« Le maintien va se jouer au finish pour pas mal d’équipes »

A Hasselt, Comblain s’est incliné 67-58. La lutte se resserre dans la deuxième partie de tableau.

Si Ninane est sorti victorieux de son déplacement à Neufchâteau, nos autres représentants furent moins heureux ce vendredi. A l’instar de Belleflamme battu par Geel et Sprimont par Malines, Comblain s’est incliné 67-58 à Hasselt. « Il faut démarrer le match plus durs derrière. Cela reste notre problème depuis le début de saison » peste Thomas Waonry. « Et puis, nos shoots ne sont pas rentrés. Nous n’avons pas mal défendu avec 67 points encaissés mais quand nous ne marquons que 54 ou 55 points, cela devient compliqué de ramener les trois points.« 

Un revers dommageable pour les Comblinois qui doivent désormais se méfier du retour des équipes de bas de tableau. « Le maintien va se jouer au finish pour pas mal d’équipes » prédit l’intérieur du Mailleux en guise de conclusion.

« Un nouveau défi sportif est toujours alléchant mais quitter un club reste un risque »

Pour Liège & Basketball, Gauthier Liégeois revient sur les problèmes au démarrage des Dragons, le déplacement ardu de ce samedi à Willebroek et évoque l’avenir.

« Nous devons nous relancer suite à notre contre-performance du week-end dernier contre Mechelen. En cas de victoire, nous aurions pu être seuls troisièmes mais bon, il y a des matchs sans, cela arrive et nous sommes en plus déforcés avec Romain Peremans et Martin Gillotay sur la touche » contextualise Gauthier Liégeois.

Ce déplacement à Willebroek s’annonce ardu pour les Dragons. « Willebroek est en forme et l’a prouvé en infligeant à Kontich sa première défaite de la saison (ndlr: le leader en compte désormais deux). De notre côté, nous devons absolument commencer nos matchs comme des morts de faim défensivement en démontrant que nous sommes la meilleure défense de la série » enchaine l’ailier. « Notre problème reste le même pour la plupart de nos défaites: nous commençons à 70% et nous courrons après le score. Au match aller, Willebroek avait planté cinq triples dans le premier quart à cause de mauvaises rotations sur « ball screen ». Désormais, nous savons que nous sommes capables de mieux défensivement et qu’avec un peu d’application sur les systèmes offensifs, nous pouvons ramener les trois points. Il faut que nous apprenions à contrôler un match pendant quarante minutes et non par vagues car, en D3, les sautes de concentrations se paient cash.« 

La période, que l’on puisse le regretter ou non, est déjà aux grandes manoeuvres et à la construction des effectifs pour la prochaine saison. « Je n’ai pas encore pris de décision définitive. C’est ma troisième saison à Esneux, je suis capitaine et j’ai plus de vingt minutes de temps de jeu par match. Il règne une bonne ambiance dans l’équipe et je joue avec mon meilleur pote, Robin Lhoest. C’est délicat » continue Gauthier. « Un nouveau défi sportif est toujours alléchant mais quitter un club est aussi un risque. Tu n’es finalement qu’un « transfert ». Le plus gros frein concernant une prolongation à Esneux, ce sont les déplacements de 45 minutes car j’habite et travaille à temps plein à Dison. C’est parfois difficile de me motiver pour aller m’entrainer mais la soif de basket a toujours le dessus. »

« Nous nous sommes faits peur sur la fin »

A Neufchâteau, Ninane a réalisé une excellente prestation pour l’emporter 87-90. Reportage.

Ce vendredi, les Calidifontains prenaient la route pour « descendre » vers le Luxembourg. Il n’était pas question d’aller chercher de l’essence ou des denrées alimentaires à moindre coût ni d’une escapade champêtre mais bien d’aller défier des Chestrolais quatrièmes de TDM2B. Une rencontre importante pour le classement et rehaussée par un aspect humain et affectif et indéniable, les locaux étant désormais dirigés par Marc Hawley, ancien entraineur de Ninane et joueur et assistant-coach du BCN sous la houlette d’Yvan Fassotte.

Dans ses installations, Neufchâteau partait avec les faveurs des pronostics mais Sturam et ses partenaires restaient sur deux revers consécutifs – dont un dernier dans les grandes largeurs à Comblain – alors que Beaujean et les siens surfaient sur une dynamique positive. Le début de rencontre semblait confirmer cette prédiction, Ninane, rigoureux derrière et efficace devant faisait cavalier seul pour mener 10 à 24 après dix minutes.

Les Chestrolais réagissaient dans le second quart et réduisaient l’écart à 37-45 à la pause. Au sortir des vestiaires, Allemand et ses coéquipiers tenaient bon et empêchaient les tentatives de retour des locaux. A la demi-heure, le marquoir affichait 59-68. Dans la dernière ligne droite, les « Luxos » jetaient leurs dernières forces dans la bataille pour tenter de renverser le cours de la partie. Ils y arrivaient presque mais les Ninanais sauvaient l’essentiel et l’emportait méritoirement, 87-90, s’emparant virtuellement de la quatrième place. « Nous avons mené tout le match mais nous nous sommes faits un peu peur sur la fin » résume, ravi, le Président Luc Dubois.

« Une structure hyper pro à Comblain l’an prochain »

Alors que Cointe doit confirmer son redressement ce samedi contre Andenne, Liège & Basketball est allé à la rencontre de Ludo Humblet. La saison des Grenouilles, son futur poste à Comblain, le timing de l’annonce de son départ, son job au CFWB et le rôle de la formation: autant de sujets abordés avec le sympathique entraineur liégeois.

Ludo, comment juges-tu la saison que vit Cointe?

Les débuts furent difficile à cause de différents paramètres: la perte de mes deux meneurs, la grave blessure de Robin Cornet et plusieurs petites blessures. Nous avons disputé beaucoup de matchs à six ou sept. D’autant plus que neuf nouveaux joueurs arrivaient, il fallait que la sauce prenne. Désormais, tout le monde est revenu ou presque, les automatismes s’affinent et les résultats se révèlent meilleurs. Le principal, c’est que le groupe est toujours resté soudé, il n’y a pas eu de cassure, ni entre les joueurs, ni avec moi. Et comme je le dis toujours, c’est à la fin du bal qu’on paie les musiciens.

Vous êtes toujours à la lutte pour le maintien et vous recevrez Andenne ce samedi. Est-ce là un match capital contre un concurrent direct?

Oui, c’est un match capital mais la plupart le sont désormais pour nous. Nous devrons évoluer de la même manière que ces dernières semaines, nous donner à fond et cela pourrait bien tourner. Attention toutefois à l’excès de confiance, c’est ce que je redoute le plus.

« Le timing de l’annonce a amené de la stabilité dans les deux clubs »

Tu quitteras Cointe au terme de cette saison pour diriger la TDM2 de Comblain. Qu’est-ce qui a motivé ce choix? Etait-ce la destination la plus logique vu le partenariat qui lie les deux clubs?

Ce n’est pas lié au partenariat que tu évoques. C’est ma cinquième saison à Cointe, j’avais déjà prévenu le comité de Cointe que je n’irai pas au-delà. Rejoindre Comblain, un club structuré et avec des moyens logistiques conséquents, représentait un beau défi sportif à relever dans une divsion supérieure.

L’annonce de ta future arrivée s’est faite très tôt dans la saison.

C’est vrai mais le club de Comblain avait besoin de rassurer très tôt ses joueurs. Les seuls que cela a beaucoup fait disserter, ce sont tous les commentateurs du monde du basket liégeois.

Le timing pouvait tout de même étonner?

Certes, mais à partir du moment où un accord avait été trouvé, j’estimais plus honnête – une valeur à laquelle je tiens – de l’annoncer à mes joueurs. Ceux-ci m’ont d’ailleurs félicité et remercié et cela a amené de la stabilité, tant à Cointe qu’à Comblain, et les résultats s’en ressentent désormais. Comblain est d’ailleurs l’une des équipe qui a pu confirmer très tôt ses joueurs pour la prochaine saison.

Quelles seront tes ambitions avec le Mailleux?

Viser le plus haut possible, tout simplement. J’ai la chance que Comblain ait validé le projet que j’ai soumis, que le club se donnera les moyens d’atteindre des objectifs élevés en mettant en place une structure hyper « pro » avec deux assistants – Tony Fernez qui sera là à temps plein et Dany Sterkendries qui apportera son côté rassembleur – mais aussi un kiné, un préparateur physique, un scout, un caméraman. Rien ne sera laissé au hasard, tous les petits détails – souvent ceux qui font la différence (ndlr: on parle en cyclisme de gains marginaux) – seront pris en compte.

L’équipe subira-t-elle de profondes modifications?

Nous cherchons à compléter le groupe mais la plus grosse fierté que peut avoir Comblain est d’avoir pu confirmer la majorité de ses joueurs. C’est vraiment génial et c’est finalement cela la plus belle campagne de transferts que pouvait réaliser le club.

« Un travail minutieux au Centre »

C’est Julien Moray qui te succèdera à Cointe.

J’ai donné mon opinion à Jean Levoz avec qui je suis en très bons termes et je ne peux qu’encourager cette décision. C’est un super choix, le meilleur choix possible et Julien est celui qu’il fallait pour les Grenouilles.

Enfin, un petit mot sur ton travail au Centre de formation. Quelle fonction y occupes-tu?

Je donne, en journée, des entrainements spécifiques individuels et, en soirée, des entrainements collectifs pour la section filles dont je suis, en quelque sorte, le point d’ancrage sous la responsabilité de Laurent François.

Qu’est-ce que cela t’apporte?

C’est génial de rencontrer chaque semaine de nouveaux coachs, de nouveaux joueurs, de se remettre en question et d’attacher de l’importance aux détails. Cela me permet de progresser et d’évoluer. Et c’est très agréable d’être avec des jeunes motivés dans une structure aussi « pro ».

Le CFWB est-il un outil indispensable au développement du basket en Wallonie et à Bruxelles?

Bien sûr! Ce genre d’infrastructures doit exister pour augmenter le niveau général du basket en Belgique. Il faut voir le travail minutieux qui est fourni au Centre, tout y est réfléchi, analysé. C’est remarquable et nécessaire.

« Les points peuvent venir de partout à l’Etoile »

Ce samedi, Quentin Fassotte et Sainte Walburge débarqueront aux Argilières pour y défier la folle attaque de l’Etoile Jupille.

Quentin, c’est aux Argilières que vous officierez ce samedi.

Ce ne sera pas un match facile, surtout dans la petite salle de l’Etoile. Mais cela reste un match de basket et tout peut arriver durant les quarante minutes que dure celui-ci.

Que devrez-vous mettre en place pour avoir une chance de créer la surprise?

Il faudra surtout limiter offensivement les locaux car, dans cette équipe, les points peuvent venir de partout. Nous devrons jouer dur en défense et contrôler le rebond, comme nous commençons à le faire depuis quelques matchs. Si nous voulons avoir une chance de l’emporter, nous devrons rentrer immédiatement dans le match, imprimer notre rythme et ne pas subir celui de l’adversaire. Offensivement, il faudra éviter de gâcher les paniers faciles et, surtout, éviter les pertes de balle qui pourraient nous coûter des paniers derrière.

Les pruniers des « Blancs Moussis »

On vous avait promis une photo vraiment mystère, ça été le le cas avec le premier terrain stavelotain. De l’autre côté de la Principauté, un vrai derby hesbignon à Waremme avant les prochaines finales de la coupe provinciale au Paire : ce sont les infos d’EMCE.

Les indiscrétions du week-end

En D1 dames, déplacement de tous les dangers (d. 15 h) pour les Panthers du côté d’un SKW souvent intraitable à domicile. Et Arvid Diels, le coach-maison, n’est pas prêt à lâcher le morceau : « Comme nous sommes éliminés tant en coupe d’Europe que de Belgique, nous allons nous concentrer au maximum sur le championnat. » Les Liégeoises devront donc s’accrocher… En 2e Régionale A masculine, on n’est guère plus rassuré pour des Visétois devant mettre le cap (s. 21 h) sur Ixelles (avec Nathan Hervelle). « Après s’être payé des pointures comme Aubel et Ans, on vise clairement les playoffs », prévient Olivier Goossens, le mentor de la capitale. Samedi à 18 h, on aura droit à un derby d’arrondissement sentant bon le terroir. Où quand Waremme D (antépénultième en P4 D) offre l’hospitalité à son voisin hutois pointant en avant-dernière position. Ambiance hesbignonne garantie !

Finales provinciales : le programme

Le CP a communiqué le programme des finales de la coupe provinciale qui auront lieu, les 31 janvier et 1er février prochains, au Paire. Samedi : 9 h 30, Aywaille – BC Verviers (U18G) ; 11 h 15, Belleflamme – Herve/Battice (U15F) ; 14 h 00, Aywaille – BC Verviers (U14G) ; 16 h 15, Ensival – Belleflamme (U21G) ; 20 h 45, Stavelot (+5) – Ensival B (messieurs). Dimanche : 10 h 00, Esneux – Hannut (U16G) ; 12 h 15, Spa – La Villersoise (U19F) ; 14 h 30, Alleur – Herve/Battice (U13F) ; 16 h 15, Spa – Alleur B (dames).

Terrains extérieurs : la « cour des filles » à Stavelot

Le cliché d’hier a mis vos méninges en ébullition. Non, il ne s’agissait par de Fayenbois, de Tilff, ni d’Esneux. La photo-mystère n°3 illustrait ce qu’il reste du premier terrain du RBC Stavelot fondé en 1952. Quelle belle année ! Il se situait dans la « cour des filles » de l’athénée local. Amusant, une des raquettes se trouvait au pied des pruniers de la ferme Leduc et, à la saison, les fruits tombaient sur l’aire de jeu. Tout aussi anecdotique, le hall omnisports des Bressaix a été inauguré en 83 et a été de suite utilisé par Francorchamps (P1). En revanche, les « Blancs Moussis » ont continué quelques temps encore évoluer sous leurs pruniers…

La télé crève l’écran

Vendredi : Panathinaikos – ASVEL (20 h 30, RMC Sport 2) ; Hornets – Bucks (21 h, Eleven Sports 2, à Paris). Samedi : Boulogne/Levallois – Monaco (20 h 30, RMC Sport 2), Jazz – Mavericks (23 h, Eleven Sports 2). Dimanche : Limburg United – Anvers (15 h, Eén) ; Cholet – ASVEL (16 h, RMC Sport 2).

Michel CHRISTIANE

Crédit photo: Christopher Roxs

Passe de deux et top 6 pour Sprimont et Comblain?

Sprimont et Comblain seront sur le pont ce vendredi avec de beaux défis et des perspectives réjouissantes en ligne de mire.

Le week-end dernier, Sprimont a sans doute livré son meilleur troisième quart de l’année, provoquant une telle frustration chez les partisans de Waterloo que le match fut interrompu par les arbitres, les Carriers récupérant – comme le veut le règlement – la victoire sur tapis vert. Une victoire méritée pour Hertay et ses coéquipiers qui menaient allègrement au tableau d’affichage quand l’arbitre décida de siffler la fin de la récréation. Ce vendredi, les troupes de Vincent Degives reçoivent Malines. Si les Kangourous n’épatent pas par leur classement – avant-derniers avec Anderlecht – actuel, ils sortent d’une victoire aussi surprenante qu’importante à Esneux. Méfiance sera le mot d’ordre de Sprimont – dont Jérôme Jacquemin sera le prochain entraineur – qui a un beau coup à jouer et peut viser la quatrième place de la série.

Comblain sort d’une victoire éclatante – dans la manière et dans les chiffres – sur Neufchâteau et abordera le court déplacement à Hasselt avec confiance. Le Mailleux affiche une belle stabilité, de nombreux joueurs de l’équipe étant déjà confirmés pour la prochaine saison. Dans le Limbourg, les troupes de Mike Bodson – qui reprendra Sainte Walburge la saison prochaine – peuvent venger Belleflamme et empocher une seconde victoire de rang pour se rapprocher des portes du Top 5.

« Pas une si grande révolution, l’objectif reste le titre »

Après deux semaines mouvementées en interne, les Wawas retrouveront les parquets ce samedi avec un derby contre Huy et Lionel Bosco, futur coach de la R1 de Waremme.

Waremme a défrayé la chronique ces derniers jours, entre l’annonce du rapprochement avec Liège Basket, la non-prolongation du contrat de Mike De Keyser pour la prochaine saison et la saga – partira, partira pas? – autour de Nicolas Gerads. « La sérénité est bien présente dans l’équipe et le club. Il y a eu beaucoup de bruit autour de ce partenariat avec Liège mais, au final, le seul changement c’est qu’il y aura des joueurs en double affiliation dans notre R1. Ce n’est donc pas une si grande révolution comme nous avons pu le lire! Pour nous, l’objectif reste toujours le titre!« , s’exclame d’emblée Stefan Germay en mettant les points sur les « i ».

Au repos le week-end dernier (le derby à Tilff étant remporté au premier février pour la fête du matricule 97), les Wawas reprendront par un derby contre Huy, une formation dirigée par Lionel Bosco, adjoint de Sacha Massot à Liège et futur entraineur de la R1 de Waremme. « Nous avons eu de bons entrainements après notre week-end off. Nous nous sommes ressourcés et sommes prêts pour aborder ce derby et le dur mois de février qui nous attend » nous précise l’expérimenté joueur local. « Comme d’habitude, nous devrons limiter offensivement notre adversaire et dominer avec notre physique et notre expérience.« 

Cette rencontre marquera aussi les retrouvailles de Romain Machiroux avec son ancienne équipe. Cela aurait également pu être le cas pour Arnaud Bondue mais le bondissant intérieur a été fauché en plein vol et sa carrière est fortement compromise.

« Jacobs a bien repris le groupe en main »

Ce vendredi, Martin Francoeur et Saint-Louis reçoivent l’excellente équipe de Ciney. Interview.

Martin, n’est-ce pas trop difficile de concilier examens et basket en ce mois de janvier?

Si, c’est difficile pour moi comme pour tous les étudiants. J’ai raté plusieurs entrainements et je me rends bien compte que je n’ai pas encore retrouvé une forme optimale depuis la trêve. Je suis en stage à Louvain-la-Neuve toute cette semaine avec l’école, cela n’arrange pas les choses! Le rythme normal reprendra la semaine prochaine.

Comment le groupe a-t-il réagi au changement d’entraineur opéré durant la trêve?

Dominique Jacobs a bien repris le groupe en main, les deux dernières victoires ont bien fait baisser la pression. J’ai l’impression que les joueurs se sentent bien et qu’il n’y a pas d’état d’âme par rapport à ce changement.

C’est Ciney qui débarque ce vendredi.

Je m’attends à un match difficile, cette équipe n’est pas dans le top pour rien. Nous devrons contrôler le pivot Maillard, qui est certainement l’un des meilleurs intérieurs de la série. Et il nous faudra aussi confirmer les progrès défensifs entrevus lors des matchs contre Cointe et Atlas.

« Retrouver notre jeu d’équipe »

Ce vendredi, Mayron Wilkin et Verviers reçoivent Gistel, une très jeune formation également.

La jeunesse sera au rendez-vous ce vendredi dans la cité lainière, Saint Mich’ recevant Gistel, équipe satellite d’Ostende. « Un match difficile comme tous ceux que nous jouons depuis le début de saison » prédit Mayron Wilkin. « Il va falloir nous concentrer sur nous, notre manière de jouer et la mentalité que nous devons afficher. Il faudra aussi retrouver un jeu d’équipe afin de compliquer le travail défensif de notre adversaire. »