« Une victoire importante mais pas une belle victoire »

Il y avait du suspens pour Cointe et Saint-Louis ce week-end avec un dénouement heureux pour les Collégiens et malheureux pour les Grenouilles défaites à Neuville. Revers également pour LAAJ et Haut-Pré.

A Neuville, Cointe démarrait parfaitement la rencontre sous l’impulsion de Maxime Princen, très précis avec 13 points à cinq sur six aux tirs. Après dix minutes, les Grenouilles menaient 12 à 24. Les locaux réagissaient alors que l’adresse de Cointe commençait à chuter. A la pause, c’était 33-38.

La reprise était équilibrée, les visiteurs parvenant à contenir Sumkay (14 points) et compagnie. A la demi-heure, c’était 46-53. Dans la dernière ligne droite, Mottard (15 pions) et ses partenaires collaient un sept à zéro aux Cointois pour passer devant mais ceux-ci s’arrachaient pour décrocher la prolongation, 67 partout, malgré une adresse toujours en berne, lors des cinq minutes additionnelles, le Rebond se montrait davantage réaliste et empochait ce derby 76-74

« Nous avons bien commencé ce match mais, après vingt-cinq ou trente minutes de jeu, un gros manque de réussite de notre part à distance et aux lancers a permis à Neuville de revenir dans le match » soupire Martin Henry. « Nous avons bien commencé la prolongation en prenant trois points d’avance mais, encore une fois, nous ne mettions rien de loin et, quand nous parvenions à obtenir des fautes sous le panier, nous ne marquions pas nos lancers. »

« C’est une victoire importante mais pas une belle victoire » nuance pour sa part Maxime Herbeto. « Nous avons encore très mal commencé et, heureusement, cette fois, nous n’avons pas attendu la mi-temps pour réagir. La différence s’est faite dans la hargne et les maitrise des nerfs. Je n’ai pas dû le dire souvent ça (rires)!« 

Saint-Louis victorieux, LAAJ et Haut-Pré tombent trop courts

Emmenés par un Romain Hamaide létal à distance (7 triples pour 21 points), les Collégiens se sont imposés à Quaregnon par le plus petit des écarts: 65-66. Passé devant grâce à un excellent second quart défensif, Saint-Louis n’allait pas craquer et montrer un remarquable jusqu’au boutisme.

Les jeunes d’Atlas aussi ont fait preuve de jusqu’au boutisme aussi face à Loyers mais n’ont pas réussi à créer l’exploit et se sont inclinés 78-63. Défaite également pour Haut-Pré (R2) à Jette, 91-82.

De Liège Basket Magazine à Liège and Basketball

Le dernier carnet de l’année sortira quelque peu des sentiers habituels et se dirigera en direction des différents magazines « basket » qu’a compté notre bondissante Principauté. Faut-il préciser qu’à chaque fois, je faisais partie d’aventures aussi chaotiques que passionnantes ?

Le Moniteur du 28 août 1980 annonce la création d’une a.s.b.l. intitulée « Liège Basket Magazine ». Une initiative d’un groupe de basketteurs du cru où personne n’est trentenaire. On y retrouve pêle-mêle Jean-Luc Flagothier, Ben André, Michel Arets, André Tisserant, André Delhaye, Martine Laval, Michele Pissart, Yves Louwart, Yves Mandiaux, Philippe Rondia, Michel Vigand, Alain Moulard, Paul Rambeaux, Denis Esser, ou encore, Christian Francoeur. Si j’en oublie, ils voudront bien m’en excuser. On se partage les séries et nos réunions se tiennent à l’étage d’un bistrot de la rue Grétry. Dans un souci d’économie, nous assurons nous-mêmes la distribution chez les libraires acceptant un mensuel ne payant pas de mine. Un de ses points forts est sans conteste « Le Beau Maurice » (LBM), un anti-héros croqué avec talent et dérision par le regretté Dany Evrard. Un Esneutois qui tirait aussi le portrait de fines gâchettes de notre basket (voir illustration*). Je me souviens que notre meilleur secteur de vente se situait à Grivegnée où la JSG locale brillait alors en 2e Nationale. Le plus incroyable, c’est que nous sommes parvenus à tenir la distance durant six ans.

Après une période d’accalmie, je suis contacté par Philippe Wyn, alors prof de gym et correspondant au Jour Verviers, ainsi que par un de ses collègues enseignants en vue de la création d’une publication consacrée au « cuir orange ». Et c’est ainsi qu’à l’automne 1991, « Playoffs » voit le jour. Afin de mettre un maximum d’atouts dans notre jeu, nous nous réunissions tous les après-midis dans un hangar appartenant au second cité. Il se trouvait en rase campagne retinnoise avec vue imprenable sur le terril de Micheroux. A la mi-octobre, nous nous rendons à l’Open Mc Donalds (tournoi entre deux formations NBA et deux des meilleures équipes européennes) de Paris-Bercy. Où j’ai la chance de me retrouver (quasi) en tête-à-tête avec Magic Johnson, himself. Ceci dit, je n’ai pas gardé un souvenir impérissable de cette 2e tentative car j’ai sans cesse été le dindon de la farce – surtout financière – du 3e larron de la bande.

La déception est de très courte durée car, le 1er avril 1992 (et ce n’est pas un poisson), sort en librairie le luxueux « Magic Basket ». Le n°1 a Eric Struelens en couverture tout en proposant notamment un dossier sur l’évolution européenne de notre sport de prédilection, un portrait de Patrick Mutombo ainsi qu’un poster de Bill Varner, la star malinoise. Aux commandes : Francis Prégardien, un personnage haut en couleur ne laissant personne indifférent. Grâce à d’importantes rentrées publicitaires (merci Mr Somme), il intéresse au projet de réelles plumes bruxelloises (Serge Trimpont, Frédéric Larsimont) et le meilleur photographe sportif belge du moment. Dans la foulée, il décide d’éditer le magazine en flamand et me charge des traductions. Moi qui crachote plus le néerlandais que je ne le parle… En attendant, j’ajoute un second «Open Mc Donalds’ » à mon palmarès. Celui se déroulant, en 93, au stade olympique de Munich… où je remporte le gros lot d’un concours organisé par la NBA.

Si je n’ai rien à reprocher à mon inénarrable « boss », il n’en demeure pas moins que les réunions de rédaction dans sa ferme-château de Saive sont souvent homériques. Les engueulades toujours grandioses. Sans parler des bouclages tenant à un exercice de haute voltige à l’imprimerie Wagelmans, à Visé. Au total, il sortira 27 numéros. Un miracle, en soi.

Faut croire que le Grand-Ducal d’adoption ne sait pas se passer de moi. Voici une bonne année maintenant, il m’annonçait le lancement d’une parution « papier » et digitale : Sport Magazine Luxembourg. Et qu’il avait besoin de quelqu’un pour couvrir les championnats grand-ducaux de foot et de basket. Vous avez compris à quoi j’occupe une bonne partie de mes week-ends… Tout en réservant le reste de la semaine, comme de bien entendu, à « Liège and Basketball ».

Michel CHRISTIANE

· Le dessin date du 4 février 1982 et le bougre… joue toujours.

· En guise de « cadeau de fin d’année », vous trouverez, de ce mardi au lundi 24 décembre, un des « potins » qui fit la réputation de « LBM ».

Koch présent des deux côtés du terrain

Dans le match pour la seconde place en P3A, La Spéciale Aywaille a largement dominé Spa, 97-63.

Ce dimanche, La Spéciale Aywaille recevait Spa pour le match pour la deuxième place. Les Aqualiens démarraient mal la rencontre et se retrouvaient menés 1-6 après quelques minutes. Les rentrées au jeu de Van Roy (9 points), Moreau (22 points dont 5 triples) et Laval (23 points) donnaient un coup de fouet aux locaux qui recollaient au score et passaient devant, 20 à 14 après dix minutes.

Le second quart voyait Philipkin (6 points), Lété (13 unités), Gouvienne (6 pions) et leurs partenaires accroitre légèrement leur avantage pour rentrer aux vestiaires avec un viatique intéressant, 41-30. A la reprise, Aywaille enfonçait le clou et se détachait à malgré une séquence hilarante où Koch (11 points) scorait contre son camp. C’était 69-52 à la demi-heure.

Dans le dernier quart, La Spéciale continuait de produire une excellente défense et Muylkens (4 points) scellait le score à 97-63. Grâce à ce succès, Aywaille s’empare de la deuxième place de la P3A – un match de plus que la Vaillante – avec un bilan honorable de onze victoires en quatorze rencontres.

« Un match complètement différent d’une mi-temps à l’autre »

Dans le match de la mort entre Dison et Belleflamme, ce sont les locaux qui l’ont emporté 72-65, réalisant ainsi une excellente opération au classement. Gino Fortuna revient sur la victoire de sa formation qui disputera encore une rencontre capitale vendredi prochain à Sainte Walburge.

Gino, que représente cette victoire contre Belleflamme?

Elle fait du bien au moral et à la team – malgré les victoires d’autres concurrents directs (ndlr: Verviers et Spa ont aussi gagné) – et est aussi positive pour les trois points qu’elle rapporte.

Comment juges-tu votre prestation?

Ce fut un match complètement différent d’une mi-temps à l’autre. La première était parfaite, tant offensivement que défensivement et collectivement, et nous en avons profité pour prendre vingt points d’avance. La seconde était à l’opposé avec de la précipitation et de trop nombreuses balles perdues. Les Haricots sont revenus à cinq points mais nous avons géré correctement la fin de match sans trop gaspiller sur la ligne des lancers-francs.

Contrairement à d’autres, il vous restera un dernier « devoir » avant les fêtes et ce sera un nouveau match à six points.

Effectivement, nous ne sommes pas encore au repos car nous nous déplacerons vendredi à Sainte Walburge. Nous serons malheureusement en nombre minimaliste pour ce match avancé.

« Un match énorme et une belle propagande pour le public présent »

En TDM2, Pepinster a décroché une éclatante victoire contre Anvers tandis que Sprimont clôt l’année par un revers à Geel.

Dimanche, Pepinster a empoché une éclatante victoire contre Anvers, 94-62. « Nous avons réalisé un match énorme à huit -dont le jeune Mathis Hanus – à cause des différentes blessures. Tout le monde a tout donné, nous fûmes soudés devant et derrière. C’est notre meilleur match avec celui à Gembo en Coupe et celui contre Courtrai en ouverture de championnat. Nous repartons avec une victoire et la manière. Si nous jouons avec ce coeur toutes les semaines, nous pourrons envisager le second tour sereinement » s’exclame Jérôme Thelen.

Emmenés par Maucourant (24 points) qui fut bien secondé par Agapit (17 points), Nyssen (14 points) et Maréchal (14 points), les Pepins n’ont laissé aucune chance aux Anversois et menaient déjà 50-29 à la pause. « Cela nous fait beaucoup de bien de finir cette première moitié de saison par une victoire probante, la manière en prime, d’autant que Vilvorde commence à gagner aussi » embraie le pivot local. « Tout le monde fut à la hauteur du rendez-vous, nous avons étouffé Anvers en défense et eu une belle réussite en attaque. C’était une belle propagande pour le public présent avec une grosse ambiance comme il peut y en avoir à Pepinster!« 

Moins d’emphase du côté des Carriers qui se sont inclinés 83-63 à Geel. « Nous n’avons pas mis l’intensité nécessaire pour accrocher cet adversaire‘ regrette Gaetan Hertay. « Nous avons été dominés dans tous les secteurs de jeu et avons raté beaucoup trop de lay-ups.« 

A Alleur, les victoires vont aux Dames

Tant dans le choc de P1 contre Ensival samedi que le lendemain contre Maffle en Coupe AWBB, il n’a pas manqué grand chose à Alleur pour l’emporter. En R1 Dames, le matricule 1466 a terminé l’année par une victoire à Kain, 58-65, et la P1 a fait de même contre Aubel et la P2 à Comblain.

Samedi, Alleur accueillait Ensival, leader de P1, pour l’affiche du week-end. Les troupes de Damien Deblond se sont admirablement bien défendues mais sont tombées un rien trop court pour l’emporter, l’expérience des visiteurs leur offrant la victoire, 73-76. Emménés par Lozina (21 points), les All Blacks rentraient bien dans la partie pour mener 22-21 après dix minutes. Walraff (18 points), Castagne (17 unités) et leurs coéquipiers profitaient des dix suivantes pour faire passer Ensival devant, 38-39.

Au retour des vestiaires, Ensival augmentait légèrement son viatique pour prendre quatre points d’avance avant la dernière ligne droite. Dallenogare (14 points), Carbonari (15 unités) et les jeunes pousses locales n’abdiquaient pas mais ne parvenaient pas à émerger malgré une superbe combativité.

Le lendemain, sans doute émoussés par les efforts de la veille, les Alleurois se sont fait surprendre par la P1 de Maffle en Coupe AWBB. Un revers 75-81 qui marque la fin de l’aventure du matricule 1466 dans la compétition. En P2, Alleur s’est incliné 67-80 contre Awans (le reportage complet sera publié mardi).

Les victoires vont aux Dames

Les Dames, par contre, ont connu plus de réussite. La R1 d’Alleur l’a emporté à Kain, 58-65. Une rencontre disputée sans Lola Paulus. « Cela fait deux moins que je ne joue plus, j’ai eu un arrachement osseux en interne au niveau de la cheville ainsi qu’un ligament déchiré en externe » nous explique-t-elle. « La fin du deuxième tour n’a pas été évidente pour l’équipe mais, avec cette victoire, l’important est là. » Alleur termine le premier tour à une probante cinquième place à égalité avec Namur Capitale. « Cela donne de l’enthousiasme pour la seconde partie de saison » conclut Lola.

En P1, Alleur a poursuivi sa série victorieuse en s’imposant 78-53 contre Aubel. Les Alleuroises sont idéalement positionnées en embuscade de Spa au classement. Enfin, en P2, là aussi victoire d’Alleur, 33-64 à Comblain.

« Les 41 points de Gaudoux pour l’équipe qui a fait bloc »

Contre Braine, Waremme a conclu l’année positivement. Mike De Keyser revient sur la dernière victoire de ses troupes et sur cette première moitié de championnat.

Mike, comment s’est déroulée la rencontre contre Braine?

Nous avons dominé cette rencontre dès le début même si Castor est une équipe possédant du répondant physiquement. Nous avons fait preuve d’intelligence toute la partie pour mettre nos adversaires en difficulté, notamment sous l’anneau. Nous avons laissé néanmoins trop d’espaces pour de petits shoots à mi-distance en première mi-temps.

C’était 47-40 à la pause et vous vous êtes finalement imposés 96-72.

A la reprise, nous avons fait preuve d’une agressivité offensive supérieure et mis davantage de rythme. Cela a asphyxié au fur et à mesure les visiteurs.

Qu’est-ce qui a fait la différence en votre faveur dans cette rencontre?

Le respect des consignes, notre rigueur et notre rythme élevé nous ont bien aidés ainsi que les 41 points de Gaudoux, évidemment. Mais je tiens à signaler que toute l’équipe de Waremme a fait bloc et poursuivi le même objectif.

Quel bilan dresses-tu de cette première moitié de championnat?

Avec seulement deux défaites, dans les circonstances que l’on connait, c’est un très bon bilan pour l’équipe. Il faut désormais rester focus sur l’objectif des Playoffs et, surtout, que l’on nous envoie une bonne étoile afin que j’arrête de perdre des joueurs pour blessure(s).


« Muller précis derrière l’arc »

Si Hannut ne pouvait guère sourire à l’issue de la réception de Saint-Louis, c’est tout l’inverse pour Bellaire qui a décroché une superbe victoire contre Welkenraedt et finit ainsi l’année en trombe.

Vendredi, Hannut a sombré contre Saint-Louis. L’affiche du week-end a accouché d’une souris, les Collégiens l’emportant largement, 66-88. « Nous avions bien commencé la partie, tout comme Saint-Louis qui menait 22-24 à l’issue de premier quart » nous confie Virgile Materne. « Dans le deuxième quart, les Collégiens ont pris l’ascendant, notamment grâce à la précision de Muller derrière l’arc. »

Les Hesbignons se retrouvaient à douze longueurs des troupes de Marc Demoulin à la pause. « Le reste de la rencontre, ce fut un peu du yo-yo avant que nous ne nous écroulions à quatre ou cinq minutes du terme » continue le meneur d’Hannut. « Saint-Louis avait plus d’envie que nous et cela a payé. Les Collégiens ont mieux joué que nous et dispose d’une très belle équipe! Chapeau à eux.« 

Welkenraedt souffre toujours à l’extérieur

Samedi, le duel des promus entre Bellaire et Welkenraedt – qui s’affrontaient encore en P2 la saison dernière – a cette fois tourné à l’avantage des locaux. « Un match en demi-teinte avec un excellent premier quart et un très mauvais début de second dans lequel nous restons aphones durant quatre minutes » nous explique Gael Colson. « La deuxième période ne fut pas top au niveau offensif mais nous sommes parvenus à limiter Welkenraedt à soixante-huit points, ce qui est pas mal du tout!« 

Un résultat positif qui confirme le regain de forme des Blue Rabbits qui opèrent une belle remontée au classement. « Finir l’année ainsi et par un trois sur trois fait plaisir avant cette trêve qui va faire du bien à tout le monde » conclut le jeune coach.

« L’organisation hebdomadaire va changer »

A Vieux Campinaire, Liège a coulé, 80-66. Un revers qui fait tache pour les Principautaires.

Ce samedi, Liège se rendait à Vieux Campinaire. Une rencontre a priori déséquilibrée entre des Principautaires bourrés de talent et des locaux pas franchement des foudres de guerre. Pourtant, la défaite était sans appel pour les troupes de Jérôme Jacquemin. « Nous ne fûmes pas assez durs en défense, surtout dans le premier quart » analyse le mentor liégeois. « Nous avons raté douze lancers-francs et shooté à trois sur dix-neuf derrière l’arc et à trois sur dix-huit à deux points hors raquette. Nous n’avons pris que neuf rebonds offensifs alors qu’avec autant de ratés, il y en avait à prendre. En face, les locaux ont affiché une réussite impressionnante. La victoire de Vieux Campinaire est clairement méritée. »

Un revers qui peut s’expliquer par le manque de vécu collectif du groupe, perturbé par les circonstances particulières de la D1 cette année et qui est finalement le reflet d’un premier tour assez décevant. « Nous nous entrainons une fois par semaine et ce n’est facile de former un groupe dans ces conditions » nous explique Jérôme. « Néanmoins, il est prévu que l’organisation hebdomadaire change dès la semaine prochaine. Deux entrainements D1 auxquels participeront tous mes joueurs seront décalés en soirée. C’est plutôt encourageant pour la suite. »

« Comme des requins sur tous les ballons »

A domicile, Sainte Walburge a parfaitement réagi lors de la venue de Waterloo en livrant une prestation aboutie conclue par une victoire 73-69. Jean-Pierre Darmont débriefe cette rencontre pour Liège & Basketball et évoque les prochaines échéances des Sang et Marine.

Jipé, comment s’est déroulée cette rencontre contre Waterloo?

Elle s’est super bien déroulée. Nous avons joué notre meilleur match depuis le début de saison face à une formation de Waterloo qui est, selon moi, l’équipe la plus complète de la série.

Qu’est-ce qui a fait pencher la balance en votre faveur?

La différence s’est faite grâce à notre défense. Nous étions sur tous les ballons comme des requins et, en attaque, nous avons joué en équipe, ce qui fait plaisir.

Les fêtes approchent mais avant, un derby aura lieu.

Exact, nous jouerons Cointe samedi pour le dernier match du premier tour. Il faudra continuer sur la lancée de ce week-end pour terminer en beauté et pouvoir manger tranquille pendant les fêtes de fin d’année (rires). De plus, la naissance de ma fille aura lieu vendredi, j’aurai donc à coeur de gagner pour elle.