Dison remporte une superbe bataille

   

Un match à suspens et de l’intensité, c’est ce à quoi a eu droit le public présent dans les gradins du BC Ninane pour la réception de Dison-Andrimont (P3). Reportage.

    

Jolie affluence à Ninane ce vendredi soir. Le souper boulets du matricule 1200 avait attiré du monde, tout comme cette affiche de P3 entre la -très, très- jeune équipe locale et Dison-Adrimont, champion en P4 la saison dernière.

Dès les premières minutes, l’intensité et l’engagement sautaient aux yeux. Malgré des maladresses de part et d’autre, le rythme était enlevé. Après six minutes de jeu, Rondoz, aux lancers-francs, offrait quatre points d’avance aux visiteurs, 4 à 8. Van Michel, dans le corner réduisait l’écart et le quart-temps, marqué par de grosses défenses et trop de déchets des deux côtés, se concluait sur le score de 8 à 11.

C’est Vermiert, à distance, qui inscrivait le premier panier des locaux dans le deuxième quart-temps. Villanucci se retrouvait ensuite plusieurs fois aux lancers-francs. Malgré une technique très particulière et librement inspirée de Rick Barry, il ne tremblait pas et s’offrait même un fade-away de derrière les fagots pour faire 18-26. Chez les locaux, Sall faisait admirer son timing au contre -déjà trois- mais Ninane encaissait un tir depuis le parking de Cédric Dethioux pour clore la première période. C’était 22 à 30 au moment de regagner les vestiaires.

    

Dison déroule

    

Au début du troisième quart, les deux formations ne scoraient que sur contre-attaques. C’était 24 à 36 après trois minutes de jeu et Romain Albert écopait d’une faute technique. Bodson ratait le lancer mais se rattrapait ensuite avec un magnifique step-back. C’était 27 à 41 à la vingt-cinquième minute de jeu. Dison profitait des erreurs défensives locales et du manque de réussite des gars de Nicolas André pour creuser l’avance. Villanucci se fendait d’une feinte de passe magistrale en transition et les visiteurs portaient leur avance à 33-55. Il restait 51 secondes à jouer. Vermiert, hyper actif, scorait en pénétration puis volait un ballon et envoyait Winkin au lay-up. Ninane forfait ensuite une perte de balle de Rondoz mais prenait une offensive dans la foulée. Qu’à cela ne tienne, alors qu’il restait encore quatorze secondes au marquoir, les Calidifontains subtilisaient un nouveau ballon et Winkin marquait, on the buzzer, sur contre-attaque. C’était 39 à 55 et le momentum venait de changer de camp.

Les jeunes Calidifontains, encouragés par leurs nombreux supporters, démarraient tambours battant. Ce diable de Winkin faisait mouche de loin et l’on pouvait sentir toute la tension qui se posait sur cette rencontre. Leduc enfilait une perle des 6,75 mètres suivi de Bodson, à mi-distance. Ninane repassait sous les dix points, 46-55. Alors que Lahaye écopait d’une technique, le banc ninanais exultait. Ninane ratait le lancer mais Lecloux, en transition, réduisait encore l’écart, 50-57. Alors que l’intensité était à son paroxysme de part et d’autre, Rondoz s’y prenait par deux fois pour conclure sa pénétration et Mentior ajoutait deux points. Dison s’offrait un peu d’air: 50-61 et cinq minutes à jouer.

     

Une fin de partie qui se joue sur des détails

   

Leduc, via des lancers, ramenait ses troupes à 55-62. Alors qu’il restait un peu plus de trois minutes dans cette rencontre âprement disputée,Villanucci ratait ses deux coups-francs mais Leduc laissait échapper la balle en sortie. Lahaye provoquait l’exclusion pour cinq fautes de Sall et convertissait une de ses deux tentatives sur la ligne de réparation. Après un temps-mort visiteur, Bodson inscrivait un joli panier dans la raquette adverse, 57-63. Derrière, Ninane se faisait à nouveau siffler et les Disonnais reprenaient huit points d’avance. A une minute et demie de la fin de la partie, Leduc plantait un triple par la planche pour faire 60-65. Ninane interceptait ensuite le ballon mais Pluys ratait sa contre-attaque. Les locaux faisaient bloc en défense et forcaient Dison a prendre un tir casse-croûte à la fin des vingt-quatre secondes. Le shoot était raté mais les visiteurs récupéraient le rebond. Les Calidifontains faisaient faute sur Lahaye qui ratait ses deux lancers. Malgré deux temps-mort, le score ne bougeait pas d’un iota et le groupe de Gauthier Liégeois l’emportait 60-65.

Après la rencontre, particulièrement bien arbitrée par Emmanuel Hubert et son collègue, les sourires étaient présents dans le camp visiteur, un peu moins chez les locaux. « Nous avons manqué de fluidité offensive mais il y a du progrès et nous ne devons pas oublier que nous sommes jeunes et que nous devons continuer à travailler » nous expliquait Nicolas André, le mentor de cette séduisante équipe de Ninane. « Jouer contre des hommes est un grand changement pour certains de mes gars et nécessite un temps d’adaptation. C’est tout de même assez frustrant de défendre avec une telle agressivité mais de ne pas prendre les trois points. J’attends avec impatience la première victoire.« 

« Une belle victoire après prolongation »

    

Il a fallu une prolongation à la P2 d’Union Liège pour venir à bout de celle de LAAJ et obtenir sa première victoire de la saison.

    

Après une courte défaite à Theux lors du premier match de championnat, la P2 de l’Union Liège espérait profiter de la venue de LAAJ pour se remettre dans le droit chemin et décrocher sa première victoire de la saison. Face à une jeune et talentueuse formation jupilloise, il a fallu quarante-cinq minutes à Hansen et compagnie pour l’emporter, 84 à 81. « Une belle victoire après prolongation dans un bon match offensif » nous résume Timothée Lekeu. « Nous avons retrouvé une meilleure circulation de balle ainsi qu’une plus grande agressivité vers le cercle. Et donc, in fine, de meilleurs pourcentages de réussite aux tirs.« 

Nouvelle défaite frustrante, par contre, pour les visiteurs, après celle enregistrée la semaine dernière contre Grivegnée.

« Une grinta comme je l’aime à Cointe »

    

Revenu du Royal IV Brussels avec une belle victoire en poche, Cointe peut se montrer satisfait, tout comme Haytam Baeri, comme un poisson dans l’eau chez les Grenouilles. Interview.

   

Haytam, bravo pour votre victoire au Royal IV. Que retiens-tu de ce match?

Nous sommes tombés sur une talentueuse équipe bruxelloise, dangereuse dans tous les domaines. Nous étions à égalités à la fin du premier quart puis avons connu un petit coup de mou au milieu du deuxième. Nous étions menés à la mi-temps (ndlr: 39 à 31). Mais nous sommes parvenus à inverser le cours des choses et à repasser devant dans les cinq dernières minutes pour ne pas revenir à Liège sans la victoire.

Qu’est ce qui vous a permis d’inverser la tendance?

Notre expérience nous a considérablement aidé. Nous avons installé une zone, bien exécutée, contre cette jeune équipe de Bruxelles et ce choix s’est avéré payant. De plus, nous n’avons rien lâché, ce qui nous a permis de recoller au score et de finir par l’emporter.

Comment se passe ton intégration dans ton nouveau club?

Tout se passe très bien à Cointe, c’est un club qui me plaît énormément, avec une ambiance particulière. Pour mon équipe, plus précisément, les automatismes commencent à apparaitre, je comprends de plus en plus les autres joueurs, et inversement. Une grinta comme je l’apprécie est présente sur le terrain et nous nous amusons vraiment bien en-dehors de celui-ci.

« La division ne nous fera pas de cadeau »

   

Malgré une excellente prestation, Alleur s’est incliné à Waremme ce samedi,  85 à 74. Marek Krala et Adrien Lozina débriefent cette rencontre.

   

« Nous avons vraiment livré une superbe prestation jusqu’à la trente-cinquième minute où le physique de Waremme, et en particulier celui de Sacha Massot, nous a tué » analyse Adrien Lozina. « C’est dommage de finir à onze points en ayant autant mené, d’autant que les Wawas me semblaient « prenables ». Le score est vraiment forcé, nous prenons un 8-0 dans les dernière minutes.« 

Un revers, le second d’affilée pour Alleur, alors que Waremme enchaine un deuxième succès. « Ce fut un début de match difficile car nous étions passifs en défense » reconnait Marek Krala. « Nous comptions sur notre avantage de taille qui peut nous mettre en difficulté lorsque nos adversaires, pratiquant un jeu « undersize » avec un rythme élevé et en première intention, sont en réussite.« 

Néanmoins, forts de leur expérience, les Wawas n’ont jamais paniqué. « Malgré un arbitrage tendancieux envers notre secteur intérieur, nous avons su garder notre calme et notre sérénité » poursuit le transfuge de Wanze. « Nous avons pris l’ascendant au cours de la deuxième période, faisant preuve de plus de rigueur et de réussite. Ce n’est pas un match référence mais, dans division qui ne nous fera pas de cadeau, les trois points sont dans la poche. »

Dorian Muller, El Pistolero

      

Pour sa deuxième saison en seniors, Dorian Muller affiche une forme étincelante. Ce weekend, l’élégant ailier, shooteur d’exception et attaquant racé, a compilé près de quarante points lors des victoires de Saint Louis contre SFX (R1) et Sainte Walburge (P1). C’était une occasion en or de tailler une bavette avec le jeune homme en forme du Collège.

   

Dorian, près de quarante points en deux matchs, tu tiens la forme!

C’est sûr que d’inscrire un tel total, bien réparti d’ailleurs, en deux matchs, c’est bon pour la confiance. Cela fait évidemment plaisir de réaliser deux bonnes prestations offensives mais c’est grâce à mes coéquipiers que j’y suis parvenu. L’équipe cherche toujours l’homme le mieux placé pour conclure.

Comment juges-tu ton début de saison?

Il est assez compliqué physiquement. Je souffre d’une tendinite au genou et, maintenant, j’ai une contracture au mollet. Mais cela ne m’empêche pas de jouer.

Pour ta deuxième année en seniors, sens-tu que tu as progressé?

Oui, je continue ma progression en attaque, notamment au niveau de la rapidité de mon shoot mais je bosse surtout ma défense afin de devenir un joueur plus complet. Je profite pleinement de l’expérience et des compétences de mon coach, Joseph De Sutter, pour poursuivre ma progression.

Penses-tu que vous pourrez accrocher les Playoffs en première régionale.

Ce n’est pas l’objectif. Notre but, malgré notre manque d’expérience, c’est de nous sauver. Et nous comptons sur l’aide de notre entraineur, qui est toujours derrière nous et nous encourage à nous surpasser, pour y arriver.

Et en première provinciale, visez-vous les Playoffs?

La P1 nous sert principalement à progresser. Nous ne nous fixons pas d’objectif précis.

« Hertay a tenu la baraque »

    

En déplacement à Tongres, Spa a livré une bonne prestation mais n’a pu revenir du Limbourg avec les trois points.

   

A la pause, les Spadois menaient de deux points, 40-42, après en avoir compté neuf d’avance après dix minutes de jeu. « Nous avons fait un bon match, meilleur que notre premier contre Falco. C’est positif, nous progressons! » analyse Pierrick Van Den Brule. « Nous avons perdu moins de ballons et corrigé quelques erreurs mais il reste pas mal de travail encore, notamment au niveau défensif. Encaisser 89 points, c’est trop. »

Dans le troisième quart-temps, les Bobelins éprouvaient de sérieuses difficultés à contenir l’attaque adverse et voyaient Tongres repasser devant au marquoir, 67-65. Le dernier quart (22-14) était à l’avantage des locaux qui finissaient par s’imposer, 89 à 79. « Il ne nous a pas manqué grand chose » continue l’ancien Visétois. « Un des deux grands de Tongres était en civil et l’autre, Moonen, a rapidement écopé de deux fautes. Toutefois, il les a très bien gérées et nous n’avons pu en profiter que très peu. Lorsque Tongres était dans le dur, Hertay a vraiment maintenu sa team dans le match. » Et de conclure: « Avec un peu plus de réussite devant et plus de rigueur derrière, je suis persuadé que nous pourrons déplacer des montagnes!« 

« Nous ne pouvons en vouloir qu’à nous-mêmes »

    

Il aura fallu une prolongation à Grivegnée pour venir à bout de Theux, mais la RJS tient sa seconde victoire consécutive et conserve son brevet d’invincibilité dans ce début de championnat.

   

Après un premier succès au terme d’une rencontre serrée à LAAJ, Grivegnée a remis le couvert, à domicile, contre Theux. « Nous avons mené tout le match mais c’était impossible d’arrêter Barry Mitchell (ndlr: une rengaine que nous risquons souvent d’entendre tant l’ancien NBAer est toujours particulièrement impactant), surtout qu’il nous manquait Schimanski et Emonts » regrette le meneur theutois, Arnaud Delhaes. « Nous sommes tombés sur une vieille zone et avons sauté à pieds joints dans ce piège. A Chaque quart-temps, notre adversaire grappillait des points pour finalement revenir à notre hauteur et aller en prolongation. »

Un déroulé que ne conteste pas Nathan Stevens. « Nous étions encore menés de six points à deux minutes de la fin du temps réglementaire » reconnait l’ailier de la RJS qui a la particularité d’être coaché par son papa. « Nous n’avons rien rien lâché et nos adversaires se sont énervés au point de prendre plusieurs techniques.« 

Avec des gars comme Mitchell et Casamento, l’effectif des Sang et Or a de la « bouteille ». « Notre expérience en fin de match a clairement joué en notre faveur » poursuit Nathan. « Nous avons démarré la prolongation sur les chapeaux de roue, avec deux shoots de Melard. Ensuite, nous avons bien géré nos émotions et les lancers-francs.« 

Du côté visiteur, forcément, l’impression de s’être tiré une balle dans le pied est présente. « Nous ne pouvons en vouloir qu’à nous-mêmes » soupire Arnaud. « Nous donnons la victoire à Grivegnée. C’est vraiment dommage d’autant qu’un gros match, la semaine prochaine, chez nous contre Bellaire, nous attend. Il faudra montrer un meilleur visage. »

Weekend mitigé pour Pepinster

    

A l’issue de ce weekend, le bilan est mitigé pour Pepinster. Si la R1 masculine l’a emporté contre Waterloo, les dames du même niveau se sont inclinées de peu contre Angleur alors que la P2 pépine subissait le même sort contre Cointe. Retour sur ces trois rencontres.

   

Honneur aux vainqueurs, c’est la R1 de Pascal Mossay qui souriait à l’issue de son match contre Waterloo (73-63), malgré une prestation en demi-teinte. « Nous avons laissé Waterloo imposer son tempo en première mi-temps avant d’aller chercher la victoire au caractère » résume Nicolas Rossinfosse, auteur de quatre points avec l’équipe première pépine. « Un deux sur deux idéal pour commencer avant de tenter de réaliser la passe de trois à SFX vendredi soir.« 

Pour les Dames de Jean-Luc Cornia, la pièce n’est malheureusement pas tombée du bon côté. Avant la rencontre, Michelle Decors d’Angleur dressait l’état des lieux. « Un gros derby contre une équipe de Pepinster complète. Ce ne sera pas facile car les Pépines ont bien commencé le championnat, à l’inverse de nous. Elles seront très vraisemblablement en confiance » nous confiait l’expérimentée intérieure. Comme pour corroborer les propos de « Mich », les Pépines prenaient le meilleur départ, 13-20 après dix minutes offensives. Le deuxième quart voyait les locales accroitre légèrement leur avance: 25-35 à la pause. Au retour des vestiaires, les visiteuses serraient les rangs derrière et grapillaient leur retard pour revenir à 44-43 avant d’entamer l’ultime période. Lors de celle-ci, les filles de Vincent Esposito faisaient front et s’imposaient 56 à 52, privant les Pépines d’une seconde victoire.

Résultat identique pour la P2 locale qui s’est inclinée, dans une partie bien plus offensive, 86 à 96 contre Cointe. « Nous avons mal joué » reconnait Nicolas Rossinfosse qui évolue également dans cette formation. « Nous avons trop forcé le jeu extérieur, moi le premier, contre une défense de zone fort large durant quarante minutes. Nous nous sommes trop reposés sur notre adresse extérieure et vu que cela ne rentrait pas contre les Grenouilles, rien n’allait. Nous devons vite apprendre à varier notre jeu!« 

« Notre saison est lancée »

    

A domicile et pratiquement au complet, Ans l’a emporté, 80 à 77 contre Mont-sur-Marchienne, dans une partie hachée par les coups de sifflet.

   

Il ne manquait que Michael Petit, blessé, dans le camp des Verts au moment de recevoir Mont-sur-Marchienne. Porté par un duo Mossay-Koçur en verve (31 points à eux deux, Ans virait en tête à la mi-temps. « A la reprise, nous comptions neuf points d’avance et nous aurions dû enfoncer le clou. Mais au lieu de cela, suite à quelques erreurs, nous avons laissé notre adversaire revenir dans la partie » nous précise Stephane Mossay, à moitié satisfait à l’issue de cette rencontre. « Beaucoup de fautes ont été sifflées des deux côtés. L’arbitrage n’a rien changé au résultat mais l’équipe adverse a moins bien géré et a vu un de ses joueurs être logiquement -il a jeté la balle sur l’arbitre- exclu. Nous sommes parvenus à rester calmes et soudés. » Et de conclure: « Notre saison est lancée!« 

« Nous ne nous sommes pas laissés avoir par le jeu très agressif de LAAJ »

     

Dans le derby entre Liège et LAAJ, ce sont les jeunes locaux qui l’ont emporté, 61 à 59. Loic Meunier, auteur d’un panier crucial, après rebond offensif, en toute fin de partie revient sur cette rencontre, ainsi que sur ses objectifs. Interview.

   

Loic, que retiens-tu de votre match contre LAAJ?

Je retiens la très bonne performance de l’équipe. Nous ne nous sommes pas laissés avoir par le jeu très agressif de notre adversaire et nous avons su imposer notre tempo lorsqu’il le fallait. Après notre défaite de la semaine passée, nous nous devions de montrer autre chose à domicile.

Qu’est ce que cela fait de marquer le dernier panier de plein jeu pour ton équipe dans un match aussi serré?

D’après moi, je ne marque pas vraiment le panier de la victoire. Je marque un shoot après un rebond offensif à 57-57 ce qui nous permet de respirer un peu et de forcer Atlas à tenter quelque chose. Ce sont les deux lancers-francs de Robin Roland qui finissent le travail lorsque nous étions à 59 partout. 

Quels sont tes objectifs cette saison?

En R1, je souhaite continuer à m’améliorer en tant que joueur et devenir dominant sur le terrain, tout en tirant au maximum l’équipe vers le haut. Orly (Nzisabira), Robin (Rland) et moi devons apporter un plus à l’équipe, étant donné notre présence dans le noyau D1.

    

   

Crédit Photo: Philippe Colin