qu’en Belgique ce n’est pas ancré dans les moeurs – hormis peut-être au plus haut niveau – mais j’ai voulu tenter l’expérience. J’ai contacté Cécile Van Bladel qui est une amie et la proposition l’a tout de suite enchantée. J’ai été très satisfait de l’expérience, au niveau collectif mais également individuel.« 

« Un groupe réceptif »

La jeune coach mental n’est pas une inconnue dans le monde du basket. Diplômée de l’ULg en psychologie, elle a suivi une formation en psychologie du sport et préparation mentale via un institut à Paris et s’est également formée à l’hypnose ericksonienne. « Cela m’a vraiment plu de travailler avec les Aubelois, ils constituent un chouette groupe. Ils furent directement très réceptifs à ce que je leur proposais. Je regrette juste de ne pas avoir su être davantage présente pour pousser le travail plus loin. J’espère que l’équipe et Jean-François continueront à appliquer ce sur quoi nous avons travaillé » explique-t-elle.

D’un point de vue sportif, la P3 d’Aubel n’a toutefois pas enregistré des résultats faramineux, terminant à l’avant-dernière place de sa série. « On ne peut pas empêcher les gens de se forger une opinion (ndlr: sur l’influence du coaching mental sur les résultats sportifs), il faut apprendre à faire le tri pour garder ce qui est constructif et laisser le reste de côté. De plus, on ne peut pas juger le travail d’un personne ou d’un groupe quand on ne connait pas l’objectif poursuivi » précise Cécile avec pertinence. « Les résultats ne furent peut-être pas probants au niveau du classement mais je pense que ce travail à servi à plusieurs d’entre-eux ce qui, de mon point de vue, est déjà une réussite! Je tiens à remercier l’équipe et surtout Jean-François pour cette opportunité. Ils m’ont permis de continuer à apprendre et j’ai pris du plaisir à travailler avec eux. Et n’oublions pas qu’ils ont terminé la saison par une victoire. »

« Un réel impact pour l’équipe »

Une initiative appréciée et saluée par les membres de la phalange herbagère. « C’était une première et cela a été un réel « plus » pour l’équipe. Ce n’est pas commun, à notre niveau, de s’offrir les services d’un coach mental. Au début, j’étais sceptique, je dois bien l’avouer. Je pensais que c’était encore une idée tordue de notre coach – comme de nous initier yoga par exemple – mais après la première réunion, sa psychologie a beaucoup apporté à l’équipe » raconte Benoit Califice, le capitaine d’Aubel. « Chacun a pu s’exprimer et se faire entendre. Après chacune de nos entrevues, nous constations directement des changements dans l’attitude des joueurs et surtout du coach. C’était très positif et cela nous remotivait après la dégelée du week-end (rires). Plus sérieusement, après sa venue en octobre, nous avons eu un bon passage avec, notamment, une victoire non-validée contre Pepinster. L’absence de résultats significatifs s’explique en grande partie par les nombreux blessés que nous avons connu et le peu d’entrainements réalisés au complet. Une nouvelle équipe qui s’entraine une fois par semaine et rarement à dix a peu de chances de faire des étincelles. »

Des Tchantchès, champions d’Europe « corpo »

Les Carnets du basketteur saison 3! Cette fois, coup d’éclairage sur la « corpo » avec une rétrospective aussi savoureuse que sympathique.

Le championnat intercorporatif se dispute en toute discrétion et convivialité quasiment depuis la nuit des temps. Comme vous vous en rendrez compte plus avant. Même si elle n’engendre plus le même engouement que par le passé, l’un peu pompeusement dénommée « Ligue Il-Bb » compte toujours une demi-douzaine de participants : les Angels (TEC), Comblain, Fexhe (Remicourt), Modave, Verlaine et, last but not least, le RCSPL (Grivegnée). Soit, l’équipe des policiers liégeois (photo avec Comblain) dont la devise pourrait être « Circulez, y’a plus rien à voir ! ». Tant ils font le vide sur leur passage : 10 victoires en autant de sorties. Rien d’étonnant quand on sait que, dans leurs rangs, on recense parfois les Sébastien Francot, Thibaut Boxus et Cie. Faut-il rappeler que les flics mosans sont champions de Belgique de la police depuis quelques saisons déjà ?

Sur le plan pratique, la compétition chère au président Bellefroid regroupe, en principe, des phalanges représentatives d’une société ou d’une profession. Mais, avec le temps, cette notion s’est fort « libéralisée »… A noter encore que la plupart des rencontres se disputent le vendredi soir et que le site dédié à cette ligue est particulièrement bien foutu. Outre le championnat en lui-même, la saison est agrémentée d’un second rendez-vous : une Coupe René Fauconnier actuellement en « stand-by » pour les (malheureuses) raisons que l’on connait.

Au niveau professionnel, deux médias principautaires furent longtemps présents sur le front des « Corpos » : la Meuse et la RTBF qui pouvait notamment s’appuyer sur Henri Berlémont. Pour rappel, celui-ci avait évolué auparavant en D1 à Braine, Charleroi, Houthalen, etc…

C’est à la fin du siècle dernier que cette compétition spécifique connut son âge d’or. Il y avait ainsi deux divisions dans l’arrondissement de Liège et un championnat rien qu’en région verviétoise. Sous l’impulsion de Sébastien Huberty, l’emblématique dirigeant du Rouheid Heusy. En Cité ardente et environs, l’Administration Communale de Liège (ACL) a longtemps joué les terreurs des parquets. On y retrouvait les (roublards) frères Van Roy, Frédérique, Lejeune, Armand Wuidar et un petit jeune aux dents longues. A savoir, un certain… Yves Dehousse. Quant aux principaux outsiders, ils avaient pour noms : la Poste (Jacques Lelièvre, Luc Piraux), l’Enseignement (Dominique Guillaume, Roland Dethier), l’ALE (Thierry Meurmans), ou encore, l’Université (Ben André, Gengler, Lapaille, Rambeaux). Du (très) beau monde, quoi.

Mais, j’ai gardé le meilleur pour la fin : savez-vous que notre sélection provinciale – qui représentait la Belgique francophone – a été sacrée… championne d’Europe corporative, en mai 1983 ? L’Euro en question se déroulait à Caister-on-Sea, une cité balnéaire (9000 âmes) située près de Norwich et à 220 bornes de Londres. Dans un premier temps, nos « Tchantchès » survolaient la phase éliminatoire. Dont un retentissant 120-44 aux dépens de l’Allemagne. En finale, ils se trouvaient opposés aux Espagnols. Pas vraiment un problème car, après avoir compté 20 longueurs d’avance, ils s’imposaient 87-72… suivie d’une 3e mi-temps tout aussi exceptionnelle. Avec, au casting, Thierry Meurmans, Didier Mayenga, Armand Wuidar, Philippe Boucha, Alain Cordonnier, Paul Rambeaux et Michel Hayot. Rien que du lourd !

Michel CHRISTIANE

« La transmission de valeurs est LA priorité »

Un nouveau club au nom délicieusement vintage vient de voir le jour: bienvenue au BC Fléron.

Un nouveau club est né: le BC Fléron. « Ce projet est né du constat que pour les filles, le choix pour différents sports est souvent plus limité que pour les garçons. C’est le cas à Fléron, mais aussi ailleurs. Par exemple, en basket, on observe des équipes mixtes jusqu’à douze ans et puis, trop souvent, les jeunes joueuses doivent trouver un nouveau club. Cela provoque de la démotivation et même parfois l’abandon de la pratique sportive » nous explique Maël Widart. « C’est dans cette perspective que l’idée de créer un club résolument mixte a germé. Un club où les filières garçons et filles coexistent sans que l’une prenne le pas sur l’autre. »

Pour sa première année, le BC Fléron alignera deux équipes: une P4 hommes – constituée sur les bases de l’actuelle P3 de Liège Basket – et une équipe U7. « Une section psychomotricité sera également mis en place pour les plus jeunes » précise notre interlocuteur. « Nous voulons commencer petit et évoluer d’année en année. Voir trop grand pour le départ reviendrait à risquer de se brûler les ailes.« 

Les entrainements et les matchs auront lieu à l’Espace Sports de Fléron. « Ces infrastructures sont idéales pour lancer un tel projet » souligne Maël. « Nos objectifs sont avant tout de permettre à chacun de pratiquer le basket-ball. Le rêve – si je me projette un peu – serait, dans douze ans, d’avoir des équipes filles du U7 à U19 et idem chez les garçons. »

Au coeur du projet: des valeurs. « La transmission des valeurs qui nous semblent essentielles et LA priorité: égalité des droits de chacun, ouverture vers l’autre, implication dans la vie de groupe tout en développant l’autonomie et le dépassement de soi » ajoute Maël. Le BC Fléron est né, longue vie au BC Fléron!

« Tragédie sur tabouret »

Parmi les équipes en ordre utile pour monter, la P4 de Theux était celle qui se faisait le moins de soucis. Explications.

En ordre utile pour monter, la P4 de Theux ne craignait guère le gel de la saison. « C’était une situation particulière pour nous car, quoi que décide les clubs, nous serions en P3 la saison prochaine. En effet, Cédric Lemoine partant à Aubel avec quelques joueurs et d’autres arrêtant, notre P4 était destinée à reprendre le spot en P3 » nous explique Michel Derouaux.

Ce samedi, le vote des clubs était dévoilé: il y aura des montants et des descendants. « Je suis très fier car l’équipe le mérite » souligne le jeune coach qui décroche là sa seconde montée en tant qu’entraineur d’une équipe d’adultes et qui espère logiquement en vivre d’autres dans les années à venir. « C’est une montée un peu particulière toutefois. J’aurais aimé terminer la saison, battre la sympathique équipe d’Othée – nous avions perdu là-bas dans la neige – chez nous et fêter cela comme il se doit en chantant Tragédie sur un tabouret. Mais vu les circonstances, nous attendrons la fin du confinement pour célébrer dignement cette promotion. »

Un accession à la P3 qui récompense la belle campagne livrée par les Theutois. « Nous ne pouvons qu’être heureux d’avoir atteint notre objectif avec cette équipe qui était déjà très solide avec ma bande d’anciens – mes dinosaures (rires) – Massin, Pauquet, Raulin et Lallemand qui fut bien renforcée, notamment par Tilmant et Mewissen avec qui j’avais déjà décroché une montée avec Ensival. Et que dire de Kevin Liégeois qui fut éblouissant cette saison! Ce mélange de vieux et jeunes était très agréable à coacher » conclut celui qui drivera aussi la P3 – sérieusement renforcée – de Battice la saison prochaine.

« Comme Hannut, Belleflamme est un club familial »

Comme l’annonçait en primeur Benjamin Jamar hier matin sur Liège & Basketball, Sacha De Liamchine portera les couleurs de Belleflamme la saison prochaine. Interview du futur Haricot.

Sacha, hier matin, dans l’interview de lui que nous avons publiée, Benjamin Jamar annonçait en primeur ton arrivée à Belleflamme. Qu’est-ce qui t’a convaincu de quitter Hannut et de rejoindre les Haricots?

J’ai décidé de rejoindre Belleflamme car j’y connais beaucoup de gens. C’est un club familial comme Hannut, et c’est la mentalité que j’adore. Malheureusement, comme je vis à Liège, c’était devenut trop compliqué de faire les déplacements jusqu’à Hannut; je l’ai bien constaté cette saison.

David Beck – qui était ton entraineur cette année à Hannut – sera le coach de la R1 de Belleflamme. Cela signifie-t-il que tu évolueras aussi au sein de l’équipe première?

Non, je ferai exclusivement la P2.

Avec l’effectif que vous allez proposer, la route du titre semble toute tracée pour vous?

Le titre, je ne sais pas. Il y a pas mal de bonnes équipes en P2, le niveau sera élevée. Mais jouer les premières place sera notre objectif.

« Content, Dedave et moi avons pris nos responsabilités »

Suite aux votes des clubs, Nicolas Gustin et ses coéquipiers basculent en P3. De quoi remettre en question le projet hutois et la composition du noyau?

Nicolas, suite aux votes des clubs, vous effectuez la bascule et rejoignez la P3. Que penses-tu de cette décision?

Nous acceptons bien évidemment cette décision. Il fallait qu’une soit prise et même si ce fut laborieux, c’est enfin réglé. Peu importe l’option privilégiée, il y aurait eu des déçus. Dans un premier temps, nous nous en sortions bien et, par la suite, la pièce est tombée du mauvais côté.

Si la saison était allée à son terme, vous seriez-vous maintenus?

Honnêtement, j’en suis convaincu vu les matchs qu’il nous restait à disputer. Nous avions commencé à trouver une bonne alchimie et nous étions confiants quant à la suite du championnat.

L’effectif sera-t-il bouleversé?

De quoi nourrir des regrets ou vous motiver davantage?

A titre personnel, je suis évidemment déçu. Mais c’est ainsi. Nous avons l’opportunité de nous relancer, de faire une grosse saison l’année prochaine pour remonter au plus vite dans la division supérieure. Mais pour l’avoir vécu avec Modave il y a trois ans, monter de P3 en P2 n’est pas chose aisée et nous devrons être solides.

Quid de votre effectif? Cette descente change-t-elle la donne?

Avec Maxime Content et Thomas Dedave, nous avons pris nos responsabilités pour exprimer au reste de l’équipe que nous voulons aider le club et surtout que les jeunes – qui, pour la plupart, jouaient en hommes pour la première fois – s’engagent avec nous et se motivent pour réaliser une bonne saison et engranger de l’expérience. Cela semble avoir fonctionné et les retours étaient positifs pour la plupart du groupe.