Mois : septembre 2019

Avant de recevoir Quaregnon ce dimanche, Louis Titeca passe à l’interview.

Louis, quel bilan dresses-tu de votre préparation?

Nous avons eu une longue préparation, mais nous en avions besoin car nous ne sommes que très rarement au complet avec les blessures, les entrainements D1 et les examens. Toutefois, nous avons réussi, je pense, à trouver notre rythme et notre identité pour la saison à venir.

Tu as eu l’occasion, comme d’autres jeunes, de te montrer avec la D1. Es-tu satisfait de cette opportunité?

Bien sûr, c’est toujours un plaisir de jouer avec la D1. Nous, les jeunes, avons en plus eu pas mal de temps de jeu, ce qui nous a permis de montrer de quoi nous étions capables.

Es-tu impatient d’enfin démarrer le championnat?

Oui, je suis à la fois impatient et motivé. Nous savons que nous avons une carte à jouer et que cela ne dépendra que de nous et de notre investissement sur le terrain.

Vous recevrez Quaregnon ce dimanche. Que devrez-vous faire pour vous imposer?

Il va falloir jouer juste et nous appliquer sur les points importants sur lesquels nous avons travaillé durant la préparation. Les rebonds et la justesse offensive seront deux éléments clés pour empocher les trois points.

A domicile pour ses débuts en championnat, la R1 Dames d’Alleur s’est incliné d’une courte tête, 70-73, contre Quargenon. Emilie Hertay débriefe cette première sortie.

Emilie, que vous a-t-il manqué pour l’emporter ce vendredi soir?

Je pense que nous avons manqué d’agressivité défensive alors que c’est pourtant l’une de nos forces. Quaregnon fut plus agressif que nous et a fait preuve d’une belle réussite aux shoots.

Moralement, n’est-ce pas trop difficile de démarrer le championnat par un si court revers?

Nous sommes évidemment déçues de l’issue de ce match mais celui-ci nous servira de leçon. Il faut retenir que le niveau de la régionale 1 est un niveau où nous ne pouvons pas nous permettre une seule minute de flottement. Je reste cependant convaincue que chacune d’entre-nous est capable de mieux faire et que nous pouvons jouer les premières places dans cette division. Mais, pour cela, il va falloir être plus agressives, impliquées et concentrées durant la totalité des rencontres.

Pour Liège & Basketball, Mika Berger revient sur sa participation à un marathon d’obstacles et préface le derby bouillant de ce samedi contre Waremme.

Mika, c’était comment ce marathon d’obstacles?

Cela s’est super bien passé! Une vraie réussite pour mon frère et moi. L’ambiance de la course était géniale, les gens accueillants et toujours prêts à s’entraider.

Qu’est-ce qui était le plus difficile?

Les cinq derniers kilomètres. Tout le monde avait des débuts de crampes à cause de l’alternance entre les séquences aquatiques et les courses sur différents terrains. Certains obstacles étaient dignes des ninjas warriors (rires).

Et pour ce samedi, à Waremme, qu’est-ce qui sera le plus difficile?

Le plus dur sera de maitriser le rebond. Le contrôle du jeu aérien s’annonce un vrai défi avec Massot. Il faudra être solidaires derrière et jouer notre jeu en attaque. Nous n’aurons pas de pression, sauf au bar après le match (rires)!