Souffle nouveau à Liège Basket

 

Liège Basket poursuit sa mue et veut insuffler un nouveau dynamisme au sein de l’institution liégeoise. Retour en profondeur sur l’évolution -et non la révolution- du club principautaire.

 

C’est l’excellent site de l’AWBB qui se penche en profondeur sur le nouveau virage que prend Liège Basket.

« J’ai toujours affirmé que j’acceptais le poste de président jusqu’à ce que l’on en trouve un autre », confie d’emblée Marc Bellefroid, « Comme meilleurs souvenirs, je garde notre finale en Coupe de Belgique et nos participations aux playoffs. En revanche, il faut bien avouer que notre situation financière et sportive devenait de plus en plus difficile . Bref, qu’il était urgent de trouver un souffle et un dynamisme nouveaux. »

Et cette démarche se concrétise aujourd’hui par l’arrivée d’Olivier Rizzo aux commandes des « Sang et Marine ». Décideur au sein de la filiale belge de la multinationale ISS, le citoyen de Fernelmont fait d’abord parler son expérience professionnelle : « En réalité, j’étais un habitué du Spiroudôme avant d’être sollicité par des politiciens du cru pour m’occuper de Liège Basket. Dans un premier temps, nous allons nous atteler à stabiliser le club. Pour y parvenir, j’ai déjà pas mal de pré-accords avec d’importants partenaires qui devraient se concrétiser – voire se prolonger – dans les semaines à venir. Ce n’est qu’à ce moment-là que l’on pourra envisager avec précision notre futur budget et que notre coach aura la possibilité de mettre définitivement sur pied son prochain effectif. Quoi qu’il arrive, la formation des jeunes demeurera notre priorité absolue. » Ceci dit, on peut néanmoins vous révéler que les Mosans sont sur le point de révéler l’identité de deux renforts étrangers. D’ici là, Christophe Muytjens devient le Directeur Général du cercle principautaire.

Quant au Conseil d’Administration, il subit un très sérieux lifting, via l’apport de quatre nouveaux administrateurs : Roger Dumont (Alliance Bokiau), Munuel Dimblon (Andiman), Dominique Petta (Groupe 4M) et Philippe Dodrimont (député d’Aywaille). Un ancien champion de Belgique cycliste des parlementaires qui n’est pas étranger à l’apport d’Olivier Rizzo…

 

Michel CHRISTIANE

la France atomise la Bosnie

 

L’équipe de France, avec son contingent NBA, a atomisé la Bosnie, dernier adversaire des Belgian Lions.

 

La France qui gagne.

Une victoire nette et sans bavure, 52 à 102, pour l’équipe de France en Bosnie. Un succès obtenu avec une partie du contingent NBA français: Batum, Fournier, Gobert étaient présents et bien présents. « Batman » a compilé 9 points, 8 passes, 4 rebonds, « More Champagne » a inscrit dix points tandis que le récent Meilleur Défenseur de la ligue s’est fendu de 16 points et 8 rebonds. Nando De Colo, élu MVP de la ligue russe, a ajouté 15 points.

 

Les highlights du match sont ici.

Tyler Larson récompensé

 

L’ancien -et éphémère- meneur de Liège Basket a été sacré « meilleur transfert européen » de la saison 2017/2018.

 

Au moment de quitter Liège pour Varèse, en première division italienne, Tyler Larson menait l’EuroMillions Basketball League à l’index, figurant également en deuxième position au classement des marqueurs. Le distributeur de poche avait d’ailleurs été élu MVP du mois d’octobre de notre compétition.

En débarquant dans la cité transalpine, Larson rejoignait un club en souffrance et relégué dans les tréfonds du classement. Son arrivée allait dynamiser l’équipe qui, en sa présence, a signé un splendide onze sur quatorze pour clore le championnat et se maintenir au sein de l’élite italienne.

Son apport statistique et son influence sur les résultats de sa formation ont valu à l’Américain d’être élu « meilleur transfert européen » de la saison 2017/2018. Chaque l’artiste!

« Je veux remonter de suite! »

 

Au terme d’une saison palpitante et à l’issue de l’ultime journée de championnat, Braives a fait la bascule à l’échelon inférieur. Pas de quoi subir de révolution de palais chez les Noirs qui gardent une grosse partie de leur effectif et veulent remonter directement en P2, comme nous l’explique leur entraineur, Thibault Wéry.

 

Thibault, quel bilan tires-tu de votre saison avec Braives?

Nous descendons sur un vrai coup de malchance. Avec neuf victoires, nous sommes la seule équipe descendante, toutes divisions confondues, à faire la bascule avec un tel bilan.

Avec quel effectif repartiras-tu?

Nous repartons avec six gars du noyau -Hamaite, Jacob, Dejaiffe, Paty, Goossens et Ugueux. Nous accueillons un meneur de Tilff, Yves Hodeige, ainsi que Geoffrey Vanmaalderen. Nous serons huit, en espérant également que Julien Finck poursuive l’aventure. Il nous a annoncé qu’il arrêtait mais, vu son caractère, je ne désespère pas de le voir poursuivre.

Que penses-tu de votre série, la C, et qui vois tu comme favoris?

La série me plaît. Je vois US Awans et La Villersoise parmi les favoris, tout comme nous. Je veux remonter de suite! Nous en sommes capables mais il faudra éviter les blessures. J’ai un groupe soudé, qui se donne et prend du plaisir dans une bonne ambiance si nous continuons comme l’an dernier, ce dont je ne doute pas.

Restes-tu le coach de l’autre équipe de La Villersoise (P3A)?

Non, je ne reste pa à Villers.

 

Gael Laffalize reprend du service

 

Gael Laffalize reprend du service au Haut-Pré Ougrée. Un solide renfort pour les finalistes en titre. Analyse.

 

Depuis trois ans, Gael Laffalize était plutôt éloigné de son espace de prédilection, les terrains de basket, suite à une blessure au genou. « J’ai recommencé avec Malonne, en R2, la saison dernière, mais suite à différents changements dans ma vie, je n’y ai pas trouvé mon compte et j’ai arrêté les frais à la fin du mois d’août » nous explique l’intérieur shooteur. « Je suis allé m’entrainer à Haut-Pré, espérant pouvoir jouer la saison avec ce club mais ce n’était pas possible administrativement. »

Gael continue pourtant de s’entrainer « gentiment » avec Grandry et compagnie durant la saison. « Je n’ai pas participé à tous les entrainements car, à mon âge (ndlr: 39 ans), quand il n’y a pas la carotte du match, c’est plus difficile de se motiver » nous précise-t-il. Arrivé en fin de saison, l’ancien de La Spéciale réfléchit à la suite. « Si Haut-Pré me demandait de les rejoindre, je signais, sinon, j’arrêtais. »

Et, fort logiquement, Yves Dehousse, qui a déjà coaché Gael par le passé, lui propose de rejoindre l’effectif pour la prochaine saison. « J’habitais Neupré, je connais Yves et l’équipe est constituée de gars intelligents, avec une bonne situation, ce qui fait que je ne sens pas trop le décalage de l’âge » nous explique le shooteur tatoué pour motiver sa décision.

 

 

« Heureux de retrouver les terrains »

 

Un retour un P1 qui fait plaisir à Gael. « Lorsque j’ai été opéré il y a trois ans, le chirurgien m’avait annoncé qu’il y avait une chance sur deux que je boîte à vie » nous confie-t-il. « Dès lors, je n’ai pas d’objectif précis pour la prochaine saison, je suis déjà super content de rejouer. Et à mon âge, s’amuser reste le plus important. Maintenant, en tant que compétititeur, je souhaite être opérationnel, lorsqu’on fera appel à moi, pour amener un plus à l’équipe. »

Une nouvelle saison lors de laquelle Haut-Pré, dauphin de Neuville lors du précédent exercice, nourrira encore de vraies ambitions. « La série me semble très forte mais nous pouvons y faire quelque chose » avance Gael. « Ougrée a toujours été atypique, mais le noyau me semble bien balancé et ce club a souvent créé la surprise. »

 

 

Un renfort de choix

 

Du côté du matricule 1429, la venue de Gael est unanimement saluée. « C’est un gars avec pas mal d’expérience, ce qui nous a un peu manqué la saison passée, et qui peut aligner dix shoots d’affilée quand il est bien » nous partage Stéphane Grandry. « Il sait jouer physique derrière et ne lâche jamais rien. C’est certain qu’il va apporter sa petite touche à l’équipe. D’ailleurs, il s’est entrainé toute la saison dernière avec nous et est déjà bien intégré au groupe. »

Même son de cloche du côté d’Yves Dehousse, qui l’a eu sous ses ordres à La Spéciale Aywaille voici quelques années. « Il va nous apporter de l’expérience, du shoot extérieur et une présence physique en défense » continue le mage du Haut-Pré. « Je garde de lui le souvenir de quelqu’un qui ne lâche rien, un battant qui ne baissera pas les bras et qui va booster le groupe quand il le faudra. Il peut devenir l’un des leaders de notre formation car les autres joueurs vont l’écouter. »

 

Bye Bye la Chine

 

Les Belgian Lions ont sombré en deuxième mi-temps face à la Russie et s’inclinent 66 à 84. Une défaite qui sonne le glas des espoirs de qualification pour le Championnat du Monde 2019.

 

Les Belges, menés par un duo Van Rossom/Boukichou (30 points à eux deux), avaient pourtant bien entamé la partie, menant de trois points après dix minutes et 47-45 à la pause.

Mais au retour des vestiaires, et ce troisième quart-temps trop souvent fatal aux Belges, les Lions ont craqué et laisser les Russes filer devant. La Russie s’impose 66 à 84 et élimine la Belgique de la course au Championnat du Monde 2019.

Nos compatriotes disputeront une dernière rencontre, pour du beurre, face à la Bosnie. Un adversaire qui vient de subir une route monumentale infligée par la France, 52 à 102.

« Si la sauce prend, nous viserons le Top 3 »

 

Buffalo Grâce-Hollogne a réalisé une saison des plus intéressantes en P3C, à peine ternie par un étrange « record »: cinq défaites après prolongations. Le groupe d’Hervé Odeurs s’est renforcé et jouera plus que probablement le haut du tableau. Gael Verzele revient sur l’année écoulée, la campagne des transferts et le prochain championnat.

 

 Quel bilan tires-tu de votre saison?

Comme le coach et l’ensemble du groupe, mon sentiment est partagé. Nous pouvons être globalement satisfaits avec, notamment, un beau deuxième tour et une double victoire contre les champions, mais, en même temps, nous pouvons nourrir quelques regrets avec nos cinq défaites en prolongations, qui étaient toutes évitables. Ceci dit, je pense que cela nous a permis aussi de pointer clairement ce que l’équipe avait encore comme étape à franchir pour jouer le haut du tableau.

Satisfait de vos transferts?

Les nouvelles arrivées apporteront un certain équilibre à l’équipe en proposant des profils que nous n’avions pas vraiment.  Nous espérons que la sauce prendra et que nous pourrons vivre une agréable saison.

De quoi viser le haut du tableau?

Si la sauce prend bien, nous devons ambitionner le Top 3 mais bon, nous sommes en P3, la meilleure manière de réaliser une belle saison est de d’abord prendre match après match et, avant tout, de prendre du plaisir ensemble, sur le terrain et en-dehors.

Que penses-tu de votre série, la P3B?

Je ne m’y suis pas encore intéressé plus que cela pour le moment. Si j’ai bien compris, Haneffe semble l’équipe favorite, toutes P3 confondues. Mais, n’étant pas de la région à la base, je ne connais pas grand monde. Je ne fais donc pas attention à cela.

Personnellement, comment vas-tu?

J’espère être fit pour la reprise car je traine une douleur au tendon d’Achille depuis notre défaite en double prolongation à La Spéciale Aywaille. La douleur a augmenté et m’a forcé à restreindre puis à arrêter complètement le basket depuis début mars pour soigner cela.

 

 

« Un championnat très ouvert »

 

Pour une première saison en P3, l’équipe montante de Waremme a livré un championnat d’excellente facture, trustant les premiers rôles. Michael Proesmans, l’entraineur des Wawas, revient sur l’exercice écoulé et celui qui arrive prochainement.

 

Michael, quel bilan tires-tu de votre première saison en troisième provinciale?

Un bilan très positif. Nous terminons à une belle cinquième place et nous sommes  la meilleure défense de la série. Malgré quelques blessures et arrêts de certains joueurs, nous avons pratiquement toujours gardé un bon niveau de jeu.

Quel était votre objectif en début de saison?

Nous avions cinq nouveaux joueurs à intégrer et qui se sont tous bien fondus dans le collectif. Nous voulions nous sauver le plus rapidement possible et nous y sommes parvenus à la fin du premier tour avec un total de onze victoires.

Que penses-tu de votre future série, la P3A?

Elle est totalement différente de la précédente. A vrai dire, je ne connais pas toutes les équipes qui la composent mais il me semble qu’elle est très équilibrée. Nous avons quelques équipes montantes et celles-ci me semblent bien armées pour ne pas faire que de la figuration mais revendiquer des places dans le haut du tableau.

 

 

« Waremme parmi les outsiders »

 

Quels seront vos objectifs?

Prendre match après match et, pourquoi pas, faire aussi bien que l’année passée. Nous voulons aussi intégrer nos jeunes afin qu’ils puissent s’épanouir et évoluer avec le groupe.

Qui vois-tu comme favoris?

Difficile de me prononcer, ne connaissant pas assez toutes les équipes, mais Alleur me semble bien armé. Les Noirs avaient fini la saison en boulet de canon.

Et comme outsiders?

Les équipes d’Aubel et Verlaine devraient être dans les outsiders. Mais vu que le championnat me semble bien plus équilibré que l’année passée, je crois que chaque équipe pourrait jouer ce rôle. Je vois une série très ouverte… Et pourquoi pas Waremme!

 

« Jouer un vrai rôle dans cette série »

 

Après une superbe saison ponctuée d’un titre de champion en quatrième provinciale, Verlaine débarque en P3 avec la ferme intention de jouer un vrai rôle, comme nous l’explique son Président.

 

Verlaine est un jeune club qui n’en est pas moins dénué d’ambitions. Au terme d’une brillante troisième saison, les Verlainois se sont adjugés le titre de champion en ne concédant qu’une seule défaite, à La Villersoise, accédant ainsi à l’échelon supérieur. « Je trouve notre série, la A, relevée, pour le peu que je connaisse des équipes de P3 » nous glisse Xavier Maleux, Président du BC Verlaine. « Notre objectif est un peu « bateau »: nous voulons nous maintenir et éviter de faire l’ascenseur. Toutefois, notre recrutement est tel que nous visons plus qu’une bataille pour le maintien et souhaitons jouer un vrai rôle dans cette série! »

Néanmoins, la chose ne sera guère aisée, quelques belles formations composant cette P3A. « Des équipes telles Harimalia, Alleur et Visé trusteront les premières places » continue Xavier. « Sans oublier La Villersoise et Waremme, qui réalisent toujours de beaux championnats. Qui sait, peut-être pourront-nous nous joindre à ces teams. Ce serait une magnifique réussite!« 

La vie nippone de Pascal Maquinay

 

Au Japon depuis plusieurs mois, Pascal Maquinay évoque son séjour au Pays du Soleil-Levant. Entretien.

 

Pascal, que fais-tu au Japon depuis quelques mois?

Je suis au Pays du Soleil-Levant pour un semestre sabbatique. Je donne quelques cours et conférences à l’université mais mon horaire est assez light, ce qui me permet de profiter pleinement de l’expérience, jusqu’à ce que je tombe à court d’argent.

Ce n’est pas la première fois que tu visites ce pays. Comment en es-tu venu à t’y intéresser?

Plus jeune, je lisais quelques mangas. Cela a peut-être commencé ainsi mais je me suis rapidement intéressé à la culture nippone de manière plus générale et j’ai surtout eu la chance de rencontrer des amis japonais lors de divers voyages.

Des paysages magnifiques.

Du coup, pas de gros choc culturel?

Non, étant déjà venu au Japon plusieurs fois par le passé, je n’ai pas vécu de gros choc culturel. D’ailleurs, les choses qui m’ont plu lors de mes premiers voyages dans ce pays sont toujours d’actualité: un sentiment de sécurité incroyable, des gens d’une grande gentillesse, la meilleure nourriture du monde -selon moi en tout cas- et des décors à couper le souffle.

 

 

 

« La politesse est une seconde nature au Japon »

 

Néanmoins, cette fois, tu vis la vie d’un véritable autochtone, ou presque…

Oui, et c’est agréable de découvrir la « vraie » vie au Japon et plus de simplement jouer au touriste. J’ai d’ailleurs bien pris mes marques  et un rythme de vie plus régulier entre cours, sorties et quelques visites.

Pascal profite pleinement de son expérience.

En côtoyant les Japonais, es-tu aussi frappé par leur excellente éducation?

C’est clair que c’est agréable de fréquenter des personnes pour qui la politesse est une seconde nature, ce dont certains feraient bien de s’inspirer chez nous. Tout se passe toujours dans le calme et le respect ici.

Quel genre d’étudiants sont les Japonais?

L’entrée à l’université est hyper compétitive. Ici, les étudiants sont particulièrement motivés, travailleurs, ne sèchent pas les cours et savent pourquoi ils sont là.

 

 

« Un mélange de traditions et de modernité »

 

Les traditions perdurent au Japon.

Comment perçois-tu ce mélange de traditions et de modernité qui caractérise le Pays du Soleil-Levant?

C’est une image qui frappent les visiteurs occidentaux quand ils débarquent ici. Voir, au détour d’une rue, un sanctuaire shintô avec des prêtres qui préparent leur rituel puis, un quart d’heure plus tard, se retrouver dans un centre d’arcade aux néons criards, c’est aussi ça le Japon. Pas partout, ceci dit.

Tu évolues en P2 à Tilff. Ici, le basket, c’est terminé pour toi?

Pas totalement. j’ai rejoint le club « récréatif » de l’université. Le niveau est ce qu’il est mais ça me permet de toucher du ballon et de ne pas prendre vingt-cinq kilos avec tout ce que je mange depuis mon arrivée.

Justement, c’est comment le basket à Kyoto?

Je n’ai pas encore eu l’occasion de voir l’équipe compétitive de l’université, il m’est donc difficile de me prononcer. Mais il est indéniable que le jeu n’est pas très physique. Par contre, les Japonais compensent leur déficit de taille par une grande vivacité.

 

 

« Un boulet-frites en rentrant »

 

Belgique et Japon réunis en une même photo.

Tu évoquais plus haut ta passion pour la gastronomie nippone. As-tu des préférences?

J’ai un petit, et même un gros, faible pour le okonomiyaki et le tempura, mais la cuisine japonaise est ultra-variée et il y en a vraiment pour tous les palais.

Des choses de Belgique te manquent-elles?

Quatre mois et demi, c’est trop court pour être vraiment en manque de quoi que ce soit mais la première chose que je ferai en rentrant est probablement de manger un bon boulet-frites avec une bière spéciale en terrasse et avec les amis.