Franck Renna et Ninane voient la vie en rose

Avec sa nouvelle coupe de cheveux, difficile de ne pas remarquer le retour aux affaires de Franck Renna. Le shooteur de Ninane, encore à court de rythme, revient sur la précieuse victoire de ses coéquipiers contre Ressaix.

Franck, cette victoire contre Ressaix était importante!

Oui, elle fait du bien après le faux-pas contre Haneffe. Ce match était important et nous avons répondu présents dès le début.

Comment expliques-tu un si large écart (98-77)?

Nous avons joué en équipe et nous nous sommes bien battus. Tout le monde a apporté tant en attaque qu’en défense. Simon Affano et Brice Masy ont pris le contrôle du rebonds (18 prises) et se sont donnés à fond comme à chaque match.

Tu n’as pas encore eu l’occasion de monter au jeu mais tu as pu revêtir ton maillot et revenir dans le groupe. Un coup de boost pour ton moral?

Effectivement, je n’ai pas joué, je ne suis pas encore prêt. Les sensations reviennent bien mais le cardio n’est pas encore là (rires). Après six mois de rééducation et de travail, cela fait du bien de pouvoir shooter, prendre part au jeu, être impliqué. Rejouer avec Brice et Simon m’avait beaucoup manqué.

Dessart s’était mis sur son 31!

Ce week-end, Ensival s’est un peu loupé! Les Ensivalois ont éprouvé de réelles difficultés à revenir victorieux de LAAJ avant de s’incliner à Angleur dimanche. Une défaite qui sonne sans doute le glas des ambitions de titre des troupes de Christian Randaxhe. Un trophée qui semble plus que jamais tendre les bras à Tilff qui s’est imposé à Aubel et a vu Pepinster trébucher à Henri-Chapelle.

A LAAJ, Ensival s’est imposé en jouant mal, 84-96. Une « qualité » indispensable quand on brigue un trophée ou une montée. « C’était un match catastrophique à tous les niveaux: au shoot, lay-up, défense… Nous n’étions nulle part alors que les jeunes d’en face avaient un pourcentage affolant » analyse, lucide, Vincent Louis. « Je crois que c’est notre plus mauvaise prestation en championnat et le match le plus pénible à jouer.« 

Néanmoins, les Ensivalois ont su émerger. « Vers le milieu du troisième quart, les Brasseurs furent forcés d’évoluer à quatre car ayant deux joueurs à cinq fautes. Nous avons commencé à mettre un peu de rythme et Jean-Yves Dessart nous a permis de faire le trou avec ses 31 points. Un match difficile, contre quatre gars, c’est vraiment perturbant et l’envie n’est pas la même » ajoute l’ailier.

Le dimanche, Ensival s’en sortait moins bien à Angleur, 84-64. Dans le même temps, Tilff s’imposait à Aubel, 76-87 alors que Porais et Ensivalois avaient appris la veille le revers de Pepinster à Henri-Chapelle, 76-64. Désormais, les troupes de Patrick Maquinay sont plus que jamais favorites pour le titre avec deux victoires d’avance sur leurs plus proches poursuivants – Pepinster et Ensival – qui batailleront durement pour la place de dauphin.

« Ce sera l’occasion d’affronter mon papa »

Au terme de cette saison, Maxime Pluys quittera Spa – qu’il espère maintenir en P1 – pour prendre la direction de l’Etoile Jupille. Entretien.

Maxime, ce fut un choix difficile de quitter Spa pour l’Etoile Jupille pour le prochain championnat?

Effectivement, ce ne fut vraiment pas un choix facile parce que je m’amuse super bien à Spa cette saison. Le groupe est top mais le projet de l’Etoile pour la prochaine saison m’a convaincu. L’équipe sera assez compétitive et j’aime beaucoup la compétition. C’est un nouveau défi pour moi et j’espère bien le relever. Ce sera aussi l’occasion d’apprendre encore davantage avec un super coach et j’ai également la chance de connaitre déjà certains joueurs.

Quelles sont tes envies pour la prochaine saison?

Elles seront de viser le haut du classement, d’acquérir encore de l’expérience, d’apporter ce que je dois apporter à l’équipe afin de remporter un maximum de matchs et, bien sûr, de m’amuser et de prendre du plaisir sur le terrain.

Tu n’évolueras donc pas sous les ordres de ton papa.

Non, aller à l’Etoile, ce sera l’occasion de jouer contre mon père qui reprendra les Bobelins. Ce sera la première fois où il sera dans le camp adverse et cela promet un match excitant.

Pas de déception de ne pas évoluer sous ses ordres?

Bien entendu, je n’ai rien contre mon père, nous ne sommes pas du tout en dispute (rires). Je n’exclus pas qu’un jour il pourra me recoacher mais la saison prochaine, nous serons adversaires!

Avant de pencher à la prochaine saison, il reste une dernière ligne droite crucial à réussir avec Spa.

Oui, cette fin de saison est super importante pour le maintien de Spa en P1. Nous avons de gros matchs que nous devons absolument gagner. Et nous ferons le nécessaire pour maintenir Spa en première provinciale!

Wey braque la Bulle!

Au terme d’une folle remontada, La Spéciale Aywaille d’un tout grand Morgan Wey (30 points) a arraché la victoire à Liège Basket, 71-72. Ce jeudi, les Aqualiens recevront Saint Vith pour une rencontre tardive.

La rencontre dominicale entre Liège et La Spéciale Aywaille démarrait avec une heure de retard suite au match complètement fou opposant la R1 locale à celle de Ciney. La paire arbitrale officiant lors du match de régionale acceptait avec gentillesse de siffler la rencontre de provinciale, aucun arbitre ne montrant le bout de son nez.

Face à des locaux en quasi auto-gestion, Aywaille éprouvait de réelles difficultés. Maladroits au possible, dépassés en défenses, les Aqualiens subissaient la première période. Alors que Wey (12 de ses 30 points en première période pour aller avec ses 15 rebonds) tentait de maintenir son équipe à bout de bras, Jamar (14 points), Tasquin (8 pions), Rassenfosse (14 unités) et leurs coéquipiers faisaient admirer leur précision (9 triples dont 6 en première période) et leur combativité. A la pause, le marquoir affichait 46-31 sous le regard du couple Joly/Tibolla, partagé entre les enfants « liégeois » de l’une et le long passé aqualien de l’autre.

La reprise voyait les visiteurs se montrer plus agressifs en défense et insuffler davantage de rythme dans la partie. L’écart se réduisait quelque peu mais Liège tenait bon. C’était 56-47 à la demi-heure.

Le dernier quart était étouffant! Aywaille poussait pour revenir mais ratait de nombreux lancers. L’avance des locaux fondait lentement mais inexorablement. Revenu à une unité de Liège, les Aqualiens se trouaient sur un rebond défensif et permettaient à Liège de repartir à plus quatre à un peu plus d’une minute de la fin de la partie. Au caractère, les visiteurs revenaient à une unité des locaux et, à 32 secondes du terme, Morgan Wey plantait un panier tête de raquette pour faire passer – pour la première fois! – ses couleurs devant au marquoir, 71-72. Vanlaar (4 points et une grosse dizaine de rebonds), Lété (3 lancers cruciaux), Koch (11 unités), Moreau (9 points) et leurs partenaires ne vacillaient pas en défense et arrachaient la victoire au terme d’un véritable hold-up!

« Nous n’avons pas été aidés par nos amis en gris »

A domicile, Beez a loupé la montre en or d’un fifrelin contre Tilff malgré une superbe remontée. Arnaud Otte débriefe cette rencontre.

Arnaud, vous vous êtes inclinés 74-78 contre Tilff. Comment s’est déroulée cette rencontre?

Nous avons bien débuté le match et puis les Porais nous ont assez rapidement devancés avec beaucoup de réussite tant à l’intérieur qu’à mi-distance. Nous savions que c’est une équipe qui joue énormément en première intention et cela lui a réussi.

Les Porais caracolaient en tête dans le troisième quart.

Oui, nous accusions un retard de dix-sept unités. Malgré cela, nous sommes parvenus à reprendre en main le rythme de la rencontre. Nous sentions davantage de combativité de notre part. Nous sommes revenus très proches des visiteurs, à deux points, mais nous ne sommes malheureusement pas arrivés à passer devant.

Que vous a-t-il manqué pour l’emporter?

Cela s’est vraiment joué à peu de choses, sur quelques détails. Nous avons raté trop de lancers-francs et un ou deux paniers faciles. Il y a peut-être un peu de frustration de ma part mais je pense que nous n’avons pas été aidés par nos amis en gris qui ont parfois pris des décisions un peu litigieuses dans des moments importants dimanche. C’est vraiment dommage parce qu’au vu des autres résultats de la série, il y avait vraiment un beau coup à jouer.

Pas de Russie pour la « bande à Petit » !

Pour d’évidentes raisons sanitaires, le président de Montpellier décide ne pas envoyer son équipe à Ekaterinbourg alors que Le Portel s’est échauffé à Strasbourg, mais n’y a pas joué. Quant à la cour de l’école Deleval, à Seraing, elle avait trouvé une seconde jeunesse… Ce sont les infos d’EMCE.

Les insolites de la semaine

Les évènements récents ont pour conséquence la suppression ou l’organisation à huis clos d’un nombre croissants de manifestations sportives. Entre autres. Dans ce contexte… viral, j’ai relevé quelques situations assez particulières. Fin de la semaine passée, Le Portel se déplaçait à Strasbourg. Déjà à ce moment, le nombre maximum de spectateurs, en France, était fixé à 5000. Et c’est lors de l’échauffement que ce chiffre fatidique fut atteint. Résultat des courses : match reporté à une date ultérieure et une équipe visiteuse obligée de remonter dans le bus pour quatre bonnes heures de route sans avoir joué… L’humain est ainsi fait qu’il tente souvent de détourner les règlements. La preuve : en Suisse, le championnat de foot, aussi, est suspendu. Afin de se maintenir en forme, Lausanne Sport, le leader, a conclu trois rencontres amicales qui se disputeront dans un lieu inconnu. Du mois, en principe. Toujours en football, le Slavan Bratislava avait écopé d’un duel à huis clos, en coupe d’Europe, en raison du comportement de ses supporters. C’est alors que les dirigeants slovaques ont ressorti une règle de la FIBA autorisant les moins de 14 ans à assister gratuitement aux rencontres à condition qu’ils soient accompagnés. C’est ainsi que… 21.000 élèves étaient présents dans les gradins au coup d’envoi.

Coronavirus (encore) : Montpellier n’ira pas en Russie

Demain, les protégées de Thibaut Petit devaient aller croiser le fer avec Ekaterinbourg dans le cadre de l’Euroligue. En raison de l’actualité sanitaire, le président du club héraultais a décidé de ne pas prendre le risque d’envoyer son équipe en Russie. Les dirigeants de Lattes/Montpellier n’en demeurent pas moins très actifs en coulisses. C’est ainsi qu’ils viennent de signer, jusqu’en fin de saison, l’Américaine Cheyenne Parker (27a, 1,93m) en provenance de… Chine. Ca ne s’invente pas !

Ligue des Champions : défaite interdite pour Ostende

Ce soir (20 h), le géant Lituanien Kupsas (28a, 2,16m) effectuera ses débuts européens sous le maillot ostendais. Et il ne sera pas de trop face aux Espagnols de Ténériffe, vainqueurs 85-75 à l’aller et donc à 40 minutes de la qualification pour le prochain tour. Ces derniers ont méchamment mordu la poussière (75-58) à Vitoria, ce week-end. Pas de quoi inquiéter outre-mesure leur coach : « J’ai l’impression que mes hommes avaient surtout en tête le prochain match à Ostende. Ceci dit, s’ils veulent éviter une 3e manche, ils ont intérêt, cette fois, à être concentrés du début à la fin. » On précisera encore que les Canariens ont directement pris l’avion à Bilbao, destination Zaventem puis la Côte.

Terrain extérieur : à Seraing, une salle menaçait de s’effondrer

La photo de la cour de récré de l’école Deleval a suscité parmi vous pas mal de souvenirs. C’est là que fut créé le CS Seraing qui ne tardait pas à se muer en AS Seraing. Club qui quittait les environs de la Bergerie pour rallier le hall du Bois de l’Abbaye où l’équipe dames accéda à la 2e Nationale avant d’être scratchée pour raisons financières. Par la suite, ce qui était devenu le BC Seraing trouva refuge à la salle de la Troque. Mais, celle-ci menaça subitement de s’effondrer et les basketteurs du cru furent tout heureux de retrouver le… terrain extérieur de l’école Deleval. Je m’associe à Georges Melon pour remercier Marc Rosenfeld et ses nombreux détails. Demain, cap sur un autre coin (aéré) de la province.

La télé crève l’écran

Eleven Sports 2 sera bien entendu présent, aujourd’hui (20 h), à Ostende pour la venue de Ténériffe (lire ci-dessus). La même chaîne embrayera, à minuit, sur Indiana – Boston. Attention : un décodeur est parfois nécessaire pour comprendre les commentaires du consultant de service. Sans rancune Duke…

Michel CHRISTIANE

« L’ancêtre de notre équipe joue un rôle primordial »

A Belleflamme, les All Blacks ont retrouvé des couleurs et le goût de la victoire, 68-76.

Depuis quelques semaines, les All Blacks étaient à la peine mais avaient visiblement retrouvé des couleurs pour ce derby. « Ce fut un match totalement différent de ceux de ces dernières semaines. Nous en voulions beaucoup plus et nous n’avons rien lâché. La preuve, nous avons produit une mauvaise entame de match mais nous avons réussi assez vite à recoller au score » souligne Matthieu Dallenogare.

La partie promettait d’être disputée et elle le fut! « Comme prévu, ce match fut un combat et nous avons réussi à relever le défi. Que cela fait du bien!« , savoure l’arrière d’Alleur. « Nous avons réussi à faire la différence sur la longueur de la rencontre, ce n’est seulement qu’à la fin que les Haricots ont commis des erreurs nous permettant ainsi de prendre légèrement l’avance dans les deux dernières minutes. »

Au moment de conclure, le scoreur des All Blacks ne peut s’empêcher « Sergio », véritable légende vivante du basket liégeois. « Même si les résultats le montrent déjà, l’ancêtre de notre équipe – Serge Di Pro – joue un rôle primordial pour nous, que cela soit sur le terrain et en dehors. Petite dédicace aussi au reste du groupe qui a su jouer son rôle pour atteindre cette victoire qui était si importante » termine-t-il.

Franky Lhoest reste Liégeois et quelques surprises arrivent

François Lhoest, figure de proue de Liège Basket depuis plusieurs années, portera encore les couleurs des Principautaires la saison prochaine et des surprises sont annoncées par le direction du club.

Excellente nouvelle pour Liège Basket et le basket liégeois: Franky Lhoest portera encore les couleurs des Principautaires la saison prochaine. « VOO Liège Basket est heureux de vous annoncer la prolongation du contrat de François Lhoest pour une saison ! Cette prolongation s’inscrit dans le projet du Club et confirme la volonté de stabilité après les prolongations de Brieuc, Ludovic, James, Thomas et Justin ainsi que l’arrivée de nombreux jeunes talents tels que Tom, Romain, Jarno et quelques surprises à venir ! François est le « Clubman » type, tout le monde s‘identifie à lui ! Sa motivation et sa mentalité sont exemplaires, défenseur de talent, François a aussi montré cette saison qu’il était capable d’alimenter le marquoir. Coéquipier modèle, il préfère l’assist ou l’interception décisive plutôt que se mettre lui même en valeur. Grand travailleur de l’ombre, il est un exemple pour les plus jeunes ! » annonce Liège sur sa page facebook.

Crédit photo: Philippe Collin

« Ils ont bossé en silence afin de clouer le bec de tout le monde »

A Loyers et grâce à une défense de fer, Cointe a conquis sa neuvième victoire en dix rencontres. Ludo Humblet, entraineur satisfait et admiratif de ses ouailles, revient sur cette excellente dernière prestation et livre la recette de la réussite des Grenouilles. Interview.

Ludo, comment avez-vous forgé cette victoire 57-66 à Loyers?

Nous avons mené de la première à la dernière minute en nous appuyant, comme d’habitude, sur une énorme défense et une concentration hors pair. Nous sommes restés calmes lorsque Loyers est revenu à huit longueurs et nous avons su trouver les failles dans la défense adverse. Nous avons également su limiter Ilongo à cinq points et contenir le jeu intérieur adverse, deux paramètres indispensables pour prétendre à la victoire.

Il s’agit là de votre neuvième victoire en dix rencontres! Quelle est la recette d’une telle montée en puissance?

Cointe est actuellement une équipe composée de joueurs qui se battent les uns pour les autres. Chacun apporte sa pierre à l’édifice. Le travail que les joueurs ont fourni lorsque nous étions dans le dur ainsi que la solidarité dont ils ont fait preuve sont les ingrédients de notre réussite actuelle. Au lien de s’entre-tuer, ils ont bossé en silence afin de clouer le bec de tout le monde. On nous pointait descendants et maintenant nous nous battons pour la sixième place sur quinze équipes. C’est à la fin du bal que l’on paie les musiciens et non dix minutes avant l’entracte! Je suis complètement admiratif de ce groupe de joueurs!

« Nous jouerons les Playoffs si la Fédé nous y autorise »

Soirée faste pour Saint-Louis avec l’exploit de la P1 contre Ensival et la victoire de la R1 contre le Royal IV Brussels. Les Collégiens rebattent les cartes en P1 et se positionnent idéalement pour les Playoffs en R1.

Ensival n’est plus le seul eader de P1, la faute à Saint-Louis! Les Collégiens ont dominé les Verviétois, 80-69. « Nous avons fait un super match autant offensivement que défensivement. Nous avons su trouver des solutions, tant sur la zone que sur l’homme. Défensivement, nous avons réussi à limiter les meilleurs marqueurs adverses » nous résume la pépite Aurélien Dykmans (8 points). Les locaux ont pu compter sur l’apport décisif de Sacha Klontz (21 points dont 5 triples).

Cette victoire du Collège et celle des Etoilés à Verviers rebat totalement les cartes de P1. Désormais, Ensival et Jupille sont à égalité parfaite avec Hannut en embuscade. Vu la volonté de l’Etoile et des Hesbignons de ne pas monter, les interrogations vont commencer à fleurir. D’autant plus que Bellaire vient de renoncer aux Playoffs.

En R1, Saint-Louis a dominé le Royal IV Brussels grâce à sa paire Ventat/Francoeur (50 points à eux deux). « Nous avons mené tout le match. Nous avons fait une très bonne prestation avec beaucoup de réussite offensive, au contraire de nos adversaires qui ont eu des difficultés contre notre zone. Nous avons pris notre revanche du match aller » sourit Martin Francoeur.

Saint-Louis est désormais deuxième du classement (mais toutes les équipes n’ont pas disputé le même nombre de matchs, ce qui rend le classement moins lisible) et en bonne place pour accéder aux Playoffs. « Il est clair que nous ne voulons pas monter mais nous jouerons les Playoffs si la Fédé nous y autorise » précise l’artificier en chef du Collège.