« Nous ne boudons pas notre plaisir »


Deuxième à égalité avec Haut-Pré, Hannut livre un exercice de haute volée en première provinciale. A quelques heures de recevoir Visé, Benoit Blanchy analyse la situation des Hesbignons.


Depuis le début de saison, et encore plus depuis le début de l’année civile, Hannut épate. La bonne forme des Hesbignons se traduit par une probante deuxième place au classement, à égalité avec Haut-Pré. « Nous sommes très proches des Playoffs. Ce n’était pourtant pas un objectif que nous nous étions fixés » nous explique Benoit Blanchy. « Nous ne boudons pas notre plaisir et savourons cette saison match après match. Nous sommes hyper satisfaits du parcours effectué jusqu’ici et espérons encore engranger quelques victoires pour clore cette saison en beauté. »

Si les Playoffs ne constituent pas un objectif prioritaire, les Hesbignons -qui sont inscrits pour cette compétition- poursuivent tout de même un but bien défini. « Le seul objectif fixé par le coach était de dépasser le nombre de 14 victoires acquises l’an dernier » nous précise l’artilleur d’Hannut. « Nous y sommes presque. »

Une saison réussie qui trouve ses racines dans le collectif du groupe drivé par David Beck. « Notre grande force, c’est que chaque joueur peut apporter quelque chose de positif à l’équipe tout en jouant sans pression » analyse Benoit qui se prépare à accueillir Visé. « Les Visétois vont vendre chèrement leur peau afin d’éviter de jouer les dernières places. Nous devrons jouer comme lors de tous nos autres matchs en étant concentrés au maximum dans tous les secteurs du jeu et continuer à prendre du plaisir ensemble.« 


« Nos deux futures recrues vont nous amener du positif »


Ce vendredi, Sprimont accueille une équipe de Tongres revancharde. Pour Liège & Basketball, Steve Lenglois revient sur le revers des Carriers à Ninane, la campagne de recrutement du Point Chaud et l’affrontement de ce soir contre les Limbourgeois.


Steve, pas trop de regrets de votre défaite à Ninane vendredi dernier?

Si, quelques regrets car nous avions super bien commencé la rencontre. Mais nous nous sommes ensuite relâchés, la balle n’a plus circulé comme elle aurait dû et nous sommes retombés dans nos travers.

Sprimont a déjà bouclé sa campagne de recrutement avec les arrivées de Thibaut Boxus et de Gaetan Hertay. Que penses-tu de ces renforts?

Je les connais tous les deux et j’ai déjà joué avec chacun d’eux. Ce sont des joueurs qui vont nous amener du positif niveau basket, mais aussi en-dehors.

Ce vendredi, vous recevez Tongres, une équipe que vous avez battue dans le Limbourg.

Tongres a une revanche à prendre… Et nous, nous devons renouer avec la victoire pour bien finir cette saison. Cela annonce un bon match de basket!

Que devrez-vous faire pour vous imposer?

Nous devons calquer notre jeu sur le premier quart-temps disputé à Ninane et prolonger ce niveau de performance tout au long du match. Il faudra courir, faire circuler la balle, défendre plus dur et, surtout, ne pas nous relâcher.

« Garder confiance dans nos décisions »


Ce vendredi, la jeune P1 de Saint Louis reçoit son homologue de Spa. Une rencontre entre deux formations très proches au classement que préface Romain Hamaide, toujours précieux pour les Collégiens.


Une petite victoire sépare les Spadois des Liégeois. Une différence qui pourrait être gommé en cas de victoire des Collégiens ce vendredi soir. « Nous allons devoir réaliser le même match que le weekend dernier » prévient Romain Hamaide. « C’est à dire que nous devrons rester soudés, jouer en équipe et garder confiance dans nos décisions. »

« Nous refaisons la même équipe qu’en P2 »


Bien placé pour décrocher son ticket pour les Playoffs, l’Etoile Jupille a déjà constitué son noyau pour la prochaine saison. Un effectif qui sera peu ou prou similaire à celui que possédaient les Jupillois lors de l’année de leur doublé. A quelques heures de recevoir Belleflamme, Nathan Servais revient sur la situation des Etoilés.


Le weekend dernier, l’Etoile Jupille s’est inclinée avec les honneurs contre le Rebond Neuville lors de la première édition de la Supercoupe. « Le Rebond était au-dessus » reconnait Nathan Servais. « C’est une top équipe de R2, c’est la vie. Nous allons nous amuser un maximum pour clore notre saison en beauté par le tournoi de l’Etoile.« 

Pour recevoir Belleflamme, un joueur manquera à l’appel. « David Lamborelle est out à cause d’une blessure à l’arcade mais devrait revenir en forme la semaine prochaine » nous précise le longiligne intérieur. « Les Haricots jouent pour se sauver, il vont tout donner, ce ne sera pas évident. Je tiendrai mon ancien coéuipier, Paul.« 

La saison prochaine, l’Etoile devrai présenter un effectif sensiblement similaire à celui qu’elle possédait lors de l’année de son doublé. « Je reste à Jupille » nous informe Nathan. « Nous reformons la même équipe qu’en P2, avec simplement Séba Moray à la place de Gilles Simon (qui joue à Ciney désormais) vu que Guillaume Grégoire revient. »

« L’ADN de Neuville, c’est l’amusement »


Carton plein pour Neuville. Après avoir remporté la Supercoupe, les Neuvillois peuvent encore décrocher la Coupe AWBB et la montée en première régionale. Nicolas Paulus se penche sur la fantastique saison que vit le Rebond et nous éclaire, en toute décontraction, sur les moteurs d’un groupe aussi soudé sur le terrain qu’en-dehors.


Nicolas, qu’as-tu pensé de cette super coupe?

C’était un chouette rendez-vous pour le basket et cela fut très bien organisé. Ceci dit, je ne sais pas si c’est à cause du CP ou du sur-professionnalisme d’Ans, mais faire signer les joueurs à leur arrivée et les escorter aux vestiaires, c’était un peu excessif! (rires). Toutefois, mis à part ce moment intriguant, j’ai pris mon pied du début du match à la fermeture de la cafet. D’autant plus que nos supporters s’étaient déplacés en masse et ont donné de la voix.

Vainqueur de la Supercoupe, en finale de celle awbb et en playoffs en R2, t’attendais-tu à vivre une telle saison?

La Supercoupe, dès que nous avons appris qu’elle serait organisée, nous l’avons « targettée ». En effet, nous nous devions de prendre notre revanche sur la demi-finale de Coupe manquée la saison dernière contre l’Etoile. Remporter ce trophée fut très satisfaisant mais pas étonnant. Avec tout le mérite que peut avoir Jupille pour sa saison passée et celle-ci, nous devions prouver que nous n’étions pas les champions de P1 sortants pour rien. De plus, avec une année de R2 dans les pattes, nous étions davantage prêts que l’Etoile pour ce match.


« Il manque une Coupe AWBB à mon palmarès »


Quid des Playoffs?

Les Playoffs, nous les visions aussi. Il se trouve qu’une bonne équipe championne de première provinciale liégeoise va souvent en Playoffs en deuxième régionale l’année qui suit. Cela nous était arrivé du temps de Huy et ce sera certainement à nouveau le cas cette année. C’est en partie lié au niveau de la P1 liégeoise qui est très bon mais aussi parce qu’une fois monté, ton seul job est de jouer le maintien. Dès lors, tu joues décontracté, sans pression. Cela permet, l’air de rien, de sortir de solides prestations contre de grosses équipes, ce qui t’amène en Playoffs (ndlr: CQFD!).

Et la Coupe AWBB?

C’est le plus étonnant. Nous avons abordé cette compétition comme nous le faisons depuis des années, c’est à dire comme de bons matchs de pré-saison sans réels objectifs. Je m’étais d’ailleurs fait la réflexion que ce qu’il manque à mon palmarès, c’est une Coupe AWBB. Mais, chaque année, je n’étais pas mécontent d’en être sorti car cela m’offrait quelques weekends de libres. Cette année, par un mélange de bonnes prestations contre des équipes plus fortes et la chance de tomber sur certaines formations par toujours au complet, nous avons une occasion unique de remporter ce trophée.

Votre parcours fut tout de même plus que méritant.

C’est vrai que nous n’avons pas été au complet non plus toute la saison. Je me rappelle même avoir battu la R1 de Waterloo de quasi vingt points là-bas en jouant à quatre, dont moi qui était blessé, plus le coach et ses fameux assists dans le vide (rires). Un match d’anthologie remporté parce que nous jouions sans pression et ressentions le plaisir de jouer. Quand on joue avec le coach et qu’on bat une bonne R1, on voit mal comment la Coupe AWBB pourrait nous échapper cette année (rires). Il faut tout de même espérer que Kevin n’ait pas à enfiler sa vareuse pour la finale. Cela a marché une fois, pas sûr que cela fonctionne à nouveau!


« Une bande de potes »


Quels sont les facteurs qui expliquent, selon toi, une telle réussite?

Nous sommes un ensemble de bon gars qui ont tous du basket et dont la priorité est de jouer ensemble et de boire un coup ensemble après. Le tout challengé par un jeune coach motivé, dynamique, techniquement érudit et proche de ses joueurs. Le terme « érudit » est un qualificatif qui s’arrête à ses connaissances basket. Au-delà, je ne juge pas, du moins publiquement (rires).

Comment définirais-tu l’ADN de ton équipe?

Notre ADN, c’est l’amusement. Nous avons pratiquement tous joué plus haut et sommes tous vieux ou vieillissants. Si on retire l’amusement, Neuville explose dans le mois… Moi le premier. Je ne fais pas trente-cinq minutes pour aller à l’entrainement après le boulot si ce n’est pas pour aller passer deux heures à pratiquer mon sport favori avec mes potes.

Quelles sont tes envies pour la suite de la saison?

Maintenant que nous en sommes si proches, je veux gagner la Coupe AWBB. Ensuite, ce n’est que du bonus. Mais, en championnat, nous avons une chance de pouvoir accrocher la R1. C’est, pour moi, la meilleure division et nous devons la viser. La première régionale, c’est un basket au top et des déplacements limités. Il ne faut pas se le cacher, la R2 n’est que l’antichambre de la R1. Cependant, la première régionale est très compétitive. Après y avoir disputé le top, j’ai joué, lors de mes dernières saisons à ce niveau, le bout du classement. Et c’est loin d’être marrant. Il n’y a plus de matchs gagnés d’avance, mais c’est aussi cela qui fait le charme de cette division.

« Nous avons fait un pas vers les Playoffs »


Cointe, de plus en plus proche du maintien, reçoit Saint Louis, de plus en plus près des Playoffs, pour un superbe en première régionale.


Ce samedi, Cointe reçoit Saint Louis pour un derby qui devrait valoir le détour. Un court déplacement que les Collégiens espèrent victorieux. « Nous allons aborder ce match comme tous les autres, avec l’envie de repartir avec la victoire!« , s’exclame Romain Hamaide. « Nous savons qu’après notre victoire contre Loyers, nous avons fait un véritable pas vers les Playoffs, l’envie d’y prendre part est plus que présente.« 

Pour s’imposer à Cointe et se rapprocher encore un peu plus d’une qualification pour les tours finaux, Saint Louis veut se baser sur ses spécificités. « Nos forces ont toujours été les mêmes. Nous devons jouer sur notre vitesse car nous sommes une très jeune équipe et nous appuyer un maximum sur l’homme ou les hommes en forme. Mais nous devrons aussi avoir de la réussite dans nos shoots pour empocher les trois points à Cointe » conclut Romain.

« Nous jouons de plus en plus les uns pour les autres »


A domicile ce mercredi, Modave a dominé Aywaille pour remporter une précieuse victoire dans l’optique du maintien.


Modave est engagé dans une intense lutte avec Ans et Amay pour éviter la seconde place de reléguable en P2B. Ce mercredi, les Castors recevaient Aywaille, formation du haut de classement. Et les gars de François Bens se sont méritoirement imposés, 72 à 62. « Cette victoire nous met bien par rapport à nos concurrents directs » sourit Thomas Broset. « Nous jouons de plus en plus les uns pour les autres, nous sommes plus positifs et cela paie. Encore deux ou trois victoires et cela devrait le faire pour le maintien. »

« J’adore le basket depuis que je suis gosse »


La saison prochaine, Simon Chapelle portera le maillot de Comblain, en TDM2. Liège & Basketball vous emmène à la découverte de ce jeune talent de vint-trois ans passé par la D1 et l’équipe nationale belge. Entretien.


Simon, peux-tu retracer ton parcours basket pour les lecteurs de Liège & Basketball?

J’ai commencé le basket dans le club de mon village, Beez, où je vis d’ailleurs encore. J’y suis resté jusqu’en benjamins puis je suis allé dans deux clubs du Namurois et puis à Belgrade où je fus champion AWBB en 2010. Je suis ensuite passé par le centre Adeps pendant deux ans où j’ai joué en BDL. Après cela, je suis parti deux ans à Alost en D1 et en D3 et puis au Brussels en D1 avec une double affiliation avec la D2 d’Anderlecht. J’ai ensuite porté les couleurs de Neufchâteau, en D2, et enfin celles de Lambusart, en D3.

La saison prochaine, tu évolueras à Comblain. Pourquoi avoir décidé de rejoindre le Mailleux?

J’ai toujours eu envie de venir jouer à Liège et, déjà l’année passée, j’en avais eu l’occasion mais il en fût autrement. J’adore cette région, j’ai beaucoup d’amis dans toutes les équipes de Liège et Comblain est une belle équipe avec une très bonne ambiance.

Quelles seront tes ambitions la saison prochaine?

Mes envies sont de devenir un joueur important pour l’équipe et pouvoir apporter le plus possible à celle-ci. L’objectif sera de figurer le plus haut possible dans le classement par rapport aux ambitions du club.


« Le basket, c’est toute ma vie »


Qu’est-ce qui te plait particulièrement dans le basketball?

J’adore le basket depuis que je suis gosse. Chaque weekend, j’allais voir ma soeur qui jouait en D1 à Namur. Le basket, c’est toute ma vie. J’adore la compétition et le fait de jouer en équipe.

Comment te définirais-tu en tant que joueur?

Je suis plus un joueur défensif. Je joue dur car j’aime vraiment ça. Mais je sais aussi mettre le ballon dedans et je suis toujours fair-play. Je prends vraiment du plaisir lorsque je suis sur le parquet.

Quels sont tes meilleurs souvenirs liés au basket?

C’est lorsque je suis devenu champion d’Europe avec les U16. C’était un moment magique et inoubliable. Je garde aussi d’excellents souvenirs de ma participation au Championnat d’Europe U20.

As-tu d’autres passions que le b-ball dans la vie?

J’adore passer du temps avec mes amis et faire la fête. J’aime aussi tout particulièrement être dans les jardins et la nature en général. Je poursuis d’ailleurs des études en architecture du paysage et des jardins à Gembloux.

« Il y aura une chouette ambiance dans les gradins »


Dison veut profiter du souper du club pour empocher la victoire lors du match à six points contre Angleur. Les deux P3 verviétoises affronteront quant à elles Henri-Chapelle et La Spéciale Aywaille avec des enjeux différents: éviter la descente pour les Disonnais évoluant en P3A et rester parmi les équipes du top pour la formation de Gauthier Liégeois.


« Ce sera un match à six points samedi » prévient Jordan Delrez. « Malgré l’enjeu, nous allons aborder cette rencontre comme toutes les autres. Il faudra essayer de reproduire la même prestation qu’à Spa car, si tout n’était pas parfait, nous nous sommes battus sur tous les ballons et avons pu corriger certains détails.« 

Engagés dans un sprint final pour décrocher leur maintien, les Disonnais savent que la rencontre face au Mosa est cruciale. « Tant qu’à présent, nous n’avons pas eu beaucoup de réussite contre nos concurrents directs » regrette le meneur verviétois. « J’espère que, cette fois, nous inverserons la tendance. »

Pour ce match capital, les troupes de Gino Fortuna pourront bénéficier du soutien de leurs supporters. « Ce sera un avantage de jouer dans notre salle, surtout qu’une des P3 du club organise un souper. Il risque d’y avoir une chouette ambiance dans les gradins » conclut Jordan.


Avant la P1, ce sera la P3 de Gauthier Liégeois qui recevra Aywaille. Deux formations présentant des bilans presque identiques – 12 victoires et 7 défaites pour les Aqualiens, 11 succès et 7 revers pour les locaux – et qui devront composer avec de nombreuses absences. Du côté visiteur, guère épargné par les blessures, ce seront pas moins de sept joueurs – Julien Halleux, Alexandre Koch, Morgan Wey, Antoine Horrion, Julien Legrand, Julien Vanlaar et Bruno Bauraind – qui manqueront à l’appel. « Je ne peux malheureusement pas être présent pour ce match à cause du travail » regrette Julien Halleux. « Vu notre effectif particulièrement déforcé, chacun d’entre-nous devra augmenter son degré d’intensité pour tenter de rivaliser avec cette talentueuse équipe de Dison. C’est collectivement que nous pourrons trouver les ressources nécessaires pour forger un exploit » enchaine Yoann Laval qui était venu assister au choc contre Awans quelques semaines plus tôt.

A 21 heures, place à un match décisif pour le maintien. Dison-Andrimont (qui a joué un match de plus) et Henri-Chapelle occupent, à égalité, les deux dernières place en P3A, et ne comptent qu’une victoire de retard sur Waremme et Ensival. La partie risque d’être intense tant le perdant de cette joute verra se réduire à peau de chagrin ses chances de se maintenir en troisième provinciale.

« Personne ne peut dire qui sera champion »


En dominant Spa, premier en P4D, SFX a confirmé son statut de candidat légitime pour le titre de champion au sein d’une série particulièrement indécise. Le sprint final est lancé, qui va remporter les lauriers?


Après des débuts laborieux, SFX enchaine les prestations de haut vol. Pas plus tard que ce weekend, les troupes de Laurent Herten ont vaincu Spa, premier en P4D. « Nous avons pris le contrôle après vingt minutes et menions de dix points » nous explique Terence Gabriel. « Dans le troisième quart, les Spadois sont passés en zone 3-2 et, malgré nos adeptes du tir à trois points, nous avons manqué de réussite et laissé nos adversaires repasser devant. »

Les Collégiens allaient pourtant trouver les ressources pour renverser la situation. « Lorsqu’ils sont passées devant, je crois que les Bobelins pensaient avoir fait le plus dur mais, grâce à notre expérience et notre calme, nous avons réussi à inverser la tendance dans la dernière ligne droite avec des shoots importants dans le money time » sourit Terence.

Désormais, Spa et Henri-Chapelle restent les seules équipes avec trois défaites mais sont talonnés par SFX (4 revers) et l’Etoile Jupille (5 résultats négatifs). « La fin de saison risque d’être indécise car personne ne peut dire qui terminera champion dans deux mois » poursuit celui qui est également l’entraineur de Bellaire en R2 Dames. « Nous espérons un faux-pas de Spa et d’Henri-Chapelle – d’ailleurs Alain Cordonnier nous doit plusieurs tournées pour « services rendus » (rires) – et nous espérons être dans les montants en P3, ce qui ne serait pas démérité. Nous allons continuer de bosser jusqu’au bout! »