« Satisfait de mes joueurs, un peu moins des coups de sifflet »

A domicile, Hamoir a fait jeu égal avec Braives pendant trois trente minutes mais paie cher une troisième quart-temps loupé. Reportage.

Ce jeudi, Hamoir recevait Braives. Un duel a priori déséquilibré, Hamoir ne comptant qu’une victoire alors que Braives bataillait encore en deuxième provinciale la saison passée. Toutefois, la réalité du classement ne s’observait guère sur le terrain et les deux équipes étaient à égalité, 21 partout, après dix minutes. « Nous avons bien débuté malgré que nous étions terriblement vite sifflés et que nous avons rapidement compté trois titulaires à deux fautes » souligne l’entraineur local, Philippe Borguet. Le deuxième quart était identique, à peu de choses près, et les deux formations rejoignaient les vestiaires sur le score de 41 à 44.

Mais la reprise allait s’avérer fatale aux locaux qui encaissaient un terrible 7 à 28 et voyaient leurs joueurs majeurs écopper, à nouveau, de fautes rapides. « Nous faisons jeu égal, 20 partout, dans le dernier quart mais notre sort était déjà scellé » regrette Philippe. Au final, Hamoir s’inclinait 68 à 92.

« Braives nous était supérieur mais pas de 24 points » nuance le coach des Verts. « Nous étions dans un bon jour après les examens de mes jeunes et l’absence de match depuis le cinq janvier. Toutefois, le fait que plusieurs de mes joueurs clés se soient vu siffler rapidement et pour des faits très légers a influencé le match et déséquilibré notre équipe sur le terrain. »

En sage qu’il est, Philippe retiens tout de même du positif à cette joute. « Malgré tout, je suis satisfait de notre jeu durant les deux premiers quart-temps. Certains joueurs sortaient de plusieurs semaines d’étude et ont vite retrouvé le rythme. Je suis moins satisfait d’un des deux hommes en gris. Il y a eu 30 fautes sifflés contre nous et seulement 20 contre Braives. Dommage » conclut-il.

« La formation me manque »

La saison prochaine, Julien Denoz ne sera plus à la tête de la P1 de SFX. Pour Liège & Basketball, l’entraineur des Collégiens explique sa décision et évoque son futur.

Julien, tu ne seras plus le coach de la P1 de SFX la saison prochaine. Pourquoi avoir pris cette décision?

J’arrive à la fin d’un cycle avec ces joueurs que j’ai tous eu pendant plusieurs année en jeunes. Je ne souhaitais pas faire l’année de trop avec eux.

Souhaites-tu retourner dans la formation à proprement parler ou un challenge en seniors pourrait-il t’intéresser?

La formation me manque, c’est vrai. Un challenge en seniors, il faut voir. Pourquoi pas m’occuper de gamins en post-formation ou donner des spécifiques à quatre ou cinq gars motivés. Des seniors, mais jeunes, pourquoi pas ou alors des jeunes régionaux. On verra.

Ninane, le maintien en ligne de mire

Ce vendredi, Ninane reçoit Rulles, bon dernier du classement en R2A. L’occasion est belle pour les jeunes Calidifontains d’empocher une victoire supplémentaire pour continuer de s’éloigner de la zone de turbulence. A quelques heures de cette rencontre, Liège & Basketball s’est entretenu avec Michel Pluys et Etienne Dubois.

Sur le papier, l’équation est simple: Ninane ne doit pas perdre contre La Rulles, dernière formation sans victoire en R2A. « C’est un match très important et la victoire est effectivement obligatoire, d’autant plus que nous serons à domicile » entérine Michel Pluys. « Au vu des prestations de mon groupe en janvier, et notamment de la semaine passée où tant l’esprit d’équipe, l’envie et l’ambiance étaient au rendez-vous afin de nous permettre de remporter une superbe victoire, je ne peux qu’être confiant pour ce vendredi. »

Une impression partagée par Etienne Dubois. « La victoire à Brainois nous a bien mis en confiance » corrobore le meneur calidifontain. « Face à Rulles, nous ne devons pas nous mettre de pression. Il faudra jouer « détendu » et prendre du plaisir sur le terrain. Comme lors de notre dernière rencontre, chacun de nous devra faire son boulot avec, en tout premier lieu, la volonté de durcir la défense. Le scoring suivra naturellement. »

L’équipe B du matricule 1200 semble en progrès mais n’est pas encore rassurée quant à sa survie dans la division. « Je ne pense pas que l’équipe soit vraiment en progrès mais le fait d’avoir gagné redonne un petit coup de boost qui va nous remettre en confiance, ce dont nous avions besoin » nuance Etienne. « Pour être, normalement, à l’abri, il faudra engranger dix victoires. Mais, dans cette série, beaucoup de choses peuvent se passer. Il faut donc rester vigilants et prendre les match les uns après les autres car aucun résultat n’est connu d’avance » analyse Michel. « Il reste encore beaucoup de matchs à notre portée et nous allons encore en gagner. S’il m’est difficile de définir un chiffre, je peux certifier que nous ferons tout ce qu’il faut pour assurer notre maintien » embraie Etienne.

Ninane possède en tout cas de sérieux arguments pour éviter la relégation tout en respectant ses principes de formation. « J’espère que l’état d’esprit du groupe restera le même que la semaine dernière et que, quoi qu’il arrive, mes joueurs restent tous concernés et que les plus jeunes continuent de progresser, comme c’est le cas depuis le début de saison. Première étape ce vendredi contre La Rulles. Une chose à la fois » conclut l’entraineur ninanais.




Deux beaux challenges pour Spa

Ce weekend, Spa aura deux beaux challenges. La P1 des Bobelins se rendra à Angleur, dimanche, pour prendre sa revanche tandis que le samedi, la P2 spadoise accueillera Bellaire, leader autoritaire en P2A.

Au match aller, Angleur avait créé la surprise en s’imposant à Spa. Un match qui avait revêtu une certaine symbolique pour les Liégeois.  » Le tournant du premier tour a été la seconde partie, à partir des matchs contre Hannut et Dison. Nous avons enfin pu engranger sur nos qualités mais toujours sans travail de fond à l’entraînement » analysait Nicolas Vanbockestal. « Le point d’orgue de ce tournant a été la victoire à Spa. »

A domicile, les gars de Vincent Esposito, qui disputera une demi-finale de Coupe AWBB avec la R2 féminine d’Angleur ce vendredi, voudront rééditer leur performance. Une grosse performance, c’est ce que devront sortir les membres de la P2 spadoise. Ceux-ci reçoivent Bellaire, leader invaincu de P2A. Si le maintien semble fortement compromis pour les gars de Quentin Desert, la perspective de créer l’exploit du weekend – et de la saison! – devrait les surmotiver.

« La défaite nous est interdite »

Ce vendredi, LAAJ accueillera le Centre de Formation. Un match important pour les troupes de Tony Fernez qui ne peuvent se permettre de gaspiller des points. Jérémy Horrion préface cette rencontre.

Jérémy, vous recevez le Centre ce vendredi avec l’obligation de vous imposer?

Effectivement, il s’agit là d’un match extrêmement important dans lequel la défaite nous est interdite!

Justement, pour éviter de trébucher face à ce jeune adversaire, que devrez-vous mettre en place?

Je pense que nous devrons être très agressifs aussi bien défensivement qu’offensivement dès les premières secondes pour ne pas permettre à nos opposants de rentrer dans leur match. J’ai une grande confiance en mon équipe pour ne pas se laisser surprendre.

« Humainement et sportivement, Cointe fut une de mes plus belles années »

Superbe derby liégeois ce vendredi en première régionale entre Sainte Walburge et Cointe. Une rencontre particulière pour de nombreux participants, notamment les frères Baeri qui s’affronteront, mais, surtout, pour Tariq Bouchaouir qui portait encore le maillot des Grenouilles la saison dernière. Pour l’occasion, Liège & Basketball est allé à la rencontre du polyvalent Sang et Marine.

Tariq, pourquoi avoir décidé de rejoindre Sainte Walburge?

En fait, je n’avais pas spécialement l’envie de quitter Cointe car j’y ai fait une bonne saison et j’avais fini par m’adapter au style de Ludo Humblet. Venant de plus bas, Ludo m’avait donné ma chance alors qu’on lui avait déconseillé de le faire. J’ai donc vraiment eu du mal à quitter ce club, d’autant qu’il y régnait une bonne ambiance et que l’équipe était composée de bons gars. Mais je voulais jouer avec Alija Kabangu, Renaud Marganne et, peut-être, Romain. Mais, malheureusement, cela ne s’est pas fait. De plus, cela faisait quelques années que j’étais en contact avec Chris Camus et que je m’entends bien avec lui. Après discussions avec Ludo, j’ai décidé de partir. J’ai donné ma réponse très tôt dans la saison et, finalement, la situation à Sainte Walburge fut différente et, du coup, les joueurs et le coach des Sang et Marines n’étaient pas ceux à qui je m’attendais. Mais étant donné que j’avais donné ma parole, je n’ai pas pu revenir dessus. Et j’ai dû m’adapter au nouveau projet du club, à l’équipe et au coach.

Comment juges-tu votre saison tant qu’à présent?

Elle fût compliquée à cause d’un calendrier particulier, d’absences suite aux blessures…

Cependant, avec Sainte Walburge, vous semblez en réelle progression depuis septembre. A quoi est-ce dû?

Aux choses mises en place par le coach. C’est un travail effectué depuis le début de saison qui paie enfin. Le coach essaie d’instaurer un jeu réfléchi et fluide avec une identité défensive. Dès lors, je ne suis pas surpris de notre progression et de notre position au classement. Nous avons d’ailleurs les capacités d’encore progresser et de viser un peu plus haut.

« Nous avons tous à un tempérament de gagnant »

Quels sont vos objectifs pour la suite de ce deuxième tour?

De gagner chaque match. Nous voulons regarder vers le haut et essayer, peut-être, d’aller chercher une place en Playoffs. Qui sait… Nous avons tous un tempérament de gagnant, en commençant par le coach. Nous ne sommes pas rassasiés par cette septième place.

Tu jouais à Cointe l’année dernière, quels sont tes meilleurs souvenirs avec les Grenouilles?

J’en ai beaucoup. Tant humainement que sportivement, Cointe fut l’une de mes plus belles années car, dans l’équipe, il y avait de vrais comédiens. Je pense notamment à Robin Cornet et Ju Lemaire. Nous étions des potes avant tout et cela a fait la différence. Je garde aussi en mémoire le bizutage du début de saison. Nous devions dormir en tente sur un terrain de foot. Tente que Tony Fernez et moi n’avions pas su monter (rires).

Vu que tu jouais là-bas la saison dernière, en as-tu profité pour donner des infos à ton coach?

Non, pas spécialement. Le coach travaille beaucoup avant tout sur notre équipe, et peu sur l’adversaire. Il connait de toute façon l’équipe de Cointe, il est allé la voir quelques fois. Je n’avais dès lors pas spécialement besoin de lui fournir des infos.

« Un derby vraiment particulier »

Ce sera, à coup sûr, un match particulier…

Oui, ce le sera. Déjà, il s’agit d’un derby et il y aura du monde dans les tribunes. De plus, je viens de Cointe et les frères Baeri jouent l’un contre l’autre. Jim joue contre son cousin, Robin a joué à Sainte Walburge, tout comme Romain. Il y a donc des tonnes de facteurs qui interviennent pour ce match!

Quelles seront les clés de ce derby?

Tout d’abord, il ne faudra pas sous-estimer les Grenouilles et, au contraire, les prendre au sérieux car ils forment un bonne équipe même si, malheureusement, ils ont beaucoup de blessés. Nous devrons jouer comme nous avons l’habitude de jouer, avec une grosse intensité défensive et en écoutant les directives du coach. Cela sera un match serré qui risque de se jouer à rien. Je pense que les Cointois vont profiter de leur expérience et jouer dur. De notre côté, nous sommes une très jeune équipe et nous sommes parfois trop gentils. Mais nous voulons, à tout prix, remporter ce derby! Non seulement pour rester dans le haut du classement mais aussi pour les différents facteurs qui rajoutent du piment à cette rencontre. Nous savons à quoi nous en tenir, à nous d’être prêts!

« Tenter de reprendre de la confiance »

Ce vendredi, Belleflamme disputera une demi-finale de Coupe AWBB Nationale contre Anderlecht. L’occasion idéale pour les Haricots de s’offrir une respiration salutaire dans un championnat de TDM2 éreintant.

Alors qu’aucune de nos TDM2 ne jouera en championnat, Belleflamme sera tout de même sur la brèche. Et pour cause: les Haricots disputeront une demi-finale de Coupe AWBB Nationale contre Anderlecht. « Ce match va nous couper un peu du championnat et nous permettre d’engager des minutes tout en gardant le rythme avant d’entamer la dernière partie de championnat qui sera cruciale pour nous » relève Damien Aussems. « Nous ne connaissons pas notre adversaire, Anderlecht, mais nous allons jouer notre jeu et essayer de reprendre de la confiance en nous imposant.« 

Une qualification pour la finale, même si cette compétition n’enflamme visiblement pas les foules, serait, à coup sûr, un bel exploit pour les gars de Vincent Clavier et une excellente manière de se booster pour la fin de saison décisive qui s’annonce.

« Revivre l’expérience de la finale et remporter la Coupe »

Ce vendredi, c’est une demi-finale de Coupe AWBB aux accents liégeois à laquelle pourront assister les passionnés de la balle orange. Herve-Battice, qui réalise une saison fantastique en R2, affrontera Mosa Angleur, routinier de la compétition. Un derby à ne manquer sous aucun prétexte!

La Coupe AWBB, Angleur y est abonné, les joueuses de Vincent Esposito étant déjà parvenues à ce stade de la compétition la saison dernière. « C’est certain que l’expérience sera de notre côté » sourit Michelle Decors. « L’année passée, nous avions vraiment eu difficile face à Fleurus tant le stress était présent. Cette fois, cela devrait être différent. Enfin, je l’espère…« 

Difficile de mettre l’aspect émotionnel de côté quand on se trouve à quatre-vingt minutes du gain d’un trophée. « Nous avons beau nous dire que c’est un match comme un autre, c’est tout de même une demi-finale et nous nous prenons au jeu d’en vouloir plus une fois qu’on accède dans le dernier carré de la compétition » reconnait l’intérieure d’Angleur.

« Nous nous cherchons toujours »

La lutte devrait être belle entre des Herbagères impressionnantes depuis le début de saison en R2 et le Mosa, solide sixième en R1. « Herve est un adversaire sérieux dont l’effectif est composé de nombreuses joueuses ayant évolué à l’échelon supérieur. Les filles d’Alain Denoël font une saison idyllique et sont donc, logiquement, en totale confiance » analyse Mich. « Quant à nous, nous nous cherchons toujours. Cette saison, nous vivons des hauts et des bas: des départs, des blessures, des retours. Les entrainements s’en ressentent et, inéluctablement, notre jeu aussi. »

Néanmoins, la motivation est au zénith chez la pivot liégeoise. « Je l’ai déjà dit précédemment mais nous sommes notre pire ennemi! Pour l’emporter contre Herve, nous devrons être régulières dans notre jeu, jouer avec notre coeur et avec la niaque. Je ne compte rien lâcher, je veux revivre l’expérience de la finale et, cette année, la remporter » conclut Michelle.

« La Coupe est notre objectif principal »

Ce samedi, Esneux disputera, à nouveau, la demi-finale de la Coupe de la Province. Cette fois, les Précieuses affronteront Modave, contre qui elles ont déjà perdu en championnat. Liège & Basketball en a profité pour faire le point avec Julien Schreiber.

Julien, pour toi, en tant que coach, être en demi-finale de Coupe, ce n’est pas une première?

Exact. C’est ma seconde demi-finale en deux ans. Cela n’a toutefois rien d’exceptionnel étant donné que c’est un passage obligé vers notre objectif principal qu’est la Coupe de la Province.

Vous avez le statut de favori, est-ce un désavantage?

Favori, je ne sais pas car Modave est l’une des deux équipes à nous avoir fait trébucher cette saison. Nous avions fait un début 2019 parfait jusqu’au weekend dernier où Bellaire nous a accroché d’un point, dans sa salle, et cela pour la deuxième fois de la saison. Chapeau aux joueuses du matricule 434. Du coup, avantage ou désavantage, peu importe! Nous n’avons d’autres choix que d’être ultra-motivés, hyper combatifs et faire la guerre à cette belle équipe de Modave que nous nous devons de respecter.

Quelles seront les clés de ce match?

L’agressivité car Modave possède des filles capables de faire la différence à distance, et le rebond car nous étions complètement passés à côté du match aller au niveau de l’implication et de l’intensité. C’est à nous de corriger cela avant même de nous adapter à l’adversaire. Ensuite, une ambiance de Coupe, en terrain neutre, c’est tellement particulier qu’un match n’est pas l’autre et les équipes non plus. A nous d’être à la hauteur du rendez-vous

« Célébrer ce moment assez unique »

Fait rarissime dans le microcosme du basket liégeois, deux équipes d’un même club vont se disputer, ce samedi à Hannut, un ticket pour la finale de la Coupe de la Province. Waremme A affrontera Waremme B avec un grand gagnant programmé: le matricule 709. Luc Ceulers, Président des Wawas, revient sur cette belle double épopée et dresse le décor d’une rencontre atypique.

Ce samedi soir à Hannut, il n’y en aura que pour Waremme. Et pour cause! Ce sont les deux équipes principales – la P1 de Mike de Keyser et la P2 de Nicolas Gerads – du matricule 709 qui s’affronteront. « Concernant notre P1, nous ne pouvons pas nous montrer trop surpris de la retrouver à ce niveau-là. L’an dernier, nous avions déjà atteint la finale. Cette année-ci, nous nous devions de viser au moins aussi bien. Tout en sachant que l’objectif principal de la saison est la montée en R2 » rappelle Luc Ceulers. « Pour ce qui est de la P2, il faut reconnaitre son plus grand mérite d’être encore là à ce stade de la compétition et d’être le dernier représentant de la seconde division provinciale. Nos Wawas ont, notamment, dû sortir Haut-Pré, solide deuxième en P1 pour en arriver là!« 

Un tir groupé des Rouge et Blanc qui ne peut que donner le sourire à Waremme. « C’est en effet une vraie satisfaction pour le club de voir la P1 et la P2 dans le dernier carré » savoure le Président du matricule 709. « Ça se chambre assez bien depuis plusieurs semaines d’ailleurs.« 

« L’ABC Waremme est encore en finale de la Coupe provinciale! »

Une éclatante réussite pour un club structuré et performant. « Dans les deux équipes, il existe une base de joueurs qui proviennent de l’ABC Waremme et qui y ont fait leurs classes depuis le baby-basket, ou presque, et qui ont progressé voire joué ensemble » souligne Luc. « Le mérite en revient principalement à ceux qui ont tenu le club jusqu’ici. »

Et c’est à un jet de pierre que cette atypique demi-finale aura lieu. « Nous aurions pu jouer en terrain neutre chez nous, mais c’est comme ça. Le BC Hannut nous accueille, il faudra se désaltérer sur place » rigole l’heureux Président. « Mais nous devrons désigner des « BOB » car nous aurons à coeur de rejoindre le Pôle Ballons à Waremme, en famille, pour continuer à célébrer ce moment unique: l’ABC Waremme est encore en finale de la Coupe provinciale!«