« La montée et le doublé Coupe/championnat! »

Marc Jacot et l’Etoile Jupille réalisent un début de saison époustouflant. Les « Etoilés » ne s’en cachent pas, leurs ambitions sont élevées. A Sainte Walburge samedi, le groupe de Michel Nihon devra confirmer son excellent état de forme.

Impossible de passer à côté, l’Etoile Jupille réalise un excellent début de saison, dans les chiffres et dans la manière. « Notre début de championnat est, pour le moment, très positif » sourit Marc Jacot. « Nous avons eu la chance d’avoir plusieurs matchs avec une grosse intensité contre des R2 et R1 en Coupe AWBB et nous avons gardé ce rythme pour les rencontres de championnat.« 

Face à Spa, notamment, la force de frappe de l’Etoile a subjugué les observateurs. « Offensivement, nous avons dix joueurs qui peuvent scorer. Défensivement, nous arrivons à donner le petit plus à certains moments » analyse le polyvalent poste 4 qui ne fait pas dans la langue de bois pour évoquer les ambitions de sa formation. « Nous ne nous cachons pas: notre objectif est clairement la montée en quatrième nationale comme dirait notre homme en forme, Adrien Bastin. Ensuite, nous voulons aussi réussir le doublé Coupe/championnat!« 

Ce samedi, les « Etoilés » retrouveront des Sang et Marine qu’ils connaissent bien. « Ce sera un match compliqué » prédit Marc. « Nous allons devoir nous passer de Grégoire et, peut-être, de Lamborelle. Il va falloir que nous répondions présents dès l’ouverture des débats.« 

Face à une équipe de Sainte Walburge toujours en rodage, les Brasseurs doivent confirmer leur excellent état de forme dans une salle qui ne leur a pas toujours porté bonheur.

« Permettre aux jeunes de briller et de se maintenir »

Sans club depuis le début de saison, Jimmy Stas s’est engagé avec Andenne. L’ancien Sang et Marine explique sa décision de rejoindre les Oursons, ses objectifs et son rôle au sein de sa nouvelle formation.

En fin de saison dernière, Jimmy Stas avait décidé de ne pas prolonger à Sainte Walburge et de prendre la direction des Etats-Unis pour un nouveau défi professionnel. Ayant finalement annulé son aventure outre-Atlantique, comme il nous l’avait expliqué, le talentueux combo-guard se retrouvait de nouveau sur le marché, totalement libre.

Il aura fallu un peu de temps à ce prolifique scoreur pour trouver un nouveau point de chute mais c’est désormais chose faite, Jimmy ayant donné son accord mardi soir pour rejoindre Andenne, formation de R1 à la recherche de sa première victoire en championnat. « J’ai choisi Andenne car ce club a bercé mon enfance avec, toujours, de bonnes équipes de jeunes » nous confie Jimmy. « J’ai été contacté par Maxence Gillet, le coach actuel. Nous avons un passé commun en équipe nationale belge U16 lorsqu’il était kiné de cette équipe. J’ai toujours eu une bonne relation avec lui, sur le terrain et en dehors. Il m’a exposé le projet de se maintenir en R1 avec de jeunes joueurs.« 

Un facteur sans doute décisif pour l’ancien joueur de Pepinster. « J’ai toujours aimé jouer avec des jeunes qui ont de l’ambition » rappelle-t-il. « J’adorerai pouvoir apporter ma petite pierre à l’édifice. La vision du club – un projet jeunes avec quelques joueurs d’expérience pour les encadrer et leur permettre d’évoluer – correspond à ce que je recherche et celle du coach concernant le jeu m’a également plu. Il connait ce sport et prône un basket moderne que j’apprécie jouer. »

Le maintien et une vision globale

Avec trois revers au compteur, le début de saison d’Andenne est délicat. « Le challenge est de taille. La R1 me semble plus faible mais davantage équilibrée que l’an dernier. Cela va forcément nous amener à disputer chaque match a fond » analyse Jimmy. « Je n’aurais pas signé si je ne pensais pas que l’équipe est capable de se maintenir, ce qui est l’objectif premier du club. Il faudra décrocher ce maintien le plus rapidement possible et cela risque d’être tendu jusqu’au bout vu l’homogénéité de la série. »

Malgré les débuts loupés, les Namurois restent focus et solidaires. « J’ai senti l’équipe concernée et je pense que nous sommes capables de nous sauver. Cela passera par une grosse solidarité et un énorme engagement de chacun lors de chaque prestation. Mon rôle sera de permettre aux jeunes de briller et de se maintenir en apportant mon expérience, sur le parquet et en dehors » poursuit l’ancien Sang et Marine. « Nous sommes tous concernés. Les dirigeants du club ont fait un effort en reprenant le matricule de Mazy pour permettre aux jeunes de pouvoir évoluer dans une telle division. C’est à nous de leur rendre la pareille et de leur montrer qu’ils ne se sont pas trompés en misant sur la jeunesse.« 

Une notion qui touche particulièrement celui qui n’a finalement que 26 ans malgré sa déjà grande expérience. « Faire confiance aux jeunes, cela devient trop rare » regrette Jimmy. « Des équipes se composent avec un gros budget mais avec quel avenir à moyer/court terme? Nous devons retrouver des jeunes dans les équipes premières pour permettre le développement du basket belge. »

Une D1 en ligne de mire

Ce mercredi, Ninane reçoit Oxaco en Coupe de Belgique avec, en cas de victoire, un prochain tour contre une D1.

Auteurs d’un excellent parcours en Coupe de Belgique et de très bons débuts en championnat, les Calidifontains rassurent et impressionnent. Si les automatismes ne sont logiquement pas encore au zénith, la combativité, la fougue et l’envie de Ninane séduisent.

Ce mercredi, le groupe d’Yvan Fassotte recevra Oxaco, solide formation de TDM1. Les Flamands ont battu Belleflamme par deux fois au tour précédent. « C’est une très bonne équipe, rapide en transition et complète à tous les postes » nous informe Alex Walewyns. « Ces adversaires nous avaient aussi punis à trois points dès qu’ils disposaient de plus de cinquante centimètres pour armer.« 

Une rencontre pas si anodine que cela car, en cas de victoire, le matricule 1200 devrait recevoir une formation de D1. Un duel qui serait à coup sûr un grand moment pour Colette – ancien meneur de Liège Basket – et ses partenaires ainsi que pour tout le club qui se souvient encore des rencontres contre Bree et Pepinster devant un public nombreux et bruyant. Des moments d’anthologie qu’aimeraient sans doute revivre les sympathisants du BC.

« En basket, on n’arrive à rien sans le collectif »

Passé par l’Union Liège, Liège Basket et le Spirou, Alexandre Aerts défend désormais les couleurs de LAAJ. Liège & Basketball vous fait découvrir cette nouvelle pépite liégeoise.

Alexandre Aerts a commencé le basket dès l’âge de quatre ans à l’Union Liège, un club qui a vu passer plusieurs talents générationnels dont son grand frère William Robeyns qui fait figure – comme Stephen Curry – de modèle à ses yeux. « Il joue au Brussels et commence à atteindre ses objectifs alors qu’il y a dix ans personne ne croyait en lui.« 

A douze ans, Alex prend la direction de Liège Basket où il restera cinq saisons avant de partir au centre de formation du Spirou Basket, en U18. « La saison que j’ai passée au Spirou et la finale de coupe gagnée avec ce club font partie de mes meilleurs souvenirs en jeunes » sourit-il.

Désormais, le jeune étudiant à Beeckman évolue à LAAJ en U21 et fait partie du groupe R1. « C’est un club qui laisse l’opportunité aux jeunes de s’exprimer dans les catégories seniors, ce qui n’est pas le cas partout » nous précise-t-il avant d’évoquer le début son début de saison avec Atlas. « Ce fut assez compliqué car c’est un nouveau club pour moi et c’est la première fois que je joue à un niveau aussi élevé en hommes.« 

Le collectif en priorité

Pour celui qui apprécie la lecture et jouer à la PS4, la notion d’équipe prime sur le reste. « J’adore les sports collectifs et ce qui est bien dans le basket, c’est qu’on n’arrive à rien sans le collectif » assure Alexandre. « Avec LAAJ, nous allons tenter d’aller chercher un maximum de victoires et de prendre le plus de plaisir possible sur le terrain. Malgré la jeunesse de notre équipe, je suis persuadé que nous avons une carte à jouer en première régionale. »

En basketteur de son temps, le Liégeois apprécie créer du jeu mais ne dédaigne pas de se dépouiller dans sa partie de terrain. « Je suis un passionné du « un contre un », que cela soit pour aller marquer ou créer pour les autres. Je crois que c’est mon atout premier… Et je n’ai pas un mauvais shoot à distance » détaille-t-il avant de conclure dans un grand éclat de rire: « Depuis deux saisons, je commence à jouer des deux côtés du terrain!« 




« Olivier Renotte a pris un nombre incalculable de rebonds »

Ce weekend, Verlaine a écrasé Blegny dans le duel des invaincus et trône désormais en tête de la P3B en compagnie Wanze et la Villersoise.

Ce weekend, tant Wanze que La Villersoise ont conservé leur brevet d’invincibilité. Les Sucriers l’ont emporté 84-76 contre Saint-Louis tandis que Villers faisait de même, 74-71, contre les promus de Bellaire.

L’affiche de cette troisième journée de championnat était la rencontre entre Blegny et Verlaine, deux formations invaincues au moment de s’affronter. Ce choc a tourné court, le groupe de Jérôme Louwette étrillant les locaux 38-67. « Pourtant, la partie était loin d’être gagnée car nous comptions quatre absents » nous précise Xavier Maleux. « Mais les sept joueurs présents furent sérieux et solidaires en défense alors qu’Olivier Renotte a pris un nombre incalculable de rebonds, sans doute plus de trente. Nous étions également satisfaits d’avoir pu laisser Johan Noel au repos.« 

Parmi les autres résultats du weekend en P3B, notons les premières victoires de Ninane à Harimalia, de Dison à Spa et de Pepinster à Haneffe.

« Nous attendions avec impatience cette première victoire »

Ce weekend, Harimalia -coaché par l’ancien entraineur des Aqualiens – et le 4A Aywaille ont décroché leur première victoire de la saison en P2B. Une série toujours dominée par Tilff, US Awans, Union Liège et Saint-Louis qui restent invaincus.

Tant Harimalia que le 4A Aywaille ont démarré leur saison par deux revers. Ce n’est pas le seul point commun de ces deux équipes qui possèdent d’excellents intérieurs. En effet, le nouvel entraineur des Abeilles n’est autre qu’Alain Demarteau, l’ex-coach des Aqualiens. Des Aqualiens qui ont profité de la venu d’Hannut pour décrocher leur première victoire de la saison, 76-57. « Notre adversaire n’était pas au complet » nous précise Yorick Godin. « Nous avons su imposer notre rythme et nous avons enfin trouvé les bonnes solutions en attaque tout en restant soudé en défense. Un match plein de toute l’équipe, cela fait plaisir.« 

Satisfaction aussi du côté d’Harimalia après la victoire 72-54 contre Atlas. « Cette première victoire fait vraiment du bien. Nous l’attendions tous avec impatience, surtout après avoir perdu de trois points notre première rencontre et d’une unité la seconde » souffle Julien Halleux. « Nos shoots sont enfin rentrés en seconde période alors que nous étions menés de quatre points. Cela nous a permis de faire la différence, tout comme notre défense. Un dénouement heureux qui n’était pas assuré d’avance car, tout comme nous, notre adversaire était en quête de sa première victoire. »

Deux résultats positifs qui permettent à Aywaille et Harimalia de se replacer dans le ventre mou de la P2B. Une série dominée par l’Union Liège, vainqueur de Huy 57-47, Saint-Louis, qui s’est imposé à Wanze 68-74, US Awans qui a remporté son derby contre le RBC Awans et par Tilff qui s’est imposé d’un cheveux à Cointe, 51-53. « La pièce ne tombera pas toujours du bon côté » prévient Yannis Bouvier satisfait de la réaction de ses troupes après une première mi-temps en demi-teinte. « Grosse satisfaction quand même: nous avons réussi à museler parfaitement Mehdi Ben Brahim qui était absent car en weekend à la mer (rires).« 

« C’est libérateur »

A Malines, au sein d’une équipe de VOO Liège Basket 100% belge, Justin Kohajda a brillé. L’intérieur liégeois revient sur sa prestation et cette positive première rencontre de championnat.

Justin, comment t’es-tu senti pour ce premier match de championnat et ce retour sous le maillot de Liège Basket?

Cela m’a fait beaucoup de bien d’être si longtemps sur le terrain. Cela n’était plus arrivé depuis très longtemps et c’est libérateur au niveau de l’esprit!

Qu’as-tu pensé de votre prestation?

Nous nous sommes battus. Nous voulions montrer à la Belgique que même si nous ne sommes « que » des Belges, il faut nous respecter. Malheureusement, nous nous sommes écroulés dans les trois dernières minutes. C’est trop bête mais c’est aussi encourageant pour le futur car nous avons montré de belles choses pendant trente-sept minutes!

Que vous a-t-il manqué pour l’emporter à Malines?

Nous avons manqué de constance, notamment dans le deuxième quart et en fin de partie. Mais, encore une fois, ce résultat est très positif et encourageant pour le futur. Moi, cela me donne encore plus de force pour aborder les prochains matchs et je suis persuadé que c’est pareil pour mes coéquipiers.

Crédit photo: Philippe Collin

« J’ai des filles exceptionnelles à mes côtés »

Ce mercredi, Liège & Basketball vous emmène à la découverte d’Elsa Lejoncq. Cette jeune talent de la R2 de Tilff revient sur son parcours, son équipe, son club, son style de jeu et les atouts du basket féminin . Entretien fleuve avec une passionnée.

Elsa, peux-tu nous retracer ton parcours basket?

J’ai commencé le basket dès mon plus jeune âge à Andrimont, ma mère, ma soeur ainsi que mon frère y jouaient déjà. Je les ai toujours suivis, et je suis toujours mon frère alors que ma soeur m’a rejointe à Tilff cette année. Après Andrimont, j’ai passé six saisons à Ensival. J’ai toujours évolué une catégorie au-dessus de la mienne et je me rappelle d’une année où nous avons été championnes en minimes avec Michel Derouaux comme entraineur. A Ensival, toujours, j’ai eu Justine Stoffels comme coach pendant quatre de mes six années au club, elle m’a énormément appris! Je l’ai d’ailleurs suivie à Pepinster où j’ai pu évoluer en jeunes régionales pendant deux ans. A quinze ans, j’ai été contactée par Blegny pour y jouer avec la P2, les U16 régionales et les U18 régionales.

Mais là, patatras! Tu subis un grosse blessure.

Oui, malheureusement je me suis fracturé la cheville en octobre 2017. Après ma revalidation, j’ai joué avec la P1 et la P2 dames ainsi qu’avec les U16 régionales.

Et c’est alors que tu croises la route de Tilff.

Oui, mon dernier match P2 avec Blegny avait lieu à Tilff. Après la rencontre, Xavier Pirlot (le coach des Poraises) est venu me parler et m’a proposé de participer à un entrainement, puis à un deuxième… J’ai finalement décidé de rejoindre le matricule 97. J’y entame ma deuxième année et je compte bien y rester.

Qu’apprécies-tu dans ce club?

J’adore l’ambiance très familiale qui y règne. Malgré les grandes différences d’âge, tout le monde s’entend bien. J’ai des filles exceptionnelles à mes côtés. Elles ont évolué à un très bon niveau mais restent très compréhensives et nous expliquent nos erreurs. Pour une jeune joueuse, c’est fondamental. Nous avons aussi un coach particulièrement dévoué à l’équipe et au club. Il est toujours derrière nous et à l’écoute. De plus, beaucoup d’autres personnes – comme notre Présidente, notre Secrétaire, les bénévoles – contribuent au bon fonctionnement du club et au bon déroulement de ses activités.

« Laure Résimont est un modèle à suivre »

Quels sont vos objectifs cette saison en R2?

Durant notre bénéfique team building, nous avons discuté de nos objectifs, de ce que nous voulions accomplir. Nous voulons terminer au minimum dans le top 4 cette année et, pour ce qui est de la suite, nous verrons au fil de la saison. Nous allons faire de notre mieux, c’est une certitude!

Quel regard poses-tu sur votre début de saison?

Nous avons gagné notre premier match de championnat (ndlr: cet entretien a eu lieu avant la seconde victoire de Tilff, 65-62 contre Bouge) de quarante-cinq points face à Genappe. Tout le monde a contribué à cette victoire malgré une absence ainsi que la blessure de notre capitaine. C’était un super match, plein d’intensité et d’envie. Nous espérons continuer dans cette voie.

Revenons un peu à toi. Quelle genre de joueuse es-tu?

Je pense être assez complète. J’ai toujours joué meneuse ou ailière grâce à mon shoot. J’ai beaucoup de « technique » mais je ne m’en sers pas assez. Je suis assez collective et j’aime faire les bonnes passes aux bons moments. Par contre, je manque cruellement de vivacité. Mais c’est un aspect sur lequel nous travaillons.

As-tu des modèles qui t’inspirent?

Mon modèle est Laure Résimont. Elle est jeune et très talentueuse. J’aime beaucoup sa façon de jouer et de voir le basket.

« Le basket féminin possède de nombreux atouts »

Justement, qu’est-ce que tu affectionnes tout particulièrement dans ce sport?

C’est un sport extrêmement complet, physiquement et mentalement. Il faut avoir une certaine vision du jeu… C’est également un sport d’équipe. J’aime le contact avec les gens et surtout avec des filles que j’apprécie. Le côté indécis est également attractif. Chaque match est à jouer, rien n’est écrit d’avance, il faut toujours tout donner.

Selon toi, quels sont les points communs et les différences entre le basket féminin et masculin?

Je pense que le basket féminin est beaucoup plus technique et plus basé sur la tactique. C’est aussi un basket bien plus précis dans les passes et dans les shoots. Chez les femmes, il y a des coups perdus en douce alors que les hommes, eux, n’y vont pas par quatre chemins. Le basket masculin est aussi davantage physique et rapide.

Quels sont les atouts du basket féminin pour séduire un plus large public?

Le basket féminin a autant d’atouts que son pendant masculin. Les dames pratiquent un basket plus posé mais qui peut également être rapide en transition. Tout le monde devrait s’y intéresser et ne pas rester bloqué sur les stéréotypes véhiculés sur le basket féminin.

« Quel plaisir de retrouver le chemin de la victoire! »

Superbe weekend pour les P3 de Ninane. La P3 Dames a signé un troisième succès de rang à Dison-Andrimont alors que la P3 Hommes a décroché sa première victoire de la saison à Harimalia. Reportage.

« Elle fait du bien celle-là » s’exclame Jordan Vermierdt après la première victoire de Ninane à Harimalia, 60-72. « Ce fut serré toute la rencontre et cela s’est vraiment joué dans les dernières minutes. Notre esprit d’équipe a fait la différence, nous nous sommes tous encouragés et avons joué ensemble. »

Victoire aussi pour la P3 Dames du matricule 1200 à Dison-Andrimont, 48-69. « Notre entame de match a annihilé les velléités adverses » nous explique Sophie Martin. « Nous sommes dans une nouvelle dynamique collective amenée par de jeunes joueuses qui ont faim de basket. Nous commençons à nous trouver plus facilement, à oser prendre nos responsabilités et à produire une vitesse de jeu supérieure avec de multiples transitions. »

Un troisième succès de rang qui place les Calidifontaines en tête de la P3B après une dernière saison compliquée. « Je suis satisfaite de ce début de saison. Nous ne savions pas ce qu’allait donner cette nouvelle équipe avec un nouvel entraineur mais nous nous sommes directement bien entendues et l’esprit d’équipe fut vite présent » précise l’intérieure de Ninane. « Tant pour les nouvelles que pour les anciennes, quel plaisir de retrouver le chemin de la victoire!« 


« Travailler main dans la main avec les clubs »

Durant les congés de Toussaint, Game Time proposera à nouveau des stages qualitatifs pour les mordus de la balle orange.

Depuis quelques années, le succès des stages Game Time ne faiblit pas. Nombreux sont les jeunes basketteurs à profiter des vacances scolaires pour bosser leurs skills grâce à cette structure liégeoise. « L’objectif est de rassembler les meilleurs coachs formateurs » nous dit-on du côté de Game Time. « De plus, nous travaillons en collaboration avec deux clubs; Ans et Jupille. Notre volonté est de ne pas écraser les clubs qui bossent dur toute l’année mais bien de travailler mais dans la main avec ceux-ci. »

Les prochain stages auront lieu durant les vacances de Toussaint sur deux site – Loncin et Jupille – et réuniront le gratin des entraineurs francophones parmi lesquels Laurent François (directeur technique adjoint du Centre AWBB, Entraineur U16 Cats), Vincent Trinon (U18 AWBB), Mike Dekeyser (Waremme R2), Étienne Louvrier (Assistant Coach U20 Lions Nat).

Pour toutes informations supplémentaires, n’hésitez pas à consulter ce lien: https://www.facebook.com/gametimeactivity/posts/748687655581846