Pourquoi ne pas rêver à une montée ?

Euro U20 garçons : pourquoi ne pas rêver à une montée ? Avec une première victoire contre la Macédoine, c’est en tout cas bien parti et les jeunes Lions peuvent enchainer ce samedi contre le Luxembourg.

C’est dès ce vendredi qu’étaient frappés les trois coups du championnat d’Europe U20 garçons division B. La compétition se déroulera à Matosinhos, au Portugal. Hier, l’équipe drivée par le duo Ibens-Louvrier s’est imposée largement contre la Macédoine 56-95 grâce à une prestation ultra-complète de Vrenz Bleijenbergh qui a compilé 8 points, 8 rebonds, 7 passes décisives, 4 interceptions et 2 blocs et une excellente prestation d’Haris Bratanovic (16 points). La suite du programme : contre le Grand-Duché (s. 17 h), la Slovénie (d. 20 h 30), et le Portugal (me. 20 h 30). A relever la sélection du trio carolo Botuli-Noterman-Samardzic. Pour une éventuelle montée en division A ?

Michel CHRISTIANE

Elan Chalon, Standard boule d’or et sandwichs américains

Ce vendredi, le Tour de France faisait escale à Chalon-sur-Saône, une ville dont les liens avec le basket liégeois sont plus nombreux qu’on ne pourrait le penser.

Sûr que les coureurs seront contents de rallier, ce vendredi, Chalon-sur-Saône. Point de chute de la plus longue étape de l’édition 19. Sur le plan « cuir orange », l’Elan local est une référence de l’élite en pouvant se targuer de deux titres (12,17) et d’autant de coupes (11, 12). On souviendra que Pierre-Antoine y joua en 17/18, mais ne fut pas toujours sur la même longueur d’onde que son bouillant coach. Autres figures bien connues ayant transité par le Colisée : AJ Slaughter (13/14, ex-Mons 11/12), ou encore, Mark McSwain (de 92 à 95 avant de débarquer en Belgique). Pour info, il a été longtemps le manager dans notre pays d’une chaîne de sandwicheries américaines. Et, pour l’anecdote, on épinglera que l’international Polonais Lopatka a été chalonnais en 75/76, mais avait défendu les couleurs du Standard Boule d’Or, en 68/69… avant de revenir coacher l’équipe liégeoise à la fin des années ’70. Il avait cependant des difficultés à se faire comprendre par ses ouailles en raison d’un important défaut de prononciation.

Michel CHRISTIANE

A qui le Tour ? Hier, une échappée à… Mulhouse

Hier, Dylan Teuns faisait briller notre drapeau national en s’imposant au sommet de la Planche des Belles Filles au terme d’une étape sublime. Une région splendide, aussi terre de basket, et qui a nourri des liens avec le basket liégeois.

La Planche des Belles Filles n’ayant évidemment pas de club de basket, focus sur Mulhouse où se situe le départ de ce jeudi. L’équipe du coin évolua au plus haut niveau hexagonal de 1988 à 1992. Elle survola, par exemple, le Tournoi des As 89. L’année dernière, on assistait à une fusion avec Pfastatt et, dans la foulée, les Alsaciens s’ouvraient les portes, au printemps 19, de la Nationale 1 sous la houlette de Jean-Luc Monschau. Auparavant, les Mulhousiens s’appuyèrent, entre autres, sur Curtis Kitchen qui fit une courte apparition à Braine, en 93. Mais, aussi, sur Ron Davis, un naturalisé français qui transita par Malines et par Quaregnon (de 96 à 98) où il eut une sérieuse altercation avec… Julien Marnegrave.

Michel CHRISTIANE

« Pas un grand courageux pour faire des visites »

Actuellement à l’étranger avec Thibaut Julémont pour débattre des dernières finales de Playoffs de première régionale, Alexandre Bousmanne nous parle de sa préparation estivale et de ses souvenirs de vacances.

Alex, c’est quoi pour toi des vacances idéales?

Du repos complet, une piscine ou la plage avec quand même un peu de sport pour éviter de prendre dix kilos sur une semaine. Cela peut être entre amis, comme cette année où je passe mes vacances avec Titi Julémont pour débattre des finales, soit en couple. Mais je ne suis pas un grand courageux pour faire des visites. Dans ce cas-là, autant partir en city trip.

Quel est ton meilleur souvenir de vacances?

J’ai évidemment mille excellents souvenirs, ce serait compliqué d’isoler un moment par rapport à un autre.

Le lieu visité qui t’a laissé la plus forte impression?

Je n’ai pas fait énormément de voyages longs courriers mais j’ai particulièrement apprécié le Canada et les USA… Ma ville préférée reste Barcelone où je me suis déjà rendu à quatre reprises.

En vacances, tu tapes un peu la balle?

Pas de repos non. J’ai hâte de revenir à mon niveau après avoir été trop spectateur à mon goût des finales de Playoffs contre Pepinster. Je vais donc shooter une ou deux fois par semaine et je vais jouer entre amis de temps en temps…. Je vais aussi courir et j’ai un abonnement à une salle… Mais cela me permet surtout de continuer à boire mille bières l’été sans prendre de poids.

« Le niveau provincial devient vraiment très costaud! »

Le bilan de la dernière saison, les moments forts et déceptions, le niveau de la troisième provinciale, le remaniement d’effectif et le changement d’entraineur: autant de sujets abordés par Antoine Porcu pour Liège & Basketball.

Arnaud, quel bilan fais-tu de la saison écoulée?

C’est un bilan un peu négatif par apport à notre excellent premier tour. Nous étions dans les cinq premiers du classement mais, malheureusement, vu le nombre élevé de blessés sérieux, les absences pour le travail et les arrêts, nous avons fini la saison à six ou sept joueurs sur un effectif de treize au départ.

Quels regrets nourris-tu?

Je reviens sur cet effectif décimé, que ce soit les blessures longue durée de thomas Lahaye ou de mon frère. Mais, le plus navrant, ce furent les arrêts de certains joueurs comme Cédric Dethioux – qui nous a amené de belles choses pour le titre l’an passé – ou les jeunes Loic et valentin! Quand on est capitaine, on se dit qu’on a raté quelque chose à un moment…

Quels moments forts garderas-tu en mémoire?

Je pourrai choisir les lancers-francs « old school » de Thomas villanucci, les pas chaloupés de Thom rondoz, le physique de Marc Invidia, les trois points des frères Albert et, à titre personnel, mon buzzer beater à Harimalia. Cependant, les plus beaux moments resteront les sourires dans les buvettes après les matchs ou entrainements, la fête à Aywaille alors que nous n’avions pas joué ou le petit buffet-apéro concocté par mon père pour la venue d’Harimalia.

Champions invaincus en P4 la saison précédente, qu’as-tu pensé du niveau de la troisième provinciale?

J’ai trouvé le niveau de notre série très élevé. Awans était costaud dans tous les domaines, La Villersoise et Alleur jouaient un beau basket, sans oublier des équipes comme Ninane où la jeunesse est  seulement battue par le manque de physique et d’expérience. Mais cette team sera vite à niveau. On rencontre de plus en plus de joueurs d’expérience qui n’ont plus envie de se déplacer en nationale et le niveau provincial de P1 à P3 devient très costaud !

Votre effectif sera considérablement remanié pour la prochaine saison.

En effet, nous allons repartir avec un groupe remanié avec plusieurs arrivées. Nous accueillons trois jeunes avec un potentiel intéressant: Bastien un meneur qui vient de l’autre P3 du club, Renaud (poste 4-5) et Antoine (2-3) qui viennent d’Henri-Chapelle. De plus, certains anciens joueurs de notre région, comme Cédric Skelton, viennent nous renforcer. Il faudra bien cela pour compenser les départs de Thom Rondoz – qui part à Theux tenter l’expérience de la P2 et à qui je souhaite le meilleur – et de Simon Albert qui, après avoir aidé avec talent la P1 de Dison à se maintenir dans les dernier matchs du championnat, va rejoindre définitivement l’équipe fanion du club.

Votre coach, Gauthier Liégeois, cède aussi sa place à Jeff Fassin.

Oui et je souhaite remercier Gauthier pour ces deux années. Ce n’était pas facile à son âge d’encadrer une équipe comme la nôtre. Si la saison en P4 fut couronnée de succès, cette dernière a dû être bonne pour son apprentissage. Je lui souhaite la même réussite à Stavelot.

Euro U18 filles : nouvel échec des Belges malgré une superbe Lisowa

Les jeunes Cats sont encore passées tout près d’une belle victoire malgré une performance de choix de Lisowa.

Une fois de plus, il s’en est fallu de peu pour que nos compatriotes ne décrochent leur premier succès à Sarajevo.  En 1/8e de finale, Lisowa (30 p, 9 r) et les siennes ne s’en laissaient pas conter (25-18 au quart d’heure) avec des Hongroises (Dombai 22 p) encore menées (62-60) dans l’ultime ligne droite. Celles-ci parvenaient cependant à arracher la prolongation à 64 puis signaient un 9-19 décisif jusqu’à la 45eminute : 73-83. Bref, les Young Cats sont contraintes de disputer la poule de classement allant de la 9e à la 16e place.

Michel CHRISTIANE

« Un match avec des Français, des Russes, des Allemands et des Tunisiens »

Pour Liège & Basketball, Stefan Lantin évoque ses souvenirs de vacances où le basket n’est jamais bien loin.

« Avant l’arrivée de ma fille, les vacances idéales étaient avec ma femme, au bord d’une plage dans un pays lointain » commence Stefan Lantin. « Depuis l’arrivée de ma superbe Sophia, il s’agit surtout de passer le plus de temps possible en sa compagnie et celle de ma femme, de faire des promenades, de jouer avec la petite et de rendre visite à la famille. »

Acceptant d’ouvrir son album de vacances pour Liège & Basketball, Stefan se remémore l’Ile Maurice avec sa descente du volcan en vélo, son tour en hélicoptère et des soirées de toutes sortes. « Mes premières vacances avec ma femme, Marie, à Santorin en Grèce, occupent aussi une place à part. C’est là que avons été vraiment complices et que nous avons ensuite décidé d’emménager ensemble et de commencer une histoire qui est toujours en cours » se rappelle-t-il.

Parmi les lieux visités, l’île de Gozo, à Malte, a fait forte impression à ce passionné de la balle orange. « Une visite en bateau et une séance de plongée » se souvient-il. « La Valette, c’est comme le Carré de Liège mais sur un rocher, en pente. C’est Liège avec la chaleur en plus.« 

En vacances, Stef ne dédaigne pas taper la balle. « Et oui, toujours du basket » rigole-t-il. « En grèce, à Corfou, il y avait un superbe terrain bleu. J’ai été longtemps dessus, tôt le matin et tard le soir. J’y ai même organisé un petit match avec des résidents de l’hôtel venus d’Allemagne, de France, de Tunisie et de Russie, cela jouait pas mal.« 

Gillet change de club mais reste en Espagne

Pierre-Antoine Gillet change de club mais reste en Espagne.

Pierre-Antoine Gillet quitte Tenerife, club avec lequel il a disputé le Final Four de la Ligue des Champions, et rejoint Fuenlabrada, autre club espagnol. Un nouveau beau défi pour l’international belge.

« Un transat, un jus de fruit frais, un bon bouquin, la mer et le soleil »

Profitant de la douceur estivale de ce mois de juillet ensoleillé, Liège & Basketball a discuté « vacances » avec Nicolas Franck. Interview.

Nico, quels sont les ingrédients indispensables pour des vacances idéales?

Les vacances idéales c’est un transat, un jus de fruit frais, un bon bouquin, la mer et le soleil. J’aime le repos, la détente et la plage.

Quels sont tes meilleurs souvenirs de vacances?

J’en ai tellement. Chaque destination m’a laissé de bons souvenirs. Petit, je partais souvent en Tunisie. J’y ai adoré Port El Kantaoui. Parmi mes destinations favorites, il y a la Grèce et les Îles Canaries.

Quel lieu visité t’a laissé la plus forte impression?

Je reviens de New York où j’ai participé à un congrès d’éducation physique. A la fin du congrès, nous avons eu un peu de temps pour faire une croisière et pour visiter Manhattan. Ce n’était pas tout à fait des vacances mais j’en garde un souvenir incroyable. Ces buildings, ces lieux mythiques,… Ça fait quelque chose!

Quelle fut ta pire expérience de vacances?

Honnêtement, je n’en ai pas. J’ai toujours apprécié ces moments de détente et de farniente. A ce point de vue, je ne suis pas difficile!

Où pars-tu cet été?

Cette année, comme l’année dernière, cap sur les Îles Canaries et l’île de Gran Canaria.

Tu tapes un peu la balle en vacances?

Non, repos absolu. A l’hôtel, il y a un terrain de basket mais je lui préfère de loin la piscine.